Combien de fois firent ils l’amour, elle n’aurait su le dire…Ils finirent par s’endormir dans les bras l’un de l’autre. Clotilde se réveilla la première. Elle fila prendre une douche, mais le jet d’eau au lieu d’apaiser son appétit de sexe le stimula…elle s’empressa de revenir vers le lit conjugal. Laurent dormait couché sur le dos à présent…Elle s’amusa à souffler doucement sur son sexe au repos, puis ne constatant aucune réaction, elle passa sa langue dessus. Elle pensa avec étonnement que c’était la première fois qu’elle voyait le sexe de son mari au repos…Ses caresses eurent tôt fait de réveiller son mari qui l’attrapa par les hanches …
– toi tu vas voir ce qu’il en coûte de me réveiller
– et toi tu vas voir ce qu’il en coute de m’empêcher de dormir en me baisant comme tu l’as fait toute la nuit…
-moi, je t’ai baisé? Je m’en souviendrai…viens montrer ta petite chatte, voir si je me rappelle de l’avoir fréquenté
Sitôt le petit déjeuner pris, ils partirent visiter Venise. Clotilde s’extasiait devant les monuments, admirant le marbre des façades, applaudissant les gondoliers lorsqu’ils poussaient la chansonnette…Son mari n’aurait pu lui suggérer meilleur voyage de noce. Son désir de sexe s’était exacerbé, et un hangar de réparation de gondoles les accueillit à l’abri des regards…Clotilde s’aperçut alors qu’elle préférait lorsque son mari la sodomisait. Était-ce le fait que leur première relation avait été anale? Bien sur elle aimait également la pénétration vaginale et jouissait lorsqu’elle la pratiquait, mais elle avait l’impression d’une sorte de manque si Laurent ne l’enculait pas…
– J’ai l’impression qu’il y a ton sirop qui s’échappe de mon cul…
– non mais tu t’entends parler? Pour une pensionnaire des Soeurs de la Vierge…
-ben regardes quand même
Ils étaient en pleine rue, mais Laurent souleva sa robe légère pour voir.
– Tu as raison, mais je n’ai plus de kleenex…
Des passants leur jetaient des regards courroucés, d’autres souriaient. La vue des fesses de Clotilde ne laissait personne indifférent…Ils déambulèrent ainsi toute la journée, se tenant la main et en mangeant des gelati. Ils profitèrent de la fraicheur du soir avant de rentrer diner à l’hôtel. Clotilde étrenna une nouvelle robe du soir au décolleté encore plus plongeant que celle de la veille…
– Mais tu as combien de valises?
-juste assez…Mais je te rappelle que c’est Bertille qui les a préparé,Je ne sais même pas ce qu’il y a dedans…je suis ses instructions…
– Elle me parait avoir bon goût, continues de te fier à elle pour l’instant, tu auras tout loisir de te constituer ta propre garde-robe après…
Au moment de se coucher, Clotilde alla directement chercher le masque noir et le revêtit
– Je vois que tu aimes les initiatives ma chérie…j’arrive
Elle s’était allongée nue sur le dos. Quelle surprise son mari allait il lui réserver? Elle aurait aimé qu’il l’attache et profite d’elle sans qu’elle ne puisse rien faire…il faudrait qu’elle lui suggère discrètement cela.
Une présence. Quelqu’un était là près d’elle. Elle le sentait, elle le savait. Tous ses sens étaient en éveil. Ce parfum était celui d’une femme. Elle n’eut pas trop le temps de cogiter…déjà des lèvres douces glissaient sur les siennes, descendaient sur son cou, titillaient un sein puis l’autre , des dents mordaient délicatement au passage les tétons durcis par le désir qui s’était emparé de Clotilde. Son corps frémissait à présent sous les caresses. Les mains de l’inconnue s’étaient jointes au bal de ses lèvres . Instinctivement Clotilde avait écarté les cuisses et les lèvres amies déposèrent un baiser sensuel sur son intimité humide . La langue de l’inconnue jouait à présent avec son clitoris, le stimulant longuement avant de descendre laper les petites lèvres, faire une incursion au plus profond de Clotilde puis remonter vers son bouton de bonheur…Clotilde sentit l’orgasme arriver, elle voulait le repousser, le retarder pour pouvoir également jouer avec sa partenaire, mais celle-ci lui maintenait les cuisses fortement et dans un râle incontrôlé, Clotilde laissa le flot de son plaisir la submerger…Elle ôtât son masque.
– Bertille? Mais que…
– Tu as aimé ma chérie?
-oui bien sur, mais où est Laurent?
– je suis là…je vois que les retrouvailles familiales sont…chaudes!
– je ne savais pas que tu étais à Venise…
-tout était orchestré depuis longtemps.
– mais tes enfants?
– chez ma belle-mère, ce sont les vacances…Je voulais vérifier que ton voyage de noce se déroulait bien…Je vois que ça a l’air d’aller!
– c’était bien, mais j’aurais aimé moi aussi te donner du plaisir et aussi que Laurent ne reste pas à l’écart…
– Mais la nuit ne fait que commencer…
Clotilde était subjuguée par le savoir-faire de Bertille. Il semblait que celle-ci connaissait par cœur le corps de sa cousine et surtout les chemins qui l’envoyaient au 7ème ciel…Elle apprit donc à titiller le clitoris de sa cousine, à jouer avec sa langue sur les lèvres de celle-ci, à lui caresser les seins. Elle s’enhardit même à lui lécher l’anus ce qui plut fortement à Bertille. C’est ce moment là que choisit Laurent pour présenter sa verge devant la bouche de sa femme:
– il faut la lubrifier si je ne veux pas lui déchirer l’anus
Clotilde réalisa en une fraction de seconde ce que cela induisait: elle allait partager son mari et avec son plein accord…Ce n’était pas comme ces femmes trompées par leurs maris. Non, là c’était elle qui donnait son accord, elle ne serait pas cocue au sens péjoratif du terme, elle partagerai…. Elle goba la bite de son mari et la couvrit de salive…
-vas-y mon chéri, fais la jouir
Elle voyait la bite de son mari coulisser dans le fondement de sa cousine et cette seule vue la remplissait de joie. De temps en temps Laurent sortait sa verge en entier et la présentait devant la bouche de Clotilde qui s’empressait de la gober pour la lubrifier puis la guidait vers le trou béant . Du coup, malgré les caresses de Bertille, l’orgasme fut long à venir alors que Bertille n’en finissait pas de « couler” dans sa bouche et sur son visage…Laurent dans un râle éjacula au plus profond de Bertille puis tendit sa verge à Clotilde pour le sacro-saint « lavage des outils »…Mais Clotilde attendait autre chose…Enfin dans un gargouillis, les premières gouttes de semences sortirent du cul béant de Bertille…Clotilde les récupéra, puis vint lécher les fesses de sa cousine avant d’échanger avec elle un baiser ou le sperme se mélangeait à sa salive…Repus, les trois amants s’endormirent au creux du même lit.
Au petit déjeuner la conversation portât sur la présence de Bertille à Venise
-tout était programmé…c’est même moi qui ait pris les billets d’avion et réservé l’hôtel…
– tu connaissais déjà mes gouts, c’est vrai
– et ceux de Laurent…que crois tu que nous faisions une fois que l’on t’avait déposé chez tes parents? Un homme de cet age a des besoins en matière de sexe qu’il faut assouvir…
– et tu en profitais bien, hein?
-mon mari es toujours en déplacement, et quand bien même il est là…
– que veux tu dire?
Laurent prit la parole
– c’est ce qui a provoqué notre rencontre à Bertille et à moi et donc la notre par « ricochet”. Voilà comme tu le sais Paul le mari de Bertille fait partie des commandos de l’Armée ce qui explique ses déplacements. Or un jour il est passé à la boutique d’informatique ou je faisais un stage parce que son portable perso était bloqué. Il me l’a laissé à contrecœur en me demandant de ne rien ouvrir si je le réparais. Je lui ai dit de repasser le lendemain. Il m’a été facile de le débloquer. Les dossiers de ton cher cousin étaient en fait des films qu’il réalisait durant des parties fines entre hommes. J’ai trouvé les coordonnées de Bertille et suis allé la voir. Je lui ai montré les vidéos. Elle a dit qu’elle se vengerai, et elle m’est tombé dans les bras comme on dit. Vu la situation de son mari, j’ai fait des copies que j’ai placé en lieu sur . J’ai dit à Paul que s’il m’arrivait quoique ce soit, les vidéos seraient diffusées sur le net et qu’il en était de même pour son épouse. En contrepartie, Bertille s’est engagée à ne pas divorcer . J’en ai profité pour montrer les vidéos aux parents de Paul qui par peur du scandale, passent le moindre caprice à leur belle-fille.
– Paul ne me satisfaisait pas sexuellement, tu t’en doutes, les jumeaux c’était un peu un accident. Du coup Laurent m’a fait découvrir des plaisirs insoupçonnés…Mais il ne pouvait pas se marier avec moi…Nous avons donc eu l’idée de vous présenter l’un à l’autre à la grande satisfaction de tes parents…et on peut dire que l’alchimie s’est faite…
– on fait un sacré trio en effet…donc toi et Laurent vous aviez tout prémédité?
– en fait nous ne savions pas que tu serai aussi « réceptive”…nous pensions mener notre petite vie chacun de notre coté et nous envoyer en l’air de temps en temps…a ce sujet, il va falloir que je me lève tôt demain, j’ai rencontré trois marins grecs qui tiennent à me faire visiter le yacht sur lequel ils travaillent…
– trois?
– ben oui, je ne vais tout de même pas me taper tout l’équipage!
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