Partie 1 =>
Sandra ramena un sac de sport qu’ils avaient ramenés lorsqu’ils étaient arrivés. Je n’y avais pas prêté attention. Elle le posa sur la table du salon et commença a déballer son contenu. Je ne voyais pas tout mais le peu que j’observais ne me disait rien qui vaille. Des gods, des plugs et des objets dont je ne pouvais même dire à quoi il servait.
Elle pris une laisse, un collier de chien et une cravache pour revenir vers moi.
« C’est mon moment préférée quand la personne prend conscience de sa place, qu’elle se rend compte que c’est une pauvre merde. Et là te faire ça à toi, le pied ! Déjà que je me tape ton mari dans ton dos alors là te transformer en pute soumise c’est le scénario rêvé »
Elle m’enfila le collier autour du cou, puis y attacha la laisse. Je me concentrais pour ne pas laisser monter cette excitation horrible qui arrivait. Je me sentais déjà si honteuse, alors sentir du plaisir par rapport à ça ne faisait que rajouter de la honte à ça, ce qui faisait un cercle vicieux.
Au fond de moi je connais ce sentiment qui me faisait honte, je le refoulais depuis tant d’année. Je me rappelle que déjà au étant jeune lors de plusieurs situations très embarrassantes Comme au lycée ou je m’étais retrouvé en string, seins à l’air devant tous les garçons de ma classe dans le vestiaire. A ce moment là j’avais ressenti ce frisson de plaisir, d’excitation. Je me faisais tellement honte que je me forçais à ne jamais y penser.
« Bien désormais tu t’appelleras lassie c’est un bon nom pour un a****l de compagnie. »
Elle commença à marcher dans la maison pour me promener en laisse. On faisait le tour du salon avant de sortir. Il faisait froid j’avais la chair de poule sur tout le corps elle me faisait me déplacer sur des petits cailloux, c’était tellement désagréable au possible. On s’arrêta dans l’herbe.
« Ce qui va se passer c’est simple je vais te mettre plus bas que terre, te briser, casser en toi toute résistance. Quand j’en aurais fini tu ne seras plus qu’un objet de plaisir, de service qui n fera plus qu’exécuter les ordres et n’aura pour seul but que de servir ses Maîtres. Maintenant pisse comme une chienne »
Son ordre me terrifia j’avais beau réaliser ce qui m’arrivait les sévices que je découvrais au fur et à mesure je ne les imaginais pas. Ces quelques secondes d’hésitation m’auront valu un énorme coup de cravache sur mon cul. Je poussa un cri et par réflexe me frotta la fesse à l’endroit de l’impact. Grosse erreur…
Elle planta son talon dans mon dos tout en tirant la laisse vers le haut et me dit de dégager ma main.
« Sale chienne de merde t’as rien compris en fait. De un quand je te dis quelque chose tu l’exécutes sans attendre et réfléchir ! Ensuite t’as déjà vu une chienne se frotter le cul avec sa main ?! Non, et toi tu es quoi ? Une putain de chienne ! Refais ça encore une fois et tu le regretteras »
S’en suivirent 5 coups de cravache sur chaque fesse. Je retenais au maximum mes cris de douleur. D’autant qu’ils s’entremêlaient avec des petits gémissements de plaisir que je voulais absolument cacher. Je me mis alors à uriner au sol, à quatre pattes devant Sandra, enfin ma Maîtresse devrais-je dire.
Elle poussa le vice encore plus loin en détachant la laisse pour me laisser un bâton que je dû aller cherche plusieurs fois et ramener à ses pieds. Après quoi elle me ramena dans la maison et me fit boire dans une gamelle d’eau au sol. Je ne savais pas à ce moment là que ce n’était que la partie douce de mon éducation.
Elle s’assit alors sur le canapé et m’ordonna de venir à ses pieds.
« Ce que tu veux faire maintenant c’est que tu vas venir frotter ta chatte de chienne sur mon talon et tu vas te frotter jusqu’à te faire jouir. Et je veux que tu me regardes dans les yeux sans discontinuer pendant que tu fais ça. Chaque fois que tu détourneras le regard de mes yeux ce sera 10 coups de cravache »
Je me mis en position, posant ma chatte sur sa chaussure. Je dus donc me résoudre à la regarder dans les yeux. Je commençais à frotter mon clitoris sur sa chaussure, le plaisir commençait à monter. Elle me regardait avec autorité et mépris guettant la moindre faute de ma part. Je dois honteusement avouer que l’orgasme fut rapide à arriver. Au moment où il se déclencha je fus submergée par le plaisir et ferma les yeux par instinct. Une grande gifle me remis les idées en place.
« Première erreur et comme ta gueule ne me reviens pas c’est bonus ce sera 20 coups de cravache. Maintenant à quatre pattes ton cul face à moi, ta gueule collée au sol le cul bien en l’air cambrée ».
Une fois mise en position, les orifices totalement ouvert à ses yeux, j’étais à sa merci. Ma dignité avait déjà disparu, pourtant je ne m’en souciais guère. Je n’étais pas vraiment une battante, me laissant déjà guidé par Sandra. J’étais portée par le moment et suivait instinctivement les ordres sans réfléchir.
Tout d’un coup je sentis une pression sur ma chatte, puis sur mon cul. Après avoir poussée quelques instants je sentais mes deux orifices pénétrées. Elle avait rentrée ses deux talons dans ma chatte et mon cul.
« Bien maintenant lassie tu vas te baiser sur mes talons, tu vas faire des va et vient avec ton gros cul chienne et te baiser sur mes talons. Inutile de te dire que tu n’arrêteras que quand tu auras joui et que tu auras l’honneur de pouvoir nettoyer mes chaussures avec ta langue de chienne après.
Je me retrouvais donc en double pénétration pour la première fois de ma vie sur des talons de chaussures. J’essayais la méthode douce pour faire revenir le plaisir juste après avoir déjà joui. Cela n’eut pas grand effet, je dû donc me résoudre à littéralement me baiser dessus.
« Regarde toi j’ai encore rien fait que pour jouir t’es obligée de te faire baiser, prendre comme une chienne c’est pitoyable »
Je continuais à me baiser tout en me réalisant que j’étais loin du compte quant à ce qui m’attendait. La soirée venait à peine de commencer et j’avais déjà totalement lâcher prise, sans aucune volonté je devais véritablement une chienne et à mon grand regret j’y prenais du plaisir…
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