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un été srprenant

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Ma femme et moi sommes mariés depuis 10 ans. Elodie est une épouse charmante, jolie brunette de 34 ans, . Plutôt d’allure BCBG, sage et distinguée à la fois, mon épouse est assez attirante avec sa taille moyenne, ses seins ronds et charnus, et ses fesses fermes et galbées. Malgré des aspects distants et parfois inaccessibles, c’est une toute autre femme au lit. Là, les tabous tombent et nous jouissons d’une sexualité épanouie où les jeux de langue tiennent une place importante. En effet, cette épouse sage et rangée est une suceuse hors pair. Elle a toujours aimé prendre mon sexe en bouche et m’a d’ailleurs gratifié de cette pratique dès notre première rencontre. Pour la sodomie, il en est tout autre… Il nous a fallu du temps et de la patience pour que les préjugés à l’encontre de cette pratique tombent et que l’esprit de mon épouse s’ouvre à ce plaisir. Et même si l’esprit est ouvert, il n’en va pas de même pour son anus qui reste serré et demande préparation et douceur pour se laisser apprivoiser…

Nous discutons beaucoup de nos fantasmes lors de nos séances de sexe afin de les pimenter et d’inventer de torrides scénarios dont nous profitons tous deux. Mon épouse connaît donc mon petit côté candauliste et mon fantasme, comme beaucoup, de la voir prise par un autre si l’occasion se présentait.

Cet été, nous avons profité de l’absence des enfants en vacances chez leurs grands-parents pour nous offrir un petit séjour à la mer afin de réchauffer nos corps aux rayons du soleil.

La mer, le sable chaud, l’air marin et nos corps presque nus nous amenaient à la détente, à lâcher prise et à profiter du moment.

C’est tout naturellement que, profitant d’être isolés dans les dunes, le soir tombant, l’endroit déserté par les familles, je me laissais à caresser mon épouse tendrement sur le ventre d’abord puis remontant vers ses seins nus vers lesquels mes mains sont toujours inévitablement attirées. Mon épouse se mit à minauder, et je me réjouissais d’avance d’une séance de sexe qui promettait d’être délicieuse.

Bien excitée par mes caresses, mon épouse prit mon sexe en main pour le branler lentement mais fermement, comme elle aime. Détendu, je me laissais faire tout en profitant pour passer mes mains sur son corps chaud et accessible. Ma main profitant d’un rapprochement de nos corps partit à l’exploration de son sexe qui, à ma grande joie, se révéla chaud et plus qu’humide. Profitant de cette aubaine, je n’ai pas tardé à laisser mes doigts glisser le long de sa raie avant d’aller l’explorer plus profondément. L’effet ne se fit pas attendre, et mon épouse se mit à gémir et souffler de plus en plus bruyamment. Excité, j’en profitai pour lui donner le coup de grâce en faisant des va-et-vient avec mon index et mon majeur pendant que mon pouce lui massait le clito. L’orgasme ne se fit pas attendre et survint cinq minutes à peine après le début de ce traitement que je sais être toujours efficace.

Elle mit quelques minutes pour se remettre de ses émotions et profiter du bien-être ressenti après une belle jouissance.

Enfin remise de sa torpeur, elle me fit remarquer que je n’avais pas joui… Je lui répondis que cela ne tenait qu’à elle de réparer cet oubli. Son côté pudique étrangement réapparut :

— On pourrait nous voir…
— Cela n’avait pas l’air de te déranger lorsque je t’ai masturbée il y a à peine 15 minutes.
— Tu as raison ; allonge-toi sur le dos que je m’occupe de toi.

Bien installé, le dos sur le drap de plage, je me laissais donc faire par ma charmante épouse que je n’avais pas connue si entreprenante et téméraire depuis un long moment. Elle se mit à caresser mon torse, mon ventre, pour descendre vers mon sexe tendu et mes bourses. Elle entreprit un massage appliqué, couplé à une masturbation ferme et décidée. Mais elle ne s’arrêta pas là, pour mon plus grand plaisir. Elle me fit écarter les jambes afin de s’agenouiller pour me prodiguer une pipe dont elle a le secret.

Commençant par embrasser doucement le bout du gland, descendant ensuite lentement le long de la tige toujours en posant de doux baisers chauds, elle se mit ensuite à remonter de la base vers le gland en sortant progressivement la langue. Cela me faisait bander comme un fou. Arrivée à nouveau au niveau du gland, elle ouvrit la bouche pour l’entourer de ses lèvres chaudes et humides, faisant ainsi une ventouse de chair. Ne pouvant résister, je fermai les yeux pour mieux profiter de cette caresse. Elle commença alors de longs va-et-vient, chauds et mouillés, toujours accompagnés de sa main me caressant les bourses. Je profitais de cette caresse, toujours les yeux fermés.

Ce n’est qu’en les rouvrant que j’aperçus derrière mon épouse, sur le haut de la dune, un homme qui visiblement profitait de la vue sur la croupe de mon épouse qui, toujours concentrée sur sa tâche, ne remarqua rien. De loin, notre voyeur me fit comprendre que mon épouse était top en me regardant d’un air entendu et en levant le pouce. Je ne fis pas de remarques à mon épouse afin de ne pas la déconcentrer et de ne pas la stresser. J’avoue que cette situation m’excitait aussi, qu’un homme me flatte sur les exploits de mon épouse.

Au bout de cinq minutes de ce petit jeu, notre inconnu – plutôt bel homme – me demanda toujours par signe, sans faire de bruit, s’il pouvait s’approcher. J’acquiesçai, mon épouse toujours la tête penchée sur mon sexe. Est-ce le vent, le bruit des vagues ou les ruses de Sioux de notre voyeur, mais mon épouse ne remarqua pas l’approche de notre voyeur qui s’était placé derrière elle. Quand il fit mine de vouloir caresser les fesses de mon épouse, je tentai le tout pour le tout et pris sa tête à deux mains pour la maintenir sur ma tige gonflée d’excitation.

Le moment de vérité arriva lorsque la main de notre ami entra en contact avec la peau chaude et bronzée de mon épouse. Elle sursauta, mais maintenue sur mon sexe ne put se relever. Elle leva juste les yeux pour les plonger dans les miens. Je lui rendis son regard avec intensité tout en lui lâchant la tête pour qu’elle soit libre de ses mouvements. À mon grand plaisir, elle ne chercha pas à se relever ni même à tourner la tête pour apercevoir cet inconnu qui maintenant lui caressait les fesses avec fermeté. Elle se concentra sur sa fellation qu’elle reprit de plus belle en s’agrippant à mon sexe et à mes couilles comme si c’était un point d’ancrage dans la tempête de sensations et de sentiments que nous ressentions tous les deux, je pense.

Notre invité, devant le manque de réaction de mon épouse, s’enhardit. Il se plaça derrière mon épouse, toujours penchée à quatre pattes sur mon sexe. Il se mit à pétrir ses deux fesses à pleines mains, doucement au début et de plus en plus fermement, en les écartant de plus en plus l’une de l’autre, ce qui eut pour effet de commencer à arracher des gémissements à mon épouse. La pipe se fit moins appliquée du fait du traitement qu’elle subissait. Je distinguai notre ami passer une main entre les fesses de ma bourgeoise, lui arrachant des feulements de plus en plus intenses. Je ne voyais pas clairement ce qu’il faisait, mais cela n’avait pas d’importance. Ma femme se faisait pour la première fois caresser par un autre homme et semblait en retirer un plaisir non dissimulé.

Mon épouse sursauta à nouveau quand les doigts de notre invité prirent possession de son intimité. J’entendis des « Ouh », des « Ah » et des « Oh » plus ou moins étouffés par mon sexe. Après quelque temps, le voyeur me montra un préservatif d’un air interrogatif. Je haussai les épaules. Il l’enfila et se plaça derrière mon épouse, qui à nouveau eut un sursaut à la pénétration de ce sexe inconnu. Les va-et-vient furent réguliers, profonds et méthodiques, faisant pousser des cris de plus en plus bruyants à mon épouse. Notre baiseur ne prononça pas un mot, juste quelques grognements.

Au bout de dix minutes de ce qu’on peut appeler un limage en bonne et due forme, je sentis mon épouse sursauter un peu plus fort cette fois avec un « Ouche » sorti du plus profond de sa gorge. Ne comprenant pas ce qui se passait, je lus dans les yeux de mon épouse de la surprise et une grande excitation ; je pris ça pour de la surprise car notre pilonneur s’était réintroduit d’un seul coup de reins.

Les va-et-vient reprirent, arrachant cette fois des « ah » rauques de mon épouse et de notre partenaire. D’ailleurs, les râles se synchronisèrent et s’accélérèrent de concert. Je sentis mon épouse au bord de l’orgasme, et notre invité ne devait plus être bien loin non plus. C’est Elo qui céda la première en lâchant des « Ah, mon Dieu » de plus en plus audibles puisqu’elle avait délaissé ma tige, ne pouvant résister plus longtemps aux puissants coups de reins de son amant.

Puis vint le tour de celui-ci. J’entendis sa voix pour la première fois lorsqu’entre deux grognements, il dit d’une voix pleine de jubilation :

— Prends ça bien au fond de ton cul, salope ! T’aimes te faire enculer, bourgeoise…

Je restai sans voix car jamais je ne m’étais douté qu’il la sodomisait. Elodie est très étroite et pas fan de cette pratique d’habitude. Je ne sus que répondre lorsqu’en partant, après une dernière claque sur la fesse d’Elodie comme l’on flatte une pouliche, il me dit :

— Ta femme est vraiment une bonne petite enculée ; je ne l’ai jamais mise aussi profond ! Merci.

😉

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