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Telle mère telle fille …

Telle mère telle fille …



Gabrielle pense être une bonne mère. Autant que l’on peut l’être qu’en on élève sa fille toute seule. Sa fille Camille, âgée aujourd’hui de 18 ans, avec les nombreux conflits que cela comporte, même si Camille est une jeune fille qui ne lui cause aucun tracas. Au contraire, elle et très proche d’elle, affectueuse et respectueuse des valeurs que lui inculque sa maman..

Au fil du temps qui passe, Gabrielle la voit s’épanouir et devenir une belle jeune fille. Rousse, grande, mince tout comme elle à son âge. Des seins qui prennent du volume, à tel point qu’il faut qu’elle lui change de taille de soutien-gorge tous les trois mois.

Camille ne lui cache rien, du moins c’est ce qu’elle pense, car elle se confie sur tout ; même quand il s’agit de ses « petits copains » elle en parle sans complexe tout en restant pudique.

À la maison, elles n’ont également aucun souci sur leur nudité qui n’est pas un tabou. Mais si cela continue a ne poser aucun embarras à Camille qui dégage une telle sensualité, par contre pour Gabrielle, avec le temps, une gêne s’installe.

Surtout quand Camille vêtu seulement d’ un soutien – gorge et d’une culotte vient dans ses bras, comme quand elle était petite, pour quémander un câlin affectueux en appuyant ses seins contre les siens. Dans ces moments-là, Gabrielle ne peut s’empêcher de caresser son dos et ses cheveux et un trouble coupable l’assaille qui la fait devenir moite, surtout quand Camille termine son câlin par un léger baiser, chaste, sur sa bouche en noyant ses yeux verts dans les siens.

C’est parce qu’elle s’est découverte lesbienne, pratiquement au début de son mariage, lors d’un colloque professionnel, que Gabrielle s’est séparée de son mari. En tant que mère célibataire, elle a fait le choix de ne pas parler à Camille de sa préférence sexuelle et de ne pas s’afficher devant elle, avec une amante, pour ne pas risquer de la perturber, ou plus, la traumatiser avec ces liaisons que l’on nomme coupable.

Tenant encore aujourd’hui cette ligne de conduite malgré les questions de sa fille s’étonnant de ne la voir jamais en galante compagnie, ni jamais ramenée un homme à la maison ou simplement découcher pour son plaisir …

Jusqu’à ce dimanche après-midi qui a changé la vision de Gabrielle sur sa fille …

Camille vient de partir rapidement suite à un appel téléphonique de sa meilleure amie, oubliant de fermer son ordinateur portable posé sur la table basse du séjour.

Quand Gabrielle s’aperçoit qu’il est resté allumé dans la précipitation du départ, elle s’assied sur le canapé pour l’éteindre, mais retient son geste, intriguée par un dossier photos intitulé : « soirée pyjama chez Odile » …

Gabrielle se rappelle de cette soirée, il y a déjà trois mois. Elle se rappelle que le lendemain, elle l’avait trouvé bien défaite et fatiguée.

Surprenant toutefois que sa fille ne lui est pas faite partager ce fichier, elle qui ne manque jamais de lui montrer les photos qu’elle fait. À la réflexion, elle se dit qu’il doit très personnel et qu’elle n’a pas à l’ouvrir. Mais sa curiosité féminine est plus forte que sa raison. Et de plus, pense-t-elle pour étouffer ce sentiment de culpabilité qui l’étreint : elle n’en saura rien …

Alors sans plus hésiter une seule seconde, elle clique sur l’icône du dossier … Qui s’ouvre ..

Dès les premières vignettes, elle ressent un frisson irrépressible qui fait tomber les dernières barrières de lucidité qu’il lui reste pour fermer l’ordi et ne pas rentrer dans l’intimité de sa fille.

Mécaniquement, son cœur s’emballe, son corps s’enflamme. Car la mosaïque qui s’offre à ses yeux est très suggestive et met sa fille dans un contexte sexuel qu’elle était loin d’imaginer. Même si de sa chambre, les nuits ou Odile sa meilleure amie, venait quand elles étaient plus petites dormir à la maison. Gabrielle entendait provenant de la chambre de sa fille, des gémissements assourdis, très suggestifs, qui aurai dû l’alerter. Mais elle ne voyait pas le mal, laissant faire, mettant cela sur la découverte du plaisir du corps par un jeu de « touche-nénés et / ou touche-pipi » avec peut être une masturbation mutuelle entre deux adolescentes très proches, comme là encore, elle l’avait expérimenté à son âge …

Pas une relation sexuelle comme celle qu’elle découvre à cet instant et qui éveille chez elle une excitation qu’elle sait malsaine, proche d’un fantasme i****tueux qu’elle n’arrive pas à chasser.

Alors malgré la honte qui l’assaille, elle clique sur la première image et fait option plein écran …

Ses tétons durcissent en un éclair, tout son bas-ventre se contracte quand elle voit les trois filles nues : Odile, assise entre Laure et Julie -Deux copines que Gabrielle connait bien pour les voir de temps en temps à la maison- sourient l’ air détendu et une lueur polissonne dans les yeux qui invite à la débauche celle qui tient l’appareil, certainement Camille, puisque elle n’apparait pas sur la photo.

Le regard de Gabrielle, scrutateur, passe des gros seins aux aréoles gonflés de Julie, aux petits seins d’Odile aux tétons longs et durs, qu’elle compare a la poitrine pleine et ferme de Laure.

Instinctivement, Gabrielle a libéré les siens de sa robe très échancrée et sous laquelle elle ne porte pas de soutien-gorge et tire sur les tétons épais, laissant échapper un doux soupir qu’en elle remarque chacune des mains d’Odile a l’intérieur des cuisses, tout prés des buissons duveteux qui recouvre les jeunes chattes de ses deux copines.

Haletante, d’une main tremblante, elle clique sur la deuxième et gémit quand la photo apparait en gros plan et montre Odile fourrageant de chaque main dans les vulves baveuses des deux jeunes filles qui sont bouche ouverte et yeux fermés sous les caresses saphiques décuplées, c’est visible, par le fait de s exhiber devant l’objectif et à celle qui est derrière; et qui peut être se caresse d’une main, toute excitée par ce qu’elle voit et photographie.

Sur la suivante, Odile, les jambes écartées, s’offre à son tour à ses deux copines. On y voit Laure les mains délicatement placées sur les lèvres de la chatte, révélant un con brillant de plaisir et le clitoris bandé. Pendant que Julie s’occupe des seins tout en embrasant pleine bouche Laure.

Les yeux rivés sur le cliché, la respiration de plus en plus difficile, Gabrielle remonte sa robe et sa main gauche vient frotter sa fente sur la culotte qui s’humidifie de sa cyprine.

Quand elle découvre la quatrième photo, son esprit est sous le choc et son excitation monte de plusieurs crans.

Sur le tapis, Julie, allongée sur le dos, est en train de se faire lécher la chatte par Odile tandis qu’elle mange celle de Laure, accroupie sur sa bouche en pressant ses nichons …

Gabrielle, surexcitée, mouille abondamment, gémit en faisant voler sa robe par-dessus ses épaules, enlève sa culotte, et jambes écartées, frotte, presse son minou entièrement rasé plus qu’elle ne le caresse tout en se parlant à elle-même :

Oh putain ! … Les filles … Vous allez me faire jouir … !

Elle agrandit l’image. Devant la photo luxurieuse qui emplit l’écran, pousse deux doigts dans sa vulve ouverte, trempe et masse son clito de l’autre main après l’avoir enduit de mouille.

La photo qui suit lui arrache un râle de jouissance … C’est un gros plan sur la vulve de Julie et qui montre la langue d’Odile posée sur son bouton avec deux de ses doigts qui pénètre ce sexe béant et visqueux …

Gabrielle possédée par une envie qu’elle ne contrôle plus, imprègne son subconscient de cette image avant de cliquer sur la photo suivante tout en suçant ses doigts mouillés … Odile à maintenant en plus des deux doigte enfournés dans le vagin, le pouce sur le clito et le majeur de l’autre main dans l’anus de Julie pendant que celle-ci branle Laure en lui suçant un sein.

À la vue de cette scène surréaliste, elle perd tout repère, et glapit :

Oh putain ! Je suis chaude bouillante ! … Je vais venir ! …

Son subconscient, aiguillonné par ces images, toutes plus luxurieuses les unes que les autres, la poussent à exprimer sa jouissance. Alors Gabrielle, pour calmer le feu qui consume son intimité, démarre le diaporama. Puis s’installe, cuisses ouvertes, le bassin au bord du canapé, mouillée comme jamais, pour s’occuper d’elle, embrasée par les clichés sardanapalesques qui défilent devant elle …

Les doigts d’une main jouent avec ses tétons dressés. Pendant que l’autre descend lentement le long de son corps, caresse le ventre, s’attarde sur le nombril. Gabrielle pousse un gémissement quand elle touche son sexe. Puis caresse sa fente avant d’écarter les lèvres de ce fruit juteux. Et quand son index et son majeur taquinent son orifice, s’imbibant de son excitation, son bassin va à l’encontre de ses doigts…

D’un seul coup, les photos qui défilent sur l’ordi n’ont plus d’importance. Elle s’abandonne en chouinant; les yeux fermés, la bouche ouverte. Se guidant d’après ses réactions, les jambes engourdies par les frémissements qu’elle crée lorsque son pouce stimule son clitoris pendant que les deux doigts entrent et sortent de son ventre détrempé en lui arrachant a chaque poussée un râle de plaisir.

Ses hanches ondulent, sa tête tombe vers l’avant en une exaltation. Gabrielle laisse le plaisir envahir son corps … Entièrement.

Transcender par cette jouissance qui la submerge, elle se raidit de plus belle quand elle intensifie ses assauts. Ses plaintes de plaisir sont maintenant une litanie sans fin. Un rictus anime et déforme son visage au moment où elle sent une jouissance incommensurable monter en elle …

Sa respiration s’accélère, au point de ne plus être contrôlable, son bassin s’enflamme, ses jambes se mettent à trembler, son corps se cambre … Un long souffle déserte ses poumons ; puis un long râle, au moment ou l’orgasme explose en elle, la laissant tremblante, pantelante, agonisante …

Un nouveau frisson de bonheur la parcourt quand encore hagarde, elle retire ses doigts. Qu’ elle lèche pour gouter son plaisir tout en revenant sur l’écran et apercevoir sur le diaporama sa fille en scène avec Laure et Julie.

Pas ça ! tu ne vas pas mater ta fille ! S’écrie-t-elle intérieurement ; et instantanément, sous l’emprise de cette honte qu’elle vit comme un i****te, Gabrielle ferme le dossier … Puis efface l’historique de son passage avant d’éteindre et fermer l’ordinateur …

Affaler nue sur le canapé, une main sur son sexe poisseux, perdue dans des pensées culpabilisantes, elle se dit que « les chattes ne font pas des chiens » ; que le temps du silence est passé et qu’il est grand temps d’avoir une discussion d’adulte avec Camille quand elle rentrera …

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