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Un mariage d’amour

Un mariage d’amour



En allant travailler sur ce site, on m’avait assuré que si je restais discrète, je ne rencontrerais jamais les personnes qui me payaient pour faire ces cochonneries. J’étais assez jolie, j’avais vingt ans mais je n’avais pas assez d’argent pour payer mes études, m’acheter des vêtements et manger à ma fin. Mes parents ne pouvaient rien pour moi car ils avaient un tout petit salaire.
On m’avait fait aussi miroiter un bon salaire et j’avais commencé à travailler sur le site. Ce n’était pas difficile. Il suffisait d’appâter le client pour qu’il soit prêt à payer le plus possible pour me voir nue et je faisais aussi des choses plus osées en privé.
J’ai travaillé comme ça pendant un an mais ça ne m’a pas enrichi. Au contraire, je travaillais quinze heures tous les jours pour une misère. Certains jours, je n’avais pas vraiment de clients et je devais compenser en travaillant plus. Sur les conseils de ma patronne, j’avais choisi un pseudo et je m’appelais Princesse de Clèves et ce n’est que plus tard que j’ai cherché sur le net qui elle était.
Au début, il m’arrivait de penser à ce que je faisais sur ce site et j’avais honte puis la honte s’était envolée et je me masturbais par routine et je faisais semblant de jouir pour mes clients.
Il a bien fallu que je continue parce que mes études duraient trois ans et ça ne me gênait plus de sucer des godes avant de me les enfourner dans la chatte ou dans l’anus. J’avais même des vibros et je m’étais même fait faire un tatouage sur l’épaule et j’avais plusieurs piercings.
En mon fort intérieur, je me disais que j’étais devenue une putain. J’étais à moitié endormie quand j’allais à la fac parce que je passais mes nuits à faire la pute pour de l’argent. Les derniers mois de mes prestations tarifées, un de mes clients s’est pris d’amour pour moi. Peut-être que ça n’en était pas au début mais j’ai bien vu que ce type était amoureux de moi et puisqu’il me proposait de m’envoyer de l’argent, j’en ai profité et il a fini par m’envoyer de belles sommes dans le but de me rencontrer.
J’ai honte d’avouer avoir fait ça. Je dois aussi dire que, pendant ces trois ans, je n’ai pas eu de petit ami. Imaginez s’il m’avait suivi. Il aurait découvert ce que je faisais. J’en avais eu un avant et nous avions baisé ensemble et j’étais assez contente qu’il m’affranchisse d’autant plus qu’il me disait souvent qu’il avait fait de moi une vraie femme.
J’ai arrêté le site presque en même temps que j’obtenais mon diplôme. Mon amoureux vivait en Suisse et je l’ai laissé tomber. De toute façon, tout ce que je lui avais dit était faux. Avec l’argent qu’il m’avait donné, j’ai réalisé mon rêve, aller à Paris, la ville de l’amour mais je n’avais pas d’amoureux et j’ai emmené ma mère avec moi.
Nous avions fait à l’économie et nous étions logés dans un petit hôtel. Avec ma mère, nous nous promenions dans Paris. C’était mon rêve. Un jour que nous étions allés à la Tour Eiffel, nous nous sommes retrouvées dans la cabine de l’ascenseur. Un type nous regardait. Il était pas mal, mais quand même un peu vieux.
– Ma Princesse de Clèves, s’est-il exclamé tout d’un coup !
J’ai fait semblant de ne pas le remarquer mais le type a insisté. Ma mère m’a demandé si je le connais. L’ascenseur s’est arrêté au troisième étage.
– Tu ne me reconnais pas ? Stéphane, a insisté le type !
Que pouvais-je dire ?
– Stéphane, a encore insisté le type ! Nous sommes restés ensemble pendant six mois !
Bien sûr que je l’avais reconnu même si je l’avais oublié au milieu de tous ces types qui m’avaient payée pour faire ces cochonneries.
– Puisqu’il te dit qu’il te connaît, m’a demandé ma mère !
Le troisième étage de la tour, ce n’est pas grand.
– Tu t’appelais Princesse de Clèves sur le site, a insisté Stéphane !
– Quel site, a fait ma mère ?
– Un site de cul, a précisé Stéphane ! C’est quand même extraordinaire qu’on se rencontre !
– Un site de cul, s’est étonnée ma mère qui parlait le français bien mieux que moi ?
– Je ne me souviens pas de vous, a ajouté Stéphane ! Vous y étiez aussi ?
La cabine de l’ascenseur venait d’arriver et elle avait livré son lot de visiteurs et je m’y suis précipitée, suivie par ma mère et Stéphane, bien sûr qui ne nous lâchait pas d’une semelle. Dans la cabine, ma mère lui a dit qu’elle veut savoir et il nous a invités à dîner avec lui. J’ai refusé, mais ma mère n’a pas lâché.
Ils marchaient côte à côte en discutant et je les suivais. Au bout d’un moment, ma mère s’est mise à côté de moi.
– Tu t’es prostituée pendant toutes ces années, m’a dit ma mère !
J’ai nié et elle a ajouté que c’est ce qu’avait dit Stéphane.
– Il est pas mal et il a de l’argent et ça te ferait un bon parti, a ajouté ma mère !
Je lui ai répondu que je ne veux pas me marier.
– Quand ton père apprendra ça, a-t-elle continué…
– Mais tu ne vas pas lui dire ?
– Comment ne pourrais-je pas, a ajouté ma mère ! Sa fille est une putain !
C’était un bon restaurant et nous avons parle de tout ce que j’avais fait sur ce site pendant tout le repas. Je me contentais de regarder mon assiette et j’avais honte. A la fin du repas, je suis allé aux toilettes et j’y suis restée un bon moment. Quand je suis revenu, la facture était payée et ma mère et Stéphane prêts à partir.
C’est tout juste s’ils ne se sont pas fait la bise quand nous nous sommes séparés et j’ai continué avec ma mère.
– Il t’aime beaucoup, a fini par me dire ma mère !
– Pas question de l’épouser, lui ai-je répondu !
– Il est pas mal et il a de l’argent, a continué ma mère ! Et en plus tu lui plais beaucoup ! Il va m’appeler demain !
– Quoi ! Tu lui a donné ton numéro de téléphone !

Si nous n’avons pas revu Stéphane dans Paris, nous l’avons revu dans notre village, quand il est venu nous voir. Il avait loué une belle voiture et tous les habitants ont été au courant.
– Si elle est d’accord, je veux bien épouser Sonia, nous a dit Stéphane !
Je me demandais si ma mère avait vraiment tout raconté à mon sujet à mon père. Ce dernier n’a pas sourcillé.
– Tu ne trouves pas de travail ici et ça te fera l’occasion de travailler en France, a insisté ma mère ! Regarde ! Il est gentil et je suis sûre que mes petits-enfants auront bien de la chance !
C’est là que mon père m’a dit de tenter ma chance. Je ne pouvais pas leur dire que j’avais à nouveau un amoureux et que j’avais fait l’amour avec lui plusieurs fois. J’ai pesé le pour et le contre. Stéphane est riche et l’autre est au chômage. J’ai demandé à réfléchir. Un peu plus tard, Stéphane est venue me rejoindre dans le jardin.
– Tu ne m’as jamais parlé de sexe, ai-je commencé ! Est-ce que tu es impuissant ?
Il m’a répondu que je sais bien qu’il est plutôt timide puis il a ajouté qu’il ne voulait pas me gêner avec ce genre de questions.
– Je ne t’ai jamais demandé de te déshabiller, a-t-il ajouté !
C’était la vérité. J’ai dit à mes parents que nous allons faire une promenade et nous sommes partis dans le bois.
– Tu m’aimes vraiment, ai-je demandé à Stéphane ?
– Oui, et j’ai envie de toi, m’a-t-il répondu !
J’ai tourné la tête vers lui et j’ai fondu et je lui ai dit que s’il le veut, je suis d’accord. Nous avons quitté le chemin pour nous enfoncer dans le sous-bois. Je n’ai pas tardé à lui demander s’il veut voir mes seins. Il les connaissais déjà mais ces derniers avaient presque doublé de volume. J’ai ouvert mon chemisier et j’ai sorti mes seins des bonnets du soutien-gorge. Stéphane les a empoignés. Il me faisait mal mais je lui devais bien ça puis il m’a dit que je vais le sucer et il m’a fait mettre à genoux et il m’a mis sa bite dans la bouche. J’avais connu plusieurs garçons mais cette bite-là était un monstre et les bourses ressemblaient à des citrons mais Stéphane ne m’a pas laissé sucer longtemps. Il m’a aidé à me relever puis il m’a posé sur un tas de bois et il m’a relevé les jambes pour s’enfoncer dans mon vagin.
Je n’étais plus vierge, mais c’était tout comme et j’ai eu l’impression d’être éventrée et j’ai eu l’impression que la bite allait me ressortir par la bouche. Stéphane allait et venait et je commençais à trouver ça agréable.
Je m’étais souvent dite qu’en travaillant sur ce site, je finirais putain. Tout à coup, je me suis rendue compte que je ne savais plus où j’en étais de mon cycle et je l’ai dit à Stéphane. Il m’a relevé les fesses et il s’est enfoncé dans mon anus et c’est là qu’il a fini.
En rentrant à la ferme de mes parents, j’ai demandé à Stéphane si ça lui a plu de m’enculer. Il a souri puis il a ajouté qu’il fallait bien faire quelque chose. J’ai protesté que ça ne me génera pas qu’il m’engrosse du moment qu’on est mariés.
Du coup, je l’ai pris par la main et c’est comme ça que nous sommes entrés dans la ferme.
J’ai dit à mes parents qu’on va se marier. Ma mère a demandé à Stéphane si j’ai pris une chambre à l’hôtel. C’était le cas mais elle lui a dit qu’il va dormir chez nous. Je me demandais bien où mais ma mère avait sa solution quand elle a dit qu’aujourd’hui, les fiancés ont bien le droit de coucher ensemble et Stéphane a couché avec moi dans mon lit. Nous n’avons pas fait que dormir quand même. Il m’a pris plusieurs fois dans tous mes trous mais surtout dans l’anus et huit jours après, j’avais encore mal. Cette fois, j’étais devenue une vraie femme ?
Stéphane m’avait aussi donné ses consignes : aucun sous-vêtements quand nous sommes ensemble. Le lendemain nous sommes allés nous promener au bord du fleuve et nous faisions l’amour en levrette quand mon ancienne meilleure amie nous a surpris. Elle nous a regardés faire puis elle a continué son chemin.
Stéphane est reparti à Paris et nous avons fait les papiers pour le mariage. Il n’est revenu qu’une fois à la ferme et c’est à ce moment-là qu’il m’a engrossée et quand nous nous sommes mariés, j’étais enceinte de huit mois !
Pour le reste, je ne vous dirait pas.

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