Catherine voulait bien me rencontrer, à condition que je lui fasse la liste de ce que j’aimais, tout devait lui etre confié. Mon plus fort fantasme était d’appeler une femme maman, me faire traire, goder, fesser, etre son petit pédé, son petit garçon, qu’elle m’insulte en tant que tel. en étant offert, totalement lisse. C’était sur ce dernier critère qu’elle exigeait que je l’avais contacté. Elle cherchait des adultes, totalement lisses, épilés ou rasés.
Nous nous sommes rencontré samedi dernier, je n’espérais pas vraiment, j’ai été comblé. Catherine est une femme maternelle, 35 ans, dominatrice, indépendante, et n’agit pas pour de l’argent, mais pour son propre plaisir.
Quand je me suis présenté, j’ai trouvé une femme brune, en short ample et court, large et seins nus, fermes, un beau 95 en pommes larges. Douce mais sure d’elle, pleine d’assurance, elle a exigé que je me déshabille complétement immédiatement, sur son pallier. Gênè par peur du voisinage, mais trop motivé, je me suis exécuté, elle n’en a pas perdu une miette.
– entre petit enculé, je vais te baiser, tu ne dois pas dire un mot.
Vaste salon un peu vieillot, grande table avec du carrelage..
– Allonge toi sur la table petit pédé, je suis ta maman, tu vas obéir à ta maman ?
– Oui maman
je me suis allongé sur la table, m’offrant lisse comme une fille, sexe a demi tendu soigneusement épilé, très troublé..
Catherine a sorti un petit flacon d’un des tiroirs de la grande table, huile d’amandes douces, et elle a commencé à m’en verser sur mes cuisses lisses, puis sur le pubis, le ventre, le sexe…
– j’aime toucher, caresser avant de traire, fesser, après je vais te prendre comme si tu étais mon fils, mon petit puceau, qu’en dis tu mon joli petit pédé ?
– mmmmmhhhh maman, j’adore ! merci maman
Elle m’a longuement massé l’interieur des cuisses, y déposant des petits baisers, puis mes boules, mon sexe, mon oeuillet..
J’étais jambes relevées écartées quand elle m’a fessé, d’abord entre les cuisses, puis sur mon sexe, puis sous mes cuisses, mes fesses, entre mes fesses que je maintenais écartées… j’étais rouge, mais très très excité, presque au bord de jouir quand elle s’est attachée son gode double à ceinture…
– Dis « maman, prend moi »
– maman, prend moi, ohhhhhh
– tu vas me donner ton lait, tu te masturberas quand je te le dirais a t’elle dit en empoignant mon sexe
C’est sans peine que son gode ceinture m’a pénétré, j’avais les fesses huilées et ses doigts étaient entrés à plusieurs reprises.
Au bout d’une vingtaine de minutes, me giflant cuisses, sexe, fesses, me tirant et me pincant les tétons, elle s’est mise à gémir, déchainée
– j’aime violer les garçons, tu es mon jouet petite salope, mon jouet, masturbe toi, jouis quand je te dis « jouis »
– oh oui maman maman je suis à toi lui ai je répondu dans un souffle
Gemissante et allant et venant de plus en plus fort, le gode double lui prenait autant le vagin que mes fesses, elle a gémi « jouis » au bout d’un quart d’heure, elle me griffait les cuisses, serrait mes couilles, « jouis », j’ai compris qu’elle jouissait elle aussi, regard fixé sur mon sexe lisse, denudé, mouillé, j’étais déjà au bord de jouir
– mouille mouille mon petit chéri, je te baise, dis: « baise moi maman » et répète le !
je n’ai pas dit 3 fois ces quelques mots qu’écartelé, sodomisé, j’ai jouis sous ses yeux en criant, gémissant, me tortillant sur son godemichet enfoncé dans mes fesses, impudiquement offert, elle jouissait elle aussi, mouillant mes fesses, mes cuisses, ses seins bougeait, quand elle est resté immobile, essoufflée, les yeux cette fois clos, puis se mordant les lèvres, je me suis rendu compte qu’elle jouissait encore…
Je ne me rappelle pas avoir autant joui dans ma vie avant elle, je dois revenir samedi prochain pour une mystérieuse séance « baignoire », un de ses fantasmes favoris. Je l’ai quitté après qu’elle eut exigé que je lui lèche et lui tête les seins un bon moment. Comme son petit garçon. un petit garçon de 40 ans.
Patrick.
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