J’ai beaucoup tergiversé pour retourner voir mon voisin Patrick.
Allais-je oser retourner le visiter ? J’étais partagé par une forme de culpabilité contre nature, car je ne m’étais pas préparé à aimer baiser avec un homme. À cette époque-là, je cherchais à rencontrer des filles et j’ai connu quelques échecs cuisants. Mon tableau de chasse était réduit à la portion congrue et force m’était de constater que ma relation furtive avec Patrick m’avait procuré un effet au-delà de ce que je pouvais fantasmer. Mais l’envie était trop forte et j’y suis retourné, façon farouche et sans frapper, je suis allé dans l’atelier du fond du jardin. Patrick était assis dans un vieux fauteuil buvant un café. Il se leva, vint vers moi et m’embrassa. Sa langue me laissa un goût de café. Il m’entraîna près de l’établi et m’ôta mon tee-shirt pour me baiser les seins. Patrick appréciait le côté un peu éphèbe que pouvait avoir un jeune homme de 17 ans.
Rapidement, il me dénuda entièrement et me caressa tout le corps, comme s’il m’inspectait. Je ne savais pas quoi faire et je trouvais cela très agréable. Aussi je me laissai faire. Il me retourna et me palpait les fesses généreusement. Il me pencha vers l’établi, s’accroupit et m’écarta les fesses, pour inspecter mon intimité. Il déclara : « Il est vierge lui. Veux-tu que nous le travaillions ? »
Évidemment, il l’était. Je m’étais déjà introduit pas mal de choses cependant. Je ne sais pas comment une telle idée perverse m’était venue, mais je me souviens d’un bout de manche à balai que j’avais raccourci à 50 cm. Je caressais en m’empalant dessus. Cela me procurait des sensations très puissantes lorsque je jouissais.
Face à l’établi, mon excitation était maximale. J’avais peur d’avoir mal, mais je savais que je prenais un immense plaisir avec mon cul. Aussi, je lui répondis : « En douceur alors. » Encore aujourd’hui, j’ai un petit trou qui ne me permet pas de satisfaire mes partenaires les plus exigeants. Il faut dire que je ne le travaille peut-être pas assez.
Patrick commença à me caresser le pourtour du trou, puis il m’enfonça un doigt. Il me disait de me détendre et palpa mes bourses et ma verge. Je ne bandais pas. Je me sentais pris au dépourvu. Il agit alors avec fermeté sur mon sexe en empoignant toute la grappe. Il me massa ensuite la verge et me décalotta. Il me suça le gland, toujours par-derrière, en tirant sur la base de mon pénis. Je me mis à bander. Il continua à me caresser le trou. » Je vais te lubrifier. » il m’appliqua de la vaseline d’un pot qui devait lui servir à bien d’autres tâches moins sexuelles. Il me mit ensuite un second doigt.
Je le sentais aller et venir de ses doigts épais. La sensation était merveilleuse. Puis il me dit : » Tu vas t’empaler là-dessus » et me montra le manche d’un gros tournevis rouge. Il le badigeonna puis me l’introduit sans trop forcer en le faisant aller et venir en profondeur. Je le sentais en moi à chaque coup de boutoir. Il stoppa pour se déshabiller et m’ordonna : » accroupis-toi face à moi et suce-moi » Je fus initié à la fellation. Il bandait plutôt mollement et décrivit la façon dont il voulait que je le suce. Il durcit, m’empoigna la tête et s’enfonça dans le fond de ma bouche. Je faillis m’étouffer et me recula, laissant sa verge tendue et baveuse. J’en avais oublié le tournevis dans mes entrailles.
Il me releva et me dit : » tourne-toi, je vais te prendre « . Il me retira le tournevis, qui me fit un effet puissant. Mon cœur battait la chamade, comme à chaque fois où je me fais prendre. Il me dit : » Pousse quand je te pénétrerai. » Je m’accrochai à l’établi et je forçai, sentant sa verge me posséder.
À ma grande surprise, ce ne fut pas douloureux et même rapidement exquis. Je sentais sa respiration forte. En moins d’une minute, il me secoua avec force. Il avait joui en moi…
» À ton tour. » Il m’amena jusqu’au fauteuil et me suça délicatement. Je me caressais la poitrine et il vint me la sucer et m’embrasser tout en me branlant. Finalement, il me fit jouir et je retins sa main pour l’arrêter. J’avais éjaculé généreusement. Patrick me dit : » Reviens quand tu veux, j’ai plein d’autres trucs à te montrer. Je crois que cela te plaît. «
hummmm comme j’aurais aimer être a ta place .