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Plans sympas à la piscine

Plans sympas à la piscine



Je vais très régulièrement à la piscine pour y faire des longueurs, toujours le jour de nocturne (fermeture à 22 h 00) car, après 20 h 00, c’est très calme et il y a beaucoup de place dans le bassin. Seules, deux lignes d’eau sont prises par un club de natation pour l’entraînement.

Je fais donc mes longueurs et sort du bassin aux environs de 21 h 15, en même temps que pas mal de nageurs du club. Sous la douche ils discutent entre eux en se savonnant et, comme à cette heure-là il n’y a plus que quelques adultes en dehors des membres du club, les mecs enlèvent leur maillot de bain et se douchent totalement nus, ce qui est normalement interdit, mais semble toléré.

La première fois que je les avais vus dans cette tenue, j’étais seul sous les douches avec mon maillot de bain lorsque quelques gars du club étaient arrivés et avaient enlevés leur maillot de bain très naturellement avant d’entrer sous les douches. Je ne savais pas trop si cette pratique leur était réservée mais comme ils ne faisaient pas attention à moi je fis de même et cela ne posa aucun problème. Je pris donc cette habitude les autres soirs et cela se passait très bien.

Je pouvais voir que de nombreux mecs avaient leur pilosité intime bien entretenue : toison pubienne bien délimitée et tondue assez courte et bourses totalement lisses. En général, comme ils étaient assez jeunes, ils avaient le corps imberbe et je remarquais qu’ils étaient également nombreux à avoir les aisselles lisses. Quelques-uns avaient même le corps totalement lisse même au niveau du pubis et cela ne choquait personne. J’étais donc très à l’aise avec eux et, même si je ne participais pas à leurs discussions, nous nous saluions très cordialement. J’aimais donc cette ambiance très détendue et respectueuse, sans aucune connotation sexuelle.

Ensuite eux rejoignaient, toujours nus, leur vestiaire collectif et moi les vestiaires publics quasi déserts à cette heure-là. Pas besoin de se mettre dans une cabine pour se sécher et s’habiller !

L’été étant arrivé, je continuais à aller à la piscine mais les entraînements du club s’arrêtèrent. Nous ne fûmes donc plus que quelques adultes dans le bassin (il m’est même arrivé, une ou deux fois, d’y être seul) et je continuais à prendre ma douche totalement nu même si je n’étais pas seul et personne n’y trouvait rien à redire.

Un soir que j’étais seul sous la douche, un jeune mec, d’environ 18 ans, vêtu d’un t-shirt, d’un bermuda et chaussé de claquettes est passé pour aller en direction du bassin. Je compris qu’il faisait partie du personnel et il ne fut pas assez discret pour que je ne remarque pas le coup d’œil qu’il lança en direction de mon bas-ventre mais il ne me fit aucune remarque. Quelques dizaines de secondes plus tard, il repassa dans l’autre sens et je le regardais bien en face. Je constatais que, cette fois encore, il ne put s’empêcher de regarder mon sexe.

Après avoir pris ma douche, toujours nu, je regagnais les vestiaires et me séchais devant mon casier. C’est alors que le jeune mec arriva pour vérifier que tous les casiers étaient bien rangés. Il me jeta encore un coup d’œil en passant à côté de moi et je me tournais légèrement dans sa direction afin qu’il ait une vue plus rapprochée de mon anatomie. Je vis qu’il n’en perdait pas une miette et qu’il rougissait un peu.

J’enfilais vite mon short (un short de jogging très fin et très moulant avec un slip intégré) et, ainsi vêtu, je me rendis aux WC qui sont situés juste à côté des douches. À demi en érection, je me positionnais devant un des deux urinoirs et je me masturbais doucement. Une minute plus tard environ, alors que j’étais prêt à retourner à mon casier, le jeune mec est arrivé et s’est positionné directement devant le deuxième urinoir. Comme ils ne sont séparés par aucune cloison, je le vis ouvrir grand son bermuda d’où en jailli un slip noir tendu par son sexe en érection qu’il sorti et caressa doucement. Il n’était pas très gros et surmonté de seulement quelques poils blonds assez courts ce qui fait qu’il semblait imberbe. Je ne pense pas qu’il se rasait mais, plutôt, qu’il avait un système pileux peu développé.

Immédiatement, je lâchais le mien pour prendre le sien à pleine main et le masturber doucement. Il ne dit rien et me regarda le masturber. Cela ne dura pas très longtemps car, rapidement, il éjacula un long jet de sperme épais au fond de l’urinoir et sur ma main. Une fois son éjaculation terminée, il se recula, remis dans son slip son sexe à l’extrémité duquel suintait encore une goutte de sperme, rattacha son bermuda et partit sans un mot, ni un regard. Je me masturbais également et éjaculais dans le même urinoir que lui. Nos deux spermes se mélangèrent et je dus faire couler beaucoup d’eau pour tout évacuer.

La semaine suivante, je ne vis pas le jeune mec quand j’arrivais mais, comme la semaine précédente, le même manège se reproduisit : il passa lorsque j’étais sous la douche et me jeta un coup d’œil. Comme je n’étais pas seul dans les douches, j’attendis que l’autre mec s’en aille pour me rendre, toujours nu, directement devant l’urinoir. Le jeune mec me vit y entrer depuis le fond des vestiaires où il s’était posté et il me rejoignit quelques secondes plus tard.

Cette semaine, il ne portait pas un bermuda mais un short de toile sans bouton ni braguette. Il le baissa à mi fesses et m’apparut dans un boxer bleu déformé par son sexe qui était à l’horizontale. Je me rendis compte tout de suite qu’il n’était pas au repos mais déjà bien dur, preuve que la petite masturbation de la semaine précédente lui avait laissé un bon souvenir et qu’il était demandeur d’une autre séance, ce qui me convenait tout à fait.

Avant même qu’il ait fini d’écarter l’élastique de son boxer, ma main avait déjà plongé dedans et attrapé son sexe qui était, effectivement, bien dur. Vu son état d’excitation et la rapidité de son orgasme de la semaine précédente, je le caressais doucement sur toute la longueur de son sexe et pas seulement sur le gland. Il avait l’air d’apprécier ce régime et je pouvais l’entendre soupirer doucement. Il se lâchait beaucoup plus que lors de notre première rencontre et j’ai eu l’impression qu’il assumait beaucoup plus de se faire masturber et, même si je n’en étais pas certain, je pense néanmoins qu’il était gay (ou, du moins, bisexuel avec une forte tendance gay) car il ne regardait plus seulement sa queue mais semblait fascinée par la mienne qui était plus imposante que la sienne et totalement rasée. Il n’alla pas, malheureusement, jusqu’à me caresser.

Au bout d’une bonne minute de ce régime, je sentis ses cuisses trembler légèrement et j’en déduisis qu’il allait atteindre l’orgasme. En effet, poussant son bas-ventre en avant et lâchant son short pour s’appuyer avec ses deux mains sur le mur, comme la semaine précédente, de longs jets de sperme épais vinrent s’écraser dans l’urinoir. Après avoir éjaculé, il soupira profondément pendant que je le masturbais encore doucement. Il était vraiment mignon avec son petit boxer et son short sur ses claquettes !

Pendant qu’il reprenait ses esprits, je lâchais son sexe encore humide et ma main attrapa ma queue complètement raide et humide de mouille. Tout en remontant son boxer et son short, il me regarda me masturber et éjaculer rapidement quelques bons jets de sperme. Il me sourit en partant et je lui rendis son sourire en pensant que j’aimerais bien l’embrasser à fond en mélangeant nos langues. Sa queue et son jus de mec me faisaient également envie et je me suis promis qu’à notre prochaine rencontre, s’il y en avait une, il ne couperait pas à une bonne fellation. J’étais persuadé, au vue de sa relative timidité et du fait qu’il atteignait l’orgasme rapidement, qu’il n’avait encore jamais eu de relations sexuelles, ni avec une fille, ni avec un garçon.

La semaine ne se passa pas assez rapidement à mon goût car j’avais vraiment très envie de le revoir mais, malheureusement, après ma séance de natation suivante, je ne le vis pas passer lorsque je prenais ma douche, ni dans les vestiaires lorsque j’y retournais. Je traînais au maximum jusqu’à l’heure de fermeture mais ne le vis pas du tout. N’était-il pas de service ce soir-là ou son contrat était-il terminé puisque nous étions dans les tous premiers jours du mois d’août et qu’il avait travaillé au mois de juillet ? Évidemment je n’en savais rien mais j’espérais néanmoins le revoir car j’avais encore d’autres choses à lui faire découvrir.

Mon jour de piscine arriva enfin et, à ma grande surprise, il y avait pas mal de monde dans les vestiaires ce qui était étonnant pour un début de mois d’août. Cela m’embêta un peu mais je fus très heureux de voir mon petit ami en train de ranger des casiers qui trainaient. Je ne sais pas s’il en profitait pour regarder les mecs mais c’est vrai que ce soir-là, il avait du travail. Il me vit arriver et nous échangeâmes un regard alors que je me dirigeais vers une allée de cabines ou, à mon grand plaisir, il n’y avait personne.

Je restais dans cette allée pendant que je me déshabillais et j’étais en train d’enlever mon jean quand je le vis arriver. Il me sourit et je pus constater qu’il ne se cachait pas pour me regarder. Il faut dire que je portais un petit string noir en tissu fin (un HOM Plume, pour les connaisseurs) qui moulait bien mon anatomie et avait même du mal à la contenir. Je rangeais mon pantalon dans mon casier, lui donnant l’occasion de me mater sous tous les angles, ce dont il ne se priva pas, puis j’enlevais mon string libérant ma queue à moitié raide. Il me sourit, preuve que le spectacle lui convenait et qu’il avait certainement une idée derrière la tête. J’étais encore nu lorsqu’il s’approcha pour vérifier des casiers près du mien et j’en profitais pour passer une main sur le devant de son bermuda. Je sentis, à travers le tissu, son sexe raide. Il ne fit pas un mouvement de recul mais ne s’arrêta que très brièvement avant de continuer devant d’autres casiers, ce que je compris parfaitement puisque nous n’étions pas seuls dans les vestiaires.

Maintenant totalement en érection, et toujours sous son regard, j’enfilais mon maillot de bain qui fut incapable de contenir mon sexe. Il me sourit encore en me voyant dans cet état et s’éloigna pour vérifier les casiers d’une autre rangée. Je finis de ranger mes affaires et restais assis quelques minutes dans une cabine afin que mon érection se calme et que je puisse rejoindre le bassin.

Après avoir fait mes longueurs, en essayant de ne pas penser à mon petit ami, je rejoignis les douches sous lesquelles quatre personnes s’y trouvaient déjà. Aucune n’avait enlevé son maillot de bain mais, comme je ne voulais pas changer mes habitudes et trouvais plus agréable de me mettre nu sous le jet, j’enlevais le mien et me savonnais dans cette tenue. Personne ne me fit de remarques et, à la fin de ma douche, j’étais seul, les autres mecs ayant déjà rejoints les vestiaires.

Je passais un peu de temps sous la douche, seul cette fois, puis, mon maillot de bain à la main, je partis dans les vestiaires. J’y vis, à l’entrée, mon petit ami mais, comme un mec s’y trouvait encore j’allais à mon casier et entrais dans une cabine en laissant la porte grande ouverte. Au bout d’une minute environ, j’entendis le mec partir. Il n’y avait donc plus dans les vestiaires que mon petit ami et moi-même.

Très rapidement, je l’entendis se déplacer dans l’allée principale des vestiaires puis dans l’allée de cabines ou j’étais. Je restais assis sur le petit banc de la cabine et le vis en face de moi. Il marqua un temps d’arrêt puis entra dans la cabine. Face à moi, je pouvais voir une bosse déformer le devant de son bermuda. Il repoussa la porte de la cabine derrière lui tandis que je l’attirais vers moi. Je lui déboutonnais et lui baissais son bermuda aussitôt suivi par son boxer, libérant son sexe dressé juste en face de ma bouche.

Avant qu’il ne se rende compte de ce qui se passait, j’avais son sexe dans ma bouche. Il tenta de se reculer mais je l’agrippais par les fesses, le plaquant contre ma figure. J’avais le nez sur son pubis quasiment lisse et son sexe en entier dans ma bouche. J’aspirais son gland à l’entrée de ma gorge et je le sentais trembler de tout son corps. De peur qu’il n’éjacule trop vite, je ressortis son sexe de ma bouche pour jouer avec ma langue autour de son gland puis l’avaler à nouveau. Je relâchais légèrement mes mains de ses fesses et il ne recula pas. Il appréciait donc, le premier moment de surprise passé, cette fellation, la première qu’on lui faisait, je suppose.

Je libérais son sexe pour lécher ses bourses qu’il avait toutes lisses. Son sexe était dressé contre mon front et je profitais de cette position pour lécher également son entrecuisse, derrière ses bourses et juste devant son anus. Il avait l’air d’apprécier mais je n’osais pas, malgré mon envie et de peur de l’effrayer, le retourner pour lécher sa rondelle que j’imaginais rose et lisse. Il découvrait déjà suffisamment de nouvelles sensations ce soir !

Je revins ensuite sur ses bourses puis léchais son sexe sur toute sa longueur avant de l’engloutir à nouveau dans le but de recueillir les longs jets de sperme épais que j’avais vu, par deux fois, s’écraser au fond de l’urinoir. J’enserrais d’abord son gland entre mes lèvres pour jouer tout autour avec ma langue avant de, le sentant trembler de plus en plus, l’engloutir en entier. Bien m’en a pris car, son gland à peine à l’entrée de ma gorge, il se cambra en avant me remplissant la gorge et la bouche de sperme. Il avait vraiment une très belle éjaculation que j’avalais en entier.

Je continuais à le sucer quelques secondes pour lui rincer le gland et il se retira de ma bouche pour s’appuyer dos à la porte. Il resta ainsi à me regarder, son sexe encore à moitié dressé, son bermuda et son boxer sur les pieds. Je m’appuyais le dos au mur de la cabine, jambes écartées et tendues et je commençais à me masturber. Comme je voulais faire durer le plaisir, je m’enduisis le gland de salive et variais les mouvements de ma main, soit uniquement sur le gland soit, plus ou moins rapidement, sur toute la longueur de mon sexe.

Mon petit ami me regardait faire et, au bout d’une bonne minute de ce régime, je m’éjaculais dessus, un jet de sperme s’écrasant même sur ma figure. Il me sourit et émit un petit sifflement silencieux d’admiration. À ce moment-là, j’aurais bien voulu poser un doux baiser sur l’extrémité de son sexe pas totalement revenu au repos et l’embrasser à pleine bouche mais il se baissa, remonta son boxer et son bermuda et, après un dernier sourire, il ouvrit la porte et je l’entendis s’éloigner en ouvrant des casiers comme s’il faisait son travail en vérifiant que rien n’y avait été oublié.

Je repris mon souffle et me dirigeais, toujours nu, la figure, les pecs et le ventre maculés de mon propre sperme et la bouche conservant le goût du sien, vers les douches ou je me rinçais abondement. Je retournais passer mon short, mon t-shirt et mes baskets et je quittais la piscine sans le revoir.

Ce fut l’apothéose de notre relation car la semaine suivante, la dernière fois que je le vis, je n’ai fait que le masturber et, moins timide, il m’a avoué avoir beaucoup apprécié la fellation que je lui avais prodiguée la semaine précédente. Quand je lui demandais si c’était la première fois qu’on lui en faisait une et s’il était gay, il ne me répondit pas mais me sourit et rougis légèrement. J’en conclus que ses réponses à mes deux questions étaient affirmatives.

Je ne le revis donc plus jamais mais je garde un excellent souvenir de ces petits plans rapides. Je réalise, avec le recul, les risques que nous prenions de nous faire prendre en pleine action (surtout lui, qui était au travail) mais je pense (et j’espère) que cela a pu, néanmoins, contribuer à lui permettre d’assumer son homosexualité.

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