Après ce petit réveillon bien sympas le temps était maintenant à la reprise des cours. Maman mis une petite semaine avant de trouver le local habitation qu elle cherchait.
Elle me demanda d aller y faire une première visite avant sa venue. Le local professionnel était bien fait et agréable juste une bon coup de peinture ou décoration pour rafraîchir. Un petit coin de terrain, environ 200m2 de pelouse sans vis à vis puis une petite maison de plein pied composée d une petite cuisine, d une jolie salle salon, trois chambres et une superbe salle de bain avec douche italienne et baignoire. Le tout était dans un état assez propre mais un coup de rafraîchissement de peinture ne serait pas de trop. Au vu de cette description maman vint faire une petite visite éclair. Elle me rappela le lendemain pour savoir ce que je pensai de cette habitation. Elle me demanda si je pouvais l’aider pour la peinture car son budget était un peu juste pour faire faire cela par un pro. L’affaire fut donc validé ainsi rapidement. Nous fumes une bonne quinzaine de jours sans nous voir. Le dernier jeudi de janvier maman me passa un coup de fil pour me demander si elle pouvait passer ce WE pour aller acheter tout ce qu’il fallait pour la peinture et décoration. Bien sur; aucun problème, juste que je ne serais pas de bonne heure le soir car j’avais un TP de 4h l’après midi.
Finalement le TP fut même un peu plus long que prévu et je pris le chemin de l’appartement vers 18h30 avec un trajet heureusement assez court. Finalement j’arrivais à l’appartement vers 19h.
À l’ouverture de l’appartement je fut un peu surpris de trouver une ambiance assez tamisée.
-Bonjour mon cœur me lança maman du fond de la pièce.
Mon sang ne fis qu’un tour à sa vue….. Mini robe moulante en cuir noir bas violet avec des escarpins noirs à talons aiguilles. Le tout avec un large décolleté qui laissa apparaître, son opulente poitrine comprimée dans un sous tif plus que pigeonnant.
-Et bien mon cœur un soucis.
-Non juste un peu surpris mais en bien tu est plus que magnifique
-Merci, j’espérais bien que cela te plaise. Je te laisse arriver, veux tu que je te serve quelque chose.
-La même chose que toi cela sera bien.
Je faisais une petit saut par la chambre pour déposer tout mon fourbi et revins rapidement dans la salle voir maman. Elle était plus que bandante dans sa petite tenue et je sentais que mon bas ventre me confirmait la même chose.
Nous nous sommes installé pour prendre l’apéritif mais personnellement je passai une partie de mon temps les yeux dans son impressionnant décolleté.
-Euh j’ai pas l’impression que tu m’écoute vraiment me lança t elle.
-Mais si pourquoi?
– On peut aller demain faire toute les courses et aller déposer cela dans notre futur maison car je me suis arrangée avec l’actuel propriétaire pour pouvoir faire la décoration avant la vente.
-Oui pas de souci; comme je te l’ai dits je suis à toi tout le WE.
-Super tu est un chou, je suis certains que nous serons bien dans cette maison
L’apéritif touchant à sa fin, je me dirigeais vers la table de la salle pour y mettre les assiettes quand en me retournant, je me retrouvais nez à nez avec maman. Nous nous regardions droit dans les yeux sans aucun mot mais je connaissez ce regard……
Au bout de quelques instants elle me dit:
-Je ne pourrai jamais attendre tout à l’heure si tu ne me prends pas rapidement je vais fondre.
À ces mots je me rapprochais d’elle, passai la main sous sa robe pour remonter le long de ses cuisses et constater dans un premiers temps qu’elle n’avait absolument aucune culotte et qu’effectivement, elle était ruisselante. Au vu de la situation, j’avait de mon cote une bonne grosse érection qui ne demandait qu’à sorti de mon pantalon. Je passai un doigt sur sa vulve trempée, ce qui eu pour effet de la faire frémir. Elle eu un petit pas de côté, vint se mettre face à la table puis remonta. Elle attrapa le bas de sa robe et la retroussa jusqu’au dessus de ses reins. Elle posa alors les mains sur la table et en me regardant me dit:
-Viens m’enfiler je n’en peut plus.
Le spectacle était plus qu’existant. Maman montée sur d’immense talons aiguilles qui lui galbais les mollets et les cuisses. Sa croupe rebondis ne demandait plus maintenant qu’à être prise. Je me plaçais alors derrière elle, déboutonnais mon jean pour en extirper ma queue gonflée de désir. Je plaçais alors mon gland a l’entrée de sa vulve trempée. Après quelques frottements de désir je la pénétrais sans trop de ménagement.
-oh mon salaud me lança t elle?
– Un problème?
-Non vas y bourre moi, défonce moi la chatte et balance moi tout ton foutre à l’intérieur.
À ces mots je la pris par les hanches et commençais à la pistonner. Des râles de satisfaction commençaient à sortir de sa gorge.
-Hum c’est rien bon de se faire prendre par une bonne bite bien dure vas y t arrête pas.
Mes coups de boutoirs était de plus en plus violent mais elle appréciait ce traitement. Rapidement je ne pu retenir l’excitation qui montait en moi moi et je lui déchargeais de longs jets de foutre au plus profond de son intimité.
La relation n’avait pas forcément été bien longue mais fort intense pour tout les deux. Toutefois j’étais encore en elle et sentais ma queue encore bien en forme malgré la décharge. Je repris alors les vas et viens dans son intimité.
-Ah, me dit elle, je suis gâté,ce soir t’arrête pas défonce moi encore et fait moi jouir.
Ces mots finir à me redonner une bite en acier qui avait repris un vigoureux pilonnement. Au delà de ces petits râles, je voyais sa poitrine ballotter dans tous les sens à chaque coup de boutoir. Je l’empoignais encore un peu plus fort pour la défoncer comme une bête. Elle baissait maintenant la tête et se mordait les lèvres pour ne pas crier. Puis de nouveau ce fut l’explosion dans sa chatte, de nouvelles salves de foutre bien chaud et gluant. Il nous fallu quelques secondes pour reprendre nos esprit après cette chevauché effrénée.
Finalement je retirai ma queue de son intimité qui dégoulinait maintenant d un mélange de cyprin et de foutre. Ces bas était maculés de ce mélange issue de notre relation bestiale. Maman se retourna et me dit:
-Je ne sais pas toi mon cœur mais je me sens mieux.
-Pareil.
-Je me prends une petite douche et on mange je te laisse la table..
Elle s’éclipsa dans la salle de bain me laissant alors la table à mettre. Ceci fut bien rapide et je me mis à table pour l’attendre pour le repas. Au bout de quelques minutes elle paru de nouveau dans la salle. Second boom de la soirée. Toujours montée sur des talons aiguilles noire ses jambes étaient maintenant revêtu de bas blanc et elle me portait qu’un mini kimono en satin noir qui dessinait au plus proche ses formes généreuses.
-Je te plais toujours me lança t elle.
-Toujours canon et désirable au possible.
-Et bien c’est parfait, j’ai faits simple, une petite assiette froide de viandes et crudités.
Elle amena sur la table le repas et une petite bouteille de vin rouge.
-Et bien c’est fête ce soir lui dits je.
-Un peu il faut bien se faire du bien les autres ne nous en font pas forcément beaucoup.
Nous nous sommes attablé l’un en face de l’autre et avons commencé à discuter de la semaine et de son activité qui prenait maintenant un bon rythme. De mon côté je recommençais à sentir un durcissement au niveau du bas ventre et me trémoussais un peu sur ma chaise pour faire passer cela.
-Un soucis mon cœur.
-Non juste une petite gêne……
-Ah je vois attends j’ai la solution à ton problème.
Elle se leva alors approcha son assiette a côté de la mienne avec son verre puis elle me dit:
-Recule un peu de la table,tourne ta chaise et retire ton pantalon je pense qu’il ne te sert pas à grand chose.
À ces mots je m’exécutais avec plaisir. Une fois de nouveau assis sur ma chaise je la regardai de nouveau, superbe devant moi. alors avec un petit sourire elle dénoua son kimono qui naturellement s’ouvrir. Ça y est j’avais de nouveau une gaule du tonnerre. Elle passa mes jambes entre les siennes et s’assit sur mes genoux. Ses seins pointait à mord trahissant elle aussi son état d’excitation plus qu’avancé. Elle eut un petit sourire elle pris en main ma queue et me dit:
-Et bien tu as une sacré énergie.
-C’est juste que tu est excitante au possible.
À ces mots elle eu un sourire puis, elle se souleva légèrement pour présenter mon sexe a l’entrée de sa vulve que je sentais toute chaude. Lentement elle descendait sur la colonne de chair jusqu’à se trouver de nouveau sur mes cuisses.
-Je pense que comme cela nous pourrons peut être plus facilement terminer le repas me dit elle.
Tout en continuant à manger, elle me donnait à manger. Chacune de ses ondulations se répercutait au niveau de nos intimité et personnellement, j’avais les main libre et je commençais à lui caresser les cuisses. Il n’y avait plus un seul bruit dans la pièce. Maman nous nourrissait pendant que je lui caressai le corps. Alors que nous arrivions à la fin de ce plat principal mes mains ont petit à petit remonté pour venir s’emparer de sa lourde poitrine. Ses tétons pointaient à l’extrême et était très réactifs. Chaque petite pression la fessait frémir. Le plat terminé elle déposa la fourchette et me fixa.
-On se fait une petite gâterie ou on passe au désert.
-il n’y a rien qui presse une petite gâterie est une bonne idée.
-Gourmand.
-Et toi alors tu est chaude comme la braise.
-Oui mais bon tu pense qu’un gentil garçon passe une bonne partie de son repas avec la queue dans l’intimité de sa mère avant de la baiser et la faire jouir.
-Alors je suis un vilain garçon.
-Reste vilain alors, moi cela me va bien.
À ces mots elle passa les mains autour de mon et commença à monter et descendre sur mon membre qui était luisant de part son état excitation. Elle ronronnais à chaque pénétration de ma queue au fond de son intimité. Je pris ses deux gros seins à pleine main pour les pétrir, alors qu’elle se déchaînait de plus en plus sur ma queue. Nos souffles commençaient à être de plus en plus court. Maman fatiguait un peu et elle s’assit de nouveau sur ma queue en ondulant du bassin. Nous étions les yeux dans les yeux.
– Lèves toi légèrement et ne bouge plus lui dits je.
Elle s’exécuta, puis je pris appuis des deux mains sur la chaise et repris les coup de pistons. rapidement des cris de plaisirs sortir de sa gorge. Malgré cela je continuai de plus belle à la besogner. Ses seins ballotaient dans toutes les directions. Elle commença à secouer la tête et ne parvenait plus à contenir son plaisir, ses cris était maintenant sans doute bien audible au delà de l’appartement. Excité au plus haut point par ce spectacle de débauche je lui expédiais ma semence au plus profond des entrailles. Cette éjaculation, lui extirpa une énorme contraction des abdominaux et un orgasme plus que bruyant avant qu’elle ne s’écroule de nouveau sur moi.
Nous sommes resté un bon moment ainsi avant qu’elle ne reprenne ses esprits et qu’elle me regarde:
-Et bien mon cochon toujours pas honte de mettre sa mère dans un tel état.
-Non pas du tout et toi de te faire prendre par ton fils.
-J’ai pris un pied du tonnerre, ou la la, que de débauche. Il me faut un petit verre pour m’en remettre.
Elle fini alors mon verre, se leva et parti dans la cuisine. Quelques minutes plus tard elle revins avec le dessert….deux magnifiques petits gâteaux.
-C’est pas raisonnable je sais mais bon tu devras me faire l’amour encore un peu plus pour brûler les calories en rab me dit elle avec un sourire assez large et le regard malicieux.
Nous avons savouré ce petit dessert tranquillement, en discutant de la futur maison et de ce qu’il faudrait acheter demain pour refaire un minimum de décoration. Puis, nous sommes allez nous coucher tranquillement, enlacé dans notre lit commun,l’un contre l’autre.
Le lendemain matin nous avons fait une petite grâce matinée avant de partir en fin de matinée pour les courses. Après un petit repas dans une cafétéria nous avons attaqué les courses: peinture, pinceau, rouleau, perceuse et tout ce qu’il faut pour les premiers travaux. Maman était assez radieuse, une nouvelle étape, de sa vie allait s’ouvrir. Pour l’occasion elle avait mis un petit tailleur très chic qui ne passait pas inaperçue au rayon bricolage mais bon c’est le jeu. Nous avons avec un peu de mal tout chargé dans la voiture avant de prendre la direction de la maison. Après un nombre de voyage non nul tout se trouvait maintenant dans la maison. Nous avons alors fait un petit tour de la maison et du local professionnel, pour qu’elle m’explique comment elle voyais les choses. Elle commençais à en avoir plein les jambes mais elle étais heureuse et il n’était pas facile de l’arrêter dans ses explications le temps de prendre des notes. À la fin de la visite je relisais tranquillement mes notes lorsque que je la senti revenir derrière moi, poser ses mains sur mes hanches et me dire à l’oreille.
-Ça y est mon cœur tu as tout noté.
-Presque répondis je sérieux et concentré.
Alors elle se plaqua contre mon dos et laissa glisser ses mains jusqu’à mon bas ventre qu’elle commença à caresser. Le déplacement de concentration ne se fit pas attendre, je fini malgré tout rapidement mes notes avant de constater un beau durcissement dans mon pantalon. Étant heureuse de ce qu’elle sentait, elle vint me faire face, déboutonna tout en me fixant son chemisier qu’elle ouvrit largement pour que je puisse à souhait admirer sa poitrine. Elle s’agenouilla alors devant moi tout en ouvrant la braguette de mon pantalon pour, de ses mains habilles, libérer en deux temps trois mouvements mon membre bien dur. Elle me regarda de nouveau droit dans les yeux et attaqua une lente et gourmande fellation. Elle se délectait de ce joujou bien dur. Elle enroulait mon gland avec sa langue langoureusement puis prenait ma queue a pleine gorge avant de revenir sur le gland puis reprendre à pleine gorge. Ses caresses étaient de plus en plus insistantes mais les relations de la veille m’avaient données un peu de résistance ce qui ne faisait qu’augmenter son désir de pouvoir me faire jouir ainsi.
Elle me pompait maintenant a pleine gorge comme une chienne affamée qui réclame sa pitance. Petit à petit elle voyait que mon excitation montait ma queue était de plus en plus réactive à ses caresses toujours plus insistantes. Je ne pouvais plus me retenir et fini par lui éjaculer de longs jets de foutre chaud dans le fond de la gorge. Elle avala tout jusqu’à la dernière goutte avant de me jeter un regard malicieux
-C’est la pipe de bienvenue me dit elle.
-Et bien cela laisse augurer de bon moments.
-J’espère me dit elle.
Elle se releva tout en restant largement déshabillée, et se dirigea vers le matériel. Personnellement je me rajustais et fini mes notes. Je due repartir dans le local professionnel pour repeindre deux trois petites notes. Au bout d’une dizaine de minutes je revins dans la salle et retrouvais un spectacle fort plaisant. Maman était assises sur les pots de peinture les cuisses écartées en train de se s’astiquer.
-Et bien lui dis je, il ne faut pas s’absenter bien longtemps.
Mais je n’eu aucune réponse, elle était dans sont truc et rien ne pouvait l’en sortir…… Au bout d’une ou deux minutes de ce spectacle je sentais une certaine raideur revenir dans mon pantalon. Bientôt cette raideur n’était plus une sensation mais une vrai réalité. Je me dirigeais,alors vers maman et lui sortais la queue sous les yeux. Immédiatement, elle se leva retourna, et se cambra,.
-Prend moi.
Sans aucun délai je présentais ma queue a l’entrée de sa vulve et la pris profondément dans son premier râle de plaisir. Je commençais de nouveau à la besogner sérieusement et vigoureusement lorsqu’elle posa sa main sur mon ventre pour m’arrêter et me dire.
-Mets moi la dans le cul j’ai envi que tu me le défonce et que tu t’y vide les couilles.
Une petite défonce anal, que du bonheur. Je lui écartais les fesses avant de lui humecter la rondelle puis y faire pénétrer, un doigt tranquillement, puis deux. Alors je libérais la ma queue de son fourneau avant de bien la lubrifier et la présenter contre la rondelle. Je commençais à pousser sans aucun résultat. Puis je senti que son anneau commençait à céder. Elle ronronnait.
-Vas y mon cœur, mets moi la dans le cul, enfile moi à fond.
Encore une petite poussée dans un petit cris le gland venait de lui explose le cul. Petit à petit j’allais et venais dans son cul, toujours un petit peu plus profondément. Lorsque je fut au plus profond de son cul j’eu une petit cris de plaisir.
-Vas y maintenant, mon cœur défonce moi brutalement le cul comme tu sais le faire.
En même temps que je commençais à lui besogner le cul je lui administrais une fessée.
-Plus fort vas y.
Je lui enfonçais maintenant violemment la bite dans le cul et les coups commençaient à pleuvoir sur ces deux fesses qui commençaient à rougir. Elle beuglais de plaisir et ses cris raisonnaient dans la maison presque vide. Je fini comme toujours par ne plus en pouvoir et lui envoyai une bonne dose de foutre dans le cul ce qui lui déclencha un cambrage de hanche inouï et un bruyant organisme.
Je me retirai alors de son cul et me rajustais alors qu’elle restait les deux mains sur les pots de peinture avec le cul rouge vif à l’air.
Au bout d’un moment elle se redressa laissant retomber la jupe et me fit fasse avec un large sourire.
-Je trouve que les ondes de cette maison son assez intéressante, et toi.
-Intéressante c’est peut être pas le mot que j’aurais employé mais bon elles sont bonnes.
Tout en se rhabillant, elle me souris en signe de complicité. Nous en sommes resté la pour nos ébats dans notre future nouvelle demeure, pour reprendre le chemin de l’appartement et se rentrer au chaud finir la soirée et le WE. Nous avons passé une petite soirée tranquille à l’appartement pour préparer d’abord les travaux puis le futur déménagement qui devrait avoir lieu fin Février. Nous sommes finalement couché vers 22h. Alors que j’étais au lit elle est apparu à l’entre de la chambre en bas blanc avec un surprenant porte jarretelles noir avec un soutien gorgés pigeonnant noir du plus belle effet. Elle est venu se coucher à côté de moi et avons tendrement fait l’amour avant qu’elle ne s’endorme sur mon épaule.
Ajouter un commentaire