Il y a de cela quelques semaines, mon meilleur pote est venu passer une soirée FIFA chez moi. Ma petite femme et moi aimons beaucoup passer des soirées avec lui. Même si je sais Camille très amoureuse de moi, je sais qu’elle n’est pas insensible au charme de ce grand brun ténébreux qu’est Rémi, d’autant plus que ce célibataire endurci (mais pas abstinent, ça je le sais!) sais prendre soin de lui. Plusieurs fois elle m’a fait comprendre, en déconnant, que si je n’était pas là, elle irait bien voir de plus près son corps bien sportif. Bah, y a pas de mal à fantasmer!
Bref, ce soir là, mon pote se pointe et très vite, les parties en ligne s’enchaînent, chacun notre tour pendant que ma douce s’active à nous faire un petit apéro dînatoire pour nous trois en cuisine. Alors que mon pote venait juste de finir son matche, nous entendons alors Camille nous appeler à la rescousse:
-Eh les gars j’ai besoin d’aide, j’arrive pas à att****r la farine!
-Laisse j’y vais. Enchaîne, me dit Rémi
Et le voilà parti à l’autre bout de la maison pour aider ma petite femme. Je m’apprêtais à commencer ma partie quand, je ne sais pas, un truc m’a paru bizarre. J’hésite quelques secondes puis je me déplace en mode ninja jusqu’à la cuisine (sur le carrelage, c’est pas trop dure d’autant plus que ma femme écoute toujours la musique un peu fort en faisant la cuisine.) La porte de la cuisine est juste entrouverte de quelques centimètres et je suis parfaitement dissimulé dans l’obscurité Je la vois debout sur le plan de travail à fouiller dans les placards du haut de la cuisine. Elle est vraiment splendide ce soir dans sa mini-jupe en jean moulant ses belles fesses rondes mais pas trop grosses (elle fait beaucoup de sacrifices pour rester désirable!) et je dois dire que son haut rouge vif qui ne tient que pas le nœud noué derrière sa nuque met parfaitement en valeur son 95D.
-Putain mais qu’est-ce qu’il a à ranger les paquets de farine aussi haut. Il s’en sert jamais lui mais moi si! Assure ma descente s’il te plaît j’ai peur de me casser la gueule!
Le voilà qui s’approche dos à elle, posant fermement ses mains sur ses hanches et la voila qui se laisse guider dans sa descente. Mais alors qu’elle descend, sa fermeté de la prise fait remonter lentement la jupe pourtant bien serrée le long des formes de ma petite femme. Quand ses pieds touchent par terre, la voilà la jupe relevée à mi-fesses, le bassin de Rémi plaqué entre elles.
-Eh mais qu’est-ce que tu fou?
Elle a à peine le temps de finir sa phrase qu’il la bascule face à elle avec autorité et l’embrasse avec passion et à pleine bouche. Camille a les yeux écarquillés de surprise. Elle le repousse sans grande conviction.
– T’es con, qu’est ce qui t’arrive. Et puis Thomas (c’est moi!) pourrait arriver d’un moment à l’autre!
Et là, Rémi me plante un couteau dans le dos! Il savait Camille ultra sensible aux baisers dans le cou, je lui avait confié un soir lors de nos discussions de mec sur nos exploits sexuels. Il se jette tel un vampire sur le cou de Camille et la couvre de baisers et la lèche langoureusement. J’aurai pu mettre un terme à tout cela mais je ne bouge pas d’un cm. Je regarde comme hypnotisé par ce spectacle qui me fait déjà bander. Au bout de quelques secondes de ce traitement, la volonté et la résistance de Camille ne sont qu’un lointain souvenir et ce ne sont pas ses « Non il faut pas » coupés de soupirs de moins en moins bien contenus qui trompent qui que ce soit. Déjà; Rémi passe à l’action. Tout en continuant à l’embrasser, il fait remonter la jupe sur les hanches et malaxe les fesses de ma belle. Il écarte délicatement son tanga de dentelle rouge sur le côté et commence à caresser l’intimité de ma princesse. Soudain, il glisse un doigt et entame tout de suite ses va-et-viens sous des gémissements plus du tout contenus. Un deuxième viens le rejoindre. Les mouvements sont frénétiques et ma belle petite brune ne va pas tenir bien longtemps à ce rythme. Soudain, elle semble reprendre ses esprits et repousse sa main, se retournant vers le plan de travail (donc dos à moi!)
-Arrête c’est pas bien.
Là encore, tu sais être bien plus convaincante ma chérie! Rémi le voit bien et le revoilà qui se plaque contre les fesses de Camille et qui reprend son travail de sape de la volonté de ma douce en l’embrassant de plus belle dans le cou. Là encore, toute résistance s’effondre. Il sort en quelques seconde sa queue d’une belle taille et la plaque entre les fesses de Camille, se contentant de se frotter à elle, en même temps qu’il fait passer au dessus de sa tête le nœud de son haut. libérant sa splendide poitrine qui trône fièrement du haut de sa petite trentaine d’année, il est vrai bien tenue par un superbe soutien-gorge coordonné au bas. Voila qu’il malaxe ses seins qui ont de plus en plus de mal à rester dans ce bien frêle vêtement. Ma belle a repris ses soupirs de plaisirs mais soudain, il lui impose se se pencher en avant d’une main ferme alors que de l’autre, en un éclair, il descend à mi cuisse son tanga et s’empale en un éclair dans sa chatte que je devine bien humide. Camille en a le souffle coupé. Rémi la lime sans ménagement et je sais par expérience que Camille aime les étreintes beaucoup plus douce. Peu importe, il lui envoie des grands coups de bite dans sa grotte qui arrive tant bien que mal à accepter l’engin. Les couilles de Rémi claquent contre les fesses de Camille qui gémie en prenant garde à ne pas faire trop de bruit pour ne pas m’alerter, me pensant toujours au salon. Au bout d’une petite minute, le sentant déjà venir, elle le supplie de ne pas jouir en elle. Quelques secondes plus tard, il se contracte et déverse en elle une quantité qui semble phénoménale de sperme, venant inonder le vagin de ma belle en nage, les seins, par dessus les balconnets de son soutien gorge. Le salop, non seulement l’a laissé en plan mais en plus s’est vidé en elle, comme il l’aurait fait avec n’importe quelle traînée croisée sur badoo. Le voilà qui se retire en prenant bien soin de laisser une belle traînée sur le joli postérieur de ma belle.
C’est à ce moment précis que je me décide d’intervenir. Faisant mine d’arriver du salon , je leur demande
-Qu ‘est-ce que vous foutez, j’ai faim.
Panique, dans la cuisine. Ma douce n’a que quelques secondes pour s’ajuster. et faire mine de rien pendant que je passe la tête par la porte entrouverte.
-Bon on bouffe!
Sitôt dis, sitôt fait; tout le monde sur le canapé.
Camille n’avait pas trop faim. Elle ne cessait de gesticuler sur l’assise. Il y a fort à parier que ce qui lui dégoulinait d’entre les jambes devait bien la gêner! Elle nous quitta bien vite ce soir là prétextant être épuisée (tu m’étonnes!) et ne rêvant que d’une bonne douche et de son lit! Elle nous a laissé dans la pénombre, non sans laisser une petite tâche humide sur le revêtement en tissus du canapé. Je ne me suis pas gêné pour lui demander avec quoi on avait tâché le canapé le lendemain! Elle est devenue écarlate!
Inutile de préciser que Camille a largement espacé les occasions de voir Rémi après ça!
Ajouter un commentaire