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une histoire folle

une histoire folle



Je m’appelle Lily, 18 ans, petite étudiante banale que personne ne remarque malgré mon physique. Brune, cheveux coupés au carré, 1m67, 58 kilos, assez mince, je fais attention a ma ligne et un 85c plutôt joli. Depuis quelques temps, je ne m’intéresse plus trop au mecs de mon établissement scolaire, je les trouve trop immatures. Non, le seul qui obsede mes pensées c’est l’homme qui m’a conçue, et quel homme, imaginez un peu : 43 ans, 1m87, 81 kilos, puissant, musclé, brun, yeux noisettes, une petite bouche craquante et de jolis abdos. J’ai déjà cru apercevoir des regards de papa posés sur moi, mais je n’ai jamais voulu y faire attention, pensant que je me faisais des idées. Mais depuis peu, mon père occupe mes fantasmes. Je l’imagine me prenant dans ses bras pendant qu’il me fait l’amour, ses gestes sensuels qui caressent ma peau et qui m’accompagnent au 7eme ciel, nos baisers passionné…

-Caro !
Cette voix qui interrompt mes pensées est celle de Vanessa, mon amie d’enfance. Avec elle, nous avons toujours tout partagé, nous n’avons aucun secrets l’une pour l’autre. Beau brin de fille blonde cheveux longs de 1m71, 55 kilos, 75b, athlétique, visage doux et souriant. Nous nous faisons la bise comme a l’accoutumée.

-T’es a la bourre, je t’attendais ! Lui dis je.
-Désolée, j’ai eu une panne d’oreiller, on y va ? Dit elle en m’attrapant par le bras.

On doit aller se balader dans Paname pour un petit lèche vitrines.

-A quoi pensais tu ? Tu avais l’air perdue.
-A rien du tout ! Dis je en rougissant.
-Menteuse ! Allez dis moi tout !

Je m’arrêtais de marcher, plus je pensais a mon père, plus mon estomac se nouait, et ma culotte s’humidifiait.

-Caro, je te connais, tu penses a un mec !

Que faire ? Si je lui dis de qui il s’agit, elle va me traiter de malade mentale, me faire interner ou pire, ne plus me parler, et je refuse de la perdre.

-Non, je…

Elle me fit face.

-Je ne te jugerais pas, promis ! Je le connais ?

Je fis un signe affirmatif de la tête en baissant les yeux, et mon excitation ne se calmait pas.

-Alors laisse moi réfléchir… Hmmm… Je le connais !
-Oui.
-Étudiant ?
-Non !

Elle écarquilla les yeux.

-Prof ?
-Non plus !
-Ce n’est pas l’homme de ménage, quand m…
-Stop ! Lui ordonnais je. Écoute, je ne me sens pas très bien, est ce que ça t’ennuie si on repousse notre sortie a Samedi prochain ?

Vanessa prit un petit air déçu.
-Non, mais tu ne veux pas me dire ce que tu as ?
-Je… Je ne sais meme pas ce que j’ai. C’est juste que je ne me sens pas bien du tout. Excuse moi.

Je rentrais chez moi, morte de honte et d’excitation en laissant cette pauvre Vanessa dans la plus totale incompréhension. Une fois rentrée je fonçais dans ma chambre pour surfer sur internet et me renseigner sur ce que je ressentais. Le soir, mon père rentra de son travail et je suis allée l’accueillir avec un petit bisou sur la joue.

-Bonsoir papa.
-Bonsoir ma puce, tu as passé une bonne journée avec Vaness ? Comment va t elle ?
-Bien, et ma journée a été plutôt banale. (Menteuse !) Et toi ?
-Journée tranquille. Tu voudrais manger quoi ce soir ?

Toi, papa, me dis je dans ma tête !

-Je n’ai pas très faim a vrai dire, je me sens un peu patraque.
-Tu as mal quelque part ?
-Non, mais je crois que je vais aller me coucher. Je suis désolée de te gâcher ta soirée.
-Mails il est a peine 20h. Tu es malade ? Tu veux que j’appelle un médecin ?
-On verra demain si je ne me sens pas mieux. Bonne nuit papa.
-Ben… Euh, bonne nuit ma puce.

Je lui fis une bise et fonçai dans ma chambre. Mon portable vibra, signe de l’arrivée d’un SMS. C’était Vanessa qui s’inquiétait de mon état. Je lui répondis que je devais juste me reposer que je me sentirais mieux demain.
Plus Tard dans la soirée, il devait être pas loin de minuit, je n’arrivais pas a dormir. mon père était dans ma tête, je n’arrivais pas a me calmer. Il faut que je fasse quelque chose, mais quoi ? Je décidais de me mettre un débardeur et un shorty pour cette nuit, mais une force me poussa a aller dans la chambre de mon père.Mon ventre me faisait mal, autant par la faim que par le désir, il fallait que je lui parle, après tout, il me ramènera a la raison avec une bonne gifle et tout rentrera dans l’ordre.
Je sortis de ma chambre et me dirigea a pas de loup devant la porte de la chambre de mon père. Je décidais de frapper.

-Oui ?
-Puis je entrer, papa ?
-Entre ma puce !

J’obéis et ferma la porte derrière moi. Je m’avançais vers mon père, qui était dans son lit, et moi toute rouge.

-Que se passe t il ?
-J’ai a te parler d’une chose grave.

Mon père se leva d’un bond.

-T’es enceinte, c’est çà ? Tu as des emmerdes ?

Je tentais de le calmer.

-Non, papa, c’est autre chose.
-De quoi il s’agit ?
-De toi !
-Pardon ?
-Assieds toi, s’il te plait.

Mon père s’assit et je me décida a prendre mon courage a deux mains.

-Papa, tu vas me traiter de folle, peut être me renier ou me gifler, mais…

Mon ventre me faisait un mal de chien, et mon shorty était humide.

-Depuis peu, je suis amoureuse d’un homme. Et j’ai très envie de lui… Enfin, sexuellement, tu vois.
-Qui est ce ?

J’avalais péniblement ma salive.

-Toi !

Mon père écarquilla les yeux.

-Mais je suis ton père ! Comment peux tu me dire une chose pareille ?
-Papa, c’est déjà assez dur pour moi, je t’en supplie !
-Viens ici, me dit il d’un ton assez doux.

J’obeis et il me prit dans ses bras.

-Ma puce, je suis flatté mais on n’a pas le droit, tu es ma fille et je suis ton père. Moi aussi j’ai eu des pensées impure vis a vis de toi, mais j’ai du les chasser.

Je regardais mon père dans les yeux, avec une lueur douce.

-Je sais, papa, et je voudrais tant que… Enfin, toi et moi, même si ça doit rester secret. Tu… Tu m’excites et tu m’obsèdes !

J’aurais jamais cru dire ces mots la, et surtout pas a lui. Mais son regard a changé, et il me caressait la joue. Nous sommes restés un moment a nous regarder. Petit a petit, sa bouche se rapprochait de la mienne, mon cœur battait a tout rompre. Nos lèvres se touchèrent et nous échangions alors un baiser qui me fit totalement fondre de bonheur. A la fin de ce baiser qui pour moi a duré une délicieuse éternité, mon père prit la parole.

-Chérie, si on continue, tu sais ce qui se passera ?
-Je m’en fiche ! Je t’aime et je ne veux que toi !

J’espère que le début vous a plu. Une suite ?

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