Depuis pas mal de temps un fantasme me travaillait au corps. J’ai une très jolie femme de 33 ans, Carole, mais au -delà des rapports normaux dans le couple, elle n’a pas cet érotisme et cet appétit de sexe que je retrouve chez certaines de mes petites amies.
Malgré tout je l’aime et c’est avec elle que je souhaiterais concrétiser certains de mes fantasmes.
Un jour l’idée m’est venue que si à l’état normal, elle ne passait pas facilement à l’acte, dans un état second, peut-être serait-elle plus libre ou plus consentante.
Un soir j’ai décidé de mettre un comprimé d’hypnotique dans la tisane qu’elle boit avant de se coucher.
Pendant qu’elle se préparait et passait sa nuisette, je sentais déjà qu’elle vacillait un peu sur ses jambes et moi qui la voyait de dos, j’imaginais déjà la nui qui allait se dérouler et je ne pouvais pas m’empêcher de me caresser la queue en y pensant.
Enfin Carole vint se coucher et même son bonsoir mon chéri, resta presque sur ses lèvres, tant elle s’endormit vite.
Lumière éteinte j’attendis que son sommeil se stabilise, puis par acquis de conscience, j’écartais doucement ses cuisses et lui enfilai un doigt dans la chatte et commençai à la branler doucement. Manifestement elle dormait profondément car d’habitude ce geste la réveillait et là elle ne broncha pas, hormis un léger balancement des hanches accompagnant mon mouvement de poignet.
La voie étant libre, je rejetai les draps et je me dépêchai pour être prêt à temps pour le rendez-vous !
Je commençais à l’habiller avec les dim-up et le soutien gorge à balconnet en dentelle que j’avais acheté pour la circonstance, puis je lui passais une micro-jupe, sans culotte, puis un corsage transparent qui laissait voir son opulente poitrine.
Le maquillage, noir sur les yeux et rouge aux lèvres parfit le tableau. Pour terminer je l’emmenai sur le canapé du salon, mis un fond sonore de jazz et une lumière tamisée. Puis j’attendis qu’on sonne à la porte.
Vers minuit, on sonna. La porte ouverte me révéla les quatre candidats que j’avais recrutés sur minitel. Pas des loubards, mais presque, dont un beur accompagné d’un berger allemand et un noir. Mon annonce avait drainé plusieurs dizaines de candidats, il faut dire que » Venez vous taper gratuitement une belle salope bourgeoise pas farouche devant son mari complaisant « … avait rapidement submergé ma bal.
-Entrez messieurs. La salope est là elle dort et donc elle accepte tout, vous pouvez vous mettre à l’aise ou commencer par l’examiner. Elle est à vous pour la nuit et d’accord pour tout sauf v******e évidemment.
– On peut la mettre couchée sur la table de salle à manger, on sera mieux dit le blond qui s’appelait Jean-Claude
– Pas de problème .. Ils la transportèrent donc sur la table et entreprirent de la déshabiller la laissant en sous-vêtements.
– C’est vraiment un belle femme, une poupée gonflable comme çà j’en ai pas eu beaucoup ! rigola le beur qui s’appelait Ahmed. Il entreprit de lui écarter les cuisses et les grandes lèvres, faisant naître une énorme fleur rouge ou chacun voulut enfoncer quelques doigts.
Carole commença à bouger
– Elle aime çà la salope elle en veut on va lui en donner !
Chacun se mit à poil et exhiba sa bîte. Chacune devait au moins faire 20 cm ,c’était dans le contrat et je n’étais pas déçu ; Moi même me mit à l’aise pour jouir du spectacle …
– On va la faire sucer la chérie.
L’un après l’autre enfilèrent leur queue dans la bouche de Carole et chacun après l’autre déchargea dans sa bouche, qui déglutit les flots de sperme par réflexe. Quand ils eurent finit, elle avait des coulures sur tout le visage et ses cheveux blonds étaient collés sur son front.
Puis ils la mirent sur le ventre, lui écartant bien les jambes pour bien faire ressortir son sexe presque glabre et son anus rond.
– Je vais l’enculer dit Raymond le noir qui masturbait son énorme pieux noir.
Il se pencha, donna un coup de langue sur la rondelle pour la lubrifier et mit sa queue devant l’entrée et commença à pousser doucement. J’observais le visage de Carole et crut deviner un rictus de douleur sur son visage endormi. Je n’avais jamais réussi à la convaincre de se faire enculer. Pour un baptême, elle allait en prendre une grosse !
Au bout de quelques minutes, Raymond avait pénétré jusqu’à la garde et commençait à la limer doucement, puis violemment et bientôt il jouit en elle.
– Remets la sur le dos je vais lui bourre la chatte, dit Paul un brun sec avec une énorme queue et des tatouages dans le dos.
Aussitôt en position, Carole subit ses assauts vigoureux qui la faisaient tressauter sur la table. Mais au moment de jouir, il retira sa queue et vint jouir et envoyer son foutre abondant sur le visage de Carole, qui par réflexe se passa la main sur le visage étalant la liqueur.
Pendant ce temps, je prenais des photos de Carole en train de se faire mettre dans toutes les positions et par tous les trous.
– On va se faire un sandwich, elle va adorer dit Paul à Raymond.
Raymond s’assit sur la table et par derrière encula Carole, et par devant Paul l’enfila et chacun s’agita jusqu’à la jouissance finale.
Amhed, à un moment, quand chacun assis sur les fauteuils récupéraient de leurs efforts avant les assauts futurs, dit :
– J’aimerai bien que Rex s’amuse un peu, dit-il en désignant le chien qui sommeillait en regardant les humains s’agiter…
Aussitôt, ils descendirent Carole sur le sol, la mirent à quatre pattes, la tête en bas et le cul en l’air, lui écartant bien les fesses et son maître appela Rex …
– Vient sentir la belle chatte blonde, Rex, vient lécher.
Le chien commença par donner de grands coups de langue sur le sexe offert, puis aidé de ses partenaires, commença à enfiler Carole à grands coups d’une énorme queue luisante et violacée.
Au bout d’un moment, il explosa et se retira en envoyant sur toutes les fesses un liquide blanchâtre.
– C’est bien Rex, t’as une salope de plus… !
Emoustillés par cet épisode, les quatre compères, remis en selle, baisèrent ma belle de plus belle . tant et si bien qu’après leur départ je dus la mettre au bain et la laver de fond en comble pour la débarrasser de toutes les traces de foutre qui la recouvraient.
Ensuite, je la remis au lit en nuisette comme si rien ne s’était passé, mis un peu d’ordre dans le salon et me remis au lit où je m’endormis du sommeil du juste.
A mon réveil, Carole était déjà dans la cuisine à préparer le café. Je la rejoignis un peu inquiet à l’idée qu’elle pouvait se souvenir de quelques scènes de la nuit …
Mais non, elle était toute guillerette. Elle me dit :
– Bonjour, j’ai bien dormi, mais j’ai de ces rêves érotiques dont je te parlerai un de ces jours, on dirait que j’ai plus d’imagination la nuit que le jour…. Je suis sûre que ça t’intéressera !
Je buvais mon café en me demandant si elle dormait bien cette nuit où si le comprimé s’étant révélé insuffisant, réveillée au milieu de ces ébats torrides elle n’avait pas tout simplement simulé …
– Quelle salope !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
– Tu disais chéri ?
– Rien mon amour !!
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