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Une revanche sur le sexe [Intro- Test]

Une revanche sur le sexe [Intro- Test]



Prologue :

/!\ Je préviens d’avance que ce texte est hautement narratif et pourrait en lasser plus d’un ! J’en poste le début juste pour savoir si je touche un quelconque public ici /!\

Bonjour, je suis l’auteur de l’écrit qui suit. Moi c’est Ludo, et ce qui va suivre est un mélange entre fiction et réalité. C’est pour cette raison que le personnage que vous allez incarner ne porte pas exactement mon nom, mais quelque chose qui y fait penser. Je rapporte ces histoires à la suite de mon récent tour du monde et des expériences dont j’ai été témoin, victime et même l’instigateur. J’ai en effet beaucoup voyagé entre 2013 et 2014, à la suite d’une rupture plutôt difficile, et étant d’un age ou il vaut mieux profiter de la vie plutôt que de voir trop loin, j’ai décidé de me lâcher au niveau de ma vie sentimentale, et en conséquent, sexuelle.
Comme dit plus haut mon récit est très narratif et peut comporter de nombreuses longueur. Je ne le partage que dans l’optique d’offrir ma vision du sexe et certains fantasmes. Si ceci ne convient pas, je ne continuerais pas.
En revanche, si cela intéresse n’hésitez pas à me le dire, je continue à écrire en bonne compagnie =)

Merci d’avance et bonne lecture !

_________________________________________________________

Tout commença un dimanche soir. Je rentrais du travail, épuisé mais heureux d’avoir fini ma semaine. Jonglant entre un bon job de technicien dans un studio de musique en journée, et un autre de pizzaïolo dans un petit restaurant dans la soirée. Mes journées n’étaient pas de tout repos, mais je gagnais bien, du haut de mes vingts ans à peine. Je roulais en belle voiture et vivais dans un bel appart en centre ville avec deux colocs géniales. J’avais déjà pas mal d’économies et mon projet de déménagement pour rejoindre Alexandra, ma future femme en Suisse se présentait pour le mieux. D’ailleurs je voulais justement profiter de mon lundi de congé pour la rejoindre et profiter d’elle autant que le temps me le permettait.
Parce que oui, là résidait la difficulté. En effet, à l’époque je résidais dans le sud de la France, dans la ville de Toulon, et mon amour logeait à Lausanne pour ses études. Je déménageais donc à Genève afin de pouvoir régler ce drame. Mais à cet période de nos vies, il fallait avouer que notre relation était plutôt au point mort… Pire même, à cause de sa jalousie maladive. Mais bon, il me semblait que notre amour était tel, que rien ne pouvait se mettre entre nous. Puis bon, il fallait relativiser les choses. Elle était d’une possessivité maladive, mais elle me laissait tout de même partager mon appartement avec deux magnifiques jeunes femmes.
Annaëlle et Liloo, mes deux amies de toujours. Mes deux colocs. En réalité, si ma blonde me laissait avec elles sans discuter ce n’était pas uniquement une question de confiance. En effet, il ne pouvait rien se passer entre nous pour le simple fait que mes deux amies étaient pacsées depuis plus de trois ans avant le début de cette histoire. C’était juste mes deux meilleures amies, mes sœurs depuis le lycée, n’ayant pas vraiment d’autre famille.
Enfin bref, il était bientôt minuit, et je me sentais prêt à partir. Cinq heures de route, une heure de pause café, je devais être chez elle à l’aube le lendemain pour lui faire la surprise de la réveiller. Qui sait, peut-être même aurait-t-elle séché ses quelques heures de cours pour moi ?

J’arrivais donc chez elle le lendemain aux alentours de sept heures, avec les croissants et la rose rouge. Je montais à l’étage tranquillement, pour ouvrir la porte d’entrée avec mon double des clefs, puis je pénétrais discrètement dans sa chambre. Et dans la pénombre de la pièce… Oh surprise. Elle n’était pas seule dans le lit. Elle émergeait à peine de son sommeil quand elle réalisait ce qu’il se passait. Je resta de marbre devant cette scène et elle se leva lentement pour venir vers moi en sanglotant qu’elle ne voulait pas, que c’était un accident. Je ne bougeais toujours pas. Et alors qu’elle essayait de me prendre dans ses bras encore nue et souillée par ce mâle inconnu, je me retournais en sortant de la pièce d’un pas, lui refermant la porte sèchement au visage. Je l’entendis éclater en sanglot quand elle la ré ouvrit, mais il était trop tard et j’étais déjà sortis de l’appartement.
J’arrivais ensuite au niveau de ma voiture pour me rendre compte à quel point mes mains tremblaient. Par ailleurs, je m’aperçus que je trimbalais encore mes présents que je lâcha au sol, avant de plonger dans ma caisse. Je mis le contact. Pas une larme, pas la moindre haine ni la moindre colère en moi… Il parait que les douleurs les plus profondes sont les plus silencieuses. A ce niveau de calme, mon cœur devait être mort depuis peu.
Alors que je sortais de la ville à pleine vitesse, roulant dangereusement, je reçu un coup de téléphone. Je ne répondais normallement jamais au volant. Mais à cet instant je m’en foutais et je décrocha par curiosité, l’appareil n’affichant pas le correspondant.
J’entendis au bout du fil une voix familière, mais ce n’était pas ma toute fraîche «ex-fiancée».
– Allô Lou ? C’est Elisabeth. Il faut que tu vienne, Alex m’a dit…
Elisabeth, la meilleure amie… J’étais encore sous le coup du choc et je ne dis rien.
– Ecoute Lou, rejoints moi chez moi, on va discuter de ce qu’il vient de se passer, ça peut pas finir comme ça entre vous…
Je raccrochais alors le téléphone pour le jeter sur le siège passager… J’essayais vaguement de faire le vide dans ma tête pour savoir ce qui paraissait le plus raisonnable. Partir sans rien dire et finir comme ça ?
Je pris alors la première sortie pour faire demi-tour.

J’arrivais en bas de chez elle en moins d’un quart d’heure. Je montais et en arrivant devant sa porte, le doigt sur la sonnette, j’eu un petit pincement au cœur. Et si Alex était là ?
C’est Eliz qui m’ouvrit, un sourire forcé au visage. Malgré cela, je me souvenais qu’elle était vraiment belle. 1m70, 60kg grand maximum, toujours rayonnante. De longs cheveux blonds ondulés qui lui courraient sur la nuque… Ils me rappelaient ceux d’Alex. Je repris mes esprits, voyant qu’elle me fixait avec insistance.
– J’espere qu’Alex n’est pas là ? Dis-je en balbutiant.
– Non, elle a viré le mec et s’est enfermée à ce qu’elle m’a dit. Lucie à essayé d’aller la voir mais elle refuse qu’on entre… Je ne sais pas si devrais vraiment te le dire mais… C’est pour son petit boulot qu’elle a fait ça.
Je m’assis de toute ma fatigue sur son canapé, en lâchant un long soupir. Me voyant me frotter les yeux elle me demanda.
– Toi, tu as encore sacrifié ta nuit pour venir la voir ?
Elle partit dans la cuisine. Je répondis par l’affirmative d’un simple signe de la tête. Elle revint avec deux tasses de café, puis s’assit sur l’accoudoir du canapé. Je me jetais sur le précieux sésame noir pour y tremper mes lèvres dans l’espoir que ça me réveille. Un long silence s’installait. Elle se mit à regarder par la fenêtre. Le soleil du matin qui se posait sur sa robe bleu laissa transparaître sa taille de guêpe et sa poitrine généreuse sans soutient-gorge… Pourquoi est-ce que je la contemplais ainsi alors que d’un, elle était prise, et que de deux, je n’étais clairement pas en état de convoiter qui que ce soit ?
Elle se retourna soudain vers moi et je me noyais une nouvelle fois dans mon café.
– Tu as fais ce qu’il fallait. Dit-elle.
– Tu veux dire ?
– Tu es resté calme, tu ne les à pas brutalisés… Et pourtant je sais que du haut de tes 1m90, tes crises de nerfs peuvent être impressionnantes. Répliqua-t-elle avec un petit sourire.
– Je ne savais pas quoi faire… L’amour de ma vie dans les bras d’un autre, franchement… On est ensemble depuis toujours ! Ça a été mon premier ciné, mon premier resto, ma première copine, mon premier baiser, ma seule compagne… Mon tout quoi.
Je m’effondrais en larmes. Elle partit chercher une boite de mouchoir alors que je me reprenais très vite. Elle me rejoint dans le canapé et me fit l’accolade. Je sentais alors son corps s’appuyer très fort contre le mien.
– Merci beaucoup Eliz… Dis-je en chuchotant à peine.
– De rien, mon devoir de meilleure amie aurait voulu que j’aide plutôt Alex, mais je ne peux me résoudre à être de son bord ce coup-ci. Elle n’aurait jamais dut te faire ça.
Alors que je me remettais totalement de ma crise, Eliz resta tout de même accrochée à moi et je finis par me sentir mal à l’aise. Je lui demandais alors.
– Il est où Lucas au fait ?
– Partit cette nuit pour sa thèse, il ne doit pas être loin de la forêt noire à cette heure. Je suis débarrassé de lui pour une bonne semaine ! Dit elle en rigolant. C’est l’inverse de vous. Vous ne vous voyez pas assez, bah moi je le vois trop !
Elle finit sa phrase dans un soupir et j’en déduis sans risque que ça n’allait pas fort dans leur relation. Voyant que je lui rendait sa boite de mouchoir, elle me lâchait enfin.
– Bref, dit-elle en voyant ma gène. On est pas là pour parler de mon couple. Je vais m’habiller, laisse moi cinq minutes.
– Tu entends quoi par la ? Tu as l’intention de sortir ?
Déjà dans l’entrée de sa chambre elle me répliquait.
– De te sortir, on ne va pas rester cloîtrés toute la journée. Ça va te faire du bien.
Dans la porte ouverte de sa chambre, je pouvais voir son ombre se déshabiller. Sa silhouette nue était magnifique et je restais la comme un chien en chaleur à fantasmer sur une ombre, alors que la femme de ma vie venait tout juste de me planter un couteau dans le dos. Mes tracas me revinrent alors et mon regard quitta le spectacle d’ombre et lumière.

Une heure plus tard, nous étions à la terrasse d’un café au centre de Lausanne, comme deux ânes qui n’avaient rien à se dire. J’essaya alors d’ouvrir la conversation comme je pouvais.
– Tu ne devrais pas être en cours à cette heure au fait ?
– Oui, mais c’est de la socio, rien d’important. Je peux ratt****r sans problème.
Nouveau blanc. Je ne pus alors m’empêcher de sortir :
– Pourquoi tu fais ça ?
– Ça quoi ? Me demanda-t-elle étonnée.
– Pourquoi tu prétend vouloir m’aider ? Alors qu’on ne se connait qu’à travers Alex ?!
– Je ne sais pas…
– C’est d’un ridicule, on se retrouve comme deux idiots, on a rien à se dire sinon que de condamner le comportement d’Alex qui de toute façon doit être en train de regretter complément… Quesque je fous ici ?
Elle n’osa plus me regarder et bloqua sur le fond de son verre de peur que je la fixe. Après un court silence elle laissa filer.
– Je ne sais pas…
Je me levais alors pour poser un peu de monnaie sur la table. Je me retournais ensuite et elle finit enfin par lever le ton.
– Peut-être tout simplement parce qu’il n’y avait personne pour te consoler la tout de suite… Et que je n’aimerais pas ne pas pouvoir être dans ce cas si ça m’arrivait…
Puis plus silencieusement.
– Parce que ça nous pends tous au nez.
Je me rassis, la forçant à me regarder dans les yeux avant de lâcher.
– Lucas te trompe ?
Elle retira ma main de son visage d’un geste doux.
– Je ne sais pas, mais je pense. J’ai pas eu de flagrant délits comme toi, mais j’ai pas mal d’indices qui me laisse à penser qu’il en serait capable. Des sms bizarres, des coups de téléphones aussi… Des absences qu’il ne justifie plus… Et une libido à zéro. Finit-elle par dire dans un soupir.
– Oh… Pourtant je vous ai toujours vu ensemble et souriant, ça fait bizarre.
– Comme toi et Alex… Au final l’amour parfait n’existe pas. Ce n’est pas mon premier comme pour vous mais j’aimerais bien que ça dure davantage, qu’il y’ai plus de sincérité.
– L’amour parfait n’existe pas… Répétais-je en enfonçant dans mon siège. Il nous reste quoi à partager alors ?
On se regarda soudain d’un regard complice avant de dire en parfaite syncro.
– Il nous reste le cul !
On pouffa alors d’un rire jaune avant qu’un long blanc se réinstalle.
– C’est triste de se dire ça… Dis-je. J’en ai tellement rêvé de cette vie tranquille avec Alex… Elle a tellement tout foutu en l’air en vingt secondes… Comment retrouver la confiance chez quelqu’un d’autre ?
– Si j’avais la réponse je ne serais pas la en train de psychoter sur le fait que mon homme est à mille kilomètres de moi alors que sa thèse porte sur la physique des particules et que le CERN est à moins d’une heure d’ici… Finit-elle en poussant un long soupir.
De nouveau, un ange passa.
– Un restau, ça te branche, repris-je. C’est moi qui invite !
– Mais il est 11h à peine ? Me répondit-elle avec un grand sourire.
– Je m’en tape, je suis célib, j’invite qui je veux, quand je veux.
Elle acquiesça en levant son verre, puis le bu d’un trait net.
– Bah moi, je suis pas célibataire, mais je mange avec qui je veux, quand je veux aussi !

C’est ainsi que l’on passa la journée ensemble. Après le restau, nous sommes partis au cinéma se regarder un mauvais film. Ces mauvais films ont deux avantages, il n’y a jamais plus de trois personnes dans la salle et ceci nous permet donc de pouvoir le critiquer sans se faire chahuter. Nous nous baladons ensuite dans le parc central pour discuter une fois encore de nos tracas sans vraiment s’en rendre compte. Nous finissons dans un petit pub pour avoir des discutions plus légères autour d’un cocktail.

Elle me ramena chez elle aux alentours de 19heures. Le soleil commençait déjà à se rentrer par ce début novembre. J’aurais dus être partis depuis longtemps, histoire de pouvoir avoir un minimum d’heures de sommeil pour reprendre le travail le lendemain. Mais sur le coup, je m’en foutais. Nous étions tous deux un peu ivre, d’un début de soirée un peu trop arrosé pour des gens comme nous qui ne buvions jamais. Apres être arrivé dans son appart, elle enleva directement ses chaussures en partant dans sa chambre, tout en me disant de me mettre à mon aise. J’allumais la télévision histoire d’avoir un fond sonore. Je me tournais vers la porte de sa chambre et assista au même spectacle que dans la matinée. Elle retirait la ceinture de son jean, puis en ombre chinoise me laissait assister à la mise en évidence de ses deux magnifiques jambes.
Je détournais le regard, ne savant plus ou j’en étais dans ma tête.
– Je peux utiliser ton PC pour voir mes mails, histoire que je ne sois pas assassiné par mon opérateur ? Demandais-je.
– Fais comme chez toi, j’arrive dans 20secondes.
– Prends ton temps.
Alors que je me tournais vers l’écran, je l’entendais sortir de sa chambre en jetant ses affaires sales dans le couloir. Elle venait dans ma direction, mais je fis mine de rester concentré sur l’ordinateur. Elle enroula ses bras autours de mon cou, pour ensuite poser sa tête sur mon épaule afin de regarder ce que je faisais. J’étais resté sur le bureau, sans rien faire, ce qui me décrédibilisait totalement. Elle plaqua sa poitrine contre mon dos et je commençais à sentir ses deux seins s’aplatir. Je baissais alors la tête tout en fermant les yeux. Elle avait changé de T-Shirt, et je sentais qu’elle n’avait pas remis de soutiens-gorge. Ses tétons étaient durs et bien distinct dans mon dos. Elle penchait alors la tête pour me regarder.
– J’ai un peu chaud la. Dis-je, gêné. Je ne sais pas si c’est l’alcool ou le soleil…
Elle me lâcha alors pour se retourner vers le canapé.
– Moi ça va, j’ai juste un peu le cerveau en rade mais ça va. Répondit-elle.
En me retournant j’eus l’occasion de constater qu’elle n’avait en effet qu’un T-Shirt, ainsi qu’un shorty qui lui cachait tout juste les fesses. Je commençais à sentir en moi une envie bouillir. Étais-ce un appel de sa part ? Ou juste l’alcool qui l’empêchait de se rendre compte d’avec qui elle se trouvait ?
Je checkais rapidement mes mails avant de me retourner vers le canapé ou elle était étendu de tout son long. Elle était magnifique, dans la lumière du soleil couchant qui passait sa baie vitrée. Elle somnolait, sûrement en réponse à l’alcool. Mon instinct a****l me poussait à rester, mais je commençais à me soucier de l’heure. Je réunis donc mes quelques affaires avant de me pencher sur elle pour lui dire au revoir. Elle s’assit sur le canapé et au lieu de se lever pour m’accompagner jusqu’à la sortie, elle m’attrapa par la ceinture et me força à m’assoir à coté d’elle, pour ensuite se coucher sur moi. Je protestais légèrement, mais elle ne me répondit qu’en posant son doigt sur mes lèvres. Elle me murmura alors.
– J’ai besoin que quelqu’un reste avec moi cette nuit. Puis à toi aussi ça te fera du bien de pas dormir seul.
– Mais Eliz, je dois être à 5heures au travail demain.
– Tu te fais porter pâle, on s’en fou… Tu travaille H-24 quand tu n’es pas ici…
Je me finis par me laisser convaincre et elle se vautra complètement sur mes jambes.

Les heures passaient au fil des émissions que je ne regardais que d’un œil. A force de bouger, je me retrouvais complètement allongé sur le bord du canapé, tandis qu’Eliz était couchée de coté dans le fond, sa tête reposant sur mon torse. Je me retrouvais à jouer avec ses longs cheveux blonds… A caresser sa nuque, jusque ses épaules. Son visage en direction de la télévision, j’avais l’impression d’être avec Alexandra. Je me mis d’ailleurs machinalement à lui caresser le ventre à travers son haut, ce qui malheureusement la réveilla.
– Désolé je me suis un peu emballé, je suis dans mes esprits.
J’essayais de me justifier tant bien que mal.
– C’est pas grave, j’aime bien. Me répondit-elle à moitié endormie.
Elle passa ses doigts entre les miens et força ma main à continuer. A force de mouvements, ce n’était plus le T-Shirt que je caressais mais son ventre parfait. Elle continuait alors à guider ma main, la passant sous le tissus qui ne protégeait plus que sa poitrine. Mes doigts s’enfonçaient dans cette chaire molle et même lorsqu’elle finit par me lâcher la main, je ne pouvais m’empêcher de jouer avec son tétons, à présent très durs, et vraiment très longs. Cela m’amusa un moment, jusqu’à ce qu’elle passe sa main dans mon pantalon, que j’avais déboutonné pour le confort. Cela me fit stopper net, et je réalisais enfin où je me trouvais à ce moment. Je me redressais alors pour qu’elle sorte sa main.
– Attends, attends. On peut pas ! M’exclamais-je.
– Pourquoi pas ? T’es célib non ? Rétorqua-t-elle avant de poursuivre. C’est plutôt moi que ça devrait déranger.
Elle était toujours collée à moi, les cheveux défaits, le haut relevé… Je pouvais distinguer parfaitement ses seins à travers.
– Tu as envie de moi, j’ai envie de toi… Me dit-elle. Dans l’histoire c’est moi la salope, je crois ?
– Désolé, je peux pas. Je viens tout juste de quitter la femme de ma vie… Je peux juste pas. C’est pas normal de faire ça à sa meilleure amie le soir même… Puis surtout… Je marquais un blanc
– Puis surtout ? Demanda-t-elle
– Bah, je ne l’ai jamais fait avec personne d’autre qu’avec elle…
Elle rigola un coup puis se mit à genoux juste a côté de moi.
– Tu ne l’a sérieusement jamais fais avec personne d’autre ? Même avant elle ?
– Non, ça a été ma première… Puis bon, je ne couche pas si j’ai pas de sentiment pour la personne… Quesque ça va donner dans nos relations. Genre, je pourrais plus regarder ton copain en face.
Elle se mit alors à caresser mon sexe à travers le jean avant d’ajouter.
– A part Alex, tu n’avais personne en Suisse… Autant dire que tu ne reviendra pas à Lausanne avant de nombreuses années, et certainement pas pour moi. Alors on va dire que… C’est juste un coup pour une fois ? Ça te va ?
Elle se dressait légèrement en me disant cela et finie par enfoncer sa main droite dans mon boxer pour empoigner mon sexe déjà à moitié rigide. Je ne protesta pas, tétanisé, et elle le serrait légèrement, avant d’ajouter en m’embrassant sur le coin de la bouche.
– En ce qui concerne tes performances, je crois qu’Alex était beaucoup plus satisfaite que moi au lit, alors je ne m’en fait pas.
Je me laissais faire et finis par l’embrasser tandis qu’elle essayais de me masturber dans mon caleçon. Je fis glisser ma main droite le long de ses hanches découvertes pour ensuite lui caresser ses petites fesses sous son shorty.
Elle finit par sortir sa main de mon jean afin de retirer mon haut. Puis, instinctivement, je pris les devant pour enlever le sien. Ses seins se relâchèrent doucement sous la lumière de lune qui faisait pénombre dans la pièce. Alors que je la couvrais de baiser entre le cou et le bout de ses tétons bien rose, je sentais qu’elle s’attelait à faire descendre ma fermeture éclair. Une fois son objectif atteins, elle laissa ses pouces se glisser sur le bord du pantalon, puis dans le même geste, emporta mon boxer qu’elle fit descendre jusqu’à mes genoux. Elle prit alors mon sexe presqu’en totale érection entre les mains et je sentis alors qu’il y’avait quelque chose qui n’allait pas. Elle palpait l’engin plus qu’elle n’essayait de le branler. Je retirais alors ma tête de son cou, pour savoir ce qui lui arrivait. Elle m’avoua alors.
– Alex n’a jamais voulu nous dire la taille de ton ‘engin’.. Alors bon, comme on savait qu’elle prenait son pied, on s’était dit que tu était un peu au dessus de la moyenne, mais de là à m’imaginer ça… Combien tu mesure ?
– Je ne sais pas, je pensais être dans cette moyenne justement…
– Ah non ! Dit-elle en ricanant. Mon copain est dans la moyenne et elle ne fait pas la moitié de ce que tu as entre les jambes…
Elle paraissait curieuse et contemplait mon sexe sous tous les angles.
– Tu m’étonne qu’elle adorait coucher avec toi ! Elle ne sait pas ce qu’elle perd…
Ces paroles m’avaient rappeler où je me trouvais, et alors que j’avais de nouveau un cas de conscience, je sentis les lèvres de mon amante s’enrouler autour de mon sexe qui grossissait encore. Je tentais alors de la stopper alors qu’elle commençait a peine.
– Désolé mais je suis pas fan de la fellation Eliz et j..
D’un geste de la main sur mon torse, elle m’assit sur le canapé, me tenant debout que dans un équilibre précaire. Je sentais alors sa langue se coller sur le dessous de mon sexe et faire des va et viens contraires à ceux de ses lèvres. Je n’avais jamais apprécié qu’Alex me taille la moindre pipe parce qu’elle me faisait mal, et qu’en plus, elle n’aimait pas en faire. Mais la, je sentais à chaque va et viens mon gland entrer et sortir de sa bouche, c’était doux et agréable, à la fois tendre et énergique. Elle continua ainsi bien une dizaine de minutes avant que je me décide à prendre les choses en main. Je la soulevait alors pour l’allonger sur le canapé. Je me pencha au dessus d’elle, mon visage au dessus du sien, mon sexe frottant son shorty, qui commençait lui aussi à transpirer l’excitation. J’envoyais alors la main sous le tissus et je fut surpris que rien ne m’y oppose résistance. Je la noyais sous mes baisers, mais ne pu m’empêcher de lui glisser dans l’oreille.
– Même pas de culotte ?! Tu prévoyais ton coup ?
– J’en ai pas mis de la journée, tu m’aurais chauffé n’importe où, j’aurais dis oui. Me répondit-elle.
Je la noyais sous mes baisers tout en lui caressant le clito délicatement. Je la sentais se tordre de plaisir et je commençais à descendre petit à petit, le long de son cou, pour lui lécher le bout de ses seins.
– J’ai envie de toi depuis que je sais qu’Alex te trompe, ajouta-t-elle. J’ai envie que tu me fasse jouir comme tu la faisais monter au créneau !
Alors que je couvrais son ventre de baisers, elle passait nerveusement ses mains dans mes cheveux. Ses hanches trahissaient son impatience. Elle se cambrait furieusement si j’avais le malheur de faire glisser mon doigt dans sa fente plus qu’humide. Mes baisers suivaient alors la ligne qui joignait son nombril à son petit bout rose. Une fois mes lèvres posées sur sa petite chatte, je tirais alors complètement son boxer de ses hanches, qu’elle écarta largement par la suite. Sa tête en arrière, je l’entendais haleter.
Je mordillais ses lèvres alors qu’elle me plaquait la tête contre sa vulve. Elle semblait être de plus en plus excité lorsque soudain, elle cessa d’un coup de bouger pour se redresser, et enfin se lever du canapé, me laissant en plan la bouche humide.
– Il t’arrive quoi la ?
Je la voyais faire des aller-retours dans la pièce, fouillant chaque meuble du salon, pour enfin s’assoire par terre, dépitée.
– Ça fait un an qu’on ne met plus de capotes avec Lucas, je suis trop conne, j’en ai plus une seule.
– C’est pas grave, il nous reste toujours nos mains. Dis-je en lui passant la main dans le cou. Nos baisers, nos caresses.
Elle m’attrapa la tête et me fit rouler au sol avec elle. On se retrouvait allongés l’un contre l’autre sur la moquette. Elle me dit.
– Je ne tiendrais jamais mon beau, c’est pas grave, au pire, promet moi de te retirer bien avant que tu explose !
Je me mis a rire me mettant dos au sol. Elle s’interrogea.
– Alors vous ne vous dites pas tout entre filles.
Elle s’interrogea alors davantage.
– Tu entends quoi la dedans ?
– Bah, y’a que ça fait des années que je remplis sans complexes le minou d’Alex… Je suis… Pas fertile quoi !
Elle se tourna soudain vers moi les yeux plein d’étoiles.
– T’es sérieux ? Parce que si c’est vrai je te saute dessus !
– On ne peut plus sérieux.
C’est alors que je me suis relevé, pour l’enjamber toujours allongé au sol. Elle écarta largement ses longues jambes pour me laisser tout le loisir de la chauffer. Mais alors que je frottais mon gland sur sa chatte qui glissait plus qu’une patinoire, elle me demanda timidement.
– T’es sur que c’est ici que tu veux le faire pour la première fois avec moi ?
– Dixit la fille qui affirme que j’aurais pu la prendre dans les toilettes du ciné ça ne l’aurait pas dérangé…
Elle bouscula sa tête en arrière en ricanant. Je sentais que son bassin n’attendait alors que mon membre. Elle faisait des mouvements rapides avec ses hanches pour s’enfoncer sans mon accord.
– Non je veux juste dire qu’on pourrait le faire dans ma chambre si tu veux que c…
C’est alors que je commençais à m’enfoncer délicatement dans sa petite chatte humide.
– T’en fais pas, on va faire ça partout où tu veux. Lui dis-je suavement. La chambre, la salle de bain, le canapé, la cuisine…
Je me rendais alors compte après plusieurs petits va et viens que je n’arrivais pas m’enfoncer aussi facilement dans ma nouvelle compagne qu’avec Alex. Soucieux du bonheur qu’elle pouvait avoir, je finis par lui demander.
– C’est normal que je coince ? Ça ne me l’a jamais fait.
Un sourire se dessinait sur son visage entre deux grimaces de douleur mêlée de plaisir.
– Oui c’est… Normal, Faut juste le temps que mon… Ooooooah !
Elle tordait son bassin, ce qui fit rentrer encore une partie de mon pieu et elle s’arrêtais alors pour me dire, essoufflée.
– Que je m’habitue à la taille de ton engin… Alex doit avoir une cavité de la taille d’une grotte pour te supporter !
Rassuré, je donnais encore quelque petits coup de rein jusqu’à ce que je réussisse à entrer complètement. Eliz coupa alors sa respiration, avant de lâcher un cri de jouissance.
– Oh ouuuuuuuuuuuuui !! La je suis comblée, je te sens dans tout mon moi Lou !
Je marquais une petite pause avant de retirer presque l’intégralité de mon sexe de sa chatte humide, puis de rerentrer d’un coup sec. Elle sursauta de plaisir et ne pu s’empêcher de lâcher de nouveau un petit cri. Je commençais alors les va et viens en missionnaire et elle se cambrait complètement pour que ma queue entre le plus profond possible. A ce niveau là j’étais presque dans son utérus. J’accélérais les va et viens et quand je la sentais monter et prête à craquer, j’enchaînais plusieurs mouvements avant de me retirer complètement, pour me remettre totalement au chaud. Je la sentis soudain se raidir et je finis par sentir sur mon bas ventre quelque petits jets de cyprine. Elle jouit très silencieusement, pour finir par se décontracter. Elle prit ma tête dans ses mains pour m’embrasser goulûment.
– Tu as fais ce qu’aucun homme ne m’a fait, Lou… Tu m’a fait jouir.
– Et ça ne fait que commencer. Lui dis-je à l’oreille.
C’est alors qu’encore en elle, je me mis à enjamber sa jambe droite, tout en levant sa gauche sur mon épaule. Le ciseau, ma position préférée, celle ou je sens toute ma verge dans la niche d’amour de ma compagne. Il ne suffit que de quelque coup de hanche dans cette position pour la faire repartir. Je sentais alors mon sexe se faire comprimer dans le minou déjà serré d’Eliz, et plusieurs gouttes de cyprine mouiller nos sexes davantage. Je lui fit une bise sur la jambe avant qu’elle ne me dise.
– Lou, faut qu’on bouge je tiendrais pas…
– Pourquoi, t’as mal.
– Non, mais y’a une chambre d’enfant juste en dessous et j’ai besoin d’hurler là. Répondit-elle avec un sourire.
Je la pris alors par la taille, et voyant ce que je m’apprêtais a faire, elle enroula ses jambes autour de moi. Je la souleva sans trop de problèmes et la porta jusqu’à la chambre tout en lui donnant quelque coup de rein au passage.

Arrivés dans la chambre, elle finit par se décrocher et tomba de dos sur le lit. C’est alors qu’elle se retournait pour me présenter un petit cul qui me remit en forme. Posant mes deux mains sur le bord du lit, je lui passais un gros coup de langue, partant du clito jusqu’au petit trou rose. Je me mis alors a genoux sur le lit, pour lui att****r les hanches et d’une main agile c’est elle qui finit par me guider. Je sentais alors que dans ce sens ma bite passais plus facilement. Sa croupe se tendais alors énormément, et je commençais par donner plusieurs coup de pilon qui la fit partir en trans. Elle commença avec de petit cris en essayant de se contenir un minimum, puis au moment où je lui attrapais les seins pour qu’elle se lève, elle poursuivit alors avec des cris de moins en moins discrets. Elle m’excitait énormément et je lui embrassais langoureusement la nuque, lui malaxant tendrement les seins tout en faisant de larges va et viens.
Apres plusieurs orgasmes dans cette position, je sentais petit a petit que c’était à mon tour d’y passer et elle le savait aussi puisque ce fut elle qui me donna les derniers coups de reins. C’est alors qu’elle accélérait le rythme, pour de nouveau jouir et mon excitation augmentait à mesure que je sentais son jus couler sur ma queue prête à exploser. Elle hurlait de toute ses forces et le rythme devint frénétique. Je commençais a sentir le jet remonter de mes couilles battantes. J’avais vraiment envie d’elle à ce moment. Nos corps fusionnaient et j’aurais voulus que ce moment ne s’arrête jamais lorsque l’explosion se fit sentir. Mais alors que mon râle virile se fit entendre et que je la remplissais petit a petit, je la sentais partir de nouveau alors que mes va et viens ralentissaient. Nous jouissons ensemble pendant quelques longues secondes avant de s’écrouler sur le lit.
Elle me regardait d’un air satisfait avant de se lever d’un trait et de partir dans la salle de bain. Je restais surpris de la voir se retirer aussi vite et je m’assis sur le lit dubitatif. J’entendis la douche se mettre en route et je pris sur moi pour me remettre de mes émotions. Je ne pu cependant m’empêcher de me lever pour la rejoindre.
Une fois la porte passée, je l’aperçue attendre avant de rentrer dans sa cabine. Un long filet blanc coulait de son minou tout au long de se jambe et elle le fixait concentrée en attendant que l’eau chauffe.
– C’est tout ? Lui dis-je.
– Désolé, mais je déteste m’endormir le minou plein, retourne au lit je te rejoint. Dit-elle sans se retourner alors que mon pénis reprenait du poil de la bête en la voyant si parfaite dans la puissante lumière blanche de son néon.
Elle entra dans la douche après plusieurs secondes d’hésitation. Dès que je vis son corps s’humidifier, je la suivis sans demander son avis. Elle se tenait alors face à moi, surprise, l’eau perlant sur sa poitrine si ferme. C’est alors qu’elle finit par constater avec étonnement mon humeur joueuse, lorsque que mon gland caressait sa jambe droite.
– Tu rigole ?! T’es déjà de nouveau d’attaque ? S’exclama-t-elle, tout en reprenant les choses en main.
Je l’embrassais alors tendrement.
– Bah oui, je t’avais promis qu’aucune pièce de la maison serait épargnée. Rappelais-je avec humour. Les autre mecs avec qui t’as couché étaient si précoces que ça ?
Nos corps se rapprochèrent alors d’un coup quand elle me tira vers elle, prenant en otage mon sexe entre ses jambes. C’est elle qui m’embrassait alors, cherchant passionnément ma langue.
– Lou tu me rend folle. J’ai envie de toi en moi toute la nuit…
Tout en parlant, elle faisait de petits allé-retour avec ses cuisses pour me masturber délicatement. Je ne résistais pas à l’envie de la prendre debout dans la douche. Je pliais légèrement mes genoux et tout en remontant je guidais ma queue pile devant sa petite grotte d’amour. Je n’eus aucun mal à la pénétrer en une fois. Elle gémit alors tout en m’embrassant et c’est à cet instant que je commençais a faire de long et lent va et vient alors qu’elle écartait a peine les jambes. Sa main finit alors par rejoindre son clito pour qu’elle se masturbe délicatement. Le mouvement s’accélérait petit a petit et elle fini alors par se jeter sur moi, ses jambes s’enroulant autour de ma taille. Elle voulait prendre les choses en main alors que je commençais à perdre l’équilibre sous sa fougue. Elle bougeait son bassin de plus en plus fort et fini par lâcher un long cri de jouissance. Elle me griffa alors le dos de ses ongles acérés tout en se calmant.
Mais je ne souhaitais pas m’arrêter la. En me retournant, toujours dans mes bras, je plaquais son dos contre le carrelage. Elle protesta légèrement, mais dans cette position, ma bite entrait à son maximum dans son intimité et elle se laissa donc faire dans un léger soupir de plaisir. Je me retirais ensuite lentement pour reprendre un rapide va et viens que moi seul contrôlais.
– Oh ouii Lou, empale moi de tout ton toi. Oooooh !
J’accélérais davantage et je sentais la pression monter de nouveau dans mon urètre. Elle entrait alors en quasi inconscience et se laissait aller totalement. La salle de bain s’emplie petit a petit de ses hurlements de plaisir mêlés à mon râle profond qui signait l’arrivée inévitable de ma pleine jouissance. J’explosais une fois encore dans un long soupir tout en la tenant fermement contre moi, sa poitrine appuyée contre la mienne.
Ses pieds retrouvèrent alors le sol délicatement et elle m’embrassa fougueusement pendant deux bonnes minutes, telle une femme embrasse son homme. Mon sexe dans ses mains ne tarda pas a se rigidifier de nouveau alors qu’elle jouait tendrement avec mon prépuce.
– Mon dieu mais comment tu fais pour repartir si vite ? Me demanda-t-elle.
– Il suffit que je sois avec quelqu’un qui en vaille la peine. Répondis-je en l’embrassant.
Elle se passait un rapide jet d’eau sur le visage et sur le ventre pour se nettoyer et aussi pour se calmer. J’en profitais alors pour m’enfoncer dans sa chatte par derrière. Elle poussa un long soupir tout en posant ses deux mains sur le mur. Une fois bien a l’intérieur, elle ne pu se retenir de faire de petits mouvements rotatif avec son bassin qui pour accentuer davantage son rythme cardiaque. Au bout d’une petite minute a jouer a ce jeu, je sentais de nouveau son vagin se contracter sur mon pieu. Elle jouissais une fois encore. Je repris mes mouvement de va et viens et nous continuons ainsi sous la douche pendant un long moment. Dans sa douche en effet, puis de retour dans la chambre, nous avons remis je couvert pendant plusieurs heures, et ce n’est qu’aux alentours de 5h du matin que nous tombons de sommeil.

Le soleil filtrais a travers les épais rideaux de la chambre d’Eliz qui me réveillais bien gentillement avec ses douces lèvres enlaçant tendrement mon sexe durcit par mon érection matinale. Je posais alors ma main droite sur sa chevelure d’or pour lui signaler mon réveil.
– 25 ! Me dit-elle avec un large sourire.
– Pardon ?! Répondis-je interloqué.
– Ton poireau mesure 25 centimètres ! J’ai profité de ta gaule matinale pour regarder, t’es 10 centimètres au dessus de la moyenne, et en plus tu sais t’en servir.
Je ne répondis qu’avec un sourire, puis je laissais ma tête retomber alors qu’elle s’appliquait à me faire plaisir. Mais alors que je sentais la pression monter en moi, le sentant de par mes halètements elle s’arrêta net pour sortir du lit. Elle enfila alors une petite culotte pour ensuite se diriger vers la porte du salon.
– Je crois que t’aime le café bien noir de bon matin, je me trompe. Me dit-elle un sourire narquois sur les lèvres.
– Tu me laisse en plan a ça ?! M’exclamais-je dépité.
Elle me fit un discret clin d’œil puis se contenta de sortir. Je me laissais alors tomber en arrière pour me souvenir que mes vêtements étaient dans le salon. D’humeur joueuse et avec une trique du diable je décidais tout de même de sortir du lit ainsi, sans aucunes gênes. Me retrouvant nu dans le salon, je l’aperçue derrière le comptoir de la cuisine, poitrine à l’air, une envie de jouer marquée sur son visage aussi. Je la regardais faire en restant dans le cadre de la porte de la chambre, alors qu’elle cherchait à éviter mon regard pour ne pas sourire de sa propre fourberie. Elle se retournait alors vers la plaque de cuisson et c’est a ce moment que j’entrepris de la rejoindre. Discrètement je finis par me coller dans dos, la tenant par les hanches et l’embrassant sur l’épaule. Mon sexe, toujours en pleine érection se logea naturellement entre ses jambes, lui frottant au passage son petit morceau de tissu. Ma main droite trouva alors où se balader et je ne pus m’empêcher de lui pincer délicatement un téton. Je lui embrassais ensuite délicatement le cou, tandis qu’elle faisait mine de se concentrer sur la cuisson de ses œufs. Mais sa respiration la trahissait, elle avait terriblement envie de moi, mais elle se bornait dans son jeu pour retarder au maximum l’inévitable, excités comme nous l’étions.
Elle se tournait ensuite vers le bar, m’évitant totalement. Je me retournais a mon tour, mais ce coup ci mes gestes furent plus directs. Avec ma main gauche je malaxais sa poitrine tout en douceur tandis que ma droite lui caressait l’entre-jambe à travers la soie de son bas. Je réemboîtais mon membre entre ses cuisses, laissant paraître mon gland sous son bas ventre. Ceci l’amusa beaucoup et elle finit le caresser avec deux doigts après les avoir léchés. Elle se trahissait de plus en plus en trempant littéralement sa culotte de sa mouille.
Elle se retournait une nouvelle fois vers la plaque chauffante pour en retirer les œufs cuits et éteindre le courant. La, mes gestes furent nettement plus offensifs. Ma main passa sous son vêtement et mes doigts fondirent dans son outil de plaisir alors que ma longue queue se plaquait entre ses fesses bien ferme. Je la bloquais contre le bar pour lui frotter mon engin sur son tissu. Ma main ressorti couverte de mouille et de ses doigts agiles, elle tira sur le tissus qui couvrait son minou. L’invitation était claire et j’introduis lentement mon monstre dans sa petite caverne détrempée. Je commençais rapidement un mouvement de rein impatient après tant de préliminaires. Elle jouit alors très rapidement tout en tenant sa culotte écartée pour faciliter la pénétration. Son liquide gluant s’écoula alors sur mes couilles tout en ruisselant le long de ses jambes.
Elle entre de nouveau en trans, en hurlant de plaisir sous mes coup de hanches de plus en plus insistant. Avec le début d’orgasme qu’elle m’avait offert dans la chambre je ne pouvais pas me retenir bien longtemps. Et c’est alors que j’étais à la limite du point de rupture que la sonnette retentit. Je m’arrêtais net en lui demandant si elle attendait de la visite. Elle me répondit par la négative avant de sauter sur l’interphone. Personne ne répondit mais quelqu’un frappa à la porte. Je rejoint alors le canapé, me rhabillant en vitesse alors qu’Eliz prétextait un verrou défaillant le temps d’enfiler le T-Shirt et le Shorty de la veille.
Elle ouvrit la porte et je ne pu m’empêcher de soupirer lorsque je reconnue la silhouette familière qui s’arrêta net à ma vue. Alexandra nous jaugea alors Eliz et avec une larme dans les yeux elle demanda a mon amante.
– Comment as-tu pu salope !
– Je te demande pardon Alex ? Se défendit ma nouvelle conquête. J’ai juste demandé à Lou de passer chez moi hier suite a l’appel que tu m’avais passé histoire de le consoler un minimum…
– Ah ouais et tu l’a consolé comme une putain de garce ! S’exclama mon ex dont le teint virait au rouge.
– Arrête ta parano, on a juste discuté longuement et je lui ai proposé de rester dormir sur le canapé puisque de toute façon il n’avait pas le temps de rentrer chez lui !
– Te fous pas de ma gueule putain ! S’énerva Alex. Ça pue le sexe dans tout ton appart, sans compter qu’on t’entends hurler depuis le parking ! Putain de salope de traîtresse…
Elle se laissa tomber assise le long du mur et me demanda alors que j’avais la tête entre les mains. La colère cède place aux larmes.
– Tu aurais pu te faire toute les femmes de la planète je t’aurais pardonné mon amour… Mais pourquoi elle ?! Tu as pensé quoi Lou… Je ne pourrais plus jamais lui adressé la parole, je ne pourrais plus jamais regarder son mec dans les yeux alors qu’on est dans la même FAC… Putain Lou… Lou.
Elle se mit a fondre en larme. C’est alors Eliz qui prit la parole.
– Je ne sais pas ce qu’il nous a pris. Tu venais de signer la fin de votre relation… et comme une conne puisque je m’ennuie avec Lucas j’ai pensé que je pourrais profiter de la situation… Puis je pensais que ça le soulagerais aussi. Je suis désolé Alex, c’est juste physique…
Alex se releva d’un trait et attrapa Eliz par les cheveux pour la jeter sur moi.
– Et bien si c’est physique, baisez ! Baisez à en crever !
Son visage rouge et noyé de larmes trahissait la peine qu’elle ressentait à nous dire ça alors qu’elle habillait un visage de haine.
– Lime la de ta grosse queue toute la journée espèce d’abruti… Et toi, sale pute, prends bien ton pied en pensant à chaque secondes de votre baise que si tu jouis c’est parce qu’il le faisait avec moi !
Elle sortit de la pièce sans se retourner et en claquant la porte aussi fort que possible.
Eliz qui était avachie sur mes genoux se lova contre moi, son visage dans mon cou et se mit a pleurer tout en m’enlaçant. Je la prit dans les bras tout en repensant a ce qu’il venait de se passer. Elle ne tarda pas trop à relâcher son étreinte et me demanda timidement si je pouvais partir. Je m’exécutais sans dire un mot. Je voulu lui faire au moins une bise amicale pour lui dire au revoir mais elle me repoussa violemment, les cheveux sur le visage collés par les larmes.
– Je suis désolé Lou, faut pas qu’on se revoit. Se contenta-t-elle de me dire.
Je me retournais et avant de sortir de l’appartement je lui jetais un dernier coup d’oeil. Elle s’était affalée sur son fauteuil pleurant toutes les larmes de son corps. Je refermais la porte derrière moi et descendit sur le parking récupérer ma voiture.
Le téléphone professionnel posé sur le siège passager me rappela rapidement une autre dure réalité… Je venais de rater une journée de taf, et ça allait me coûter cher dès le lendemain.
C’est ainsi que je repartis pour Toulon.

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