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histoire d’Eric et Lisa épisode 4 : chez Mada

histoire d’Eric et Lisa épisode 4 : chez Mada



Perdue dans une semi conscience extatique, Lisa repense à madame Hendrix. Ces bas en latex, très particuliers, qui lui collent aux cuisses, la main chaude d’Eric posée dessus, qui la masse doucement. Au fond, sans doute que rien de tout ça ne serait arrivé si…

Après la première entrevue dans le petit bureau, Lisa se revoit rentrer chez elle, comme saoule. Sa mère ronfle sur le divan dans le salon. Les morceaux de verre sont toujours sur le sol, le sang aussi. Découragée, elle monte dans sa chambre, puis s’effondre sur son lit et se met à pleurer. Lontemps, intensément. Puis, complètement vidée physiquement et nerveusement, elle s’endort jusqu’au lendemain matin.

Quand elle émerge, c’est pour se retrouver comme empêtrée dans une sorte de brouillard. Mais qu’est ce qui s’est passé? Elle sent encore la brûlure de la gifle sur sa joue, et des baguettes sur son corps. La colère l’envahit. Cette vieille salope! Elle va lui faire la peau! Mais au fond, elle sait que c’est de la frime. Quand madame Hendrix l’a soulevée de terre, elle a senti sa force étonnante, a****le. Elle ne veut pas se l’avouer, mais cette femme l’impressionne comme jamais personne ne l’avait fait. Personne non plus n’avait jamais joué ainsi de son corps, le maîtrisant totalement. C’est quoi cette espèce de main qui lui avait pris, tout d’une fois, le ventre, la tête, le sexe, chaque particule de son corps? Lisa ne pourrait plus vivre sans aller au bout de ce chemin que Madame Hendrix lui avait montré, et qu’elle ne soupçonnait pas.

Et le Week end se passe ainsi, dans l’angoisse, l’interrogation, la remise en question. Ses parents la dégoûte, sa maison la dégoûte, son quartier, ses amis. Elle ne se sent plus à sa place dans cette médiocrité.

Lundi, à 7h55, elle est au rendez vous. A 8h précises, la secrétaire lui ouvre la porte. Lisa sent monter le stress en elle.

_ Bonjour mademoiselle Rossi. Madame Hendrix vous attend.

Elle la mène devant la porte, lui ouvre. Madame Hendrix ne la regarde pas, plongée dans ses dossiers. Le coeur de Lisa bat plus fort que jamais.

_ Bonjour madame la directrice.

_ Bonjour Rossi.

Lisa attend. Debout. Kristin Hendrix relève enfin la tête, la transperce de son regard froid. Lisa rougit.

_ Bien, voici les documents qui concernent ton renvoi.

Lisa blèmit. Ses jambes se mettent à trembler. La directrice lui montre le coin inférieur droit.

_ Il ne manque que ma signature…Comprends tu ce que ça signifie?

L’espoir renaît, mais Lisa se méfie…

_ Euh….

_ Ca signifie que je peux t’écarter de l’école quand bon me semble, sans plus apporter aucune justification. Maintenant, dans un an, à moi de décider. La question est : à quel point souhaites tu rester?

_ Je veux rester madame la directrice!! S’il vous plaît!

Lisa s’en veut de s’humilier encore. Mais ça a été plus fort qu’elle.

_ Bon, voici mes conditions. Plus aucun accroc disciplinaire. Tes notes doivent repasser la moyenne. Ensuite, tu viendras chez moi tous les vendredi à 17 heures. Je disposerai de ton corps comme bon me semblera jusque minuit. Samedi matin, tu serviras mon petit déjeuner à 7h30, puis de 8h à midi, tu aideras Rose dans son ménage. Tu seras rémunérée pour la partie ménage. Nous dînerons ensemble, et de 13 à 17 h, nous réviserons. As tu compris?

Hein? Non, Lisa n’a pas tout compris…Disposer de son corps, c’est quoi exactement?

_ Euh, oui je crois madame la directrice.

_ Tu as de toute façons la semaine pour te décider, je te rappelle que je peux mettre fin à notre accord à tout moment, de même que toi. Prends ceci.

Kristin lui tend une carte. « coiffure / beauté Chez Flo ».

_ Si tu te décides à venir, tu as rendez vous la bas à 15h15…

Chez Flo? Mais c’est pour les bourges!!! Jamais Lisa ne pourrait s’y payer ne fut ce qu’une coupe de cheveux! Son expression est significative.

_ Bien sûr, tu ne t’occupes pas des « détails »…Dis simplement que tu viens de la part de madame Hendrix.

_ Euh… Bien madame. Merci madame.

_ Tu peux disposer et suivre les cours comme d’habitude. Je te conseille le profil bas, tu l’as compris, n’est ce pas?

_ Oui madame la directrice!
_ Bien. Tu peux aller…A vendredi sans doute…
_ Oui madame la directrice.

Est ce un effet de recommandations? Toujours est il que l’agressivité systématique dont Lisa avait souffert s’est muée en totale indifférence. Un progrès… La semaine se déroule de manière presque paisible pour Lisa dont l’angoisse monte à mesure que vendredi approche. Bien sûr, elle n’a pu en parler à personne…Mentionner qu’elle avait pris du plaisir à se faire flageller les fesses, pas question! Et puis, merde! Au fond, elle n’est plus une gamine! Elle n’a rien à perdre, puisqu’à tout moment elle pourra s’en aller. Elle décide d’essayer, et de voir après.

Elle se présente chez Flo vendredi à l’heure dite. A part une plaque en cuivre signalant « Florence Esthétique / Coiffure » , rien ne signale l’établissement, mais tout le monde sait que c’est là « Chez Flo »…En plein centre ville, une grande maison de maître, avec un grand jardin, et un parking suffisant pour une dizaine de voitures. Dans un Bentley, un chauffeur attend madame…Ca donne le ton! Lisa est très intimidée, mais en même temps, mettre les pieds chez Flo! Ses copines en seraient mortes de jalousie. Sans parler de cette cone de Lucie Dupré! Lisa pousse la porte d’entrée, très intimidée. Et impressionée par, comment dire? La beauté, le bon goût de la déco? La propreté clinique? L’atmosphère feutrée?

Comme prise de panique, elle s’ apprète à faire demi tour quand l’hôtesse d’accueil, une superbe blonde ayant la petite trentaine s’adresse à elle avec un brin d’ironie.

_ Mademoiselle? Puis je vous être utile?

_ Euh…Je viens de la part de Madame Hendrix…

L’ironie dans le regard de la belle blonde fait place à quelque chose qui ressemble à du respect, voire de la crainte.

_ Bien. Veuillez me suivre s’il vous plaît.

Mon Dieu! On vient de lui témoigner plus de politesse en 3 minutes que pendant toute sa vie…

_ Madame Florence? Voici le demoiselle dont nous avons parlé…

« Madame Florence » a la petite cinquantaine. Grande, mince, brune acajou, souriante, très élégante malgré un simple jeans et un pull à col roulé noirs, assez ajustés qui mettent en valeur un corps aux proportions quasi parfaites. Quelques ridules trahissent son âge, mais quelle classe! Elle rayonne au centre de la pièce. Au centre des attentions aussi. Elle est observée par les clientes, qui espèrent un mot, un geste de la maîtresse des lieux. Que Florence s’occupe d’elles personnellement est comme une consécration, la reconnaissance d’un certain statut. Il arrive très rarement que des ultras VIP soit prises en charge par madame Florence dans son salon privé.

_ Ah, mademoiselle Lisa, n’est ce pas?
_ Euh, oui madame!
_ Appelle moi Florence veux tu?
_ Euh, bien Florence…

Une onde de jalousie puissante émane des vieilles pétasses embagouzées et emperlouzées qui les entourent.

_ Bien! Suis moi, veux tu?

La jalousie devient presque matérielle, palpable, quand les autres clientes voient cette jeune visiblement mal éduquée, mal habillée, bref, de basse extraction, suivre Flo jusque dans son salon privé, personnel! Bien sûr, Lisa n’a pas conscience du privilège qui lui est accordé, mais elle sent la haine des autres clientes! A vrai dire, ça ne lui déplaît pas…Mentalement elle leur tend bien haut le majeur de la main droite!

Le salon privé de Florence est simple, mais entièrement équipé. Les boiseries donnent à l’ensemble un aspect chaleureux. Florence s’installe derrière son petit bureau, observe Lisa quelques instants, semblant jauger le travail à accomplir.

_ Bien! J’ai reçu des instructions de la part de madame Hendrix te concernant. Je n’ai guère de temps à perdre, donc tu dois me donner carte blanche pour les soins que je vais te faire. Ou alors nous ne commençons pas, à toi de voir!
_ Euh oui, faites comme madame Hendrix a dit…
_ Ok commençons par le moins agréable…Déshabille toi entièrement s’il te plaît. Derrière le paravent la à gauche. Voila!

Lisa n’est pas rassurée. On va lui faire quoi? Déjà qu’elle n’a jamais mis les pieds dans ce genre d’établissement…Elle sort du paravent nue, les joues un peu rouges, intimidée. Florence perçoit son trouble, s’en amuse.

_ Allons, on voit que tu n’as pas l’habitude, mais tu verras tu te sentiras très bien quand nous aurons terminé. Couche toi sur cette table s’il te plaît.
Lisa s’exécute.

_ Nous allons commencer l’épilation. Madame Hendrix est intransigeante sur ce point.

Lisa se dit que madame Hendrix et intransigeante, ça fait comme un pléonasme…

_ Le pubis, notamment, doit être réduit à un triangle équilatéral de 8 cm très précisément, la pointe centrée sur le clitoris. La hauteur des poils entre 5 et 10 mm.

Merde de la géométrie maintenant!

A l’aide d’un gabarit et d’un rasoir, Flo délimite le triangle « réglementaire », puis à l’aide de bandes de cire, enlève la pilosité superflue. Lisa retient un cri.

_ Je sais, c’est un peu douloureux…Pour ton implantation je pense que 8 mm c’est bien!

Elle passe la tondeuse, réglée comme dit sur la toison de Lisa. La vibration sur son clito fait naître une douce sensation dans son bas ventre, mettant la douleur au second plan.

_ Voilà qui est fait! Je vais te passer un onguent de ma fabrication, ça va apaiser et adoucir ta peau.

Effectivement, une onde de bien être parcourt Lisa dès l’application du produit. Finalement c’est plutôt agréable…
L’épilation du reste du corps se fait de manière classique. Le même onguent est appliqué partout. Lisa se sent parfaitement détendue, légère.

_ Les cheveux maintenant!

Quoi les cheveux! Qu’est ce qu’on va lui faire? Florence remarque la tension soudaine chez Lisa.

_ Ne crains rien. On n’a pas le temps de tout reprendre, je vais juste les rafraîchir…Ils en ont besoin, les pauvres! On dirait que tu ne les ménages pas!

Elle connaît le prix des produits?

_ Je te donnerai ce qu’il faut en sortant…

Pendant que les produits agissent sur les cheveux, Florence s’occupe du visage de Lisa. Un léger maquillage, épilation des sourcils…Puis un coup de sèche cheveux, et voilà! Lisa se sent merveilleusement bien. Sa peau est douce, ses cheveux brillants, souples, les légères retouches et le maquillage ont bien affiné ses traits un peu vulgaires. Elle se sent belle! A vrai dire, elle l’est! Et plus désirable que jamais. Mais il est déjà 16h40, et elle est à l’autre bout de la ville! Elle va être en retard! Une nouvelle fois Florence perçoit son stress.

_ N’aie pas peur, tu seras à l’heure…Mon coursier t’attend sur le parking. Fais lui confiance! Et à bientôt j’espère!

Sur un petit nuage, Lisa retraverse le salon sous le regard courroucé des bourgeoises. Dehors, un homme casqué l’attend à côté d’un gros scooter lui tend un autre casque.

_ Mettez ça et montez! Vous vous accrochez là et là. N’ayez pas peur!
_ On va…
_ Oui je sais où c’est!

Lisa à peine assise, il démarre en trombe! Son coeur se met immédiatement à battre très fort! Elle sert les poignées indiquées à les rompre. Il roule comme un taré ce gars! Ils n’arriveront jamais vivants! Il coupe les files, les remonte, prend les allées de bus, le tout à fond! A 16h55, il dépose Lisa devant chez madame Hendrix. Blanche comme un linge, tremblante, il lui faut presqu’une minute pour descendre du scooter. Ses dents claquent.

_ Voilà mademoiselle!
_ M m m merci m m monsieur!

Très pâle, tremblante, le coeur au bord des lèvres, Lisa profite des trois minutes qui lui restent pour faire un aller et retour jusqu’au bout de la rue. Puis, encore un brin hésitante, elle se retrouve face à la grande porte en bois verni d’une maison de Maître. Attenante à l’école, elle est idéalement située. Lisa se décide et sonne. Une boule d’angoisse se noue dans son ventre.

Une femme vient lui ouvrir. Rose sans doute. Autour des 35 ans, noire. Assez petite. Des extensions capillaires lui font de grandes tresses très serrées jusqu’aux hanches. Un visage ovale, une poitrine menue mais bien dessinée, volontaire, exposée dans un décolleté très ouvert. La taille étroite contraste avec des fesses comme Lisa n’en a jamais vues. Parfaitement rondes, circulaires, courbes, comment dire? Proéminentes en tout cas! La cambrure très prononcée des reins de Rose, ses hauts talons rouges, accentuent encore la présence de ce cul de rêve. Instinctivement, on voudrait y porter la main. Pour resentir ces rondeurs parfaites, si généreuses! Se noyer dans cet océan de douceur et d’élasticité…Les cuisses musclées font le raccord avec des mollets bien dessinés. Elle porte une combinaison de latex noir très moulante, hyper sexy. Lisa ne s’attendait pas à une Rose telle que celle là…

_ Vous êtes mademoiselle Lisa?

L’accent africain est très prononcé.

_ Oui. Bonjour.
_ Bonjour…Je suis Rose.
_ C’est ce que je m’étais dit.
_ Entrez…

Lisa s’exécute, puis attend que Rose ait refermé la porte. Rose remarque la pâleur de Lisa, son léger tremblement aussi, sans doute.

_ Vous allez bien?

Puis plus bas :

_ Il faut pas avoir peur comme ça!!!
_ Je sais, mais on vient de me conduire en moto, et…

Rose part d’un grand rire qui fait trembler les murs de la maison.

_ Ah! C’est monsieur Laurent qui vous a conduite! Je comprends hahaha! Même moi après je suis toute blanche!! HAHAHAHA.

Son rire est si franc et sincère que Lisa pouffe aussi. Puis Rose la prend dans ses bras, la serre un peu.

_ Ah la la ma chérie! Bon allez, viens, je dois te conduire à madame!

Lisa sent tout de suite que la relation entre madame Hendrix et Rose est particulière. Il y a de la la subordination, mais pas ce respect craintif que montrent les secrétaires par exemple. Rose frappe doucement à une porte, puis l’ouvre sur une grande pièce dans laquelle Madame Hendrix trône derrière son bureau. Puis Rose referme la porte et s’en va, laissant Lisa seule face à sa directrice.

_ Je ne doutais pas que tu viendrais. Tu es à l’heure, c’est bien.

Ses lorgnons sur son nez lui donne un air encore plus sévère. Son ton est toujours aussi sec, cassant.

_ Je vais devoir t’expliquer comment tu devras te comporter dans cette maison. D’abord, tu m’appelleras simplement « madame ». Le vendredi à 17h, tu sonneras et Rose viendra t’ouvrir, tout comme aujourd’hui. Quand tu me rencontreras, tu t’agenouilleras et me baisera la main….Et bien?

Lisa s’approche du bureau, se met à genoux, et baise les doigts de madame Hendrix. Puis retourne se mettre debout face à elle.

_ Sans autre instruction, tu devras te tenir derrière moi, à un mètre, sur ma droite. Bien. Suis moi.

Madame hendrix se lève, puis monte à l’étage. Lisa la suit comme demandé, en arrière et sur sa droite.

_ Voici ta chambre. Avec ta salle de bain qui est attenante. Sur cette commode, il y aura les vêtements que tu porteras le soir.

Lisa regarde. Une paire de sandales à haut talons, 4 bracelets en cuir avec une boucle, et un autre plus grand….La boule d’angoisse reprend possession de son ventre, le rouge lui monte aux joues.
Dans un coin de la chambre, une espèce de porte parapluie d’où sortent quelques fines baguettes de bois. Comme dans le petit bureau…Le lit, banal de prime abord, comporte, tant au niveau des pieds que de la tête, 2 bracelets qui semblent pouvoir coulisser aussi bien en longueur qu’en largeur.

_ Et donc ceux ci sont pour aujourd’hui. Je suppose que tu as compris?

Elle plante ses yeux dans ceux de Lisa qui les baisse immédiatement.

_ Oui madame.

Son coeur s’emballe. Ses joues et ses oreilles chauffent. Elle va être nue!

_ Bon. Voyons si cette cruche de Florence a fait un travail correct! Déshabille toi complètement.

Lisa enlève ses vêtements un par un, timidement, les laissant au sol.

_ Chez moi, ma petite, on prend soin de ses affaires! Ramasse et replie ces chiffons correctement!

Lisa se prend un coup de baguette sec sur l’avant bras droit.

_ Aïe! Oui madame!

Tant bien que mal, elle replie son sweat shirt et son pantalon, les range dans une armoire. Elle rassemble ses chaussures, les place sous le lit. Elle est maintenant en culotte et soutien…dépareillés. D’un air dédaigneux, madame Hendrix y promène sa baguette, insistant sur les tétons de Lisa qui pointent fièrement, malgré elle.

_ Tu ne seras pas punie pour cela aujourd’hui, mais quand tu viendras chez moi, tu feras un effort pour t’habiller correctement! Y compris les dessous! Je le prends comme un manque de respect intolérable!

_ Oui madame! Pardon madame!
_ Hé bien, enlève le reste, voyons!

Toujours aussi intimidée, comme transpercée jusqu’au coeur par le regard de Madame Hendrix, Lisa dégrafe son soutien gorge. Ses seins, fermes, n’en sont guère affectés, et continuent de regarder vers le plafond.

_ Pour la culotte, tourne toi!

Lisa se tourne et abaisse sa culotte jusqu’au sol. Elle sent le regard de la vieille derrière elle, et le bout de la baguette qui vient caresser ses fesses.

_ Bien, le devant maintenant!

Lisa lui fait face. Madame Hendrix se rapproche pour observer le travail de Florence.

_ Hmm beau travail…Tu devras faire un peu de sport ma petite…

Il est vrai que son ventre présente un léger galbe, et que ses hanches, un rien trop larges, semblent dodues. Mais peut être est ce cela qui la rend si désirable! Madame Hendrix passe sa main sur la peau de la jeune fille, qui baisse les yeux. Elle ne devrait sans doute pas, mais elle trouve cette caresse agréable, chaude, pleine d’une vibration qu’elle ne connaît pas.

_ Ta peau est douce! Florence a bien travaillé. Autre règle du Vendredi : après m’avoir saluée comme il se doit, tu devras me donner le bain. Suis moi.

Lisa la suit comme elle en a reçu la consigne, mais nue cette fois. A l’autre bout du couloir, elles entrent dans une salle de bain grande, luxueuse, pratique et élégante.

_ Pour commencer, fais couler l’eau à 38 degrés, et débarrasse moi de ces oripeaux ridicules!

En ouvrant le mitigeur, Lisa a le temps de comprendre qu’elle doit déshabiller sa directrice. Elle commence par le gilet bleu marine. Mme Hendrix lui indique l’endroit où les ranger. Puis les chaussures. Le chemisier. Elle prend un certain plaisir à en défaire les boutons un par un. En le faisant glisser délicatement sur les bras de son aînée, Lisa est étonnée. Bien que Madame Hendrix approche la soixantaine, son corps affiche encore une certaine fermeté. Ses seins gonflent un soutien gorge de qualité. Blanc bien entendu.

_ Maintenant, d’abord la jupe et les bas. Les sous vêtements en dernier…

Une fois madame Hendrix en sous vêtements blancs classiques et élégants, Lisa se demande s’il s’agit de la même femme. Ventre plat, cuisses musclées, elle se tient parfaitement droite, impressionnante. Lisa se demande pourquoi elle se « déguise » avec ces vêtements de nonne, sans forme. Elle dégrafe son soutien gorge en appréciant les muscles de son dos, puis caresse ses cuisse en descendant sa culotte. Elles sont maintenant complètement nues, et Lisa, surprise, constate que Madame Hendrix arbore un pubis taillé comme le sien, un triangle équilatéral. De 8 cm, Lisa n’en doute pas. Ses poils sont gris, mais visiblement coupés à la taille réglementaire. Avec une sorte de majesté, la maîtresse des lieux s’installe dans son bain chaud. Elle émet un mmmm de plaisir, se détend visiblement.

_ Nous commencerons par les cheveux. Prends cette cruche et mouille les…

Délicatement, Lisa mouille les cheveux de madame, les caresse. Puis prend le shampooing qui lui est indiqué, et masse comme elle croit devoir le faire.

_ Tu t’y prends plutôt bien pour une débutante, mais masse plus vigoureusement, en enfonçant bien tes doigts!

Lisa met un peu plus de vigueur dans son geste, immédiatement récompensée par un léger grognement.

_ C’est bien tu peux rincer maintenant. Avec de l’eau claire, n’est ce pas?
_ Oui madame!

Elle remplit doucement sa cruche au mitigeur, et rince soigneusement les cheveux gris clair. Madame Hendrix semble apprécier.

_ Pour le corps, prends cette grosse éponge…Et ce savon.

L’odeur du savon lui rappelle le salon…Sûrement une fabrication personnalisée de Florence…Lisa savonne, masse, caresse sa maîtresse avec douceur, sur les seins et le pubis, un peu plus de fermeté sur les cuisses et les bras, les doigts qu’elle fait un par un. On voit l’ombre d’un sourire sur les lèvres de madame Hendrix. Sa voix se fait plus douce, moins cassante.

_ Ce soir j’ai des invités…De vieux amis qui viennent de loin. Tu leur seras aussi dévouée qu’à moi même…

Les lèvres de Lisa se serrent, son coeur s’emballe. Sa voix tremble un peu.

_ Euh, oui madame…

_ Bien. En ce qui concerne Rose, elle n’a pas d’autorité sur toi. Je tiens à te mettre en garde : elle est particulièrement lunatique, et elle n’en fait qu’à sa tête…Vous avez bien ri tout à l’heure, mais elle ne sera pas toujours aussi agréable. Tu n’as pas encore vu Désiré, il loge ici. Mais il n’a aucune autorité sur toi, n’est ce pas? Il va essayer de t’avoir, comme il dit. Je le lui ai interdit, mais c’est plus fort que lui! Quant à toi, que tu en ai envie ou pas, tu seras sévèrement punie si ça devait arriver, et devras me rapporter chacune de ses tentatives. Suis je claire?

_ Oui madame!

Lisa n’avait aucune envie de Désiré! Concierge/homme à tout faire de l’école, il en connaissait chaque recoin. Qu’il aimait faire découvrir à ces petites demoiselles blanches qui faisaient mine de n’avoir pas froid aux yeux, et encore moins au cul! Il n’aimait rien tant que de les enculer sauvagement jusqu’à leur faire couler des larmes. Sa réputation au sein de l’école était sulfureuse…

_ Je vais sortir maintenant. Prépare ce grand essuie d’abord, puis le peignoir blanc.

Madame Hendrix sort de son bain et Lisa s’affaire à la sécher rapidement. Elle est troublée de voir ses tétons se dresser, ses jambes s’ouvrir pour accueillir l’essuie. Lisa s’y attarde malgré elle. C’est sans doute une illusion, mais il lui semble que les hanches de madame Hendrix ondulent sur le rythme que Lisa imprime à l’essui…Elle termine en s’agenouillant devant sa maîtrsse pour lui essuyer les pieds, puis lui enfile son peignoir.

_ Tu peux rejoindre ta chambre. Habille toi, et attends Rose qui viendra te chercher.

Assise sur son lit, Lisa attend. Elle entend les invités arriver. Un accent bizarre. Elle ne comprend pas tout…Ca ressemble à cette chanteuse que sa mère adore…Céline Dion? Ouais, et sa mère lui a déja dit aussi qu’elle ressemblait à, comment? Natasha Sainclair, un truc comme ça…Mais bon, comme sa mère est bourrée la moitié du temps…En repensant à elle, elle revoit aussi la maison toujours en désordre, jamais propre, ses parents qui se battent…Le contraste est sévère avec cette maison impeccable, les soins de Florence. Et cet étrange mélange de peur et d’excitation qu’elle ressent en présence de Madame Hendrix. Lisa ne comprend pas trop pourquoi, mais elle a envie de lui plaire, de la contenter, de recevoir des compliments d’elle, comme un bon gros toutou qui attend sa caresse! Oui, et alors? Et puis des perspectives de plaisir insoupçonnées s’ouvrent à elle…Autres que de se faire sauter dans une bagnole ou dans le fond d’un terrain vague par un gamin qui gicle tout de suite, puis la laisse en ayant l’air content de lui! Et lui fait une réputation de pute à 10 balles dès qu’elle le largue!
Elle en est là de ses pensées quand Rose arrive, toujours dans sa combi Latex noire hyper moulante.

_ Alors, chérie tu es prête? Hmm tu es bonne, hein?

Rose commence à la caresser. Les cuisses, les fesses, les seins. Puis pose un baiser sur ses lèvres. Lisa interloquée, laisse faire.

_ Ah mais tu n’as pas mis le collier!

Oups! Le grand bracelet est un colier. OK. Rose le lui pose, serrant un minimum. Le noir des bracelets, du collier et de la chatte de Lisa tranchent avec la pâleur de sa peau. Elle est superbe, Rose le lui redit, puis prend la main de Lisa et la pose sur ses fesses.

_ Tu trouves que j’ai un beau cul? Tu peux le toucher hein!
_ Euh, oui. Il est vraiment magnifique!

Lisa ne résiste pas à la tentation de le palper, d’en apprécier la rondeur, l’élasticité. Rose l’embrasse à nouveau, mais cette fois, sa langue pénètre loin dans la bouche de Lisa. Qui lui rend son baiser, un peu timidement. Madame Hendrix lui a bien dit de ne pas s’emballer avec Rose…Une douce chaleur s’insatale dans son ventre, son anxiété retombe. Rose ouvre un tiroir, et en sort une espèce de masque.

_ Tu dois mettre ça ma chérie. Tu ne vas rien voir, hahaha.

Puis, doucement, à son oreille :

_ Fais bien tout comme Madame te dit… Tu vas prendre du plaisir!! Allez suis moi!

Rose prend Lisa par la main. Déjà un peu gauche avec des talons si hauts, elle marche doucement, désorientée par sa cécité. Rose va lentement, lui signale les obstacles, les escaliers. Puis Lisa sent qu’on entre dans une pièce où il y a des gens. L’atmosphère est chaude.

_ Merci Rose. Tu peux rester si tu veux.
_ Merci Madame!

Puis Lisa entend une voix d’homme, avec cet accent particulier…

_ Ah Kristin, vous avez fait une bonne pêche il me semble!
_ Une prise toute fraîche, mon cher! C’est sa première soirée chez moi.

Puis une voix de femme.

_ Elle est sûrement un peu intimidée…Elle est passée chez Florence, il me semble…

Et Lisa sent une main se poser sur son sexe.

_ Sa chatte est aussi douce que sa peau!

Lisa se mord la lèvre. Être ainsi aveuglée la rend plus sensible, plus réceptive aux caresses. La main est celle d’une femme. Elle la caresse doucement sur tout le corps.

_ Allons ma belle…Nous allons passer un bon moment n’est ce pas?
_ Euh, oui madame!

Le coeur de Lisa bat vite et fort. Sa poitrine se gonfle, se soulève à chaque respiration. Sur ses tétons déjà pointés, des ongles tournent. Des doigts s’appliquent, les enferment, les reserent, puis les font tourner. Lisa gratifie l’assemblée d’un « hum », en se tortillant. Puis une sensation de froid, qu’une bouche chaude vient immédiatement corriger. Marianne suce la goutte de champagne qu’elle vient d’y déposer.

_ Hmmm délicieux cet apéritif, Kristin!

Lisa est troublée, elle sent déjà sa chatte mouiller, mais son ventre est noué d’angoisse. Dommage qu’elle ne voie pas Christophe, qui, sans gène, palpe le cul de Rose. Celle ci, pas plus génée, lui caresse la braguette avec détachement.

Marianne a pris la main de Lisa, la pose sur son visage.
_ Tu ne peux pas me voir, mais essaie de me connaître…

Lisa la caresse. Le nez, la bouche, les joues, les lèvres. Marianne att**** sa main et lui suce le bout des doigts. Hmm. Puis la main de Lisa descend. Quelques rides. A travers le chemisier, des seins de taille moyenne. Des tétons qui semblent vouloir tout transpercer. Un petit ventre. La jupe est un peu longue. Lisa passe sa main dessous et remonte. Ce sont des bas. Avec des jarretelles. C’est la première fois que Lisa en touche…La peau tiède est douce. Les jambes s’écartent un peu, ouvrant le chemin. Une couture. De la dentelle. Lisa la caresse. Marianne lui prend la main, l’applique plus fort. En frotte sa chatte plus vigoureusement.

_ Oui petite salope! Caresse ma chatte! Hmmm.

Marianne s’emballe, ses hanches vont et viennent d’avant en arrière. Lisa écarte la culotte, ses doigts se posent sur les lèvres. Complètement mouillées. Marianne force l’introduction d’un doigt, puis 2 dans son vagin! Lisa embraye, imprime un mouvement de va et vient qui s’accordent à ceux des hanches de Marianne. Un floc floc rythme les gémissements de plus en plus forts de la québecquoise.

_ Oh! Bon Dieu! Plus fort! hmmmm aaaah!!!!!

Puis Lisa sent les hanches se bloquer, et les cuisses se serrer viloemment sur sa main. Encore un long gémissement. Puis sa min est rejetée dédaigneusement.

_ Ahhh. Hmm. Elle sait branler en tout cas….Je crois qu’elle mérite de prendre l’apéritif avec nous…

_ Oui, Rose voudrais tu servir un Baileys avec de la glace s’il plaît?

Un large sourire apparait sur le visage de Rose.

_ Oh oui madame!

Madame Hendrix prend sa baguette dans le traditionnel porte parapluie. Avec des petits coups très légers, elle guide Lisa.

_ Allons, avance! Par là… Voilà. Agenouille toi maintenant!

Lisa obéit. On lui prend les mains, et on attache ensemble les bracelets des chevilles et des poignets. Elle est complètement immobilisée. Toujours aveuglée, elle sent la présence, la chaleur de corps tant sur sa gauche que sur sa droite. Ainsi cambrée, offerte, Lisa ne peut que provoquer le désir. Un désir qu’elle sent, presque palpable. Cette sensation lui chauffe le ventre, les cuisses, provoque une sorte de vibration dans ses seins…Elle n’est plus qu’un objet impuissant destiné au plaisir de ces personnes qui l’entourent, et elle aime cette sensation. Sa respiration, forte et irrégulière, trahit son trouble. Quand un doigt se pose sur sa bouche, elle tressaille. Il est comme lubrifié par une sorte de liquide. Ca sent le café, et le whisky…Marianne lui caresse les lèvres avec le Baileys.

_ Passe la langue sur tes lèvres…

Lisa obéit, inconsciente de la puissante montée de désir qu’elle provoque chez Christophe.

_Tu aimes?
_ HHmmm, oui! C’est bon!

Marianne replonge son doigt dans le verre, mouille un téton. Christophe en profite, vient y lècher la liqueur. Lisa sent que c’est une langue d’homme, moins douce, plus forte. Elle laisse échapper un gémissement. Pendant que Christophe continue de lui lécher le sein, Marianne introduit un doigt rempli de Baileys dans la bouche de Lisa.

_ Prends en donc, ma belle! Hmmm oui suce bien tout! Je suis sûre que tu lèches les chattes comme personne!
_Hmmm

Marianne réenduit le sein de Lisa, que Christophe gobe goulument. Rose, que le spectacle ne laisse pas insensible, a sorti le sexe de Christophe, et le caresse vogoureusement. Puis il lui vient une idée. Elle plonge la main dans le verre, et recouvre de liqueur brune le sexe dressé. Christophe comprend immédiatement, et approche son pénis frétillant de la bouche sensuelle de Lisa. Marianne sourit. Elle aime l’idée…

_ Ouvre bien grand la bouche, ma belle. Il y a un bon Eskimo pour toi!

Et Lisa sent entrer dans sa bouche un objet plus gros qu’un doigt…Elle met une demi seconde à comprendre. Puis sa langue touche la liqueur et, presqu’automatiquement, elle se met à la lécher, puis à sucer l’ensemble pour profiter de chaque goutte de la crème de whisky. Elle suce fort, fait passer sa langue dans chaque recoin. Elle se sent salope, et sur elle le regard satisfait de madame Hendrix. Et c’est une sensation qu’elle aime! Son clitoris est gentiment caressé par des doigts de femme. Elle mouille abondamment, ne peut étouffer des gémissements de plus en plus fréquents, bruyants. Christophe resort son sexe, que Rose réenduit aussitôt. Puis Il s’empresse de retourner dans cette bouche si accueillante,câline. Lisa, guidée par sa sensualité, alterne la douceur de sa langue et la puissance de sa succion. Ses coups de langue sont précis, ciblés. Christophe grogne de plus en plus fort.

_ Aaah Kristin! Laissez moi la prendre, s’il vous plaît!
_ Mais vous êtes mon invité, mon cher! Profitez donc de mon hospitalité! Rose, disposez cette petite salope sur le sofa…

Rose vient attacher une laisse au cou de Lisa, détache ses bracelets, puis la tire légèrement, la guide et la place à quatre pattes, en levrette. Sans se faire prier, Christophe se place derrière elle. Soucieuse d’équité, Marianne vient s’asseoir sur le bord du sofa, jambes écartées. Sa culotte a disparu, sa jupe est tombée. Elle caresse le visage de Lisa, puis le porte à son sexe. Docile, Lisa se met à lècher doucement ce sexe tout humide et odorant. Entre ses jambes, elle sent le gland de Christophe jouer, glisser entre les lèvres dans un aller retour du clitoris à l’anus. Il fait mine de rentrer, puis se ravise. Lisa gémit. Christophe est hypnotisé par cette croupe magnifique. Sur son gland, il sent la chaleur de ce corps juvénile mais construit pour la plaisir. Pour SON plaisir. Avec un mouvement circulaire, il pénètre dans un étui doux, chaud. Il le fait lentement, profitant de chaque instant. Puis son excitation prend le dessus. Sur les hanches douces, élastiques, la fermeté de sa prise s’affirme. Son coup de rein de fait plus fort, puis, bientôt, brutal!

_ Allons Rossi, servez vous de vos mains que Diable!
_ Oui Passe ta main par en dessous pour lui caresser les couilles!

C’est Marianne, le souffle court, qui intervient, et applique plus fort son sexe sur la bouche de la jeune fille. Rose s’en mèle. Elle vient « coacher » Lisa en lui parlant doucement à l’oreille.

_ Viens juste poser ta main, ses couilles vont se caresser toute seule….Et avec l’autre main, tu branles la chatte de madame Marianne…

Lisa trouve que l’idée est bonne…Elle est immédiatement récompensée par l’emballement du marteau piqueur qui lui défonce le sexe, par le volume des gémissements de la femme qu’elle lèche, qu’elle doigte. La chaleur l’envahit. Elle aussi gémit de plus en plus fort. Et soudain elle sent la baguette de madame Hendrix sur la peau de son ventre, puis tapoter ses tétons. Elle perd la tête, pousse un long cri étouffé par la chatte de Marianne. Un flash puissant l’éblouit, puis une onde de plaisir envahit chaque particule de son corps,comme un raz de marée. Elle tremble, elle vibre, hors d’elle même. Christophe n’en peut plus!

_ Rose, recueillez la semence de monsieur Christophe, je vous prie!

Rose repousse légèrement Christophe. Puis d’une main branle le sexe dressé pendant qu’elle présente l’autre en réceptacle, devant. Il était temps, le québecquois gicle dans la main noire de Rose. Longtemps. En grognant comme un orignal! Une grosse flaque de sperme se loge dans la main de Rose qui la porte à sa bouche et la lèche, vicieuse à souhait, avec un sourire satisfait.
Marianne, prise de soubresauts, prononce des mots sans suite, incompréhensibles. Elle giffle doucment Lisa en l’insultant! Rose présente le foutre tout frais à Marianne, qui y plonge goulument la langue, s’en lèche les babines en échangeant un regard brûlant avec son mari.
Puis Lisa est prise par les cheveux, et on plonge sa bouche dans la flaquette de foutre.

_ Allons avale, et n’en laisse pas une goutte!

La voix de madame Hendrix n’appelle aucune contestation. D’autant que deux coups de baguette bien secs sur la fesse gauche rappelle à Lisa qui commande…Même si elle n’est pas un oie blanche, Lisa n’a jamais « avalé »…Elle déteste ce goût! Et cette texture! Deux nouveaux coups de baguette lui font faire ce dernier effort. Rose essuie ce qui reste sur le visage et les seins de Lisa. Madame Hendrix laisse quelques instants à tout le monde pour reprendre ses esprits. Puis…

_ Rose, veuillez reconduire mademoiselle Rossi à ses appartements. Qu’elle se beigne. Puis vous lui monterez son repas.

Doucement tirée, conduite par Rose, Lisa, encore sonnée, remonte les escaliers, les jambes tremblantes. Arrivée à sa chambre, Rose lui en lève le masque qui l’aveuglait. Elle lui sourit, la caresse.

_ Oulala ma chérie, c’était chaud, hein?

Lisa, encore tremblante, ne sait quoi répondre. Rose la prend dans ses bras, la rassure.

_ J’ai vu que tu as joui à fond! Non?

Timidement, Lisa acquiesce, un brin honteuse.

_ Allez, je dois retourner servir madame…Tu as le temps, prends un bon bain pour te détendre…Profite!

Et Lisa suit des yeux la croupe de rêve qui s’éloigne moulée dans le latex noir.

D’un latex noir à l’autre, du passé au présent, Lisa revient à elle. Eric est derrière elle, en « cuillère ». Elle adore être ainsi emprisonnée dans les membres de son amant. Est ce sa chaude rêverie? Ou le contact de ce bout bien dur et chaud sur son sexe? Toujours est il qu’il est en elle, sans qu’elle l’ait senti entrer. Il ne bouge pratiquement pas, la couvrant de caresses avec ses mains, avec sa langue. Quelle douceur! Quelle sensualité! Lisa bouge également son bassin, imperceptiblement. Le plaisir monte en eux, très progressivement. Leur respiration vibre, leurs langues s’entrecroisent. Eric ne se lasse pas de regarder sa main épouser les courbes de Lisa, du creux des hanches jusqu’aux seins, puis lui prendre les cheveux, introduire un doigt dans cette bouche si bien dessinée, sentir cette langue douce et habile le caresser. La pression monte, comme dans une chaudière, et la retenue qu’ils s’imposent depuis de longues minutes n’est plus possible.
Un gros gémissement de lisa quand elle force le sexe d’Eric à la pénétrer complètement la fait voler en éclat. Il agrippe sa croupe et accélère son va et vient, encouragé par les gémissements de Lisa, qui deviennent très forts. Elle passe sa main dans la nuque d’Eric, qui saisit les deux seins de Lisa dans sa grande main droite. Elle est survoltée, pousse ses fesses violemment sur les hanches d’ Eric. Il répond sans se faire prier dans un coït presque bestial. Il lui prend la bouche, et sa langue cherche celle de Lisa. Ils s’embrassent presque violemment, dans un long gémissement poussé à l’unisson, qui vire de plus en plus vers les aigus, jusqu’à un long « oûûûûûûûûûûûûûû », accompagné d’un « onnnnnnnnn » plus masculin. Ils restent longtemps ainsi, laisant le plaisir retomber doucement, essayant de le retenir.
Puis Lisa, à regrets, se lève. En couvrant Eric de baisers, elle lui explique qu’elle va rapidement prendre une douche, et leur servir un bon dîner…Bien sûr Eric ne peut qu’acquiescer…

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