2e jour :
Je me réveil, un peu froids, je remets la couverture autour de moi. Mon anus ne me fait plus mal, voilà une nuit entière que je porte ce plug, je regarde ma queue coincé sous ma peau, l’érection matinale commence et je suis prisonnier de cette envie de bander naturel.
Mon collier toujours en place, je suis attaché au pied du lit, de mon lit, là où ma déesse, ma nièce c’est installer.
Quel délicieux couché, lisant quelques revue et histoires SM, j’ai dus lui lécher son abricot. Quel délicieux moment ou avec douceur, elle m’a expliquer comment m’y prendre pour satisfaire une femme avec une langue
Elle s’étire ,se réveille, une fine nuisette transparente la couvre, elle est encore plus belle comme ça que dans une complète nudité.
Elle m’ordonne de m’allonger sur le dos au côté du lit, ce que je fais.
Elle pose alors ses pieds sur mon ventre, les réchauffant en m’utilisant comme bouillotte. Elle glousse, visiblement fière d’elle.
Tu sais tonton ?
Après avoir été traité comme une pute par mon ex, je voulais me venger des hommes, j’ai tourné lesbienne avec une autre amie gotique, elle m’a appris pleins de truc sur comment dresser un homme, mais avec toi, je dépasse tous mes espoirs, tu me donne vraiment des sensations de plaisir et l’envie d’aller plus loin dans le jeu.
Je n’ose rien répondre de peur d’être imbécile ou de gâcher ce moment. Son pied glisse sur ma queue, et la roule sous son talon, j’essaye de « finir » mon érection, mais ma queue pousse sur le cadenas sans réussite, je gémis de désir frustré.
Tu fais vraiment trop une fixette sur ta queue, tu as du raté des tas d’occasion par peur que la fille se moque de toi j’imagine.
Comme je t’ai dit, je suis bi, un clito m’excite autant qu’un sexe, alors ton petit machin là, c’est trop mimi !!
Elle se glisse hors du lit, et enjambant mon corps elle s’abaisse au-dessus de mon sexe, ses mains sur mes têtons.
T’es mon gros a moi, mon gros avec sa petite bite d’insecte lol
Je grimace d’excitation alors qu’elle commence sa miction du matin sur mon sexe , son ondée chaude coule sur mes couilles, c’est délicieux.
Elle glisse ses doigts dans ma bouche, je les lèches
Finissant, elle se secoue la minette et remet ses doigts dans ma bouche, cette fois j’ai le plaisir de goutter a sa pisse.
Un délice, je ne me savais pas si Urophile, mais je pense que c’est quasiment dû à mon état d’excitation. Je commence vraiment à sentir fort la, deux jours de suite sans toilette arrosé à la pisse.
Je me demande si ma nièce a tous les vices, ou qu’elle se laisse aller à les découvrir au grès de ses fantasmes d’adolescente
Je suis conduit dans la baignoire, et comme elle vient de pisser, je me sens soulager, elle règle l’eau chaude, pas trop brulante et me laisse me laver, elle s’assoit sur le siège des WC et m’ordonne de retirer mon plug.
Je le fait, sentant d’étrange gargouillis dans mon ventre.
Je me lave vite avant qu’elle ne change d’avis et lui demande poliment avec les formules d’usage d’un esclave le droit d’utiliser les WC en sentant que ça vient.
Elle rit et me fait rappeler qu’on a acheté hier une litière et des granulés. Elle ne va quand même pas m’obliger à ……… et bien si j’en ai peur.
Je me sèche et sors honteux de la baignoire, me plaçant au-dessus de la litière. Elle me fait lever le cul et prend l’appareil photo.
– C’est pour mon album souvenir et te rappeler que tu m’appartient, au ou cas au tu veilles te rebeller et parler à mes parents.
Surement pas, j’aime trop ça, bien que la, c’est pas vraiment mon fantasme… mon anus se relâche, je sens ma déjection s’écouler dans le gravier du bac.. J’atteins les sommets de l’humiliation. Elle me gratifie de gros porc, m’insultant et prêtent que ma merde pue… évidemment, ça ne sent pas la rose. J’entends l’appareil photos prendre encore et encore des clichés… j’urine à présent, pissant sur mon cadenas, trop tard pour m’empêcher, d’autre photos, je suis partagé entre une étrange soumission et ces actes qui me pétrifie de honte. Curieusement ses insultes m’excitent. Je prends goût à être son jouet, son gros à petite bite. Et par la même occasion, je commence à m’accepter tel que je suis.
Le ménage avance bien, je crois que j’en ai jamais autant fait, moi qui suis plutôt à me laisser aller et à agir quand l’évier est plein ou quand la panière à linge déborde. Non, là c’est le contraire, je trotte dans la maison, agitant mon gros ventre et ma petite queue lestée. Ma nièce m’appelle, je pose le linge et viens me présenter à ses pieds, je commence à aimer mon rôle, je les lui lèche, petit et délicat, légèrement odorant dans ses petits escarpins à lacet, un modèle qu’elle me laisse choisir afin accroitre mon excitation a ses pieds.
Ma langue caresse ses orteils, mon cul se relève entrainé par la rondeur de mon ventre qui me fait agir tel un cheval à bascule. Sa main douce se glisse entre mes cuisses, agrippant mes couilles qu’elle tire vers l’arrière en empoignant la base de celles-ci. Je la laisse faire, aveugle de ses actes, haletant. Elle tire encore, ma peau élastique donne assez de moue pour que mes bourses se retrouve tangent au plie de mes fesses. Elle se saisie de deux baguettes chinoises, en place un dessous et une dessus et les attaches entre elles. Voilà mes couilles capturées par un sandwich de baguette, tendu vers l’arrière, j’exprime une légère grimace, tant par la gêne que par la douleur supportable. Ce qui est humiliant pour moi, c’est qu’ainsi étiré, mon pubis gras enveloppe tout mon sexe, le noyant en moi, le cadenas lui-même semble remonté par le trou que forme mon bas ventre.
Cela la fait rire, j’ai droit à de nouvelles insultes.
Pauvre sous homme, je peux même plus te branler ou te traire, regarde ça, ton zizi de bébé a disparu, moi qui voulait jouer avec, quel dommage.
Je rage de frustration au plaisir de ses doigts sur ma queue que je manque.
Bon, laisse-moi finir de te préparer, nous allons recevoir une amie, ma copine Sonia, tu seras aussi son jouet, je l’ai déjà eu au téléphone et on a parlé de toi.
Je me fige de peur, vais-je endurer d’autre supplice, être devant une inconnue exhibée comme le porc de compagnie de ma nièce ?
Ma lâcheté habituelle m’empêche de me plaindre, gratifiant ses pieds de quelques lèches. Son doigt caresse le fond de ma raie et stimule mon anus ridé qu’elle découvre sans mal. Reste ainsi, ne bouge pas. Se levant elle s’assoit sur mes épaules, tournée vers mon cul. Elle prend soin de relevée sa jupe pour qu’elle pose ses fesses nue a même sur ma peau. Quel délice.
Une noix de vaseline froide me fait trembler, rapidement changé en une douce chaleur alors qu’elle en badigeonne mon sphincter.
Je vais te plugger de nouveau, il faut habituer ton cul à être dilaté, car Sonia aimerais te baiser avec son gode-ceinture . Elle n’a jamais baiser un gros m’a-t-elle avouée. Et puis je te rappel que je t’ai promis de fister ton anus de ma main entière.
Hihi, je dois dire que malgré ton petit truc ridicule, tu es vraiment un soumis des plus agréable. Voir même trop. Pas un mot, pas un râle, pas une remarque. Moi qui pensait te faire du chantage.
Détournant mon attention sur la réflexion de ma condition elle poussa d’un petit coup sec un fin plug anal qui me fit pousser un râle, mon anus s’ouvrait à l’envers pour la seconde fois, et l’objet se logeât en moi. Elle ria, me fessa mes grosses fesses qui s’agitaient comme des vagues sous les impacts.
Quand elle eut assez de me fesser, surement à cause de sa paume de main brulante, elle pris une de mes ceinture et me cingla les fesses copieusement, me laissant couiner de plaisir alors que d’une main discrète je malmenais mon cadenas pour tendre ma queue. Elle s’arrêta net a la première goutte de sang, un peu gênée assurément d’en être arrivée là, redevenant aussitôt douce et câline.
Tu es un bon esclave, tu n’as pas fuis, alors tu as droit à ta récompense, relevant sa jupe, elle place sa minette devant moi, je lève mon nez, vision divine de son jardin lisse comme des dunes.
J’ hume son parfum de femme, je sens ma queue prisonnière alors que je bande comme un porc. Ma langue se tend, je lape doucement le sommet de ses lèvres. Une jeune minette fraiche encore gorgée comme un abricot, ses lèvres sont encore bien courtes et je dois fouiller plusieurs fois sa fente avant de réussir a lui ouvrir les pétales de sa fleur. Mais quel nectar, quelle abondance de jus intime.
Je me délecte, m’abreuve, à quatre patte devant elle je me régale.
Je l’aime tant
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