Sylviane – Amours de jeunesse, sexe et découvertes Partie 2
Je me suis rapidement intéressée aux garçons et ils ont de leur côté mis de la bonne volonté. Oh je sais bien qu’à Sadi Carnot mon collège j’avais vite la réputation de la fille pas farouche. Et c’était mérité. Je flirtais facilement avec les garçons. Et je le laissais facilement peloter. Et j’avais encore plus la main leste. Vers 14 ans j’étais encore vierge, cela n’allait pas durer mais vous verrez comme c’est arrivé plus tard. Par contre mes petits copains adoraient ma gentillesse. Je ne savais pas résister à une jolie queue. Déjà à cette époque. Mais surtout ils aimaient ma tendance à accepter rapidement de les soulager quand après une séance de baisers ils étaient bien durs.
On faisait çà un peu n’importe où. Joueuses et effrontées on s’amusait comme des folles avec une autre copine à satisfaire nos petits copains. Parfois déjà on se mettait à deux. On se trouvait un coin à l’abri des regards, à l’ombre du côté de la place de la Victoire et on vidait les couilles de nos copains. Je ne sais pas combien on jouit dans nos doigts et nous adorions çà. Parfois avec Claire à nous deux on les faisait venir nous relayant. Ou chacune le sien à faire un concours à celle qui irait le plus vite. Travail bâclé.. mais à même pas 15 ans. Petit à petit je devenais plus jeune fille et moins gamine et surtout plus sure de ma capacité à séduire. Ma poitrine et mes fesses rebondies étaient un appât pour les garçons. Et je commençais à intéresser les hommes de 18ans ou plus et aussi ceux de 40 ans.. Avec les garçons plus âgés pas question d’une branlette rapide, ils avaient envie de beaucoup plus. Je tenais à rester vierge surtout par peur que mes parents s’en rendent compte plutôt que pour moi. Pour satisfaire mes copains j’avais adopté une technique toute simple.. sur les conseils de mes amants plus âgés. Pas question de prendre mon minou, mais je les laissait jouer avec mon cul. Ma première pénétration fut donc anale. Il avait 17 ans et dans les ombres des arbres place de la Victoire il m’a défoncé mon petit cul.
Mais un jour mon copain de l’époque, me demanda une pipe. Je ne rechignais pas à le faire mais jusque là j’avais toujours fait gicler les garçons en les branlant. Mais Thierry voulait que je lui fasse une vraie pipe et que je le laisse venir dans ma bouche. Claire elle était catégorique, il ne faut pas le faire c’est dégueulasse. Moi j’étais curieuse et tentée. Quelques jours plus tard, j’entraînais Thierry dans les ombres de la place, il était tard 10h00 mais il y avait beaucoup de monde. Il s’installa contre un arbre, et je m’agenouillais devant lui. J’allais moi même chercher son sexe dans son short que j’ouvrais et laissais tomber sur ses cuisses. Thierry était un des garçons les mieux pourvus que j’avais rencontré jusque là. Mes mains avaient mise en émoi la bête qui sommeillait. Son sexe se déployait, se tendait sous mes caresses. Oh j’étais bien maladroite encore mais de toutes mes copines on disait que j’étais la plus douée. En résumée j’étais un peu la salope de service et les garçons se pressaient espérant quelques faveurs de ma part.
Thierry appréciait ma façon de m’occuper de lui. Rapidement son sexe fut dressé, bien dur. Mes deux mains ne suffisaient pas à couvrir la longueur de son sexe, ce n’est qu’avec 3 voir 4 mais que j’aurais pu le prendre totalement en main. Mais là ma bouche allait faire le reste. Thierry était circoncis, son gland rose tranchait sur la peau noire de sa tige. Je léchais lentement tout autour du gland, il frissonnait. Puis lentement je prenais la bête dans ma bouche. J’aimais çà et je prenais plaisir à sentir mes jeunes amants frémir sous mes caresses. Depuis petite je savais quel pouvoir détenaient les femmes. Je salivais abondamment sur la queue de Thierry , ma bouche glissait facilement. Il avait posé ses mains sur ma nuque. Il ne forçait pas tout au plus donnait une cadence.
Il avançait de plus en plus son pubis, et j’avalais la queue de plus en plus profondément.
J’étais excitée, je sentais ma culotte se mouiller. Oui j’étais comme çà. Je ne suis pas devenue une salope, je l’ai toujours été. En fait j’ai toujours eu besoin de sexe, de jouissances pour garder un équilibre.
Ma bouche avalait cette queue tendue avec délice. Je sentais les tressaillement, les petits soubresauts de son sexe. Une de mes mains caressait ses couilles, les pressant doucement, je n’avais pas encore pris conscience que les hommes aiment aussi des caresses moins douces. Claire nous regardait, j’avais vu du coin de l’œil que parfois sa main s’égarait le long de ses cuisses. La cochonne se touchait. Thierry gémissait doucement. Sa bite durcissait encore plus sous mes coups le langue. Maintenant il donnait de petits coups de reins. Il m’encourageait de petits « oui vas-y » . Cette fois on était prêts de la conclusions. Sa queue vibrait dans ma bouche, elle palpitait comme si la vie s’éveillait en elle. Je cessais un instant de le pomper, tenant son sexe dans mes doigts je contemplait mon œuvre. Thierry donnait ses petits coups de reins, baisant ma main . Je happais à nouveau le gland dans ma bouche allant même très loin jusqu’à ma gorge. J’eus un petit haut le cœur, rien de grave. Encore une fois je tentais de prendre la queue plus loin j’adorais la sensation de cette chair brûlante et palpitante qui tentait d’investir totalement ma bouche et ma gorge. Je me sentais vivante et surtout grande..
Maintenant c’était imminent. J’avais assez branlé de garçons pour savoir que le déluge était sur le point d’arriver. Mais jamais aucun n’avais eu le plaisir de gicler dans ma bouche. J’étais tendue, un peu inquiète je m’appliquais, j’essayais de sentir le moment exact où il allait jouir. Mais je sentis soudain son sexe gonfler, ses couilles se serrer contre la base de son engin. Ses mains se crispaient sur ma nuque.. Et là une longue giclée emplis ma bouche frappant mon palais, puis entraînée par mon élan la queue pénétra plus loin glissant sur le sperme qui inondait déjà ma bouche. Une autre giclé s’écrasa au fond de ma gorge. C’était épais chaud, visqueux le goût était assez agréable, mais l’abondance surprenante. Une autre giclée encombrait ma bouche, maintenant le sperme m’empêchait de respirer. Thierry grognait son plaisir. Malgré la situation inconfortable je mouillais ma culotte plus encore. Mais une autre giclée fut fatale abondante et puissante elle obstrua ma gorge, le sperme remontant par mes narines.. Je me débattais, m’échappais de l’emprise des mains de Thierry .. Le sperme coulais dans ma gorge maintenant, et un haut le cœur, puis un autre.. brutalement je me mis à vomir sur le gravier, le sperme coulant par les narines. J’étais presque à 4 pattes.. puis je ne pu retenir ce qui était dans mon estomac je vomissais pour de bon.. humiliée de faire çà devant Thierry et Claire.
Je m’essuyais le visage, prenait mon sac et m’enfuyais en pleurant. J’étais honteuse de ne pas avoir pu faire çà. Cela ternissait mon image de nana sexy et plus délurée que les autres. Je n’étais qu’une gamine et ils allaient s’en rendre compte. Orgueil d’ado ..
Heureusement Thierry était un garçon sympa. Claire et lui me ratt****nt bien vite. Ils me consolaient, me disaient que ce n’était rien, pas grave. Thierry me dit qu’il avait oublié de me prévenir que c’était sa faute. Pour la peine je me laissais faire, il me prit comme une petite chienne à quatre patte et par derrière.. Et Claire qui nous avait observé toute la soirée en se caressant à la dérobée, lui offrit son minou car elle n’était plus vierge. Et cette fois j’ai pris du plaisir en les regardant.
Et ma virginité….
J’avais 15 ans. Et j’avais un peu fouillé les affaires de ma mère. J’y avais déniché un vibromasseur tout bête. Vous savez blanc en pastique, ça vibrait, rien a voir avec les petites merveilles actuelles. Mes parents étant absents pour le week-end, j’avais fouiné dans leur armoire, c’est idiot mais qui ne l’a pas fait. J’ai trouvé des tas de choses, des polaroids d’elle et de papa dans des poses oh choquantes.. En fait ça m’a rapproché de ma mère j’ai compris qu’elle aussi avait des envies des désirs qu’elle était comme moi du moins que j’étais comme elle. Mais la prise majeure de cette fouille c’était ce vibromasseur. Que je m’empressais d’emmener dans ma chambre. Toute émoustillée. Rapidement j’étais sur mon lit, nue en face de la glace de mon armoire, oui j’adore me regarder quand je me masturbe. Et là je commençais par me caresser, mon sexe était déjà humide de mes trouvailles, voir ma mère nue, en train de sucer papa, la voir avec ce vibro dans le minou cet objet que j’avais dans la main. Rapidement les lèvres de ma chatte s’ouvraient mon bouton pointait son nez. Je mis en route le vibro, tournant le fond de l’engin je le fit vibrer. Et je me caressais le sexe avec. Oh que c’était bon.. nouveau et excitant. Peut être que l’excitation venait de l’image de ma mère avec cet engin entre les cuisses. Je promenais l’ogive entre mes lèvres, c’était bon de sentir tout mon sexe vibrer, le plaisir se propageait comme une onde sur l’eau. Je poussais un cri quand il toucha mon clitoris tendu. Avec ma main je dégageais mon clito tout dur, et je promenais le bout de l’engin autour, sans le toucher. De temps en temps je posais le bout directement sur le bouton turgescent. Éblouissement, coup de jus, c’était immense chaque fois je mouillais plus.. Le vibro m’ensorcelait. J’étais dans un état d’excitation que je n’avais jamais connu. Je posais le bout entre mes lèvres, faisant attention de ne pas forcer la vibration était intense parcourant mon ventre. Mes hanches c’étaient animé de se mouvement lascif qui appelle la pénétration. Mes seins aux bouts tendus , mon sexe rose ruisselant tout cela m’excitait, je me voyais dans la glace, femelle offerte prête à prendre du plaisir. Cela dura très longtemps, un premier orgasme me foudroya, sensation de relâchement de cette tension accumulée pendant la lente montée.. frissons tremblements tout ce qui fait que nous aimons çà. Mais au lieu de sagement arrêter, étant seule, je me laissais aller à continuer. Mes lèvres étaient trempées et gonflées de désir encore. Ma langue avait léché le vibro. j’avais goûté mes sucs intimes et j’avais beaucoup aimé. Je repassais le vibro entre mes lèvres. C’était encore plus fort qu’avant mon premier orgasme. Je taquinais le bouton de plus en plus gonflé de sève. Mes lèvres collaient au plastique que je trempais encore plus. Je perdais pied, mon corps tendu vers une nouvelle jouissance. J’étais une petite femelle qui se donnait du plaisir à corps perdu, une gamine perverse (déjà) qui voulais faire comme les grandes. Toute a mon excitation, je ne me rendais pas compte de ce que j’allais faire. Mon désir inconscient fut plus fort que mon esprit et au sommet d’une vague d’excitation plus forte, ma main poussa légèrement l’ogive, inconsciente et trompée par mon excitation, le vibro entra dans mon sexe. Ce fut une explosion de plaisir, la vibration jusque là cantonnée à l’extérieur de moi elle était en moi. Je criais mon plaisir, je jouissais comme jamais je n’avais jouis avant. Tendue comme un arc appuyé sur mes épaules je me cambrais avant de retomber sur le lit tremblante les cuisses largement écartées. Le plaisir commença à s’estomper et là vision d’horreur je vis le vibro qui portait des traces rouges, mon sexe me parut largement ouvert, vision que je n’avais encore jamais eu.. Et je compris seulement à cet instant que je n’étais plus vierge. J’avais peu saigné mais suffisamment pour faire une tache sur mes draps. Douleur ? Aucune je n’ai rien senti sinon un plaisir intense. Je restais interdite, déboussolée.. Dans ma tête tout se bousculait. Qu’allais je raconter, maman serait elle au courant. Cette fameuse virginité c’était terminé. J’étais une fille qui était perdue, j’allais devenir une moins que rien, pas de mari enfin tout ce que l’esprit chamboulé d’une gamine peut inventer.
Mais il me restait dans la tête le plaisir que j’avais eu, et petit à petit je minimisais la perte de ma fleur. Un peu plus tard, j’avouais à ma mère que je n’étais plus vierge. Sa seule réaction fut de me demander si on avait utilisé un préservatif, chose que je faisais déjà quand je laissais mes copains me prendre par l’autre côté. En fin de compte .. je pensais qu’on allait me mettre en accusation, me bannir, m’abandonner on ne sait pas.. Mais non ..
Maman a bien pris la chose.
Mais je ne lui ai pas dit que c’était son vibromasseur à elle qui m’avait dépucelée.
Sylviane.
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