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Un réveillon inoubliable

Un réveillon inoubliable



Un réveillon inoubliable

Pour fêter la nouvelle année, avec des amis, nous nous sommes réunis pour passer un bon moment. Nous avons décidé de faire un bon repas avant de sortir nous amuser.
Vers dix heures, nous prenons la direction de la boite de nuit. La salle est pleine. Nous nous installons tous dans un coin et nous commandons du champagne et trinquons. Après un ou deux verres, l’heure de la chasse pour les célibataires comme moi est lancée. Au vu de l’ambiance ce soir, je veux bien être damné si je n’arrive pas à conclure.
C’est parti pour une première danse. Il ne me faut pas longtemps pour me retrouver blotti contre une délicieuse blonde aux cheveux courts. Elle est fine, a des formes harmonieuses, des yeux pétillants. La fille parfaite. Plongée dans l’ambiance festive, elle accepte que je me blottisse contre elle. Elle a un mouvement de rein diablement excitant et je ne peux pas contrôler mon érection. Je m’attends à ce qu’elle me repousse et me dise de me calmer, mais elle fait tout le contraire. Elle s’appuie de plus en plus contre moi. Elle a l’air bien chaude, je sens que j’ai tiré le bon numéro dès le début et au vu de son tempérament, je pourrais sûrement même lui mettre dans le cul. Nos deux corps se mêlent, mes mains se font aventureuses, je caresse son ventre, elle bascule la tête en arrière sur mon épaule et pousse un soupir de bien être qui en dit long avant de brusquement s’échapper pour tomber dans les bras d’un homme qu’elle appelle chéri. Ce dernier me sourit avant de l’embrasser avec ardeur en pelotant ce merveilleux cul qui se frottait sur moi un instant avant. Elle me lance un merci avant de s’éclipser avec son homme. Cette salope n’a joué avec moi que pour se chauffer et exciter son mari avant qu’il la prenne.
À cette idée, je suis écœuré tant j’aurais aimé me la faire cette salope. Déçu, mais pas vaincu, je repars en chasse. Hélas, je rencontre échec sur échec. Fatigué et blasé de voir que certains de mes amis s’éclipsent avec une conquête, je retourne boire.

Vers deux heures du matin, la soirée se termine enfin. Nous quittons la boite, direction le parking. Là, la soirée de merde se poursuit, ceux qui avaient accepté de ne pas boire ne sont plus là. Ils sont partis avec deux sœurs pour tirer leur coup. Vincent décide de prendre le volant. Je ne suis pas chaud pour les suivre, ils ont tous l’air aussi saoul que moi. Je suggère de prendre des chambres dans un hôtel pas très loin, mais aucun ne me prend au sérieux. Je leur propose de leur payer la chambre s’il le faut, sans plus de résultats. J’essaie de lui prendre les clefs des mains, mais je me retrouve cul par terre et il démarre la voiture.
On m’aide à me relever et je découvre Nathalie et Julie qui ont fini par entendre raison. Nous regardons les autres partir plutôt inquiets. Nous faisons la route jusqu’au motel, discutant entre nous pour penser à autre chose. Julie se moque de moi.

— Tu n’as pas eu beaucoup de succès ce soir. Après ton échec avec ta belle blonde, tu t’es pris râteau sur râteau. C’était beau à voir.
— Dis celle à qui seulement deux mecs sur plus d’une dizaine ont bien voulu lui payer un verre. Et ce n’était pas les plus beaux. Tu n’es pas allé bien loin toi aussi.
— Touché. Il n’y a que notre Nath’ qui ait conclu ce soir.
— Non, je suis comme vous.
— Tu as dû sacrément boire pour oublier ce grand brun qui t’a accompagné aux toilettes.
— Désolé, mais les toilettes, je n’y vais pas pour tirer un coup comme toi. J’y suis allé pour vomir et je crois que le brun aussi.

Nous rions tous les trois de notre misère sexuelle. Enfin, nous arrivons à l’hôtel. Le concierge nous jette un regard fatigué. Je n’aimerais pas être à sa place. Je m’apprête à lui réserver trois chambres, mais je suis précédé par Julie.

— Deux chambres. Nous en partagerons une avec Nath’. Mais par contre, nous sommes toujours heureuses que tu nous l’offres.

Nous arrivons devant nos deux chambres voisines.

— Embrasse la veuve poignet pour nous, dit Julie dans un rire. Moi j’aurais Nath’

Julie empoigne les seins de Nathalie qui glousse sous son étreinte avant de disparaître dans leur chambre.
Je prends une douche pour me rafraîchir, mais je n’arrive pas à me calmer. Frustré de ne pas avoir tiré un coup ce soir, je n’arrête pas d’imaginer Julie et Nathalie ensemble à s’embrasser, échanger des caresses, des coups de langue sur tout leur corps. Je me couche avec une érection terrible, incapable de m’endormir.
Trente minutes plus tard, on frappe à ma porte. Je me lève pour voir qui vient me déranger. Je découvre Julie et Nathalie nues, seulement enveloppées d’une serviette qui descend tout juste en dessous de la chatte et une autre dans les cheveux.

— Charmante tenue. Vous auriez dû aller en boite ainsi, vous auriez fait tourner bien des têtes et vider bien des couilles.
— Il n’est pas trop tard pour ça ! rétorque Julie d’un air mutin.
— Les seins de Nathalie ne te suffisent plus ?
— Non, nous avons besoin d’un vrai mec. Un homme qui quand il voit deux femmes à moitié nues devant sa chambre les invite à rentrer.
— Il faut le demander plus gentiment avant.

J’insiste sur le gentiment et Nathalie est la première à réagir. Elle défait le nœud de sa serviette pour s’exposer entièrement. Julie ne tarde pas à l’imiter. Je les fixe intensément, profitant de la vue qu’elle m’offre de leur courbe généreuse. Julie a une poitrine très généreuse qui malgré sa taille ne retombe que légèrement, ainsi qu’un cul adapté à de telles formes. Nathalie de son côté n’a pas à se plaindre. Sa poitrine est certes plus petite, elle est ferme et tient parfaitement. Leurs seins attirent plus mon attention que leurs deux belles chattes finement taillées, car je remarque dessus des traces rouges. Toutes les deux portent des marques de suçons et de légers coups de dent. Elles se sont vraiment amusées toutes les deux ensemble avant de décider de venir me retrouver.

— Satisfait ? demande Julie.

J’aurais normalement très facilement pu m’en contenter, mais après avoir constaté à quel point elles semblent être chaudes et réceptives, j’essaie de les pousser encore plus loin.

— Non, plus gentiment que ça.

Toutes deux ne semblent pas surprises de ma nouvelle demande. Elles s’échangent un regard complice et après avoir jeté un coup d’œil dans le couloir, elles s’agenouillent devant moi. D’une main chacune, elles baissent mon boxer, dévoilant une queue à moitié bandée.

— Hum, Claire ne nous avait pas menti, il est monté comme un taureau. Et encore, attends de voir la taille qu’elle fera quand on l’aura fait bander.

Elles s’approchent de moi et je sens leur souffle chaud sur ma bite. Elles posent leurs lèvres dessus et l’embrasent sur toute la longueur. Ma bite ne tarde pas à se redresser pour finir fièrement entendue.

— Oh !

Je pousse un soupir en sentant la langue de Julie glisser sur le haut de ma hampe pendant que celle de Nathalie glisse en dessous. Elles me lèchent sur toute ma longueur pendant de délicieuses secondes avant que Julie prenne mon gland en bouche et m’avale. Elle prend la moitié de ma bite en elle avant de la recracher et de laisser Nathalie me sucer à son tour.

— Nous avons été assez gentilles ? demande Julie.
— Vous pouvez entrer.

Elles commencent à se relever, mais je les interromps dans leur mouvement.

— Qui vous a dit de vous relever ?

Julie et Nathalie se lancent un nouveau regard complice avant d’éclater de rire et de rentrer dans la chambre à quatre pattes en tortillant les fesses de façon indécente. Elles me rejoignent alors que je me suis assis sur mon lit, complètement nu.

— Vous êtes prêtes à me faire remplir toutes ces capotes ?

Je laisse tomber devant elle les cinq préservatifs que j’avais espéré utiliser durant la sortie en boite. Elles me sourient avant de défaire leur serviette dans les cheveux d’où tombent des capotes.

— Tu vois, tu n’es pas le seul à être venue équiper. Mais autant nous, on avait toutes nos chances de trouver des mecs pour toutes les remplir, autant toi. Je te trouve bien présomptueux.
— Salope. Voyons voir si tu suces aussi bien que tu parles.

Je plonge une main dans ses cheveux bruns humides et je la tire vers ma bite. Elle commence à me sucer comme dans le couloir en prenant la moitié de ma bite en bouche, mais j’ai envie de bien plus. J’appuie derrière sa tête et je force mon chemin dans sa bouche. Malgré la taille de ma bite, à aucun moment elle ne tente de résister et je me retrouve vite ses lèvres écrasées contre mon pubis. Je la maintiens dans cette position de longues secondes avant de la libérer et de sortir de sa bouche.

— À toi, Nath’, montre-moi que tu es aussi douée qu’elle.

D’une main dans ses cheveux blonds, je m’enfonce avec la même facilité en elle pour visiter le fond de sa gorge.

— Maintenant que vous savez ce que j’attends de vous, à vous de jouer, mes salopes !

Le balai de gorge profonde est lancé. La chambre ne tarde pas à s’emplir de bruit de succion humide des plus obscènes. Elles avaient visiblement vraiment envie d’une bite.

— Et si je ne vous avais pas laissées entrer, vous auriez fait quoi ? Vous seriez retournées vous gouiner ?
— Non, dit Julie en laissant sa place sur ma bite à Nathalie. Nous serions allées rendre le sourire au concierge.
— Bande de salopes ! Allez, viens par là ma chienne, viens me faire goûter à ta mouille.

Je m’allonge sur le lit et suis rapidement rejoint par elle. Julie ouvre ses grandes lèvres avec ses doigts pour me prouver à quel point elle est déjà humide avant de se laisser retomber sur ma bouche.

— Bois mon jus, mon beau salaud.

J’aspire toute la mouille de sa chatte puis je plonge ma langue en elle. Je la lèche aussi profondément que possible. Ses soupirs de plaisirs se transforment en gémissement quand je dépose un doigt sur son clito que je caresse.
Julie se transforme vite en vraie fontaine, et ma bite dans la bouche de Nathalie est dure comme du béton. Il est temps pour moi de les baisser. Je me dégage d’elle et sors ma bite du fond de la bouche de Nathalie.

— À quatre pattes, pute. Il est temps de te faire tringler.
— Salope, oui, pas pute, proteste Julie tout en m’obéissant.
— Oh, mais si, ce soir vous êtes des putes. Je vous ai payé votre chambre, en échange, vous allez me vider les couilles.

Je place derrière elle, la queue fièrement dressée, je prends une capote et je commence à me couvrir quand les deux mains de Julie et Nathalie se posent sur les miennes.

— Les capotes, c’était pour les autres. Toi, tu peux tirer ton coup librement.
— Vous êtes sûres ?
— Oui, répondent-elles d’une même voix.

Je leur lance un regard a****l. Je suis de plus en plus satisfait du tournant que prend cette fin de soirée. Je présente donc ma queue libre à l’entrée de sa chatte et dans un grognement de bûcherons, je m’enfonce en elle jusqu’à la garde. J’enchaîne immédiatement par une série de coups de reins intense.

— Putain, tu es brûlante et tu couines comme une chienne. J’adore ta voix.
— Oh, oui, vas-y, plus fort. Défonce-moi !

Je claque de toutes mes forces ses fesses ce qui la fait hurler, puis j’enfonce mes doigts dans sa peau rougie et je me lance dans un pistonnage intensif. Je lui envoie des coups de reins violents et profonds, je la lime sur toute la longueur de ma bite.
Tandis que je la baise comme un soudard, Nathalie nous rejoint sur le lit. Elle se positionne en levrette juste à côté de Julie.

— Hum, n’oublie pas que tu t’es payé deux putes ce soir.
— Je ne t’avais pas oublié.

Je quitte la chatte de Julie après un ultime coup de reins pour venir me placer derrière Nathalie.

— Cambre-toi davantage. Oui, comme ça. Tiens, salope.

Je m’enfonce en elle d’un coup sec et je la pistonne sans ménagement.

— Tu es aussi chaude et humide que Julie, mais ta chatte me semble bien plus large. Vous êtes vraiment deux belles salopes, deux belles putes.
— Oui, nous sommes à toi. Fais ce que tu veux de nous.

Je lui claque les fesses et je me lance dans un tringlage en règle des chattes de ces deux belles putes. Je ne les ménage pas, leurs couinements me font bander un peu plus dur et les baisser un peu plus fort. Je les lime sans relâche en les insultants, et elles aiment ça, elles n’arrêtent pas de gémir.
Les positions s’enchaînent les unes aux autres toujours avec cette même intensité bestiale. Je sors régulièrement de leur chatte dégoulinante pour leur fourrer la bouche et les faire goûter à ma bite recouverte de mouille.
Le moment le plus intense avec Nathalie a été quand elle m’a demandé de la défoncer à quatre pattes, le visage appuyé sur le sol. Je l’ai fourrée comme un soudard en me tenant derrière elle et en l’enjambant pour poser un pied sur son visage pour la soumettre. Emportée par l’excitation du moment, cette belle salope m’a sucé le gros orteil pendant que je la fourrais.
Avec Julie, ça a été quand je l’ai prise à même le sol. J’ai poignardé sa chatte à grands coups de queue, une main serrée autour de son cou pendant que je lui fouettais ses énormes seins qui ballottaient dans tous les sens. Elle n’a pas arrêté de pousser des petits couinements terriblement excitants qui m’ont encouragé à la prendre toujours plus fort en l’insultant.

Nous finissons par nous retrouver debout au milieu de la chambre. Julie et Nathalie sont enlacées dans les bras l’un de l’autre, leur poitrine écrasée, à se rouler des pelles intenses pendant que je visite leur chatte d’un rythme soutenue à tour de rôle.
Après de longues minutes à les baiser, je finis par sentir mon éjaculation arriver.

— À genoux, vite, serrez vos visages de salope que je vous arrose toutes les deux de foutres.

Dès qu’elles sont en position, je me masturbe frénétiquement à quelques centimètres de leur visage.

— Ah, oui, putain, je vais refaire votre maquillage de pute.

Le premier jet de foutre recouvre leurs deux visages, je vise comme je peux pour les recouvrir autant l’une que l’autre.

— Maintenant, regardez-vous, regardez ce que vous êtes devenues !

Julie et Nathalie se fixent intensément. Elles ont l’air d’aimer voir ce que j’ai fait d’elles.

— Nettoyez-vous à grands coups de langues. Oui, voilà, n’oubliez rien. Montrez-moi vos bouches.

Julie et Nathalie exposent leur langue recouverte de sperme.

— Avalez mon foutre.

Je les vois déglutir et elles me présentent leurs bouches grandes ouvertes pour me prouver qu’elles ont bien tout bu.

Fier de moi, de la façon dont je les aie tirées, je retourne vers le lit où je me laisse tomber pour reprendre mon souffle. Julie et Nathalie ne tardent pas à me rejoindre et elles ont visiblement encore faim. Elles m’écartent les cuisses pour dégager mes couilles. Je sens leurs deux bouches se poser sur mes bourses, elles les embrassent, les lèches. Je pousse un profond soupir de satisfaction quand elles me les aspirent et les avalent. Je suis au paradis, deux bouches différentes tètent mes couilles. Julie recrache celle qu’elle dégustait. Elle la caresse délicatement tout en posant sur moi un regard de vraie salope.

— J’espère que ces belles couilles ne sont pas vides ?
— Non, ne t’inquiète pas ma salope, je n’en ai pas fini avec vous. Mes deux prochaines cartouches, je les réserve à vos culs. Je vais les farcir de sperme Allez, mettez-vous en 69.

Julie se retrouve sur le dos, Nathalie au-dessus d’elle. Je les laisse se lécher un moment avant de me présenter derrière le cul de Nathalie sur lequel je dépose plusieurs coups de langue. Je lance un crachat dessus avant de planter mon index à l’intérieur. Elle est vraiment serrée, elle ne doit pas avoir l’habitude de se faire sodomiser. Pendant que je la doigte, je présente ma queue sous les yeux de Julie.

— Suce-moi ! Fais-moi bander bien dur, que je puisse lui éclater le cul comme il se doit.

Julie aspire mon gland entre ses lèvres, elle joue avec sa langue dessus avant de m’avaler de plus en plus.
Nathalie finit par se retrouver avec trois doigts dans le cul qui la pistonne énergiquement pendant que je fais une gorge profonde à Julie. Je ressors enfin ma queue ruisselante de salive et je la présente à l’entrée de son cul.

— Regarde bien comment je vais la sodomiser, parce qu’après, ce sera ton tour.

Les mains sur les hanches, j’encule Nathalie qui pousse des petits cris à mesure que je m’enfonce en elle. Lorsque je sens qu’elle se contracte, j’affirme un peu plus ma prise pour forcer le passage et me planter entièrement dans son cul.

— Lèche-lui le clito et la chatte, aide-la à se détendre ou sinon elle va dérouiller.

Sous les coups de langue de Julie, les plaintes se transforment en soupir de plaisir. Je profite de ce relâchement pour ressortir presque entièrement de son cul, ne laissant que le gland à l’intérieur avant de replonger d’un grand coup de reins.

— AH ! Putain !

Pour étouffer les cris de Nathalie, j’appuie sur sa tête et écrase sa bouche sur la chatte de Julie. Je lui donne une trentaine de coups de reins identique, avant de sortir totalement d’elle. Son cul est grand ouvert et ne se referme que brièvement lorsqu’un spasme la prend.

— Alors Julie, qu’est-ce que tu en penses ? Je continue au même rythme ou j’y vais plus doucement ?
— Vas-y plus fort encore, fais-la hurler !
— Tu te rends compte que tout ce que je lui ferais, je te le ferais aussi.
— Éclate-lui le cul, je veux qu’elle s’en souvienne.
— Ce que femme veut.

Et je replonge dans le cul de Nathalie de toutes mes forces. Je ne la ménage pas. Je la pénètre aussi vite, aussi fort et aussi profond que je peux. Elle couine comme une folle le visage enfoncé dans la chatte de Julie.

— Ah ! la salope, elle me mord le clito ! hurle Julie.

Je redonne régulièrement ma queue à sucer à Julie pour qu’elle la recouvre de salive. Elle semble se moquer d’où je la sors et me pompe goulûment à chaque fois.
Cette sodomie est la plus intense de toute ma vie. Jamais je n’ai pris un cul avec si peu de considération, juste pour mon plaisir, pour le plaisir de l’entendre hurler à chacun de mes coups de queue. Mais même si je ne la ménage pas, Nathalie prend quand même son pied et finit par partir dans un puissant orgasme qui fait vibrer tout son corps. Tous ses couinements m’encouragent à ne pas me ménager. Je parviens à me retenir et je finis par jouir au moment où elle est emportée par un nouvel orgasme tout aussi puissant.

— Ah oui ! Salope ! Tu jouis de te faire farcir le cul de foutre !

Une fois mes couilles vides et son cul rempli, je sors d’elle et la tire par les cheveux pour qu’elle se redresse. Elle se retrouve assise sur la bouche de Julie.

— Maintenant, nettoie-lui le cul, récupère tout mon jus et bois-le.

Nathalie pousse de profonds soupirs en sentant Julie aspirer le sperme à l’intérieur de son cul.

Après ce moment particulièrement intense, nous prenons quelques minutes pour souffler et pour récupérer. J’ai promis à Julie que je visiterais son cul et j’en meurs d’envie, mais je ne suis pas certain d’en avoir la force. Nathalie pourtant ne l’entend pas de cette façon, elle compte bien se venger et la faire payer pour le rythme de la sodomie qu’elle lui a imposé. Elle s’allonge à côté de moi et m’embrasse tout en caressant ma queue. Elle quitte enfin ma bouche pour m’embrasser le cou et remonter jusqu’à l’oreille pour se mettre à murmurer.

— Tu as intérêt à rebander. Après ce qu’elle m’a fait, je veux la voir pleurer cette pute. Tu vas lui ouvrir le cul en deux, je peux pouvoir y enfoncer mon poing.
— Tu veux la fister ? Tu n’as aucune pitié.
— Pour les salopes comme elle, aucune. Et toi non plus, vu l’effet que ça te fait. Tu bandes de nouveau, espèce de pervers.

Elle dit vrai. Malgré la fatigue, les images qu’elle vient de me mettre en tête, son poing s’enfonçant dans le cul de Julie après que je l’ai ouvert à grands coups de reins, m’ont particulièrement excité.

— Allez, va lui préparer le cul.
— Non. Elle a choisi le rythme de ma sodo, moi je décide que tu vas la prendre à sec.
— Avec mon calibre, elle va dérouiller.
— Justement, je veux que demain, quand ils la verront tous revenir, ils comprennent au premier coup d’œil ce qui lui est arrivé.
— D’accord. Julie, tu es prête à ce que je visite ton cul ? Alors, mets-toi en position comme tout à l’heure.

Julie se met à quatre pattes, attendant impatiemment de voir Nathalie glisser sous elle. Elle n’a pas le temps de réagir quand celle-ci se jette sur elle. Nathalie s’assoit sur sa tête et tire sur ses bras pour les maintenir bloqués dans le dos.

— Explose-lui le cul !
Julie se débat et tente de se défaire de son étreinte quand elle sent ma queue se présenter à l’entrée de son cul.
— Non, s’il te plaît, pas comme ça.
— Je suis désolé, c’est ce que Nath’ a décidé pour toi. Et ce que femme veut…

Je pose une main sur ses hanches et de l’autre je tiens ma bite pour la guider dans son cul. Après plusieurs tentatives, je parviens à enfoncer mon gland dans un hurlement de Julie.

— Non, tu ne t’arrêteras que lorsque tu lui auras mis jusqu’à la garde, ordonne Nathalie.

Et je force mon passage sous les plaintes de Julie.

— Voilà, tu l’as bien remplie. Maintenant, tiens-lui les bras pour pas qu’elle file et bascule en arrière, mets-toi sur le dos.

Nathalie se lève et après avoir affirmé ma prise sur Julie en empoignant fermement ses seins, je fais une galipette arrière, ma queue toujours enfoncée en elle. Elle pousse un cri aigu jusqu’à ce que je sois allongé et que son dos repose sur mon torse.

— Alors, tu regrettes ce que tu m’as fait tout à l’heure ? demande Nathalie.
— Oui, je suis désolé, gémit Julie.
— Pas assez encore. Luc, tu as vu aux marques sur nos seins que nous étions amusés avant de venir te voir, mais nous avions fait bien plus. Julie m’a fait bien plus. Si tu as trouvé ma chatte plus ouverte, c’est par ce qu’elle m’avait fisté. Tu crois que je devrais lui rendre la politesse ?
— Je crois que c’est la moindre des choses. Et puis il faut lubrifier ta main si tu veux pouvoir l’enfoncer après dans son cul.
— Vous n’êtes pas sérieux ?

Nathalie se penche sur Julie et l’embrasse à pleine bouche. Je crois qu’elle veut se montrer tendre pour l’apaiser, mais il n’en est rien, elle fait juste ça pour étouffer ses cris quand elle enfonce ses doigts dans sa chatte.

— Qu’est-ce que tu attends pour bouger et lui ouvrir le cul ?

Mes mains cramponnées sur les énormes seins de Julie, je me lance dans des va-et-vient furieux. Ses cris redoublent. Je n’arrive pas à me calmer, enivré par les commentaires salaces de Nathalie qui raconte en détail combien de doigts elle lui enfonce dans la chatte et comment elle réagit.

— Tu te fais déchirer devant et derrière et tu prends ton pied, salope. Tu mouilles comme une chienne. J’ai quatre doigts en toi et je sens que j’ai encore beaucoup de place. Hop, voilà, le pouce est entré. Voyons voir combien de temps ça va me prendre pour enfoncer toute ma main ?

Julie pousse tes petits cris aigus pendant toute l’intronisation. Cette sensation qui grossit dans la chatte de Julie me rend dingue et je prends son cul comme un dément. Malgré le traitement que je lui inflige, il ne faut pas longtemps pour que Nathalie arrive à ses fins.

— Et voilà, je suis en toi. Hum, j’adore cette sensation de cette bite que je sens glisser contre mes doigts. Tu aimes ça toi aussi ?
— J’ai mal.
— Moi aussi j’ai eu mal tout à l’heure, mais j’ai aussi pris mon pied. Pas toi ?
— J’ai… mal.
— Tu veux qu’on arrête tout ?
— Je… non.
— Tu vas bientôt jouir ?
— Oui…
— Luc, tu l’as entendue, elle en veut encore. Fais-la jouir cette belle pute.

Une vingtaine de coups de reins très intenses après, Julie est emportée par un orgasme titanesque que Nathalie étouffe en l’embrassant pour ne pas ameuter tout l’hôtel. Sa jouissance est si terrible que son cul comprime ma bite et me fait jouir à mon tour. Quand Julie revient parmi nous, je dis à Nathalie de sortir sa main de sa chatte et de s’éloigner. Elle sort sa main dans un bruit de ventouse indécent, puis elle descend du lit. Je me retourne pour me retrouver sur Julie qui reste hagarde. Je sors d’elle et me place à côté de Nathalie. Nous admirons tous les deux ses deux trous complètement ouverts et qui refusent de se refermer.
Nathalie monte sur le lit et s’allonge sur elle.

— Tu as de la chance. Je ne vais pas te fister le cul, je ne voudrais pas gâcher un si bel orgasme.
— Merci.

Nathalie la caresse délicatement, elle la masse sur tout le corps. Julie semble revivre et finit par s’asseoir. La position ne semble pourtant pas très confortable après ce que nous lui avons mis et elle se lève. Nathalie l’accompagne et l’enroule dans sa serviette avant d’en faire de même.

— Vous vous en allez ?
— Oui, nous avons eu que nous étions venus chercher, une belle bite et de délicieux orgasmes. Maintenant, nous allons pouvoir dormir et faire de beau rêve dans notre chambre, dans notre lit et sans toi, sans avoir à craindre que tu te réveilles et que tu décides de nous enfiler une fois de plus.

Je les raccompagne jusqu’à la porte à regret. J’avais effectivement espéré pouvoir profiter d’elle durant la nuit ou au moins au réveil. Après un dernier baiser passionné, nous nous quittons. Je me retrouve donc seul dans mon lit, dans ma chambre emplie d’une odeur a****le, une odeur de sexe.

Une chose est sûre, je suis certain de me rappeler longtemps de cette nouvelle année.

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