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ma voisine m’a dépucelé (2)

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Le soir même, Mme Jean rendit visite à ma mère pour lui expliquer que, dans 2 jours, elle devait aller dans la résidence secondaire de ses parents située à 50 km de chez nous afin d’y accomplir quelques petits travaux de rénovation ; et elle avait pensé, si ma mère était d’accord, et bien sûr, moi aussi, (mais là vous connaissez mon dévouement) que je l’accompagne afin de l’aider. Cela l’arrangerait beaucoup et, pour moi, ça me ferait un peu de vacances puisque c’est au bord de la mer.
Nous étions installés dans le salon, moi sur le fauteuil, ma mère et Mme Jean sur le canapé en face. Ma mère me demanda ce que j’en pensais : Je fis semblant de réfléchir quelques instants, et, regardant dans la direction de Mme Jean, je vis qu’elle écartait légèrement ses cuisses et m’offrait ainsi une vue sur sa culotte toute rose ; ce qui, bien évidemment, provoqua une érection. Je profitai de ma réflexion pour garder les yeux fixés sur l’entrejambe tant désirée ; et cette salope (parce qu’il n’y a pas d’autre mot) jouait à ouvrir et fermer plus ou moins ses cuisses.
La gorge sèche, je réussis quand même à répondre : « que je n’avais rien de prévu et que cela me ferait plaisir de rendre service et de profiter de la plage. Ma mère dit qu’elle allait en parler avec mon père, mais que, normalement, il n’y avait pas de problème ; mais justement mon père arrivait et elle pourrait avoir sa réponse tout de suite si elle avait 10 minutes.
– Oui bien sûr, répondit Mme Jean, mais tu permets que j’utilise tes W.C. ? Oui, dit ma mère, tu connais le chemin.
Mme Jean était donc au W.C. quand mon père entra dans l’appartement ; après les bonjours, ma mère lui expliqua que Jeannette (tjs pas son prénom) était là et qu’elle avait besoin de moi.
Jeannette sortit des toilettes et reprit sa place sur le canapé pour continuer à discuter avec mes parents. Mon père lui dit que lui aussi était d’accord ; elle lui dit que ça l’arrangeait beaucoup et elle en profita pour ouvrir à nouveau ses cuisses ; ce qui me provoqua une décharge dans tout le corps car elle avait profité de sa visite aux toilettes pour enlever sa culotte et j’avais donc une vue splendide sur sa chatte en ticket. N’en pouvant plus, je m’éclipsai dans la salle de bains pour me soulager un peu, voire même beaucoup, vu la quantité de sperme que j’éjaculai au bout de quelques va-et-vient manuels sur ma queue raide au plus haut point.
Je revins au salon ; Mme Jean comprit très bien la raison de mon absence et me sourit d’un sourire qui vous électrise toute la colonne vertébrale. Puis elle se leva pour partir ; embrassa mes parents ; et quand elle m’embrassa, elle me murmura au creux de l’oreille : « J’espère que c’était bon ; rendez-vous après-demain » et, profitant d’un angle de vue caché me caressa, avec sa main gauche, le sexe qui, bien sûr, avait déjà réagi.
Après une journée d’attente insupportable, faite d’anxiété, de nervosité et surtout d’impatience, vint le matin tant attendu où nous partîmes tous les deux dans sa voiture ; après d’interminables adieux, surtout avec mes parents, faits de recommandations afin que je n’embête pas Jeannette.
S’ensuivit un voyage d’une petite heure, pendant laquelle nous sommes, je crois tous les deux (pour moi c’est sûr) tendu, impatient et curieux de l’avenir qui nous attend. Cependant nous arrivons à nous parler et, notamment, je lui confirme (car elle s’en doutait fortement) qu’elle m’avait drôlement excité l’autre soir. Elle-même me confie qu’elle est très excitée depuis deux jours et qu’elle n’arrête pas de penser à moi ; et qu’elle s’est certainement masturbée plus de fois en deux jours qu’en cinq ans d’abstinence sexuelle.
Après avoir déchargé la voiture, nous nous trouvons enfin seuls dans la maison, et nous échangeons notre premier baiser.
Car elle m’avait bien précisé qu’elle ne voulait pas qu’on nous voit, et donc rester sages dans la voiture. Et alors là, d’être dans ses bras, c’est vraiment divin, je suis chargé à 100.000 volts, je sens cette langue en moi et j’essaie de suivre le rythme. Je commence à promener mes mains le long de ce corps tant désiré et je sens des formes qui me ravissent ; rien à voir avec celles des filles de mon âge que j’ai pelotées jusqu’à maintenant ; c’est ferme, voluptueux et surtout cela me procure un plaisir énorme. Sentant notre excitation monter, elle me dit qu’il vaut mieux finir de ranger et de vite prendre nos douches avant de passer à l’action.
C’est donc Jeannette qui prend sa douche en premier pendant que je finis de ranger ; elle en ressort en peignoir. Je prends sa place, je m’empresse de faire au plus vite et lorsque je suis en train de me rincer, Jeannette entre dans la salle de bains et me dit « je viens t’aider » ; elle entre nue dans la cabine, me demande de me retourner ; elle commence à me frotter le dos avec ses mains, puis se colle à mon dos et, passant ses mains sous mon bras, me caresse le torse, les tétons, le ventre ; je suis tétanisé, j’ai ses seins, si doux et si fermes à la fois, contre mon dos ; ses mains qui me procurent un plaisir inconnu pour moi jusqu’à ce jour, je sens son souffle dans le cou et sa bouche me couvre de baisers et me lèche le cou. Je ne suis pas aux anges mais carrément au Paradis ; ma queue a immédiatement réagi et est droite au maximum, j’attends avec impatience qu’elle vienne s’en occuper et le lui dis : Elle me répond : « Ne sois pas impatient, en amour on n’est pas pressé et il faut profiter de tous les plaisirs. Elle me retourne, m’embrasse, commence à me faire des bises sur le torse, puis avec sa bouche prend un téton, l’embrasse, le lèche, le suce, le titille avec sa langue et le mordille ; et là, c’est une découverte pour moi, car je m’aperçois que c’est une zone hyper sensible et même jouissif. Devant elle, mon pénis devenu énorme et qui commence à me faire mal, attend avec impatience qu’on s’occupe de lui ; elle commence par quelques bises dessus, le lèche sur toute la longueur, le caresse et me dit « tu sais, Manu, tu as vraiment un sexe énorme, je peux te dire ; certes, je n’ai pas eu beaucoup d’hommes dans ma vie, mais je n’en ai jamais vu de si gros » ; sur ce, elle le prend en bouche, m’englobe le gland, me le calotte et me le décalotte avec ses dents, le titille avec sa langue, je sens son souffle chaud tout au long de ma colonne de chair, je suis tétanisé par le plaisir ; et progressivement elle enfonce ma bite dans sa gorge et l’engloutit entièrement ; je sens sa glotte ; elle marque un temps d’arrêt, ne bouge plus pendant quelques secondes, puis commence des petits va-et-vient qui, au fur et à mesure, s’accélèrent. Le plaisir monte à une vitesse vertigineuse et je sais que je ne vais pas résister longtemps et le lui dis ; elle continue encore plus fortement et dans un cri de bête sauvage ma queue se vide par un long jet de sperme, inonde sa bouche, son visage. Je suis là, debout, en train de jouir comme jamais je ne l’avais fait, j’ai les jambes coupées, qui flanchent et ne me portent plus. Je m’appuie sur la paroi et Jeannette vient m’embrasser avec mon foutre dans la bouche et m’en dépose dans la mienne ; je goûte pour la première fois du sperme. Puis elle me dit « Finis de te rincer et rejoins-moi ».

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