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Une pute en son bar

Une pute en son bar



Cinquante ans. Pour qui sonne le glas ? On peut décliner à loisir nombre de formules pour caractériser ce moment singulier où se marque le mitan de notre vie. N’étant pas Dante, je vous épargnerais d’en faire une comédie fut-elle divine. Heureusement j’avais depuis peu rencontré un homme. Celui-ci en parfait gentleman me rendit comme indolore ce passage voire cette épreuve. Ce gentleman m’avait séduit par son flegme et sa désinvolture au quotidien. A ce jour j’hésite encore de dire s’il fut mon démon ou mon bon ange. Je lui dois néanmoins de m’être vraiment métamorphosée.

Pour aller vite disons que je fus auparavant une parfaite épouse docile voire soumise. Mon nouvel ami me rudoyant déclarait souvent : « Ma chère vous étiez fort coincée lorsque je vous ai connu.« Il me fallait en convenir. Je regardais maintenant avec quelque dépit la femme que j’avais été depuis peu encore. Celle-ci me paraissait maintenant pathétique voire étrangère. Je ne concevais pas d’avoir perdu et gâché tant ma vie. J’en voulais à mon ancien mari de m’avoir imposé cela. Les égoïstes savent être heureux. Je me devais maintenant de les imiter sans scrupules. Cela urgeait.

Nous avions convenu de cacher aux autres que nous nous étions rencontrés sur un site libertin. Ainsi avais-je du à une bonne copine fort dévergondée un soir et après que nous eûmes forcé un peu sur la dive bouteille de naviguer dans ces périlleux parages. Il m’avait toujours répugné de jouer à ce jeu du tchat et de la souris et je n’avais jamais assez de mots assez durs et méprisants pour moquer ceux qui sacrifiaient à ce genre de pratique. Je trouvais cela puéril, pathétique voire complètement nihiliste. En gros on y perdait son âme. On se vouait à un avenir d’amertumes et de frustrations.

Ce soir-là ce fut la copine qui draguait. Elle y avait tout plein d’amis ou plutôt de familiers. Elle crut devoir me mettre dans la boucle. Notamment fit-elle en sorte que j’engageas une conversation échevelée avec un certain Jean. Celui-ci sortait du lot. Outre une absence de fautes d’orthographe, il avait un vocabulaire et une rhétorique qui eûrent l’heur de me plaire. Surtout je fus aise qu’il perçut assez de ma personnalité pour me complaire par avec son zeste de retenue. Je n’avais point assez d’expérience pour reconnaître là un Don Juan madré. Bref je tombais dans bien vite en ses filets.

La copine insistât pour que je lui abandonnas mes coordonnées et convins une semaine plus tard d’un fatal rendez-vous. Nous avions auparavant échangé nos photos. Il paraissait bel homme. Cependant il n’était pas exclu que je fus déçue à ce cher rendez-vous. Il est trop connu que certains s’affichent trop complaisamment en truquant leurs photos. Là aussi je fus rassuré. Mon Jean n’était point en dessous de mes rêves. Auparavant j’étais tombée sous le charme de son timbre de voix au téléphone. On eût dit que je glissais sur un toboggan tel dans un rêve. Cela allait pourtant si vite.

Le sexe était sa passion. Il m’expliquât d’emblée que nous ne serions pas exclusifs l’un de l’autre. Il aurait d’autres partenaires que moi et je devrais des fois enter dans ses jeux où la pluralité de partenaires étaient le moindre. Concevez qu’une telle révolution m’effraya au début. Je passais ainsi sans transition du silence du cloître à la boîte échangiste sonore. Heureusement je n’eus pas trop de temps à réfléchir. Je fus pris comme dans un tourbillon. Je me souviens un soir m’être avisée soudain dans un miroir. Le lieu était glauque. J’étais méconnaissable et maquillée. Un spectre.

Mi-nue bardée d’un peu de cuir, je percevais dans la pénombre un type collé à moi. Il devait comme d’autres besogner dans mon cul. C’était le énième en cette soirée d’orgie. Je réalisais
ma passivité, morceau de viande partagé entre nombre de mâles inconnus. D’autres femmes alentour se damnaient comme moi. Bétail docile. J’attendais d’être prise par un autre ou plusieurs. Il n’y a pas un an je répugnais à prodiguer une fellation ou à accepter qu’on m’enculât. A présent tout cela relevait pour moi d’une routine de haut vol. j’étais devenue experte. Je savourais le mot de pute.

Outre ces lieux de partouze, nous écumions sur le net nombre de sites. Nous y rencontrions de nouveaux partenaires. J’étais volontiers offert aux plus vicieux et pervers. Mon compagnon adorait assister à mes humiliations. Son truc état d’en tirer de succulentes vidéos qu’il dispersait ensuite sur la toile. J’y avais maintenant ma réputation. Tout au plus avait-il concédé que je fus floutée quant au visage ou que je portas des fois un loup sur celui-ci. Je dus convenir de la qualité de ces vidéos et qu’elle m’excitait et me fascinait. Ma minable existence prenait là une autre ampleur. Je renaissais.

Le plus curieux est que je conservais une vie sociale studieuse et banale. Ce contraste ajoutait à mon plaisir. J’avais appris à dissimuler et à cultiver l’art de la double vie. Je n’adorais rien tant que de faire des dupes, de mes amis et collègues. Dans la famille on ricanait croyant toujours que je demeurais la première communiante coincée. On désespérait de me trouver un nouveau mari. Une vielle tant revêche me lançait : « Idiote veux-tu te dessécher et de devenir vieille fille ? » J’en souriais. Devinaient-il ces sots que je portais des fois des bas sous ma robe délestée de ma culotte ?

Il est vrai que je n’appréhendais rein tant que d’être démasquée un jour. Aussi tâchais-je d’assouvir mes turpitudes loin de mes lieux de domicile et de travail. En cela je me grimais et fardais à un point qu’il eût été impossible de me reconnaître. Les lunettes noires et la perruque faisaient partie de mes ingrédients. On n’eût vu de loin et en ma personne qu’une sorte de prostituée qui allait quérir le client. Je jubilais sous ce masque. J’avais convenu du reste avec mon compagnon de réaliser deux, trois exploits la semaine et de le lui relater. J’en parvenais à en ramener des fois quelques vidéos.

Cela se résumait souvent à du simple ou du classique. Je suçais un quidam dans des toilettes d’un bistrot ou d’un supermarché ou celui-ci me besognait près de ces mêmes endroits au fond de sa voiture. Il m’importait peu qu’il fut vieux ou jeune, beau ou laid, riche ou pauvre. Seul comptait que le contexte m’excitât au point que je m’offris sans réserve et assumas mon statut honorable de putain. Il était hors de question que je donnas suite et laissas mes coordonnées à l’un de ces amants d’occasion. Il devait se contenter de sa bonne fortune et d’avoir pu att****r une fulminante garce.

J’eus peur une fois cependant. Au retour du travail j’avais opéré un détour dans un bar loin de chez moi où je levais des fois de vrais mâles. S’y côtoyaient indifféremment des gus de diverses classes sociales et d’ethnies. J’avais à cet égard cédé à la fantaisie de sucer quelquefois des queues nègres et maghrébines. Cette fois-là je fus abordée par un vieux gros manifestement vicelard qui avait flashé sur mes cuisses que je savais belles et avaient croisé fort haut. Je sursautais. La pénombre m’ayant
dissimulé jusqu’alors ce visage soudain familier. Je reconnus trop tard Grandin, un collègue.

Du moins je ne le connaissais que de loin dans ma boîte. Il était comptable et écumait les étages supérieurs où je frayais peu. Cependant je savais sa réputation. Il était notoire qu’il reluquait tous les jupons et fréquentait les prostituées de la ville. Le patron l’avait sommé un jour de ne pas user de l’ordinateur du bureau pour se balader sur les sites pornos. Bref j’étais moins étonnée qu’il m’eut abordé ce soir-là que de le trouver dans ce bar où je ne l’avais jamais vu auparavant. J’eus soupçon qu’il m’y avait repéré et appréciait mon petit manège. Le porc voulait manifestement en être aussi.

Ma première idée fut de l’évincer. Je n’avais scrupule à cela. Le barman Jo qui était un ami m’aidait énergiquement en pareille circonstance. Puis je me ravisais. Mon instinct me dit que je me ferais un ennemi ici de ce père Grandin. Mieux valait le circonvenir. Le plus sage étant d’agréer à sa demande pour mieux m’en débarrasser. Je ne voulais à cause de cet imbécile renoncer à ce bar ou j’avais d’une certaine façon fait mes premières armes. Qui plus est ces derniers temps, j’avais convenu avec l’ami Jo de tarifer mes prestations pour certains. Je goûtais que mon jeu tournât ainsi à la prostitution.

Du reste j’osais surenchérir ce soir-là à l’égard de Grandin. Je voulais que ce radin notoire crachât quelques billets pour moi. Vraisemblablement je lui avais tapé dans l’œil. Il ne se dégonflât pas. Il salivait. Il avait un peu les yeux exorbités du loup de Tex Avery sur mes cuisses. Je regrettais juste que je ne pourrais après me vanter auprès de mes collègues d’avoir entamé la bourse dudit gredin. Nous passâmes d’abord par les toilettes. Je goûtais moyennent qu’il prit la liberté de me caresser le cul au travers de ma jupe de cuir. Je l’eus volontiers giflé. Mais n’étais-je pas une putain ?

Ce porc me plaqua contre le mur et m’infligeât un long baiser goulu. Je trouvais cela sur le champ répugnant. Je ne m’y attendais guère. Cependant du coup ma lubricité se réveillât. Je cédais. N’avais-je pas embrassé depuis des types plus repoussants ? Cette humiliation participait en fait de ma jouissance. Je m’abandonnais et le suçais peu après. Il avait une bite ordinaire. Il n’en eût pas moins droit à mon talent d’experte. Je mettais maintenant un point d’honneur à ce qu’on me louât pour mes pipes. Je trouvais comique d’affermir ce membre dessous un gros ventre poilu et ridicule.

Il en voulait pourtant rapport à ses billets. La prochaine étape fut la banquette arrière de sa voiture. Elle trônait dans le parking peu loin. Il me demandât si nous devions nous déplacer ailleurs. Je lui rétorquais que cela ne me gênait pas qu’il y eût là quelques passages. Au contraire cela m’excitait qu’on me reluquât. Il était notoire que j’étais la salope que les clients du bar pouvaient ici basculer. Je vis que le gredin eût préféré un endroit plus tranquille et son dépit me renforçât dans ma résolution. Il semblât s’en venger en me rudoyant en ses assauts. Il n’y allât pas de main morte.

Je ne fus pas peu étonnée que ce petit rond et sexagénaire eût un coup de queue si viril. Qui plus est le bougre était endurant et j’eus assez de peine à le fatiguer et vider. Il maîtrisait et son érection et son éjaculation. Il en eût d’une certaine façon pour son fric. Cela durât près d’une heure. Je n’avais jamais été baisée de la sorte. Il m’enculât avec une certaine frénésie. Souffle coupée j’eus enfin le bonheur de recueillir sa jouissance au fond de mon anus. Il n’en voulût pas moins que je lui suce la queue une dernière fois. Retirant le préservatif il m’adjurât d’avaler un peu de sa semence. Je cédais.

Ce salopard avait un peu triomphé. Je pestais que j’aurais du davantage demander pour cette longue prestation. Ainsi méditais-je tandis que nous retournions vers le bar pour nous nettoyer notamment quand soudain passant dessous un réverbère, il avisa un peu de mon visage et s’exclama : « Tiens vous me faites songer à une connaissance. Ne s’est-on pas rencontré une autre fois ? » J’eus le bon sens de la répartie. « Je ne crois pas mon gros. Je me serais rappelé de ta sale gueule ». Il éclatât d’un franc rire franc et cordial, il me claqua le cul en passant et n’y pensant plus. J’avais eu chaud.

J’obtins comme convenu qu’il n’y aurait pas d’autres fois et qu’il me foutrait la paix. Il tint parole. Du reste il me semblât qu’il ne revint pas dans cet endroit. Il devait draguer en d’autres lieux. Je pouvais à loisir faire ma pute avec d’autres. Je me gardais d’en parler à mon compagnon qui m’eut sans doute obligé à recoucher avec le collègue et même d’en tirer quelques vidéos. D’ailleurs cela me faisait drôle de croiser dans les couloirs du boulot, mon comptable. Je baissais la tête de peur qu’il m’eût reconnu malgré ma robe, mes lunettes et mes souliers plats. Je n’avais rien d’une pute.

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