20H45 Je marchais à grands pas vers le bungalow de Madame S, j’avais passé l’après midi exité à penser à ce moment, je la revoyais me regarder me masturber, caresser son gros sein, m’encourager à juter devant elle me rendait dingue, j’avais bandé une bonne partie de la journée sans me faire jouir comme elle me l’avait demandé, je sentais mes bourses pleines ça devenais douloureux, j’avais vraiment envie de jouir. Mais plus j’avançais, plus je commençais à me demander ce qui allait bien pouvoir ce passer, des tas de choses me venaient en tête et si elle riait juste en me traitant de petit branleur … C’est plutot fébrile que je frappais à sa porte … « Entre …!!! » J’ouvrais la porte et j’entrais, elle était en train de finir de débarrasser la table, des couverts pour un, elle était seule, toujours vétue de son pareo, pieds nus et je me mis à éspérer qu’elle était tout aussi nue sous son pareo, ce qui me semblait possible à la vue du ballotement de ses gros seins sous le tissu. « Je dois t’avouer que je pensais que tu ne viennes pas » Je ne savais pas trop quoi répondre … « Je me disais que tu n’oserais peut être pas et puis qu’une femme plus agée et ronde comme moi ne te tenterai peut être pas plus que ça » « Oh non au contraire, je vous trouve vraiment superbe et puis l’age c’est dans la tête » lui dis je en aillant qu’une pensée celle de lui enlever son pareo et de la voir nue. « Merci de me dire ça, tu me ravis et je suis bien d’accord avec toi pour le « c’est dans la tête » c’est très vrai, comme pour beaucoup d’autre chose d’ailleurs, et on en reparlera » me dit elle en souriant et en m’envoyant un clin d’oeil.
« … Dis moi, est ce que tu accepterais qu’on aie une petite discution autour du sexe, qu’on fasse un peu plus connaissance ? » « Oui, biensur avec plaisir même, on peut parler de tout, pas de soucis » « Ok … alors pour commencer, qu’est ce que tu fais là ? je veux dire, qu’est ce que tu cherches, qu’est ce que tu t’es imaginé avant de venir frapper à ma porte ? » Elle me scotchait à ma chaise en disant ça, je me sentais complétement couillon et ne savais pas quoi lui répondre … « … Donc tu ne sais pas !! » me dit elle en souriant, d’un air très sure d’elle qui m’avait tétanisé et je sentais que ça lui plaisait. « Alors moi par contre, je sais ce que veux, ce que je veux pour commencer c’est que ce soit très clair, tout ce qui ce passera entre nous restera entre nous !! si il te vient l’idée d’aller te vanter ou raconter quoi que ce soit à tes copains ou à quiconque, et dis toi que je le sentirai très vite aux regards se posant sur moi en me baladant dans le camping, je serais evidemment obligée de partir, et ça s’arretera là, pareil si ça ne le faisait pas entre nous, je veux du respect de ta part, j’espere que tu es suffisament adulte pour ne pas faire de blabla …On est bien d’accord ?? !! » me dit elle d’un ton on ne peut plus clair. « Oh oui oui, pas de soucis avec moi, j’ai d’une part peu d’amis ici et ce n’est pas mon genre du tout, vous pouvez me croire » lui dis je d’un air assuré comme un « bonhomme » alors que je me sentais de plus en plus petit et que je n’avais pas penser à tout ça avant de venir ici et ne savait pas du tout ce qu’il allait pouvoir venir maintenant … « Bon, alors on va établir qu’elles règles si tu veux qu’on puisse « s’amuser » un petit peu tous les deux, car ça te plairait qu’on s’amuse tous les deux non ? » me dit elle en me renvoyant un sourire. « Oui biensur que ça me plairait, ça me plairait beaucoup même !! »
« Alors 1er règle, quand tu viens ici une fois que tu es rentré, tu descends les stores, et tu te déshabilles … entièrement, je te veux tout nu, tout le temps, le sexe à l’air, et tu ne te gènes pas pour te toucher comme dans les douches ce matin, tu seras obligatoirement nu ici ok ? » … « OK … » et … troublé mais avec un léger début d’érection, j’attendais la suite …
Je la regardais, elle me regardait … le silence devenait angoissant … « … Ca commence tout de suite … » me dit elle en chuchotant …
Oh … ça j’avais pas compris, j’étais absorbé par ses paroles …
Je reculais donc ma chaise doucement, me mis debout, et j’enlevais mon teeshirt, les tongues, le bermuda, … et … mon caleçon … j’étais nu, debout, un peu embarrassé en sentant mon sexe à l’air comme ça, nu devant cette femme, j’allais me rassoir quand elle me tendit son verre d’eau et me dit, » va me chercher un peu d’eau s’il te plait »
Je prenais le verre, nu le sexe à hauteur de la table, elle le regardait, le croquais des yeux même, amusée.
J’allais au robinet, remplis le verre, l’air sur mon sexe et la situation d’être entierement nu, éxibé m’exitait, je commençait à bander … Je me retournais vers elle le verre plein à la main et marchait vers la table, mon sexe se tendait de plus en plus, commençait à balloter librement de gauche à droite, … j’avais honte … je bandais … le sexe dressé … face à elle, je savais plus trop ou me mettre, mais je bandais, je pouvais pas m’en empécher de bander comme un fou de plus en plus, mon sexe tapais même maintenant contre mon ventre tellement la sensation d’être nu et la situation d’être le seul à être nu m’exitait. Je posais le verre et avant que j’ai pu me rassoir elle me dit « Tu aimes, ça te plait, ça ce voit et à moi aussi ça me plait beaucoup ! » dit elle en me regardant dans les yeux
« Alors on va, je vais te parler crue, donc 1er règle ici tu seras et resteras toujours nu, et j’avais dis que tu pouvais te caresser, comme ce matin, donc caresse toi, montre moi comme tu te fais du bien, tu étais tout beau ce matin donc allé branle toi, reste bandé, tu es superbe comme ça nu, le sexe dressé, ça me plait beaucoup et je suis sur qu’a toi aussi «
Ses mots m’exitent encore un peu plus, je me mets donc la main sur la queue et doucement commence à me branler, je tire sur la peau de mon sexe à fond, mon gland est gonflé, violacé de plaisir je m’empoigne encore un peu plus fort toute la tige et je la fais lentement coulisser dans ma main, mes couilles pleines se tendent, et une goutte de sperme à vite fait de venir perler au bout de mon gland.
Elle le voit, la récupère d’un doigt et se lève pour le porter à ma bouche et me le faire sucer.
« Attention, ne jouis pas, pas tout de suite, garde moi tout ce bon jus que tu m’as fait gouter ce matin pour quand je te le dirai !! »
Elle fait bien de me dire ça, parce que je suis franchement à 2 deux doigts de tout lacher et de juter partout éxité comme je suis.
« 2eme règles, tu viens de comprendre, tu ne jouis pas tant que je ne l’ai pas dit !! «
« 3eme règles, une fois la premiere régle accompli tu files sous la douche et aprés être copieusement savonner tu rases tous ces poils régulierement, tu seras encore plus beau tout lisse, viens !! »
Je la suis dans la salle de bain, plutot grande d’ailleurs et prends place dans la baignoire, debout le sexe toujours en main pendant qu’elle s’assoie sur le rebord les jambes à l’extèrieur, elle fait couler l’eau et me tend le savon, que je prends en commençant à me laver.
Elle se saisis d’un rasoir qui est là sur le rebord attend que je me sois couvert le sexe de savon et me le tend sans en dire plus.
Je m’étais mis un coup de tondeuse partout quelques jours plus tot n’aimant pas trop la « brousaille » non plus mais jamais rasé.
Je m’applique à faire disparaitre tous poils notamment autour de mes couilles, ce qui me demande un peu de concentration et me fais quasiment débander malgrès son regard sur moi pendant l’exercice et sa présence.
Une fois fait je replace le rasoir sur le rebord et entreprend de me rincer.
« Ils en restent » je l’entends me dire « mais je vais t’aider là, penche toi en avant en écartant les jambes, pour cette fois je vais le faire, les prochaines tu arriveras au même résultat. »
J’ai un cours moment d’hésitation, être nu devant elle est déjà troublant, mais me mettre dans la position qu’elle demande est bien plus que troublant, j’ai envie de lui dire que non, je peux faire ça, mais je m’éxecute sans que j’ai l’impression d’avoir rien décider, mon corps bascule en avant et j’écarte largement les jambes en laissant mes couilles et ma bite pendre sans retenu, je me sens géné, je me vois dans cette position et suis pris de honte, mais elle me rassure de son air sur d’elle, pas de géne et toujours son léger et craquant sourire aux lévres pendant qu’elle s’enduit les mains de gel douche.
Je sursaute légèrement quand sa main vient se poser sur moi, sur mes fesses, qu’elle couvres de savon, et elle les glisses, partout … je les sens sur mes couilles, et sur mon cul maintenant, elles glissent et glissent encore, sans retenu elles passent sur mon trou, elles appuient elles frottent copieusement je comprends qu’elle n’est pas seulement en train de me badigeonner de savon, mais qu’elle prend un malin plaisir me caresser. C’est bon, même très bon, j’ai envie qu’elle continue, je sens mon sexe gonfler, raidir mon gland viens taper sur mon ventre, je respire fort, j’ai envie de me branler, mais je préfère ne pas toucher ma queue de peur de direct gicler.
« C’est sensible !! et ça te plait on dirait, moi j’aime beaucoup, j’adore même et une fois tout lisse ce sera encore mieux !!! tu vas voir … »
Elle arrète ses caresses et passe le rasoir délicatement partout avant de rincer et refaire glisser ses mains, c’est maintenant tout lisse et la sensation me rend fou, je bande, j’ai envie qu’elle saisisse ma queue, qu’elle l’empoigne et qu’elle me branle, qu’elle m’astique la bite pour faire gicler mon foutre dans une grosse éjac, mais elle non, elle continue de me caresser le cul, de plus en plus fort, elle appuie, elle glisse fort, elle m’écarte les fesses et viens poser sa bouche sur mon trou, elle me lèche, elle se frotte, elle mange mon cul copieusement, je vois sa main droite s’activer sous le pareo, elle se branle, elle me bouffe, ça l’exite et moi ça me rend dingue, je sens ses doigts qui jouent avec l’entrée de mon cul et qui finissent par rentrer, d’abord un puis tout de suite deux … je les sens planté entier dans mon cul, et qui me fouillent, j’ai envie de crier tellement c’est bon, je m’étais déjà doigté seul en me branlant, et j’y avais pris du plaisir, mais le tabou de l’interdit m’avait empécher je pense d’aprécier vraiment la chose, mais là, une femme était en train de s’occuper copieusement de mon cul uniquement concentré dessus, et je prenais un pied pas possible à la laisser faire, j’étais complètement « offert » au diable les conventions et la bien pensance, je voulais qu’elle continue, qu’elle me lèche qu’elle me doigte encore et encore, à cette instant j’aurai plus encore, j’étais dans un état d’exitation où tout est permis, pourvu que ce soit bon, sans m’en rendre compte je m’étais mis à pousser sur ses doigts et à remuer mes hanches pour bien les faires remuer, bien les sentir en moi le plus possible, elle s’en rendit immédiatement compte.
« Oh mais tu aimes ça petit cochon, tu aimes ça que je m’occupe de ton cul petite salope !! »
Et sur ces mots je sens un troisieme doigt me pénétrer, je gémis, je me sens ouvert, remplit, éxité qu’elle me traite de salope, je pousse sur ses doigts, elle les pousse aussi et me masse le trou, elle le fouille, l’écarte et se met à le branler fort, je gémie plus fort, la tête me tourne je ferme les yeux et je sens un énorme spasme monter de mon bas ventre, je jouis, sans aucune retenu, je lache tout et je jouis un jet de sperme jaillit de ma queue, je vais pour la saisir et me branler instinctivement, mais je n’ai pas le temps, je sens sa main qui m’a déjà empoigné la bite et l’astique frénetiquement tout en continuant de l’autre main à me fourré tout aussi frénétiquement le cul de trois doigts, et je jouis, encore et encore, je vois ma bite juter, cracher du sperme à n’en plus finir, tout mon corps tremble, mes jambes flagelles, je tombe à genoux dans la baignoire, presque KO de ce puissant orgasme qui me semble interminable, je tente d’un mouvement en avant de me retirer de ses doigts, mais elle se met à les planter encore plus fort et me pistonne le cul d’une dizaine de coups violents tout en saisissants mes couilles et les tirants en arriére, je peux pas m’empécher de gémir de presque crier tellement c’est intense, elle sors vivement ses 3 doigts plantés à fonds se saisi alors de ma bite tout en continuant de tirer mes couilles et ma queue en arriere, et se met à m’astiquer violement, elle me traie littéralement la bite, et dans un deuxième spasme, elle me fait jouir une deuxième fois, mes couilles se vide du restant de jus qu’elles pouvaient encore contenir, je jouis pendant encore une bonne vingtaine de secondes, je regarde ma bite juter et me laisse basculer sur le coté, KO, je lève seulement une jambe en l’air pour lui laisser l’accés à mon sexe qu’elle sert maintenant dans sa main, je suis vidé, abandonné, jamais je n’avais jouis aussi fort, aussi longtemps, aussi puissement qu’aujourd’hui avec cette femme.
Tendrement elle passe doucement ses doigts sur mes couilles, ma queue et mon cul sur lequel elle appuie un peu plus fort, je la laisse faire repus, offert
Elle me met une claque sur les fesses avant de se relever et me dire
« Mmmmmm ça c’était de l’orgasme mon coquin, du bon sexe comme j’aime, pas besoin de te demander si tu as aimé, tu as jouis du cul comme une bonne petite salope mon cochon, tu m’as faite mouiller comme une fontaine »
Elle passe une main entre ses jambes, et l’approche de ma bouche « lèche » je tire la langue et elle me tartine de son jus, la bouche les joues avant de la porter à sa bouche et de se sucer les doigts.
» reste là, ne bouge pas je reviens … »
Je la vois partir dans une des chambres et revenir quelques secondes plus tard, avec quelque chose dans la main
Elle se rassié sur le bord de la baignoire et me montre un rosebud qui doit bien faire un petit ( ou gros ) 5cms de diamètre. Elle me fait mettre à 4 pattes et approche son » jouet » de ma bouche, elle le passe sur mes lèvres avant de me le faire gober
« tiens, commence déjà par bien le sucer, ensuite on le plantera dans ton amour de petit cul, il est bien souple, bien ouvert, ce serrai dommage de ne pas le garder dans cet état tu ne crois pas ? »
Elle le retire doucement de ma bouche, crache sur doigts, me tartine le cul de salive et pousse doucement le rosebud, qui glisse millimetre par millimetre, je sens mon trou écarté de plus en plus, ça force légérement et hannn tout passe.
Je me sens remplis, et ça m’éxite un peu je dois dire, j’aurai presque envie qu’elle le retire pour le sentir reglisser une seconde fois tellement la sensation est agréable.
« Voila, parfait, maintenant tu vas rester le cul pluggé comme ça le plus possible, enlève le si vraiment besoin, mais je veux que tu le portes le plus souvent possible, et demain quand tu me croises à la piscine, je veux que l’aie planté en toi sous ton short mon coquin, ça va te plaire tu verras, maintenant lave moi tout ce sperme qui tu as mis partout et rentre te coucher avec ton petit cul pluggé, pas besoin de te redire qu’il t’es interdit de te branler et de jouir en mon absence, bander tu peux, mais te caresser le sexe non. Allé habille toi et file »
Elle me pose un baisé sur les fesses et se lève pour disparaitre dans une chambre.
Je m’habille donc et sors …
Je marche seul dans les allés qui mène à ma tente, le cul pluggé pour la premiere fois, c’est légerement désagreable, mais énormement bon à la fois, je sens mon cul ouvert écarté, massé continuelement et qui se détend et accepte le plug, je sens mon sexe qui raidit encore sous le tissu de mon short
Je marche, le cul pluggé comme une salope et je bande …
La Suite une prochaine fois …
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