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Je surprends mon neveu. suite 1

Je surprends mon neveu. suite 1



Je surprends mon neveu.suite 1

Bon, il fallait digérer le fait que mon neveu se tapait ma femme. OK, il avait 25 ans de moins que nous, ça pouvait être notre fils. Mais quand même. Alors ça ne sortait de la famille, et ça entrait dur dans ma femme. Elle aimait ça, le changement, et puis il avait peut-être une bite qui sortait de l’ordinaire pour entrer dans les orifices que je pratiquais aussi.
Lendemain matin, je me réveille avec la gaule et mon épouse ronfle. Elle a tout donné hier soir et je la laisse dormir. Café, salle de bain, et, panier à linge. Sa culotte est encore humide, avec ce que j’ai déchargé dedans. J’aime l’odeur et le gout d’un sperme et je ne m’en prive pas, donc je me branle en aspirant l’entrejambe doublé et me soulage dans le lavabo.
Au boulot, tout le monde y va. Un de mes collègues me trouve bizarre et à la pause du repas, me questionne gentiment.
J’ai du mal à lui raconter ce que j’ai vu et aperçu chez moi, mais j’y arrive tête baissée vers mon assiette. Quand je relève les yeux, je le vois, bouche grande ouverte, et les yeux exorbités. « Ben mon con, wouaou. Et bien; Chié quoi! »
Puis sa main se pose sur la mienne pour la secouer et après il me dit: « Ok, on va lui rendre la monnaie de sa pièce, ce soir. Je t’appelle quand tu es rentré, pour te demander de me donner un coup de main pour aller chercher un canapé acheté sur le Bon Coin. »
Je rentre du boulot, ma femme n’est pas rentrée. Dès que je reçois l’appel, j’envoie un message sur son téléphone et je pars chez Jérôme.
« Bon, on va chercher le canapé, on le monte puis on ira manger au St Hubert, on y achètera des cigarettes. » J’ai quand même le moral dans les chaussettes et Jérôme me remplit mon verre dès qu’il est vide. Boire pour oublier, quelle connerie.
Heureusement que Jérôme n’a pas bu. Moi par contre, je suis malade et je vomis tout ce que j’ai ingurgité, le solide comme le liquide. Arrivé chez le collègue, il m’aide à me déshabiller, me colle dans la douche et me fait couler de l’eau chaude. C’est bon, puis soudain il entre tout nu la douche avec le flacon de gel douche et commence à me frotter le dos, les reins, les jambes, la gauche, la droite, puis attaque le devant, après m’avoir fait levé les bras. « Ferme les yeux » Il me masse le tétons qui durcissent, passe ses mains sur mon ventre, et s’empare de Popaul.
Dans mon cerveau embrumé, je me dis qu’il va me faire bander, et oui ça réagit grave à la caresse. Surtout qu’il se positionne sur un coté et ça lui permet, un, de s’activer sur mon sexe, deux, d’immiscer son autre main entre mes deux globes fessiers, pour aller voir du coté de ma rosette avec les doigts.
C’était hier soir que ma femme faisait pareil, sauf que elle, pompait mon sexe, et, non, oui, Jérôme s’agenouille et se met à gober mon gland, sa langue fait des tours, les couilles sont pressées, des doigts garnis de gel douche frappent à l’entrée de mon anus, et, oh, un, puis deux doigts coulissent et se courbent dans mon fondement, puis, plus de pompage de bite, Jérôme se relève, me demande de me pencher, alors que collé à moi, je sens son sexe dressé dans mon dos.
« Je ne suis pas homo. » dis-je. « Non, mais tu vas aimer, laisse moi te faire ton affaire, et là, c’est une vraie vengeance que tu lui avoueras. » « C’est pas faux. »
La tête tournée vers le mur et les robinets, les yeux en trou de pine, je sens son sexe qui approche la tête de mon trou, et je recule pour mieux le ressentir. Je le veux dedans, jusqu’aux bourses, à fond, sentir son sperme propulser par saccades, comme une femme le ressent. « Oui, vas-y entre, je veux te sentir ». Alors là, ouille, putain, ça déchire, c’est pas ça que je veux, je veux jouir. Ouille, ah, il se retire lentement, rentre un peu, se retire encore, rentre encore un peu.
C’est pas la joie, mais il rentre et ressort doucement, la sensation, la douleur s’estompe pour faire place à la jouissance de ce coulissage. Ces couilles viennent taper les miennes. « Encore »
Quand il ressort, c’est bon, quand il rentre, c’est meilleur. Tout à l’heure, il ne m’a pas fini, et Popaul est au garde à vous. Accroché à mes hanches, je suis pistonné par Jérôme. je me maintiens d’une main au mitigeur et avec l’autre je me branle. C’est géant, à la manière dont il m’encule, je sais qu’il va bientôt m’inonder les entrailles, alors je me secoue le sexe et je lui dis d’y aller car je vais cracher la purée.
Ca y est, il jouit, s’il pouvait entrer ses bourses dans mon cul, il le ferait le bougre.
« Et tiens, prends ça dans ton cul, je t’ai fait un bébé, tu seras ma petite pute à moi. »
« Heu, comment ça? ta petite pute, j’aime les femmes aussi, leurs faire ce que tu viens de me faire, hein, je ne renonce pas à enculer et baiser. »
A moitié endormi, complètement ensuqué par l’alcool, Jérôme me donne une dernière douche, m’essuie et m’accompagne dans sa chambre, où il n’y a qu’un lit. Dodo. Heureusement que j’ai éteint mon portable, ai-je le temps de penser. A SUIVRE

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