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Soumis à ma belle-mère (16)

Soumis à ma belle-mère (16)



Résumé

Vous vous souvenez d’après mes récits précédents que ma Belle-mère et moi sommes tombés amoureux après que sa fille Anne, mon ex-femme, ait demandé une séparation. La situation est incroyable : je ne suis pas divorcé pour préserver les enfants que je vois régulièrement, et ma belle-mère n’est pas divorcée non plus.

Nous sommes désormais un couple vivant la plupart du temps ensemble dans notre nouvel appartement, situé non loin de l’ancienne maison de ma belle-mère où vit encore son mari. Chacun dans cette famille a sa façon de gérer cette situation inédite, soit par déni, par ignorance, en nous dénigrant par derrière ou par tolérance. Les fêtes officielles ont lieu aux domiciles « officiels » soit de mon ex-épouse soit de ma Belle-mère. Par ailleurs, nous recevons à diner chez nous nos amis.

Nous avons 15 ans de différence, Béatrice ayant 72 ans, et ce tabou brisé nous amuse plus qu’autre chose aujourd’hui. Ma Déesse contrôle entièrement ma vie : finances, affection, sexe, activités…J’avais un penchant pour la soumission, Elle pour la domination, et nous avons juste exacerbé ces tendances jour après jour. Je La laisse me diriger pour tout : je me donne à Elle. Hors mon travail, je ne décide plus.

Ma belle-mère teste Corinne

Ce soir-là, Béatrice me demande de l’emmener jouer au bridge, dans le cercle où elle a ses habitudes. Je la dépose puis viens la chercher dés qu’Elle m’appelle vers 22 heures. Plus tard, lorsque nous arrivons chez nous, Elle me demande mon portable. Il lui arrive de me le demander de façon impromptue et je lui confie en l’embrassant sur le front. Elle s’assoit dans son fauteuil et examine le répertoire des photos, les derniers appels, les sms et e mails ainsi que les sites visités.

« – Tu as été voir des sites de travestis ? Ça te travailles, hein ? Viens ici que je vois si ta cage est restée en place ce soir.. oui, c’est bien. Je vois que tu ne me trompes pas. Tu peux regarder tes sites de cul tant que je suis Celle qui contrôle ton plaisir de vicieux et que tu me désires et m’aimes totalement. Tu gardes ta cage. Viens me lécher ».

Ma belle-mère retire son pantalon, le plie, pose une serviette de bain sur l’assise du fauteuil et revient s’asseoir le bassin en avant et les cuisses écartées. Le spectacle est sans tabou : Elle est ouverte sans pudeur à mon regard pervers. Je me mets à genoux devant Elle, approche mon visage, sens ses odeurs intimes de la journée puis je lui lèche délicatement et longuement sa chatte grise et poilue. Ses lèvres pendent, une humeur humide couvre les parois de sa vulve. La pointe de ma langue se faufile dans ses replis intimes. Mes mains caresse son buste, ses seins plats, son ventre. Ma cage contient l’érection qui démarre. De temps à autre, je stoppe et renifle délicatement son odeur un peu piquante pour lui montrer combien je veux tout d’Elle : sa chair tendre, ses rides, sa fragilité physique, sa peau fripée. Elle finit par jouir. Ce soir, je dois garder ma cage après mon soin d’Elle. C’est vraiment dur mais je veux tant lui plaire en obéissant à tous ses désirs… je La remercie de m’avoir laissé La lécher et nous allons nous doucher.

Béatrice connait mon goût pour la féminisation. Au lit, Elle me demande jusqu’où la femme qui est en moi voudrait vivre. Avec Béatrice, je n’ai plus de barrière et je Lui confie tout. Oui j’aime être Corinne, m’habiller et vivre en femme. Ca l’intrigue vraiment. Depuis plusieurs mois, Elle m’autorise une fois par semaine à me transformer. Nous sommes alors comme deux femmes à la maison. Je sais qu’Elle me prend un peu pour un malade mental mais Elle a fini par accepter cela pour me faire plaisir.

– Voudrais-tu un jour sortir habillée en Corinne ?
– Bien sur Chérie, ce serait un rêve et le faire avec toi serait une expérience géniale. Ca ne te gênerait pas ?
– Non, c’est plutôt toi avec ta grande taille qui devrait être gêné. Mais tu as une belle silhouette et de loin, tu passeras bien.
– J’en suis à un stade où si je sortais avec Toi, et bien qu’on puisse voir de près que je suis un homme magré tout, je suis prêt à assumer. Je voudrais arriver à me détacher des regards qui dévisagent. Et puis on peut essayer à la nuit tombante pour commencer.
– On ferait une belle paire d’amies. Je vois la tête de nos voisins. Je vous présente Corinne !! c’est ma nouvelle amie….quel couple improbable, on serait les vedettes du quartier.
– Les gens penseraient que tu es devenue lesbienne.
– Tu plaisantes ? Il te reconnaîtraient et nous passerions pour des fous. Alors, je veux bien que tu te transformes en femme et que nous sortions mais discrètement.

Et là-dessus, ma belle-mère ne peut s’empêcher de rigoler de l’étrangeté de ma situation. C’est un rire moqueur, et même humiliant. Mais j’ai décidé de m’en ficher: j’aime être moqué par ma divine Dominatrice. Bien qu’Elle me regarde dans les yeux tandis qu’Elle se gondole, j’y trouve une sorte de plaisir un peu pervers. Je suis vraiment devenu une carpette, un objet de risée par ma nouvelle femme et un homme dont Elle peut user et abuser. Mais je suis une carpette heureuse et aimante.

Des courses pour Corinne

Le lendemain, lorsque je rentre de mon bureau (je travaille pour une collectivité territoriale…), ma Belle-mère m’attend en sirotant un thé. Après que je l’ai embrassée et qu’elle ait vérifié en tapotant de son ongle que ma cage est en place, Elle me dit :

– Bonjour Corinne, dit-elle en tordant la bouche dans son envie de s’esclaffer, j’ai fait un peu de rangement aujourd’hui.
– Très bien, et comment vas-tu ?
– Tu n’as pas compris, dit-elle de sa voix aigue et pinçante, j’ai fait un tri dans tes affaires. J’ai jeté tous tes dessous masculins qui ne servent plus à rien. Qu’est-ce que tu veux, tu n’es pas un homme, alors pourquoi entre nous, porterais-tu encore cela ? Tu ne dois porter que mes culottes, et pour le reste des affaires de femme à ta taille.
– Très bien, Maitresse, de toute façon je ne les portais plus. Tu as eu raison comme toujours.
-Ne te déshabille pas, on va faire un peu de shopping pour compléter ta garde-robe. Allez ! Bouge-toi un peu. N’oublie pas les clés et ta carte bleue. Tu feras pipi après. Je t’avais dit d’acheter du pain : à quoi penses-tu ? Je dois tout faire. Tu sais que je suis fatiguée parfois ? Ah non, tu conduis, et puis quoi encore ?

Arrivés dans notre centre commercial, nous faisons diverses courses de victuailles et d’effets personnels. Ma belle-mère m’entraine dans le rayon vêtements féminins, prend des pantalons ou des chemisiers qu’elle examine en les tenant à bout de bras depuis ses lunettes, juge de la longueur, de l’aspect. Elle m’en tend quelques-uns.

– Allez, va les essayer. Tu as une cabine, là. Je t’attends, dépêche-toi.

Je passe les articles, penche la tête par le coté du rideau pour appeler ma Belle-mère : – Chérie, viens voir. Une vendeuse a bien vu ce que j’essaye et ne dit rien mais son regard par en-dessous et ses yeux ronds disent tout.

Nous prenons 2 ou 3 articles dont Elle est contente.

– Non pas ce pantalon, il fait trop vulgaire. Ce chemisier te serre, on prendra la taille au-dessus. Allez, rhabille toi-vite.

Elle ne veut pas que je porte d’affaires sexy, car pour Elle, c’est vulgaire… Nous passons ensuite à la lingerie. Nous choisissons un soutien-gorge à armatures en coton blanc à ma taille (pas besoin d’essayer, j’en ai déjà plusieurs, mais Elle applique les bonnets sur ma poitrine pour voir l’effet. Une jeune femme passe, je suis cramoisi.

A la caisse, Elle me fait le coup habituel :

– Peux-tu aller me chercher des culottes en coton blanc? Tu connais ma taille. Prends-nous aussi des protège-slips.

Quelques clients ont entendu : je suis humilié mais je me plie à ses instructions.

Dans la voiture, tandis que je conduis, Elle me fait une scène :

– J’ai bien vu que tu matais des femmes. Combien de fois devrai-je te dire que je n’aime pas cela. C’est un manque de respect. Tu veux que je te les présente ? Je veux bien accepter beaucoup de choses, mais pas ça. Il va falloir te calmer. Cette nuit, tu gardes ta cage.

Plus tard, au lit, je l’enlace et l’embrasse tendrement sur la bouche, je la remercie pour ces courses.

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