C’était un dimanche après-midi plutôt calme, oú moi et ma soeur étions à la maison. Mes parents étant partis manger chez des amis, nous étions seuls. Alors que ma sœur était sur l’ordi, j’eus soudainement envie de me masturber. La veille, elle s’était achetée un nouveau soutif, et comme a mon habitude, je voulais y deposer ma semance. Je le lui prit et m’enferma dans ma chambre. Après m’être mit tout nu, je commençais à m’exiter. Ça faisait une bonne quinzaine de minutes que je me masturbais, quand je sentit mon gland enfler. J’allais éjaculer, ce n’était qu’une question des secondes quand j’entendis, avec effroi, la porte s’ouvrir. M’étant mit derrière mon lit, l’intrus ne pouvait me voir. Je me glissa sous mes couettes, alors même quelle tournait le coin. Elle me demanda ce que je faisait et je lui repondit en hésitant :
– Je fais une cabane…
C’est alors qu’elle vit son soutif, qui pendait sur le rebord du matelas. Elle le vit et me dit gentillement :
– Ah, tu voulais l’essayer?
– Oui, lui dis-je alors faisant semblant d’avouer.
– Tu n’est pas fâchée? lui demandis-je.
– Non, mais c’est trop bizzare, pourquoi tu as fait ça? me répondis-t-elle.
– J’avais envie d’essayer, c’est tout! dis-je.
Elle sourit alors et dis :
– Bon ben, pendant que tu y est, met le pour voir comment ça te va.
– Maintenant?
– Oui, sort de ton lit, ça n’avait pas l’air de te déranger avant que je rentre.
Étant tout nu, je ne savais quoi faire. Je la regarda ne sachant que faire d’autre. Mon regard s’arrêta sur sa poitrine. Ses seins étaient petits, mais ils étaient bien ronds et ils ne pendaient pas. J’aurais donné je ne sait quoi pour les tâter et suçer leurs tetons. Elle vit que je la matait et dit innocement :
– Ah, tu ne sais pas comment le mettre…
– Tu peut me montrer, tentais-je, regrettant aussitôt ce que je venais de dire et craignant sa reponse.
Après quelques instants de réflexion et avec un petit sourire dans le coin elle me répondit :
– Pourquoi pas! Après tout c’est comme un mayot de bain et on est frères et soeurs. Elle retira alors son débardeur, révélant ainsi son soutif rose dont j’avais seulement vu les bretelles. Je n’en perdit pas une miette. Elle me demanda alors :
– Ça va pas te choquer si j’enlève mon soutif non? dit-elle comme pour s’assurer de mon envie de la voir torse nu.
– Non, ça va, repondis-je
Elle me sourit une seconde fois et dégraffa les attaches de son soutien-gorge. Ma sœur le laissa tomber au sol, en me disant :
– Je vais te montrer comment ça se met c’est pas compliqué
Elle prit le soutif qui était sur mon lit et le mit en m’expliquant chaque étape. Je fis semblant de découvrir et je lui posa deux questions.
– Allez maintenant, c’est à toi d’essayer
– Merde, me dis-je, j’étais tout nu et en plus je bandais comme un cheval.
Je me dis que je n’avait pas le choix et en plus, javais envie d’elle. Je sortis de mon lit lentement alors qu’elle enlevait son soutien-gorge. Quand elle leva la tête, elle me vit nu, et elle parut surprise mais ne dis rien. Je prit le sous-vêtement qu’elle me tendait et le mit avec aisance. Mis à part le fait qu’il me manquait des seins, il m’allait à merveille.
– Il te va bien, tu est mignon dedans. Bon je te laisse te rhabiller me dit-t-elle.
– Non attends! Je… Commençais-je « veut enfoncer mon penis dans ta chatte » pensais-je.
– Quoi?
Je la plaqua sur le lit et me mit sur elle. Elle fit un cri et opposa résistance mais je lui tint les bras. Elle portait une jupe et une culotte en-dessous. Tout en continuant de lui tenir les bras d’une main, je lui descendit sa culotte.
– Arrête, s’il te plait
Ignorant se qu’elle disait, je mis me doigts dans son vagin. Elle était excitée cette salope. Voyant qu’elle c’était fait avoir, elle arrêta de gesticuler et j’enfonça ainsi mon pénis entre ses lèvres vaginales.
– Tu est pucelle?
– Oui, dit-t-elle timidement.
– Cest pas grave moi aussi.
Enfin elle esquiça un sourire. Mais il fut bref car la douleur la submergait. Elle cria fort mais elle se calma et après quelques instants elle commença à gémir. J’accélèra et je lui pompa la chatte. Nous étions sur mon lit entrain de faire l’amour. Combien de fois ne l’avais-je pas fantasmé…
Je ne tarda pas à éjaculer. Mon gland devint dur en elle et j’augementa une fois de plus le rythme. La charge fut lancé et mon sperme fut éjecté dans son vagin étroit.
– Oh, ça faisait des années que je rêvais de te faire l’amour.
– Tu est grand malade toi! Prévient moi la prochaine fois!
Je contina de la pénétrer doucement, en la caressant partout. Mon pénis se détendit et je le retira de son orifice. Nous embrassâmes longuement avant d’aller nous doucher.
– On le refait quand tu veut, c’était trop bien!
C’est ainsi que depuis, ma sœur est devenue mon amante et que je n’ai plus besoin de me contenter de ses soutifs.
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