Je n’avais pas tardé à comprendre que je n’étais qu’un trou où mon mari pouvait se vider les couilles. Pendant nos fiançailles, nous avions fait quelques fois l’amour. J’étais encore vierge et je me demandais ce que ça pouvait faire. Tout ce dont je me souviens de notre première passe, c’est d’avoir eu le souffle de mon mari sur le visage pendant tout le temps qu’avait duré notre accouplement. Je n’avais pas eu d’orgasme et pas de souvenir d’avoir reçu sa semence.
J’avais baissé ma petite culotte et relevé ma jupe et il avait pu s’enfoncer. La fois d’après, mon fiancé avait voulu que je lui montre mes seins et il s’était amusé avec pendant un long moment. Il m’avait tiré sur les mamelons et il avait regardé mes seins comme s’il n’en avait jamais vus. Puis il me les avait embrassés et il m’en avait même mordu les mamelons. Il m’avait ensuite pris de face avant de me demander de me retourner et il m’avait prise en levrette.
Je crois me souvenir que j’avais joui mais je n’en suis pas sûre. La fois d’après, il m’était venu un doute et j’avais vite compris qu’il avait enfoncé son pénis dans mon anus. Je l’avais laissé faire mais je m’étais vite dégagée d’un coup de reins avant qu’il ne s’enfonce dans le bon trou.
Ça ne durait jamais longtemps. Tchac, tchac, tchac et la semence m’envahissait. Ce qui me fascinait chez mon fiancé c’était qu’il s’intéresse à moi et qu’il ait pas mal d’argent. Ce n’était que celui de ses parents mais je pouvais en profiter. Pour célébrer le premier mois de notre rencontre, il m’avait demandé la taille de mes vêtements et il m’avait offert des sous-vêtements. Soutien-gorge aux bonnets sous-dimensionnés, ce qui faisait refluer ma poitrine et petites-culottes fendues pour me permettre de pisser debout, m’avait dit mon fiancé mais c’était surtout pour pouvoir me prendre plus facilement.
Cadeau d’autant plus incompréhensible qu’il m’avait demandé de ne plus mettre de sous-vêtements quand on sortait, pour que mon corps soit plus livre. En effet, il l’était, d’autant plus que ma poitrine avait toujours tombé. On marchait bras dessus, bras dessous et la première fois que mon fiancé m’avait doublée et qu’il s’était arrêté devant moi, je m’étais arrêtés moi aussi et il m’avait dit de continuer à avancer puis il m’avait dit qu’il adore que mes seins bougent. Un peu plus tard, dans la chambre d’un petit hôtel, il m’avait dit qu’il adore que mes seins pendre et pour mieux le vérifier, il m’avait dit de lui faire l’amour et je m’étais agenouillée au-dessus de lui avant de m’empaler sur sa bite.
Je ne savais pas vraiment comment faire et mon fiancé m’avait traitée de conne et il m’avait claqué les fesses jusqu’à ce que j’y arrive. La séance d’après, j’avais dû me masturber. Je le faisais depuis longtemps mais j’avais honte, d’autant plus que ma mère m’avait surprise plus d’une fois. Mon fiancé insistait pour que je le fasse et il me mettait même au défi et j’ai commencé gauchement avant de prendre de l’assurance, tout comme je le faisais chez moi mais sans la honte. J’étais même fière de lui montrer puis après, j’ai demandé à mon fiancer de le faire lui aussi et il a empoigné sa bite. En moins de cinq minutes, il a juté sur moi.
J’allais déjeuner quasiment tous les dimanches chez ses parents et mon fiancé était différent, bien respectueux et pas question de blagues potaches sur le sexe. Il se rattrapait dans la voiture en me ramenant chez moi et il me tripotait la poitrine. Un jour qu’on marchait sur le boulevard, il m’a entraîné vers le kiosque et il a demandé au vendeur un exemplaire de Playboy et une autre revue dont je ne connais plus le nom et il a tourné les pages devant mes yeux en me disant qu’il aime les belles filles puis il avait ajouté qu’avec moi c’est mieux parce qu’il peut toucher.
Il tournait les pages d’une main et son autre main, il l’avait glissé sous ma robe et il me masturbait puis une fois arrivé dans le petit chemin où j’habitais, il m’avait culbutée sur le capot de sa voiture.
L’autre revue était bien plus explicite et il y avait des photos de lesbiennes que je ne pouvais éviter de regarder pendant que mon ami me prenait. J’avais un lecteur de cassette vidéo que j’avais récupéré chez mes parents et quand mon fiancé est arrivé avec des cassettes, il a voulu qu’on les regarde et j’avais vu des femmes faire l’amour ensemble. Je dois avouer que j’étais troublée et que ça me faisait vraiment mouiller, ce que mon ami a remarqué quand il m’a prise.
Ça m’a fait du mal parce qu’il m’a proposé de baiser avec son ex. Il ne m’avait jamais parlé d’elle et d’ailleurs, j’ai refusé ce que je finirai par faire plus tard en tant que femme mariée. Ma belle-mère m’avait à la bonne, ce qui ne l’empêchait pas de me mettre la main au cul. Au bout d’un an de fiançailles, mes beaux-parents ont décidé qu’il était temps qu’on se marie.
Nous étions à peine sortis de l’église que mon mari m’a dit qu’il a envie et il m’a prise derrière une baraque sur le parking. Comme d’habitude, ça n’avait pas été très long : Tchac, tchac, tchac prend ça salope et ça avait été fini. Après ça, il y avait eu le repas et nous nous étions quittés sur les quatre heures pour prendre la route et notre voyage de noces en bord de mer. C’est là que j’ai commencé à comprendre que mon mari était un vrai lapin. En deux cents kilomètres nous nous sommes arrêtés cinq fois pour qu’il tire son coup. Une fois arrivés à l’hôtel, nous avons dîné et après, nous avons recommencé et comme je me suis étonnée de son ardeur, il m’a répondu qu’on est là pour ça et pendant toute cette semaine, nous n’avons passé notre temps qu’à baiser.
Il ne voulait pas que je prenne la pilule et il ne voulait pas mettre une capote et je devais ruser pour déjouer toutes ses manœuvres. Après notre voyage de noces, nous avons habité ensemble chez moi parce que mon appartement était le plus grand. Tous les jours, je rentrais un peu plus tôt que mon mari et quand il arrivait, c’était pour se soulager. Je retirais ma petite culotte en rentrant et je l’attendais et je n’avais plus qu’à me coucher sur la table de la cuisine ou celle du salon pour qu’il me prenne et se soulage.
J’avais fini par y prendre goût de faire la salope. Mon mari tirait son coup et une heure après, il recommençait jusqu’à ce qu’on passe à table puis après la vaisselle, on continuait jusqu’à ce que je découvre qu’il me trompait. Après notre divorce, je n’ai pas pu me résoudre à l’oublier et nous avons continué à vivre ensemble puis à la suite d’une erreur, je me suis retrouvée enceinte. Mes seins sont devenus énormes et je ne parle pas de mon ventre parce que j’attendais des jumeaux. C’est pendant ma grossesse que mon mari m’a demandé de faire l’amour avec son ex et je continue encore aujourd’hui.
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