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Vacances à Cannes part1

Vacances à Cannes part1



En vacances à Cannes avec ma belle chienne de beurette, Anna, je savais que cela allait être très chaud. On avait déjà prévu quelques rencontres organisée via le net, mais les 4 premiers jours, rien dans l’agenda du processus bien avancé de dépravation de ma bonne truie arabe, tout était donc permis et en route pour l’improvisation. Après l’installation dans notre villa de location avec piscine, je décidais d’aller dans un bon restaurant sur la Croisette avant une soirée prévue au « Gotha Club ». Je désignais à ma salope de femelle les vêtements qu’elle devrait porter, une micro-jupe en jeans sans string dessous, un chemisier noir en mousseline transparente sans soutien, laissant clairement entrevoir la forme et la couleur de ses tétons proéminents garnissant ses petites mamelles de truie et enfin des talons hauts de 14 cm argentés et noirs aux pieds, sans oublier son rosebud de mêmes teintes que ses chaussures, planté dans le trou de son gros cul bronzé pour parfaire cette tenue de bonne petite traînée arabe. Après la douche, ma chiennasse s’était fringuée, trou du cul bijouté, maquillée comme exigé de sorte que son apparence induise une traduction en dialecte masculin qui disait à peu près ceci : « Quelle chiennasse, cette pouffiasse bronzée veut de la bite, c’est clair ». J’aime qu’elle envoie ce message aux hommes qui la matent, à toute heure et à tout endroit. Je constatais avec bonheur qu’il était impossible qu’on ne voit pas sa chatte ou son cul quand elle montait ou descendait de notre voiture, c’était le but, enfin un des buts. Je vérifiais également que son entrejambe n’était pas trop inaccessible aux regards une fois qu’elle serait assise au restaurant et dans la boîte de nuit. A côté de moi dans la voiture, il suffisait qu’elle écarte un rien les cuisses afin que je visualise sa chatte parfaitement épilée en ticket de métro. Ma chiennasse était donc prête à être utilisée comme elle le méritait, j’espérais que ses 3 trous de chienne prendraient cher ce soir et cette nuit, comme durant toutes ces vacances bien méritées. L’arrivée au restaurant fut tel que prévu, tous les regards étaient posés sur ma femelle, autant ceux des hommes que des femmes, sans doute pas pour les mêmes raisons. Le maître d’hôtel semblait nerveux et fébrile, il nous installa à une table en bafouillant quelques mots que nous n’avons pas compris. Nos voisins de table les plus proches étaient une table de 3 hommes entre 35 et 45 ans, une autre table avec 1 couple de la cinquantaine et 1 autre table de 3 couples d’âges très différents. Tout le monde parlait à voix basse en nous regardant, les 3 mecs rigolaient et je comprenais rapidement qu’ils n’étaient pas français mais allemands. Quant au couple de la cinquantaine l’homme était comme figé par le spectacle que lui offrait le chemisier transparent de ma truie, alors que sa femme semblait plus énervée, voire fâchée que subjuguée, elle tentait apparemment d’attirer son attention sans succès. A la table de 6, l’assemblée semblait maintenant moins concernée par le spectacle qu’à notre arrivée, si ce n’est un des hommes qui nous fixait et baissait les yeux lorsque nos regards allaient vers leur table. Notre bouteille de champagne arrivait enfin pour débuter l’apéritif, après avoir bu un premier verre, je disais à ma belle chienne d’aller se repoudrer le nez aux toilettes, je lui précisais que pour ce faire, en se levant, elle devait se tourner vers les 3 allemands et bien écarter les cuisses afin qu’ils aient une vue imprenable sur sa chatte nue et offerte sous sa micro-jupe. Ma pute s’exécuta, encore assise, elle pivota vers eux avant d’écarter les cuisses, comme elle sait si bien le faire, et leur offrir la vision de sa chatte de chienne dénudée. Elle se leva ensuite et leur tourna le dos en rabaissant la maigre étoffe de jeans qui laissait entrevoir le dessous de ses fesses bronzées. Les 3 allemands restèrent bouche bée et fascinés par la représentation donnée par ma salope avant qu’elle ne traverse la salle suivie du regard par toutes l’assemblée masculine. L’allemand le plus proche de moi, me dit alors sans presque aucun accent : « c’est une professionnelle ? », ce à quoi je répondis pour le mettre un peu mal à l’aise : « Pas du tout c’est ma femme ». Il sembla interloqué, il me transmit ses excuses et fit mine de reprendre la conversation avec ses 2 amis, mais je lui demandais de suite : « Sa chatte de chienne vous plaît ? ». Il me répondit alors dans un français parfait: « il faudrait être difficile pour ne pas apprécier les atours d’une si jolie femme », en rigolant je rétorquais : « C’est clair que c’est de la bonne pouffiasse arabe ». Ils éclatèrent de rire, tous les 3, au moment où ma salope revenait à table. Alors qu’elle s’asseyait, je dis à haute voix à ma femelle lubrique : « ces messieurs ont apprécié la vue de ta chatte salope, je pense qu’ils en voudraient plus », elle leur sourit en les remerciant. Au cours du repas, nous avons sympathisé et j’appris que 1 des 3 hommes était le producteur du DJ qui se produisait au « Gotha Club » ce soir. Nous avons donc prévu de nous y retrouver après le dîner. Avant qu’ils ne quittent le restaurant alors que nous étions en plein repas, le producteur allemand me transmis son nom et les informations à donner aux videurs à notre arrivée afin qu’ils nous conduisent à leurs salon VIP dans la boîte. Satisfait de ce début de soirée bien entamée, nous avons terminé notre repas avant de demander l’addition. Le garçon revint avez 2 coupes de champagne et nous informa qu’elles étaient offertes par nos voisins de table, ainsi que l’addition. J’annonçais à ma belle chienne qu’elle devrait payer tout cela plus tard avec ses 3 trous et elle acquiesça en souriant alors que je lui disais « t’es vraiment une grosse traînée ma salope ! », ce à quoi elle me répondit : « tu sais bien que je suis une pute », ce fût à mon tour d’acquiescer en lui rétorquant : « une grosse pute, avec un bon gros cul bronzé de truie qui va manger moult queues baveuses dans les heures qui viennent ». Notre breuvage englouti, nous décidions de quitter l’établissement afin de nous rendre dans la boîte de nuit, il était à peine 23h00. De retour dans notre véhicule, j’ordonnais à ma chienne de me vider les couilles, elle se pencha et après avoir déboutonné mon pantalon, elle me suça la queue. Je remontais sa micro-jupe sur ses hanches de truie, avant d’introduire mes doigts dans son vagin trempé et de jouer avec le rosebud dans son trou de cul. Les passants défilaient à côté de la voiture et certains semblaient s’arrêter en profitant de ce nouveau spectacle. Un homme plaqua son visage sur la vitre de la voiture et c’est à ce moment que j’attrapais ma pute par les cheveux afin de lui coller mon gland au fond de la gorge en appuyant bien violemment et j’explosais en la gavant de mon jus abondant sans qu’elle ne puisse en perdre la moindre goutte, encore une soirée où ma connasse allait avoir une haleine de sperme et pas qu’à cause de moi. Après m’avoir bien nettoyé le gland et la hampe avec sa langue, je refermais mon pantalon avant de démarrer vers de nouvelles aventures. A l’entrée de la boîte, j’annonçais aux videurs qu’on nous attendait dans un des salons VIP autour du DJ booth et je donnais le nom de notre hôte, il nous escorta à travers la foule directement jusqu’à l’endroit où nous attendaient les 3 allemands et 4 autres hommes, tous semblaient très heureux de nous voir arriver. On nous invita à nous asseoir en nous distribuant du champagne. Ce salon VIP était composé de 3 grandes tables basses entourées de banquettes spacieuses et confortables, le tout entouré d’une structure de séparation qui nous prodiguait une certaine intimité. Nous pouvions voir à l’extérieur mais la position et le niveau de notre salon rendait difficile les regards venant de l’extérieur. Je mis ma main sur la cuisse de ma pute assise à côté de moi et je la tirais afin d’offrir à nouveau sa chatte à la vue de nos nouveaux amis. J’ordonnais à ma chienne de monter sur la table du milieu et de danser en nous faisant profiter du spectacle. Sa spécialité étant de faire la salope, ce ne fut pas compliqué pour elle d’attirer les regards. Elle se trémoussait sur cette scène improvisée, son cul et sa chatte étaient complètement visibles la plupart du temps, ses petites mamelles de truie garnies de ses gros tétons brunâtres se balançaient au rythme de la musique. Je discutais avec les hommes, certains me félicitaient pour ma chienne, d’autres me demandaient s’ils pouvaient la toucher un peu, pris dans l’ambiance et comme pour donner le signal de départ, je remontais la micro-jupe de ma traînée sur ses hanches et lui filais quelques gifles violentes sur son gros cul, ce qui sembla amuser les convives, qui s’empressèrent de m’imiter en rigolant. Elle continuait de danser avec sa jupe remontée pendant que les convives se relayaient pour lui doigter la chatte, lui écarter les fesses et malaxer ses petites mamelles tout en buvant et en rigolant. La soirée commençait bien, ma chienne allait servir de serpillière à foutre et c’est ce que je voulais.

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