L’agence immobilière de Leslie prospère très bien. Elle a même engagé une directrice adjointe, une belle brune qui répond au nom de Lou. Celle-ci a tout de suite plu à ces conseillers, Romain, Paul et Gary. Gorge profonde, sodomie, bas couture, elle a parfaitement répondu aux critères de sélection. Oui, l’agence immobilière marche tellement bien, qu’elle est devenue le principal sponsor d’un club de basket de la région parisienne. Ce soir, Leslie a rendez-vous au gymnase, dans la tribune VIP, pour assister à un match de l’équipe. Elle a demandé à Lou de l’accompagner. L’adjointe, certaine d’y trouver son compte, ne s’est pas faite prier.
Dans la tribune, impossible de les manquer. Elles sont assises côte-à-côte, au milieu d’un parterre d’hommes qui les dévorent du regard. Certains se palpent même l’entrejambe. Les deux femmes ont sorti le grand jeu, chose totalement naturelle pour elles. On est une salope ou on ne l’est pas.
Leslie a opté pour un tailleur noir sous lequel elle n’a pas hésité à mettre sa fameuse guêpière blanche. La jupe épouse la forme de ses fesses dépourvues de la moindre culotte. Ses jarretelles bien tendues retiennent des bas couture noirs. À ses pieds, des Louboutin aux talons aiguilles de dix centimètres. Au cou, elle s’est parée d’un collier de perles, en accord avec le bracelet qui éblouit à son poignet. Quant à Lou, elle n’a pas fait dans la demi-mesure : un maquillage charbonneux, des ongles soigneusement vernis de vermillon, un tailleur rouge, une guêpière de même teinte. La jupe, fendue jusqu’à mi-cuisse, moule ses hanches et ses fesses charnues d’une façon indécente. Le tissu est tellement près du corps qu’il n’est pas difficile de constater qu’elle ne porte pas de culotte et de deviner les jarretelles qui accrochent des bas couture noirs. Sous la fine maille du nylon qui plisse par endroits, les plus avisés auront facilement discerné l’éclat d’une chaîne de cheville. Pour parfaire sa tenue, Lou a choisi des escarpins vernis noirs avec un talon aiguille rouge de douze centimètres.
Dans la tribune, le premier commentaire n’a pas tardé à fuser quand elles y ont pris place. Derrière Lou, un cravaté s’est penché vers elle, a humé son parfum et a murmuré à son oreille : «Vous faites un magnifique duo de salopes». Puis l’homme a changé de place et s’est installée à côté de la directrice adjointe de l’agence. La jeune femme a bien compris le message et n’a cessé de croiser et de recroiser les jambes, libérant à la vue de son voisin une belle part de nylon et de peau blanche. Lou ne se prive de mater l’entrejambe de l’homme. Elle y distingue un engin de belle proportion.
Du côté de Leslie, ça s’agite aussi. Un autre homme en costume a pris place à côté d’elle et, d’autorité, a posé une main sur sa cuisse. Il se contrefout du match qui vient de démarrer et caresse le nylon. La direction de l’agence se sent déjà mouiller. D’instinct, elle a écarté les jambes et, de ses yeux troublants, invite l’homme à poursuivre son exploration.
Le match n’est même pas arrivé à la fin du premier quart-temps que, déjà, Lou se lève, lisse sa jupe afin de faire ressortir son cul. Son prétendant la suit sans hésiter. D’un regard, elle fait comprendre à Leslie de venir la rejoindre. La patronne de l’agence obtempère et emmène son amant d’un soir. Dans les travées du gymnase, sous les tribunes, on n’entend que le claquement des talons aiguilles des belles bourgeoises prêtes à se faire baiser. D’un commun accord tacite, les deux hommes marchent en retrait, leurs yeux dévorant le cul de leurs promises. Direction les vestiaires.
Leslie et Lou s’installent chacun sur un banc. Elles se font face avec des mines gourmandes et de profondes envies de stupre. Plus salope que jamais, la directrice de l’agence relève sa jupe et exhibe sa chatte bien humide. Son amant d’un soir ne perd pas de temps à s’agenouiller et y place une langue avide. Ainsi offerte, Leslie mouille encore plus. D’un geste affirmé, elle presse la tête de l’homme contre sa vulve.
Quand à son adjointe, garce en chaleur totale, elle s’active sur une bite sévèrement tendue. Après en avoir léché les couilles bien pleines, elle gobe l’intégralité du membre offert en d’énergiques va-et-vient. Lou bave beaucoup. Une salive épaisse coule de son menton jusque sur sa jupe, augmentant encore un peu plus son excitation.
Sous les coups de langue experte de son amant, Leslie se cabre sur le banc, jupe retroussée, cuisses bien écartées, chatte totalement offerte et dégoulinante de cyprine.
– Montre-moi ta queue, fait-elle d’une voix rauque. Faut que je suce !
L’homme ne se fait pas prier et exhibe une verge de belle taille. Leslie opte pour une fellation lente, langoureuse alors que Lou continue de laper, d’avaler avec une énergie peu commune. Son complice est sur le point de jouir et se retire à temps.
– Quelle putain, tu fais !
– Je sais ! Viens me bouffer la chatte !
L’homme obtempère et s’accroupit. La moule de Lou est inondée comme jamais. Son jus déborde sans retenue. Ravi de provoquer autant d’excitation, son amant insiste, multiplie les coups de langue aux quatre coins d’une chatte fiévreuse. Il s’est agrippé à ses bas, trop heureux de les faire plisser.
Pendant ce temps, Leslie s’est retournée. La bourgeoise a pris appui contre le mur brut et exhibe ses fesses, prête à se faire défoncer. Son compagnon n’hésite pas et choisit la voie étroite. La verge palpitante rentre sans forcer tellement le cul de cette garce est trempé. L’homme s’accroche à ses hanches et la sodomise avec une grande douceur. Instants de volupté.
Lou a choisi la même position mais elle préfère d’abord qu’on lui baise la chatte avec vigueur, ce que fait très bien l’homme dans son dos. Il n’hésite pas à assortir sa prestation de commentaires crus :
– Grosse salope! Pute à foutre !
Lou apprécie d’être traitée ainsi mais elle en veut encore plus.
– Encule-moi ! Vas-y à fond, mon salaud !
Dans son dos, son amant n’a aucune peine à s’insérer dans un anus à la température volcanique.
– Bourre-moi ! Remplis-moi de ta queue ! Défonce-moi !
Lou ne se retient plus. Leslie fait de même et supplie son complice d’accélérer la cadence. Les coups de boutoir sont tellement violents que les deux femmes tiennent à peine l’équilibre sur leurs talons aiguilles. Les deux hommes sont à point.
Leslie se retourne, se rassoit sur le banc. Son complice balance déjà la purée. Une semence épaisse qui vient s’écraser sur son visage, dans sa bouche offerte, sur la veste de son tailleur.
Lou s’est mise à genoux et pompe la bite de son prétendant, sans aucune retenue, enfonçant le chibre prêt à décharger jusqu’au fond de sa gorge de putain. Un foutre gras, chaud dont elle ne perd aucune goutte.
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