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L’avocat des cocus

L’avocat des cocus



Quelques temps plutôt : « Attendu que les faits sont avéré, attendu que vous avez reconnu les faits, attendu que vous avez été pris, vous et votre amant, en flagrant du lit d’adultère non autorisé, je vous condamne à un an de privation de liberté dans la prison du ministère des relations sexuelles. En outre, vous êtes condamnées à dix séances de flagellation sévère et de supplices divers que votre époux légitime aura soin de vous administré. La séance est levée. »

Je me suis levé à quatre heures du matin et je me dirige vers l’une des prisons dépendant du ministère des relations sexuelles. Je vais y voir ma femme subir sa peine. Non pas qu’elle va être exécutée, mais fouettée. Je montre mon passe à la gardienne qui me conduit au troisième sous-sol. On m’y attend, le juge d’application de peines est présent. Il m’invite à m’assoir, une condamnée entre en portant un plateau avec un déjeuner complet. Elle est comme ma femme, une condamnée et porte, à cet effet, de lourdes chaines qui entravent ses membres. À genou, elle tend le plateau, elle ne bougera pas pendant que je vais déjeuner. Devant moi, l’estrade, des chaines descendent du plafond, sur un côté, tout une panoplie d’instruments servant à faire mal à très mal. La raison de la condamnation de ma femme, cocufiage sans mon autorisation. Par trois fois, elle m’a fait cocue avec deux hommes différents. Si l’un d’entre eux a été arrêté en flagrant du lit, l’autre est passé entre les mailles du filet. Cet homme, celui arrêté, il est là lui aussi, condamné à la même peine. La femme à genou, mon déjeuner terminé, ramène le plateau et revient quelques instants après, se mettre à mes pieds, bien en face de moi.

Sur l’estrade, on amène ma femme, les yeux bandé, la bouche muselée. Elle ne porte qu’une sorte de longue chemise sur le corps. Très vite, ses bourreaux écartent ses bras pendant qu’une troisième lui arrache sa chemise. Le juge se lève, s’approche d’elle, un document à la main.

– Madame, vous avez été condamnée à dix séances de supplices. En outre, votre époux nous a demandé à ce que vous soyez annelée entièrement. Accepté-vous la sentence du tribunal et avez-vous quelque chose à dire avant de recevoir les cent premiers coups de fouet ?

– J’accepte la sentence et je n’ai rien à ajouter, monsieur le juge.

– Greffier, prenez note que la condamnée accepte sa peine. Monsieur, voulez-vous fouetter votre épouse ?

– Pas cette fois, la prochaine, celle avec son amant.

– C’est entendu. Bourreaux, exécution de la première punition, niveau dix sur dix.

La femme à mes pieds, sur un geste de la gardienne, ouvre mon pantalon, sort mon sexe encore au repose et se met à le sucer. Sur l’estrade, toujours aveuglée mais dépourvue de bâillon, ma femme sent encore ses pieds attachés en étant écartelé de chaque côté de l’estrade. C’est encore une femme qui va officier, elle est en train de choisir l’instrument, une chambrière. Selon le règlement, elle a le droit de choisir avec quoi elle veut fustiger les ou les condamnées à tout moment. Je me cale bien dans mon fauteuil, cette prisonnière semble savoir ce qu’elle fait quand elle soulève mes jambes pour plonger sa langue dans mon cul. Près de moi, le juge se fait, lui aussi, sucer, mais par un jeune homme. Le juge m’apprend que cet homme doit purger une peine de cinq ans durant lesquels il devra sucer et boire tout ce qui sort des sexes qu’on lui présente en plus de ses séances de flagellation.

Et puis, le premier coup de chambrière s’abat sur le dos de ma femme adultère. Il est violent et ma femme hurle. Le bourreau connait son métier, elle laisse toujours quelques instants entre chaque coup asséné. Si au début, de voir ma femme souffrir me fait froid dans le dos, après une bonne demi-heure, je jouis dans la bouche de cette prisonnière. La punition, la première d’une belle et longue série, prend fin. Détachée, ma femme à le toupet de se retourner vers moi afin d’implorer ma pitié. Peine perdue, j’ai déjà quitté la salle avec le juge.

J’ai juste le temps de me rendre à mon travail. Derrière mon bureau, je reçois un mail de la prison, le film intégral de la punition de ma femme depuis son levé à son retour dans sa cellule. Je l’avoue, de voir ma femme souffrir après ce qu’elle m’a fait dans mon dos, m’oblige à me branler très lentement. Juste après avoir jouit, on frappe à la porte de mon bureau. J’ai juste le temps d’arrêter la vidéo et de remettre mon pénis à sa place.

– Entrez !

– Bonjour, je suis Élisabeth, je suis envoyée par le ministère des relations sexuelles pour remplacer votre épouse tout le temps de sa peine.

J’avais reçu un courrier dans ce sens, mais de là à voir débarquer cette jeune femme dans mon bureau… Bref, la demoiselle s’assoit en face de moi sur mon invitation. Elle m’explique ce que je suis en droit d’attendre en guise de dédommagement et ce n’est pas rien, car je peux tout exiger de cette femme ou presque. J’ai eu une collègue qui, après la condamnation de son mari à vingt ans pour avoir cocufié et mis en ceinte deux femmes. En plus, il ne voulait pas reconnaitre qu’il était le père alors que les preuves ADN lui disaient exactement le contraire. Ma collègue a eu le choix, avoir l’homme de son choix et divorcer de son mari ou en prendre deux pour la période de la peine de son mari. Bien évidemment, elle a pris les deux mecs et elle ne s’en plaint pas puisque elle a fait de son époux son esclave à vie avec tout ce que cela comporte.

Faut dire que depuis le changement de régime de l’année 2341, on est plus libre, sexuellement parlant. Pour commencer, la majorité, elle a été abaissée à seize pour tous, qu’elle soit sexuel, politique. Personnellement, j’ai connu ma femme le jour de mon seizième anniversaire et nous nous sommes mariés le jour de ses seize ans. Nos vingt première années d’union ont été sans un nuage, l’amour fou. Et puis, elle a commencé à changer. Refusant, pour commencer, de continuer de faire l’amour en dehors de l’appartement. Puis, c’est au club qu’elle ne voulait plus aller. J’ai cherché autre chose, du neuf, du nouveau, du surprenant, rien à faire, elle se renfermait dès que j’abordais le sujet du sexe. Et j’ai compris quand une policière est venu me trouver au bureau pour m’annoncer qu’elle avait été surprise dans notre lit avec cet homme. Enfin, demain, il subira sa première séance de supplices, la première des vingt à venir, sans oublié qu’il purgera encore deux ans de privation de liberté.

Bon, j’ai cette jeune femme en face de moi, je ne vais pas rester là, les bras croisés, quand même. J’ai encore cette raideur entre mes cuisses, j’invite cette jeune fonctionnaire du ministère des relations sexuelles à se glisser sous mon bureau et à me sucer. Du coup, je me mets à bosser un peu enfin, tant que je peux encore.

La jeune femme se montre très adroite, quand je lui demande à s’empaler sur ma queue, celle n’hésite pas. Punaise, elle me dit que je suis sa première mission. C’est vrai qu’elle particulièrement étroite. Sur le fiche du ministère, il est écrit qu’elle a dix-huit ans, adepte de tous les jeux sexuels possibles et inimaginables. Ce à quoi, je lui demande si elle est une disciple du fétichisme. Son sourire fait plaisir à voir et son baiser me laisse entrevoir de grande chose entre nous deux. Dans le pire des cas, je tâcherai de l’acheter au ministre. Alors, je m’amuse, pinçant un sein de la belle, je l’étire en fixant ses yeux marron. La belle se mordille lèvre inférieure. Elle va jouir quand je ne pince plus ce mamelon pour mieux le mordiller. Elle jouit sans se retenir, lâchant une très longue onomatopée. Plus nous baisons, plus je sens une grande affinité entre nous deux. Dans le creux de mon oreilles, elle confirme ses gouts pour le fétichisme, ajoutant qu’elle aimerait beaucoup être fessée, nue et en public. Voilà une idée particulièrement plaisante. En la regardant sur le point de jouir à nouveau, je sens que je vais lui donner tout ce qu’elle demande, lui faire vivre tous ses fantasme.

Quand cette secrétaire pénètre dans mon bureau sans frapper, c’est une volée de bois vert qu’elle prend. Je lui inflige dix minutes à genoux, sa jupe coincée dans ses dents, mains sur la tête. Elle ne peut plus que nous regarder baiser quand je couche ce superbe fonctionnaire sur mon bureau pour la retrousser encore et encore. Je jouis sur le visage et la poitrine de cette secrétaire indélicate. Elle aussi fut condamnée pour adultère sans le consentement de son époux. En plus de sa peine de prison, elle est condamnée à servir dans ma firme pendant les deux ans à venir. Servir, cela signifie qu’elle doit se plier à toutes les demandes. La quarantaine, elle a su rester jolie malgré dix ans de prison. Je lui donne ma queue à nettoyer pendant que la petite fonctionnaire se fait branler de mes mains. Une fois ces plaisirs pris, en compagnie de cette jeune fonctionnaire, nous rentrons. Demain, elle m’accompagne pour assister au supplice de l’amant de ma femme. J’ai omis une précision me concernant, je suis un avocat à la tête d’un grand bureau. Cette secrétaire, je l’ai défendue uniquement à mon profit, l’avoir près de moi pour la baiser quand bon me chante et en toute liberté car telle est la loi.

Dans ma maison, deux hommes me servent fidèlement. À moitié nu, ils sont néanmoins castrés. Je leur ordonne de laver cette fonctionnaire. Pendant ce temps, cette domestique, une femme libre, elle, me sert mon souper. Sous la douche, Élisabeth me hurle des remerciements à tour de bras. Mes hommes la font jouir de leur bouche, de leurs mains. Quand elle me rejoint, à table, c’est pour m’embrasser goulument. Un baiser vrai, sincère et de la voir s’assoir sur mes cuisses, c’est la meilleur récompense que je pouvais espérer. Nue, elle est des plus appétissantes. Dans sa bouche, je verse une bonne rasade de cet excellent château Pétrus de 1955. La belle semble apprécier mes attentions à son égard, déjà, sa main masse ma poitrine.

– Monsieur le ministre m’a dit de vous que vous appréciez les femmes ouvertes à tout !

– Le sacripant, il a dit ça. Où as-tu été formée ?

– Depuis ma majorité, à l’institut national des relations sexuelles.

– Que t’as-t-on apprit ?

– Tout, donner comme recevoir.

– Et recevoir quoi en particulier ?

– Tout ce qui peut me faire jouir.

– Oh, pas que la simple fessée alors ?

– Non, Monsieur, une fessée, c’est juste une mise en bouche.

– Là, tu me plais. Dis-moi, si, je devais t’acheter, quel serait ton prix !

– Monsieur, cela ne fait que quelques heures que je vous connais, laissez-moi quelques jours et je vous dirai mon prix.

Du coup, je l’embarque dans mes bras, direction ma chambre. Là, une petite pression sur mon bouton rouge et en avant la musique, les caméras filment tout, les micros enregistrent tout et ma petite est chaude à souhait. Son corps est plus souple qu’une cordelette, c’est beau la génétique. J’adore voir son corps se tordre dans tous les sens, même impossibles. La voilà appuyée sur ses avant-bras pendant que je navigue entre son délicieux petit cul et son sexe détrempé. Elle jouit, c’est un régal pour ma queue. Je me vide sans me fatiguer, c’est merveilleux la génétique. Elle parvient même à me lécher ma queue pendant que je la possède, c’est fantastique la génétique. Ce n’est qu’au moment de nous rendre à la prison que nous arrêtons.

La prison, les gardiennes, de pures peaux de vache, nous accueillent tout sourire. Entre nous, je ne voudrais pas avoir à faire à elles quand elles sont énervées. La moindre hésitation à un ordre donné et c’est avec une pluie de coups de cravache qu’elles règlent le cas. Dans la salle, je retrouve ma chaise et ma petite fonctionnaire s’assoit sur mes genoux. Sur l’estrade, on amène le malhonnête. Le pauvre, il s’est déjà fait quelque peu éduqué par ses jolies gardiennes. On le suspend par ses mains. Là, le juge fait son entrée au bras d’une poupée magnifique. Près de moi, pendant que nous prenons un déjeuner royal présenté par des condamnées, il m’explique ce que les gardiennes ont programmé pour mon indélicat voleur de femme. J’avoue que le programme est copieux. Sur l’estrade, un chat à neuf queues échauffe les délicates fesses de notre (ami).

Une bonne vingtaine de coups plus tard, les fesses en feux, le pauvre homme n’a presque plus de voix pour crier. Ce n’est rien de plus qu’une lopette de première. Sur sa bite, après un ou deux coups de langue, c’est une lourde pince avec, en son extrémité, un joli poids d’un kilo. C’est la dernière fois que nous l’entendons braire comme un porc, il perd connaissance.

On le réanime par quelques bonnes baffes avant que je le rejoigne sur scène. Sur ses tétons, ce sont de petites aiguilles. Il me fixe, l’air complètement ahurit. Il voudrait crier, mais rien ne sort quand je lui tords ses aiguilles. Dans son cul, une des gardiennes lui enfonce un monumental gode. Sur sa bite, je me délecte en la frappant d’une étroite planchette de bois brute. Il se voit même gratifier d’une écharde sur son gland. Enfin, cerise sur le gâteau, une gardienne arrive avec un grand pot remplit d’orties, de ronces fraichement cueillies. Deux autres la rejoignent avec de grosses bougies. Sur le corps de supplicié, la cire coule, on le frotte avec les orties avant de le flageller avec les ronces. Cette fois, il a son compte. Le juge estime que cela suffit pour une première fois.

Ma petite Élisabeth n’est jamais très loin de moi. Me fixant, elle m’avoue avoir joui en me voyant opérer. Devant ce crétin, je fais l’amour à cette jeune fonctionnaire. Il y a même une gardienne qui se joint à nous avant que le juge des peines et sa petite ne viennent s’ajouter à nous trois.

– Tu vois, mon gars, à cause de toi, on prend notre pied.

– Monsieur devrait le faire enculer par tous les prisonniers mâles de la prison, la prochaine fois.

– Gardienne Lafarge, voilà quelque chose que je ne veux surtout pas manquer. Ajoute le juge.

Élisabeth n’a peur de rien quand sa tête se glisse entre les cuisses de la gardienne, cette femme tellement musclée. Elle me donne même son cul à remplir alors que ma bouche lèche la petite compagne du juge. Après avoir bien joui, je me relève en invitant la gardienne Lafarge à me sucer pendant que je gifle cet individu au corps recouvert de ses souffrances. Un dernier coup de poing dans son estomac et je donne le signal du départ à ma petite fonctionnaire.

En ville, je nous offre un repas à la hauteur des prouesses de cette jeune femme. En plein milieu du repas, elle se lève, vient se positionner près de moi, me tourne le dos, se penche en relavant sa jupe. Sur son cul nu, au rouge à lèvre, elle a marqué : « FESSEZ-MOI » bien en grand. Je pousse la table, soulève ma petite fonctionnaire et la fesse comme on fesse une sale gamine. La belle ne se retient pas, gloussant et vibrant de tout son être. Autour de nous, personne ne fait attention à notre manège. C’est quand j’enfonce ma queue dans son sexe si délicieusement étroit qu’elle jouit en hurlant son bonheur.

– Je crois connaitre le montant de ma personne. Je ne crois pas que le ministre sera contre ce prix.

– Oh et à combien tu t’estimes ?

– Je vous le dirai dès que vous m’aurez promenée dans la ville…

– Nue et en laisse par exemple ?

– Comment ne pas faire autrement.

J’ai payé la note. Cela dit, je n’ai pas sorti ma carte pour payer, c’est Élisabeth qui s’est offert au personnel en guise de payement. Ensuite, dans une petite a****lerie, j’ai fait l’acquisition d’une laisse et de son collier. En sortant, sur mon invitation, en plein milieu d’une foule presque compacte, Élisabeth s’est dénudée avant de se mettre à quatre pattes pour regagner mon domicile. Sur un banc, dans un parc, sans aucune gêne, à mes pieds, elle se branle d’une main pendant que l’autre, en compagnie de sa bouche me branle.

Une semaine plus tard, nous nous retrouvons dans cette salle du troisième sous-sol de la prison du ministère de l’éducation sexuelle. Devant nous, suspendue par ses pieds écartés au maximum, ma femme. Devant son visage, je retire le bandeau. Juste en face de d’elle, Élisabeth accroupie se branle en se moquant de ma femme. Sur le sexe de ma condamnée de femme, j’enfonce une bougie, l’allume et regarde couler la cire. Certes, ce n’est pas un supplice particulièrement méchant mais j’ai décidé de suivre le programme des gardiennes. Je vais y aller crescendo. Après son sexe, c’est sur la poitrine de ma femme, sa fierté, que je pose de belles et grosses pinces. Cette fois, elle grimace, serrant les dents pour ne pas hurler la douleur qui électrise ses seins majestueux. Plus la séance avance, plus le supplice devient douloureux. Je bande de voir ma femme souffrir ainsi. Ma petite fonctionnaire me suce, me lèche mon fion. Une longue aiguille en main, je transperce les seins de mon épouse indélicate sans prendre de gant. Elle hurle, et plus elle hurle plus je bande dur. Je finis par longuement jouir, c’est si violent que je me retrouve à terre, sans plus aucune force. Les gardiennes s’appliquent à me relever pour m’assoir sur une romaine. Elles prennent le relais sur ma femme. L’une d’entre elle lui enfile des chaussures. Elle me les a montrées un peu avant, dans la semelle, au moyen d’une petite télécommande, on peut faire sortir de petites pointes particulièrement acérées. Je bande toujours aussi dur. Le cul de ma fonctionnaire en fait les frais, je le pénètre d’un coup sec, sans aucune préparation. Elle pousse un court hurlement de douleur avant de me fixer tout sourire. Quant à ma femme, ses nouvelles chaussures ne semblent guère lui plaire. Une autre gardienne plante des supports de bougie sur les seins de cette malfaisante qui hurle encore. Puis, sans faire attention aux cris de douleur de la condamnée, elle y installe de longues bougies qu’elle allume aussitôt. Enfin, on la délivre de l’estrade. Menottée, on me l’amène. Debout, face à cette indélicate, je la gifle et lui crache au visage. Sur ma queue, ma fonctionnaire hurle son plaisir et moi le mien quand je me répands dans ce cul si délicieusement étroit. La séance se termine par un léchage de queue de ma femme. Elle a un bref mouvement de dégout quand elle sent l’odeur du cul de ma fonctionnaire. Le lourd martinet de la gardienne en chef à tôt fait de remettre ma femme à sa place de prisonnière. Maintenant, elle ne pourra plus jamais refuser de lécher mon cul quand je sortirai des toilettes.

De retour à l’étude, nouveau dossier, une femme cocue veut que je fasse tout pour condamner son mari aux travaux forcés. Voilà qui n’est pas pour me déplaire, les travaux forcés consistent à travailler dans un bordel. Autant dire, que si le juge me suit, cet homme va en avoir plein le cul avant même la fin de sa première journée. Ma secrétaire très particulière fait entrer cette cliente. Assise, je lui propose immédiatement quelque chose afin qu’elle reste calme pendant qu’elle va m’exposer son cas. Ma secrétaire met tout en œuvre pour détendre ma cliente, sa tête entre ses cuisses. Très vite, entièrement sous l’emprise de ma secrétaire, ma cliente devient loquace. Elle me raconte tout, depuis sa rencontre avec son futur mari à ce triste évènement. Au moment de jouir, elle me crie qu’elle veut voir son mari souffrir le restant de sa vie. Une fois calmée de son orgasme je lui propose de faire de son époux, ni plus ni moins que son jouet, sa chose. Elle me regarde, encore sous le coup de son orgasme, un sourire légèrement idiot illuminant son visage. Puis, toussant un bon coup, elle retire une chaussure, pose son pied sur la bouche de ma secrétaire pour me dire qu’elle désire que son homme, son ex-mari devienne pire qu’une carpette. Là, faut reconnaitre, elle me plait.

Vient le moment de parler de mes honoraires. C’est que dans ce genre de procédure, y un cout et il est élevé même si j’ai toutes les preuves en main, ce qui est justement le cas. Ma cliente me fait un rapide topo de sa fortune, il va sans dire que tout ce que son mari rapportera durant sa peine me sera entièrement reversé. Calcul fait, il manque encore une infime partie de la somme à débourser, une paille, tout juste un tiers. Oui, je ne fais pas de cadeau, il faut bien que je paie mon train de vie plutôt luxueux. Alors, regardant ma secrétaire très particulière lécher son pied, elle la repousse violement, glisse sous mon bureau et se met à imiter ma secrétaire en me déchaussant. À ce tarif, je lui annonce que si c’est durant tous ses moments libres, ce dernier tiers sera payé en trois mois. Elle se redresse, ouvre mon pantalon en m’annonçant tout de go que la chose est entendue. Aussi, avant que ma bite disparaisse dans sa bouche, je lui fais lire mon contrat type, il spécifie que la personne qui accepte de me payer en nature doit aussi accepter toutes mes perversités sans aucune exception. Tout refus de l’une ou l’autre de mes perversités entrainera obligatoirement une prolongation du dit contrat. Hé, je ne suis pas fou au point de me priver de femme prête à tout pour voir leur mari en tôle.

Après avoir signé mon formulaire et contrat, elle reprend sa fellation pendant que ma secrétaire, sur mon ordre, enfonce un large gode dans le sexe béant de ma cliente. Cette salope de secrétaire en profite pour lui lécher le cul en profondeur. Cela dit, ma cliente ne semble pas être offusquée par cela. C’est alors qu’arrive l’envoyée du ministère, celle qui remplace mon épouse. Elle me tend une lettre du juge d’application des peines qui affirme que ma femme ayant refusé à plusieurs reprises d’obéir voit sa peine doublée. Dans les faits, elle devra être mon esclave deux fois plus longtemps. En plus, il me demande si six mois fermes serait pour me déplaire. Un rapide coup de téléphone pour lui annoncer qu’il a mon consentement et l’affaire est bouclée. Entre mes cuisses, ma cliente a tout entendu et son pouce levé me fait comprendre qu’elle approuve mon geste.

Une idée germe dans mon esprit au sujet du mari de ma cliente, pourquoi ne pas le faire condamné à perpétuité à servir une de ces tribus dites de sauvage qui vivent autour de notre cité. Ainsi, la tribu qui hériterait de cet homme pourrait en jouir avant de s’en servir de bête de somme. Ainsi, si je joue bien ma combine, ma cliente deviendrait de facto ma nouvelle compagne. Pour cela, il me suffit de lui faire comprendre qu’elle fut, bien malgré elle, complice de son époux dans ses cocufiages. J’éjacule dans cette bouche, att**** ma secrétaire et vidange ma vessie dans sa bouche concupiscente, le tout devant le visage maculé de sperme de ma cliente. Alors, j’explique à ma cliente mon idée en omettant volontairement de lui dire qu’elle sera aussi condamnée et que je ferais commuer sa peine de prison en peine de service à domicile, donc à mon service. Je sais, dans mon genre, je peux être une véritable pute. Mais que voulez-vous, quand une femme me plait, j’ai tout ce qu’il me faut pour en faire mon jouet dans ce livre, la loi. Prenez l’exemple de ma femme, c’est moi qui l’ai poussée dans les bras de ces hommes. Il y a juste eu un os, je n’avais pas signé l’autorisation. Un petit oubli de ma part ? Non, un parfait calcul de mon cerveau tordu et l’aide précieuse de mon pote, le juge suprême. Je n’oublie mon ami, le juge d’application des peines, ni celle de la gardienne en chef de cette prison, Mademoiselle Lafarge. Celle-ci, c’est une sadique et une salope de première, j’adore quand elle s’occupe personnellement des clients que je lui envoie. Faut bien prendre son pied avec ce que la loi nous donne, non ?

Ma cliente accepte, je vois le sourire légèrement moqueur de ma fonctionnaire ministérielle. Elle sait que cette femme va devoir me servir gratuitement pendant un temps donné, disons six mois à une année, maximum. J’avoue que malgré ses rondeurs, elle n’en reste pas moins désirable. Aussi, avec l’aide de ma fonctionnaire dont je ne sais toujours pas le prix, nous couchons ma cliente sur la table de conférence pour la baiser à deux. Je découvre une vicieuse, une salope même. Elle aime le sexe et elle le démontre en broutant la chatte de ma petite fonctionnaire comme une gourmande alors que je vais et viens entre ses cuisses épaisses. Pire que tout, quand je lui mordille ses tétons presque méchamment, elle gémit de bonheur en appuyant mon visage sur sa lourde et volumineuse poitrine. Cette garce, eh bien, ça ne m’étonnerait pas le moins du monde qu’elle ait monté cette affaire de toute pièce. Aussi, je veux en avoir le cœur net, parce que si c’est le cas, elle va devoir payer et par seulement un an, mais deux voir le double si je m’y prends bien. J’en connais un qui ne serait pas mécontent d’avoir cette femme et d’en profiter un max, mon frère, un agriculteur et mérite et aussi un fieffé baiseur.

Du coup, je change de méthode, je passe de l’avocat prévenant à celui de procureur sadique. Il ne faut guère de temps pour lui faire avouer ce que j’avais deviné. Là, tout change, non seulement son mari va partir dans une tribu de « sauvage », mais cette femme, je vais tout faire pour qu’elle soit condamnée au maximum et chez mon frangin.

Le jour du jugement, mon pote, le juge suprême la condamne comme nous nous étions entendus. Mon frère est présent, prêt à lui mettre ses fers. En montant dans la cage, à l’arrière du tracteur et nue, elle me regarde tristement, presque ne larme. Mon sourire est, quant à lui, sans équivoque, je suis contente. Le tracteur se met en route et à la vitesse du pas. Cela laisse au passant de quoi insulter ma cliente ou de lui lancer des fruits pourris. La pauvrette, elle s’en prend pour son grade. Elle pensait me mettre dans sa poche, c’est complètement raté.

Le soir même, chez mon frère, on la baise à deux avant de s’en servir comme jouet pour ses chiens. Cinq ans de pénitence chez mon frangin, quand sa peine sera à son terme, pas certain qu’elle veuille revenir en ville. À mon avis, elle va rester, la connaissant.

J’ai le prix de ma fonctionnaire, une caisse de Château-Margot. Aussi sec, la caisse est envoyée au ministre, un ami, lui aussi. Me voilà propriétaire en bonne et due forme d’une fonctionnaire que ne cache pas sa joie. En sa compagnie, je pourrais même aller plaider en la tenant en laisse. Et comme assistante, elle n’a pas son pareil, elle suce à merveille, même mon cul sale.

Oh, concernant ma femme, à sa sortie de prison, deux ans plus tard, elle est devenue mon esclave attitrée. Je ne suis son époux que sur le papier, un divorce me l’aurait envoyée chez les « sauvages ». Quant à ses amants, eux, ils ont eu moins de chance, ils sont dans un bordel, servant de vide couille à tous ceux qui veulent les enculer.

Dans ma vaste demeure, je vis pénard, entouré de ma fonctionnaire, de ma femme et de ma secrétaire. Si je fais l’amour à ma fonctionnaire, je baise les autres, je les viole aussi. Mais je n’oublie pas de jouer avec ces deux dernières dans mon donjon offert par des amis très chers.

À suivre, oui, peut-être, si j’ai une nouvelle affaire intéressante sous le coude.

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