Je travaille dans un grand bureau paysagé où nous sommes une quinzaine à traiter des dossiers clients chacun sur notre poste informatique. Il y a une bonne ambiance. Nous avons entre 25 et 35 ans et nous nous voyons en dehors du boulot en fonction des affinités de chacun. Moi je sors avec deux collègues filles avec qui je vais en boîte et de temps à autre nous finissons au lit avec l’une parfois les deux en même temps car elles sont bisexuelles. Nous avons aussi dans le groupe deux copains homos qui sortent parfois avec nous. Ils nous ont fait découvrir des lieux branchés LGBT et nous avons apprécié. Je sais que ces deux-là finissent aussi la nuit ensemble de temps en temps. Ils ne s’en cachent pas d’ailleurs le climat étant très ouvert dans ce milieu professionnel jeune.
Chaque année nous prenons un étudiant d’école de commerce qui vient faire un stage de fin d’études de huit semaines avec nous. Et chaque année cela crée une petite tension pour savoir comment le stagiaire va s’adapter et évoluer dans le groupe qu’il ne connait pas car ils sont sélectionnés sur dossier par la patronne qui est une femme d’affaire de 50 ans élégante avec une âme de chef. Elle aime diriger.
L’an dernier nous avions une étudiante, une jeune femme brune à peau bronzée originaire du sud et prénommée Claude. Elle manifesta rapidement une grande volonté d’intégration et répondait rapidement avec intelligence à nos sollicitations. Le premier jour la patronne me l’avait présentée en disant « je vous la confie, ce sera vous son tuteur, faites-lui voir tous les aspects du métier ». C’est le « tous » qui m’intéressa car c’était à moi de définir les limites.
Dès le troisième jour nous sommes allés aux archives dans l’après-midi, voir comment on classait. Elle portait une robe courte. Pendant qu’elle regardait le type de classement utilisé j’étais derrière elle. Je lui mis mes mains sur ses hanches sans qu’elle réagisse. Je lui caressai alors les fesses toujours sans provoquer de réaction. J’ai attendu qu’elle ait fini puis quand elle s’est retournée j’ai mis ma main sous sa robe, sur sa chatte. Je fus le premier surpris car elle ne portait pas de culotte et ma main touchait une agréable touffe bien fournie. Elle me regarda dans les yeux et me dit « je préfère qu’on continue aux toilettes demain pendant la pause déjeuner ». Nous retournâmes aux ordinateurs mais je n’avais pas la concentration adéquate. Le lendemain la matinée fut longue. En quittant le bureau, un peu après les autres partis à la cantine, elle me dit sans me regarder « à tout de suite ».
Elle m’attendait dans l’entrée des toilettes et m’emmena dans une cabine côté ‘Ladies’. Elle se mit nue, me regarda et dit « j’aime baiser dans ces lieux exigus ; vient prend moi ». Je l’ai caressée elle mouilla abondamment assez vite puis me dit « maintenant baise moi ; on a peu de temps ». Je l’ai prise debout par devant et elle a joui rapidement puis s’est accroupie pour me finir avec sa bouche. Une fois rhabillée elle me précisa « ne soit pas jaloux car j’en inviterai d’autres avant la fin du stage ». Je pus observer que ce fût vrai car mes copines filles me dirent rapidement qu’elles aussi avaient apprécié ses initiatives personnelles. Il parait qu’elle suçait très bien les filles aussi.
Avant la fin du stage nous l’avons invitée en boite puis à finir la nuit avec nous. Elle était vraiment douée. Comme appréciation du stage j’écrivis « fais preuve d’une belle adaptabilité ; a une intelligence de terrain et une souplesse psychologique qui lui confère une grande capacité de réussite ».
Cette année la directrice a choisi un nouveau stagiaire qui vient d’arriver. C’est un petit jeune homme androgyne, blond et à la voix aiguë. Il se prénomme lui aussi Claude. Il y a de la tension dans l’air.
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