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Mûres32/dans les vestiaires, une vieille se fait e

Mûres32/dans les vestiaires, une vieille se fait e



Cet après-midi, une bourgeoise de 60 ans, blonde et svelte, qui peine à se rajeunir, fonce sur l’autoroute dans sa petite voiture. Une demi-heure de route dans quel but? où allez-vous si vite, chère Madame?
-Je vais accueillir une jeune queue dans ma bouche.
Le jeune homme qui m’attend ne sera pas trop critique envers mes seins trop mous, ni mes yeux cernés. Mes lèvres sont légèrement regonflées au botox, mais qu’importe?
Quand j’entrerai dans son appartement, et que je m’agenouillerai dans l’entrée, sans préambule, pour lui sucer le noeud, il appréciera de se faire pomper par une bourgeoise vieillissante qui veut rester si féminine que cela fait même un peu pute.
Mais voyez-vous, cette bonne queue bien dure fait vraiment du bien à ma vieille chatte toute baveuse.
Je me fais bien sûr tirer régulièrement sur le lit conjugal, mais j’aime ces bonnes bourrées clandestines qui me font mouiller sans retenue.
Cela vaut le déplacement, et je ne regrette jamais d’être venue lorsque mon amant me tamponne à grands coups jusque dans la matrice.
Mon vagin toujours acceuillant reçoit les geysers de foutre comme un compliment, et j’apprécie de voir une jeune bite gicler si volontiers dans ma vieille chatte un peu triste.
Voilà ce qu’aurait pu répondre Katharina, si elle avait livré le fond de sa pensée.
Pour leur, c’est le fond de sa chatte que je pine sur mon lit.
J’ai raconté quel est le préambule habituel. Pour être plus complet, j’ajouterais que je branche un cd de musique méditative, quelques bribes de mélodies discrètes qui tournent en boucle, sur un fond doux et vaguement sirupeux. Voilà pour le son. L’image, c’est une vieille cochonne qui se frotte la fente d’un air rêveur sur le canapé, et un jeune et vigoureux vicieux qui branle sa bite arquée, debout devant elle.
La bourgeoise se rentre le gode bleu, et m’invite avec des mouvements de langue obscène à venir me faire lécher.
Il m’arrive de manquer d’entrain lorsque je l’enfile. Ma queue devient blasée, je dois la branler, m’aider du poignet, tandis que le gland reste à moitié enfoncé dans l’orifice tout baveux de la femme au foyer frustrée, qui s’essuie le con avec un mouchoir de temps en temps.
Lorsque c’est nécessaire, je demande à Katharina de me gober un peu les roubignoles.
C’est bien volontiers que la blonde bourgeoise fait jouer les boules et la peau de couilles par de petites aspirations, gobages et léchouilles.
Quel dommage que sa fille Dora, qui doit avoir 35 ou 40 ans, ne voie pas sa mère si élégante, en train de réanimer l’ardeur d’un jeune homme en travaillant des lèvres, de la bouche et de la langue comme une vieille putain qui s’applique.
Je regrette aussi que Katharina, toujours prête à se faire fourrer, ne se laisse pas enculer.
Avec sa mouille on aurait du lubrifiant à profusion.
Même Brigitte qui , malgré ses 73 ans, mouillait bien, la garce de vieille blonde à chignon, même Brigitte gardait son petit pot de lubrifiant à portée de main. Je ne me souviens pas d’avoir fourré l’anus de Brigitte sans qu’elle se soit, tôt ou tard, graissé la rondelle.
C’est tellement touchant, une vieille dame qui se prend une bite dans le cul.
C’était l’heure de partir. La chatte bien défroissée, sa vieille matrice ayant fait le plein d’huile de couilles, Katharina voulait être à la maison avant le retour de son mari.
Après quelques baisers fourrés au moment du départ, j’avais soudain encore envie d’elle.
que faire? Elle ne voulait plus se déshabiller, elle était déjà toute prête, toute maquillée. Le masque de la bourgeoise, après s’être fait secouer sous les coups de bite, était réajusté.
Je l’entraînai donc à la salle de bain, sortit mon engin, et commençai à me branler sur le bord du lavabo.
Pendant ce temps là, Katharina me fourrait la langue dans la bouche, et du coin de l’oeil, regardait ma main s’activer sur la queue. Toute excitée, elle sentait que j’allais jouir.
Sa langue s’enfonçait dans ma bouche. J’envoyai de bonnes coulées blanchâtres sur l’émail, ce qui arracha à Katharina quelques soupirs spontanés de satisfaction.
Elle avait peu d’occasions de me voir gicler, contrairement à Brigitte ou à Marlène qui, de temps en temps, après une branlette face à face, demandait à voir jaillir mon foutre sur leurs seins ou sur leur langue.
Ah, Brigitte, élégante grand-mère putain, la chevelure blonde en bataille, comme une sorcière, la langue tirée, prête à recevoir sa dose de sperme, comme un médicament!
Katharina n’était pas seulement relâchée dans ses formes (qui gardaient de l’élégance à cause de sa taille élancée). Elle se laissait faire comme une poupée.
Alors que nous étions au bains thermaux, je lui lançai, sans préambule:
-Maintenant, j’ai envie de te la mettre.
Aucune discussion, la distinguée bourgeoise sort de l’eau, reprend sa serviette de bain, et nous descendons d’un étage, dans les cabines du vestiaires.
Enfermés dans la même cabine, sans aucune insonorisation, nous nous préparons à une discrète pénétration, alors que des familles occupent les cabines voisines, parfois à quelques centimètres de nous.
Debout, je m’agrippe aux hanches molles et veloutées de la dame mûre, et je l’enfile avec vigueur, au milieu des cris d’enfants, des interjections en tout genre des baigneurs qui nous environnent, et qui ne savent pas qu’une digne femme mûre est en train de retenir ses gémissements. Cette bite qui pulse dans son vagin, c’est en ce moment le seul élément vraiment tonique et ferme de son corps. Mais qu’est-ce que ça lui fait du bien de se faire mettre une ou deux fois par semaines en plus de son mari!

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