Histoires de sexe soeur Histoires érotiques couples amateurs

sur le chemin du boulot : transports érotiq

sur le chemin du boulot : transports érotiq



Sur le chemin du boulot
Histoires courtes

* * *
Tous les jours pour aller travailler, je prends le métro ou le bus. Et, bien sûr, même chose le soir au retour. Maintenant, je me régale des brèves aventures sexy, que je provoque car je suis devenue une habituée de ces séances érotico-pornos hâtives. Plein de types me connaissent et profitent de moi et je suis fière de ces plaisirs donnés. Je sais que tu aimes, toi, mon salaud qui te masturbes en me lisant, je vais continuer à tout te raconter.

Tiens, l’autre jour, en m’habillant seule dans ma chambre, je me disais que ce jour-là j’allais faire  » quelque chose ” de nouveau.
Aussitôt, je choisis une jupette beige, courte et bien plaquée à mes fesses. Le printemps arrivant m’incitait à la folie ordinaire. Je mis avec des bas dim-up marron clair très fins. Chaussée de petits escarpins, j’ondulais subrepticement dans la rue en arrivant au métro. Je cherchais des types à aguicher.

Rapidement un de mes  » habitués ”, un vieux vicelard rougeaud, me repéra et sauta dans mon sillage lorsque je voulus valider mon ticket. Au tourniquet, il fit semblant de se faire coincer et se retrouva derrière moi: nous fûmes un court instant (même pas vingt secondes!) bloqués entre les deux barres métalliques. Je sentis sa main contre ma jupette et sa queue se plaquer vivement à mes fesses avant que je ne franchisse le passage. Dans l’escalator, je sentais son souffle dans mon dos et… alors que nous arrivions en haut, sa pogne s’insinua sous ma jupette, entre mes deux cuisses mi-écartées, que je savais regardées car elles devaient être très près de ses yeux, et vint caresser le haut de mes bas et ma chair près de ma culotte.
Cela m’électrisa et me plut mais je ne manifestais aucun signe. Il devait être satisfait que je n’aie pas refusé cet attouchement fugace. Comme c’était une heure creuse (j’étais un peu en retard) et un jour de vacances scolaires, nous étions quasiment seuls sur le quai. La rame arriva et nous montons.

Prestement, je m’assis au fond avec ma jupette beige courte un peu remontée qui dévoilait bien mes cuisses. Je ne croisais pas les jambes, laissant mes genoux joints prêts à s’entrouvrir pour des regards vicieux. Le type vint immédiatement se placer face à moi et plongea aussitôt dans mon entre-cuisses pour percer le secret du nylon. Je n’attendis même pas le départ du métro pour lui laisser le loisir de reluquer mes bas et apercevoir le liseré plus foncé de la jarretière en écartant légèrement mes genoux, croisant mes chevilles, tout en le fixant droit dans les yeux.

Il me sourit et continua à mater jusqu’au moment où un de ses vieux potes (soixante ans bien sonnés) vint s’asseoir à ses côtés.
Il lui serra la main et ils se chuchotèrent quelque chose. J’étais sûre qu’ils parlaient de moi et de mes cuisses car aussitôt le nouvel arrivant zyeuta avec insistance en direction de mes cuisses.
Ils étaient deux à me reluquer maintenant!

Et cela me plaisait beaucoup.

Le reste de la rame était vide et le métro démarra. Nous allions donc être seuls un court instant… Il fallait en profiter! Vite!
Mais, je sentis que mes deux vieux vicelards n’oseraient pas s’enhardir si je ne les invitais pas à le faire.
Aussi, dès le départ, je leur souris à tous les deux et, regardant ostensiblement en direction de leurs queues bandées dans leurs pantalons (je voyais les bosses bien dessinées!), j’écartais un peu plus mes cuisses en leur montrant ma fine culotte en nylon blanc.

Prestement, mon vieux vicelard rougeaud (le premier, celui qui m’avait touchée dans l’escalator et qui savait que j’étais consentante) vint s’accroupir entre mes cuisses et commença à me bouffer goulûment la chatte par-dessus la culotte, sans aucune gêne, ni préliminaires.
Heureuse de son initiative, je caressai sa tête blanche et l’encourageais à me lécher mon intimité, en écartant bien mes cuisses, dont le nylon des bas caressait ses joues. Voyant cela, et ayant compris qu’il fallait faire vite, son compère se leva illico, se débraguetta et m’exhiba sous le nez une bitte tendue bien brunâtre avec un gros gland rouge.
Sans hésiter une seconde, j’enfournais le dard et je me mis à le sucer avec application. Il gémit et grogna sous la caresse de ma bouche, pendant que son pote titillait mes lèvres roses ayant dégagé le rebord de ma fine culotte.

Malheureusement pour eux, la première station arriva et tout le monde se rassit à peu près correctement… mais les deux vieux avaient la braguette ouverte et ma jupette était retroussée presque jusqu’en haut. Je l’avais à peine rabattue jusqu’à la lisière des bas.

Seul un type entra et alla s’asseoir à l’autre bout de la voiture.

Le métro repartit et, écartant à nouveau mes cuisses, je leur souris comme pour les inviter à reprendre leur action pour les deux minutes qui allaient nous séparer de la prochaine station.

Sous les yeux interloqués et incrédules de l’autre type du bout de la voiture, qui mit quelques instants à réaliser qu’il ne rêvait pas, ils reprirent la même position que tout à l’heure.
Cette fois, je sentais aussi la queue de mon lécheur qui se frottait contre mes bas et mes escarpins sur mes pieds.
Alors que le dernier arrivé se levait et se précipitait vers nous pour voir le spectacle matinal inédit, je me remis à sucer le vieux qui m’étouffait presque car sa jouissance allait arriver. Il avait empoigné ma chevelure de lionne et ses doigts, fourrageant dans mes cheveux, accompagnaient le va-et-vient de mes lèvres arrondies sur sa bitte gonflée. Je le pompais avec ardeur et je me reçus une giclée d’enfer au fond de la gorge. Suffoquée, je me dégageais un peu et il m’aspergea le visage de foutre sous les yeux éberlués de l’autre, qui s’était rapidement mis à se masturber debout à deux mètres de nous.
Alors que le sperme de mon sucé dégoulinait sur mes joues et dans mon cou, je sentis ma propre jouissance arriver sous les coups de langue de mon vicelard lécheur. Serrant son visage fortement entre mes cuisses, presqu’à l’étouffer, je dus faire tilt chez lui aussi.
En effet, je sentis sa main agiter sa queue et frotter son gland frénétiquement contre mes pieds: presqu’aussitôt, j’eus le contact d’un chaud liquide qui se répandait sur mes bas à mes chevilles et gouttait sur le plancher du métro.

Ce fut la station suivante qui nous interrompit brutalement. Les deux vicieux regagnèrent leurs places, les yeux vitreux et hagards. Je rabattis un peu ma jupette mais ne pus dissimuler le sperme qui ornait mon visage aux nouveaux voyageurs qui entraient. Heureusement que personne ne prit place près de nous… sauf celui qui avait astiqué sa queue deux minutes en matant le spectacle.

A la station suivante, après m’être essuyé le visage, je me levais et descendis, laissant mes deux vieux rassasiés et contents.

En marchant, je sentais le foutre de l’autre s’insinuer entre mes bas et mon escarpin, pour glisser sous la plante de mon pied englué. Je pataugeais dans le sperme! Dans l’escalator, je regardais un instant mon pied et je me rendis compte que l’on pouvait deviner des traces blanchâtres sur mon bas en nylon sexy au niveau de ma cheville. Heureusement qu’il n’y avait pas foule, simplement quelques regards incrédules me scrutaient; des mecs bien sûr… sans doute pensaient-ils avoir une hallucination – ce ne pouvait pas être du foutre tout de même?… et si!
En me retournant, je pus constater que le type qui s’était astiqué en visionnant la scène, était sept à huit marches en-dessous de moi et plongeait son regard sous ma jupette. Je savais, par expérience (mais oui! je suis libertine et coquine!), qu’en raison de la forte inclinaison de l’escalator on pouvait voir une culotte de femme sous sa jupe à peu près huit-dix marches en-dessous… en fonction de la  » courteur ” de sa jupe. Or, ce jour-là ma jupette était  » bonne pour la culotte ” à six marches à peu près!

En haut, j’avisais des toilettes où j’entrais discrètement pour m’arranger un peu. Au lavabo, je finis de nettoyer mon visage (une trace de sperme allait rester toute la journée dans mes cheveux! cela exciterait mon patron s’il la voyait) puis, prenant un mouchoir que je mouillais, je me penchais pour éliminer les traces blanches de foutre à l’extérieur de mes chaussures noires et de mes bas marron. A l’intérieur des chaussures, je ne nettoyais pas pour sentir le foutre à mon pied toute la matinée avant qu’il ne sèche; cela me donnerait des pensées lubriques.

J’en étais là, lorsque je sentis ma jupette être soulevée et aussitôt un dard venir se frotter à ma fente. Je compris sans me retourner que c’était forcément le troisième mateur et ne me relevant qu’à peine, je le laissais faire (pouvais-je faire autrement de toute façon, avec le spectacle que je lui avais montré?). Il m’embrocha d’un seul coup, d’un seul. Son gland avait tout juste pris le temps de faire deux allées et venues sur mes lèvres humectées par la bouche du vieux et il s’enfonça en moi profondément, m’arrachant un petit gémissement mêlé à la fois d’un peu de douleur d’être prise si vite et si brutalement et de réprobation du peu d’égards.

Et là, dans ces toilettes du métro, il me prit en levrette contre le lavabo comme une authentique salope à bittes, heureux de me limer bien profond. Je me redressais un peu et, appuyée contre le rebord, je pus ainsi voir mon baiseur dans la glace, qui me pistonnait avec application.
Quelle tronche! Dieu qu’il était laid! Un gros visage rougeaud boursouflé avec un gros nez et des moustaches grises, de grosses lèvres et un regard de cochon: il devait avoir entre cinquante et soixante ans et, tantôt il me regardait avec un sourire béat de gosse récompensé, tantôt il matait mes fesses entre lesquelles son dard s’affairait. De ses grosses pognes il me maintenait bien en position et me pistonnait de plus en plus fort, paluchant fesses, bas et jupette comme pour mieux profiter de son plaisir. Arc-boutée contre le lavabo, crispée et fesses tendues en arrière, je ne pouvais détacher mes yeux de ce visage de rustre qui me pinait gratos (ce devait être plutôt un habitué de l’amour payant).
Visiblement super excité par la femelle BCBG qu’il s’envoyait, le manant m’enfilait à fond et frénétiquement, devenant de plus en plus rouge. Ma jupette remontée sur mes fesses, ma culotte blanche écartée, mon cul tendu en arrière recevait les coups de sa pine avec plaisir. Sa bitte d’ailleurs était dure comme du fer et s’activait de plus en plus vite. J’adore recevoir une belle queue dans ma chatte en tendant mes fesses en arrière pour mieux sentir claquer les bourses sur la peau du haut de mes cuisses.
Dans un grognement guttural il déchargea en moi en m’écrasant contre le lavabo. Je crus que sa queue allait me transpercer. Je sentais les soubresauts de son dard qui se déversait en moi et m’emplissait d’une dose incroyable de foutre.

Dans un  » sflotch ” indécent il se retira, essuyant au passage son gland gluant dans la doublure de ma jupe, se rebraguetta en dix secondes et sortit des toilettes me laissant pantelante et enfoutrée.

J’étais prête pour aller au boulot!

Je me rajustais, quittais ces toilettes et regagnais la rue qui conduisait à mon bureau en titubant un peu… et en sentant le sperme se répandre en moi et dégouliner en haut de mes cuisses, alors que mon pied droit pataugeait encore dans celui du vieux.

*

Un autre matin, c’est dans le bus que je me suis  » préparée ” pour la journée. Le trajet de bus est certes plus long que celui du métro mais la disposition ou la clientèle ne permet pas toujours de fantaisies… mais ce matin-là!

J’étais assise dans une rangée latérale sur les sièges à une place; mais j’avais choisi celui qui, placé de profil et légèrement plus haut que les autres sur une roue, fait face aux gens du couloir central. Ce dernier était assez rempli mais, curieusement, il n’y avait que des hommes; seule une bonne femme se trouvait à quatre mètres mais elle ne pouvait m’apercevoir que par instants.

Ce jour-là je ne portais pas de bas (je n’en mets pas trop souvent pour ne pas attirer les soupçons de mon mari car je ne veux pas qu’il connaisse ces aventures qui sont mon secret du quotidien) mais j’avais un joli collant et une jupe assez courte avec des petites ballerines. Le siège, un peu plus haut que les autres, m’obligeait à remonter mes genoux en hissant mes mollets sur la pointe des pieds des ballerines argentées, pour avoir une position confortable. Du coup, ma jupette serrée paraissait encore plus courte car le tissu tendu remontait bien et mes cuisses étaient dévoilées pratiquement jusqu’au liseré du collant.

Devant moi, accroché à une main courante, un grand bonhomme assez strict en costard et imper me reluquait de temps en temps… puis de plus en plus souvent. Il faut dire qu’à sa droite -sur ma gauche donc- un boutonneux rougeaud au regard vicelard détaillait mes ballerines, mes mollets, mes cuisses et, par instants en faisant semblant de suivre les cahots du bus, venait plus à la verticale pour lorgner ostensiblement dans mon décolleté légèrement entrebaillé ou dans la vallée de mon entrecuisses. Peut-être apercevait-il de manière fugace mon slip noir?
En tout cas, je savais qu’il pouvait voir la dentelle, noire elle aussi bien sûr, de mon soutien-gorge balconnet qui laissait bien deviner mes globes laiteux à travers le tulle fin.

Le type strict – cinquante ans environ- me contemplait maintenant de plus en plus car il s’était bien rendu compte que je ne faisais rien pour décourager le gros salopard qui se payait de bons jetons. Je ne jetais que quelques brèves œillades vers le haut pour voir où ils en étaient mais j’évitais de les regarder vraiment pour mieux maîtriser la situation. A chaque arrêt le bus se remplissait et, comme la circulation était dense, le trajet allait être assez long pour me permettre de jouer avec ces types.

A la gauche du grand type qui me faisait face, deux autres mecs un peu plus jeunes discutaient sans s’intéresser à moi. La foule du bus poussa un peu plus mes deux mateurs vers moi. Le boutonneux rougeaud manqua même de me tomber dessus… en tout cas, sur ce coup il ne manqua pas de plonger son œil lubrique dans mon décolleté, sous le regard presque désapprobateur de l’autre, qui était vraiment tout près de moi: les pans de son imper touchaient mes genoux! Il contemplait mes cuisses avec insistance maintenant et, comme j’avais le visage à hauteur de sa ceinture, je pus me rendre compte qu’il commençait à bander sérieusement.

Peu à peu, je devenais obnubilée par cette pine dont je devinais les formes de plus en plus généreuses et je ne pouvais la quitter des yeux. Alors, pour mieux l’exciter, je laissais par moments mes cuisses s’entrouvrir légèrement pour qu’il puisse plonger jusqu’à mon slip. Cela fit de l’effet! La bitte gonflait dans le pantalon, je pouvais voir la forme de la tige horizontale qui tendait le tissu.
A trente centimètres de mon visage, le dard du type menaçait de trouer la toile du pantalon et se tendait vers moi. Un virage le rapprocha encore un peu plus et me fit devenir folle. Cette fois la queue -aidée probablement par la main du type à travers sa poche- commençait à se mettre à angle droit et je pus voir le tissu d’un slip bleu entre deux boutons de la braguette qui s’écartaient sous la poussée. Dans sa tête le mec devait s’imaginer qu’il me ramonait entre les cuisses. Cette position me plaisait beaucoup car, malgré les tissus qui séparaient nos deux sexes, je fantasmais aussi sur ce gros dard qui me transperçait.

Probablement que le type s’était rendu compte que j’admirais sa queue car il ne se laissa pas reculer et conserva la position que lui avait permis d’adopter le virage de tout à l’heure. Cela ne me déplaisait pas car, ainsi, le rougeaud était relégué au second plan, d’autant plus que l’imper du mec m’entourait encore plus.

Alors, je perçus que ce mec si digne tremblait légèrement. L’excitation montait. Bougeant légèrement, je laissais redescendre un de mes talons et dégageais un peu plus l’angle de vue en direction de mon mini-slip noir. Je savais qu’il le voyait. Cela m’émoustilla à bloc et je vis sa queue se tendre encore plus vers moi. Elle n’était plus qu’à vingt centimètres de mon visage! Les yeux attirés par son bas-ventre, je m’avançais imperceptiblement vers la tige bandée dans son pantalon presqu’à le toucher, pratiquement à l’entrée de l’ouverture de l’imperméable.

Il dut se rendre compte que cet imper nous cachait bien aux regards des autres voyageurs car, très légèrement, son bas-ventre avança en ma direction. Alors que je n’étais plus qu’à dix petits centimètres de cette queue, profitant d’un cahot, il s’avança brusquement et le tissu du pantalon tendu sur la pine vint heurter mon menton un instant. Le type attendit une réaction éventuellement négative… qui ne vint pas. Je me laissais faire et il put appuyer son engin vingt secondes environ contre mon visage.

Pratiquement enfouie dans son imper, je m’affolais et je sentis ma chatte couler d’excitation. Je devenais folle. Jusqu’où étais-je prête à aller ? Cette bitte à ma portée en ce lieu m’excitait.
Alors, sans réfléchir, je fis prestement sauter trois boutons de la braguette du type (ce fut très facile vu la poussée du gland) et, experte en maniement de bittes que je suis, je dégageais la belle tige dont le gland rouge foncé et humide dansa devant mes yeux.
La promesse entrevue à travers le tissu du pantalon était tenue: cette queue était vraiment grosse et harmonieuse, bien veinée avec un gland rond et totalement décalotté.

Subjuguée, j’ouvris la bouche et je l’engloutis aussitôt sans autre forme de procès. Je commençais à le pomper avidement et avec application, ma tête ayant complètement disparu entre les deux pans de son imper. Le dard déjà très gros enfla encore dans ma bouche. Creusant les joues, je le suçais avec un immense plaisir. Sans doute pour savourer sa victoire aux yeux du boutonneux rougeaud qui devait baver d’envie, le type se mit à caresser mes cheveux en accompagnant mes mouvements sur sa tige. Cela me plut beaucoup, ses doigts se promenaient dans mes boucles et se firent doux, alors que la bitte s’enfonçait tout au fond de ma gorge. Je renforçais la fellation en aspirant le gland et jouant de la langue, qui tournoyait sur le méat humide.

Le mec disjoncta. Je sentis ses mains saisir un peu plus fermement ma tête et, à un dernier coup de langue, il explosa. Ses bordées de foutre m’inondèrent et m’étouffèrent un peu. Mais la situation ne permettait pas que je me retire -de toute façon il me maintenait la tête- et j’avalais son foutre jusqu’à la dernière goutte.
Alors, il me relâcha; je me reculais et je vis les regards ébahis des deux types qui discutaient, puis celui très envieux du rougeaud. Sans que quiconque put esquisser le moindre geste, je me levais et, profitant de la surprise causée et d’un arrêt, je descendis du bus et m’éclipsais dans la foule de la rue.

*

Ce que j’aime bien aussi dans le bus, c’est masser une queue et les couilles d’un mec par-dessus son pantalon pour faire apparaître une méga bandaison, dont il n’arrive plus à se défaire à mon départ. Le regard ahuri du mec qui se fait palucher la bite, c’est vraiment enthousiasmant ! Je fais ‘ça’ vite fait, le gars n’en croit pas ses yeux, il ne sait plus où se mettre, où regarder. Parfois, je perçois son excitation qui monte et je pense que nombreux sont ceux qui déchargent dans leur slip sous mes caresses matinales. Je me régale d’être aussi coquine et … salope avec ces pauvres vicieux que je bats à leur propre jeu.

*
Ce que j’aime surtout, c’est plonger ma main dans un pantalon d’un type inconnu, partir à la recherche de la bite semi-bandée, caresser la hampe sur toute la longueur et masturber le gland avec le bout de mes doigts : là aussi, je provoque un effet de surprise génial. Certains me facilitent la tâche en rentrant le ventre pour que ma menotte soit à l’aise pour investir leur pantalon. Je me régale pendant cinq à dix minutes avec une queue sous la paume de ma main, avec le velours du gland que je sens s’humidifier. Selon mon humeur, soit je toise le mec avec un regard dur et conquérant, soit je regarde au loin dans le bus en le laissant ‘dialoguer’ avec ma pogne coquine.

Parfois, affolé, le mec m’interrompt pour ne pas exploser ici ; parfois au contraire, je retire ma main du futal avec les doigts poisseux de sperme, que je conserve le plus longtemps possible. D’autre fois, le mec m’encourage du regard pour le  » finir ” et me gratifie d’un sourire béat de remerciement ; je lis dans ses yeux une immense jouissance.

J’adore ces  » fugaceries ” cochonnes.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire