Cette histoire s’est passé il y a quelques années, lorsque j’étais palefrenier pour un lord anglais. Je m’occupais donc des chevaux d’un riche propriétaire terrien qui avait un manoir à la campagne. L’hiver, le manoir était vide, mais l’écurie restait bien fournie. Je faisais les box le matin, et je faisais travailler les chevaux l’après-midi, sa famille étant mordue de saut d’obstacle, il possédait de nombreux chevaux de valeur, qui brillaient aux différents concours de saut d’obstacle.
J’avais le droit à une petite maison, mais je préférais vivre avec les chevaux, j’avais installé ma chambre dans un box, près de la cheminée, que j’allumais lors des grands froids.dans le foi. Je mangeais le midi dans une ferme du coin. J’aimais les chevaux, je montais des chevaux fantastiques, tout allait bien pour moi.
Un jour, la dernière fille du propriétaire arrive avec sa Mini et vient me voir, elle me demande de seller son cheval de concours. Elle voulait préparer le prochaine compétition. Elle me demande ou elle pouvait se changer, je lui désigne un box un peu à l’écart, proche de ma chambre de fortune. Je selle son cheval fissa, elle va à sa voiture récupérer ses affaires. J’ai le temps de passer dans le box d’à côté. Une planche cassée à un mètre du sol me laisse le loisir de ‘observer. Elle ferme donc la porte du box et se déshabille. Elle est superbe, blonde, assez grande, petite poitrine, mais ferme. Elle garde son soutien-gorge, mais enlève sa culotte et enfile son pantalon d’équitation.
Je ne m’attarde pas trop, histoire de ne pas me faire griller. Je retourne au box du cheval, je le sors dans la cour, près de la carrière. Elle arrive une minute après.Je l’aide à monter en selle, son pantalon la moule tellement qu’on devine sa fente lorsqu’elle monte dessus.
Elle fait bien travailler et revient à l’écurie. Elle me dit qu’elle va aller prendre une douche. C’est impossible, votre père coupe l’eau au manoir l’hiver pour ne pas abimer la plomberie avec le gel! Et comment faites-vous? Je me lave dans le bac avec l’eau chaude de la cheminée. Soit, me dit-elle, préparer moi votre bac, je vais étriller mon cheval.
Je lui prépare donc son bain, je pousse le bac dans un coin, un peu à l’écart.
Je lui mets de l’eau chaude et sors des serviettes. Elle revient, et va se baigner, hélas je ne peux pas la voir!
Au bout de quelques minutes, elle m’appelle, je n’ai pas de savon, ni shampoing! Je lui tends un carré de savon de marseille! Le shampoing? Je prépare un mélange d’oeufs et de savon. Et bien faites, dit-elle en cachant sa poitrine! Je m’éxécute et commence à lui faire ma mixture, c’est dégoutant me dit-elle! Mais efficace, lui répond-je! Vs allez voir! Et bien, faits moi le shampoing
Je m’éxécute, de dos, collée au bac, je ne vois rien, mais je lui fait son shampoing, avec soin, et lui masse un peu le cou, puis les épaules! Vous êtes très doué me dit-elle! J’ai mal en haut du dos me dit-elle, massez moi un peu! Je lui répond que j’ai une huile de récupération pour les chevaux, que je coupe avec de l’aloe vera qui est fantastique!
Soit, me dit-elle, je veux bien essayer!
Je vais chercher un table, elle s’enroule dans deux serviettes et s’allonge sur la table!
Je lui masse le dos, avec délicatesse, en faisant bien rentrer mon onguent. Je descend au niveau du creux des hanches, sa serviette est serrée autour de sa taille!
Mon huile est très efficace contre les douleurs musculaires!
Je descends la serviette et masse la moitié des fesses, elle ne dit rien!
Je vire complètement la serviette, je masse avec application ses deux lobes, elle es très bien épilée!
Je verse un peu trop d’huile, qui coule dans sa raie, je m’empresse de bien l’étaler, je m’approche de son petit trou, elle ne dit toujours rien.J’y vais plus franchement, en frolant le petit trou, elle écarte les jambes, j’en profite, j’étale ma mixture autour de son anus, elle gémit! J’introduit une phalange, elle gémit encore plus fort!
J’enfonce un doigt entier, je la lime délicatement, elle semble apprécier, elle place la serviette sous elle pour remonter son postérieur!
Je lui enfonce deux doigts plus profondément, et là elle me cire: oui, plus vite, plus profond!
Je la lime de plus en plus fort, plus vite, elle hurle de plaisir!
Je me déshabille rapidement, je bande déjà comme un âne, je continue à la travailler à la main.
D’un coup, je monte sur la table, place mes genoux de chaque coté de ses hanches, je mets un peu d’huile sur mon sexe, m’approche de son petit trou, je le frotte, elle gémit!
D’un coup, je rentre en elle, je suis aux anges, j’encule la fille de mon patron, qui me supplie d’aller plus loin!
Je ne tiens pas longtemps, j’éjacule assez vite!
Je me retire, et vais me laver le membre, la laissant haletante sur la table!
Deux minutes après, elle me rappelle, tu ne diras rien?
Non,!
ça sera notre secret!
OK
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