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C´était une simple promenade…

C´était une simple promenade…



Bonjour à tous,
il me vient l´envie de vous raconter une aventure qui m´est arrivé très récemment, la semaine dernière pour être précis.

Il était encore tôt le matin, 7h00, peut-être 7h30. Réveillé comme chaque jour par mon chien, je me lève rapidement pour l´emmener faire sa promenade. Un saut jusqu´à la salle de bains pour un petit pipi, un brossage de dents et l´habillage réglementaire pour sortir jusq´au parc à quelques rues de chez moi ; rien d´extraordinaire, un pantalon léger, un petit pull et les premières baskets qui me tombent sous la main.

Nous nous dirigeons donc vers le petit parc, où je libère l´a****l qui s´en va immédiatement à ses occupations. J´allume une cigarette et je le regarde jouer au loin. J´entends des bruits de pas derrière moi, des talons hauts si mon audition ne me trompe pas. Je me retourne, et en effet une jolie femme, d´environ la quarantaine, accompagne sa fille à l´école.
Nous avons l´habitude de nous croiser le matin et nous echangeons un sourire poli. Mais ce jour-là, j´eus comme l´impression que ce simple échange était un peu plus que poli.

Sans doute me faisais-je des idées, il faut dire que j´avais déjà imaginé auparavant m´envoyer en l´air avec cette beauté, mais jamais nous n´avions vraiment communiqué autrement que par un regard, un sourire ou un simple sourire. Oui, je devais sans doute me faire des idées ; elle s´éloigne lentement, jusqu´à sortir de mon champ de vision et je termine ma cigarette en espérant que mon chien revienne rapidement vers moi pour retourner dans la chaleur de mon chez-moi, voire mêe de mon lit. En effet, je n´avais pas grand chose à faire ce jour-là, et mon épouse était déjà partie travailler.

Quelques courtes minutes plus tard, alors que je mettais en laisse l´a****l, une voix féminine m´interpelle ; je me retourne, elle n´était autre que cette jolie maman aux talons hauts. Elle avait belle allure dans son tailleur, on jurerait avoir à faire à une véritable « working-girl ». Il n´en était cependant rien, je le savais déjà pour l´avoir souvent croisé à toute heure de la journée, en tenue de détente, que ce soit avec ses amies ou sa fille.

Nous nous saluons donc et elle me demande poliment si je suis français. Je ne suis guère surpris : dans le quartier, à peu près tout le monde sait d´où je viens. Il faut dire que je vis dans un quartier très populaire de Lima au Pérou, et les « gringos », et à plus juste titre encore les français, ne sont pas légion. Je suis donc assez « connu » par ici.
Elle m´explique donc qu´elle pense voyager en France dans les mois á venir et qu´elle aimerait me demander quelques conseils et renseignements qui pourraient lui être utile. Elle m´invite donc à prendre le petit déjeuner chez elle pour discuter, ce que j´accepte avec plaisir.

Nous nous rendons tous les trois (avec mon chien !) jusqu´à sa maison, une modeste maison pas bien finie, mais à la décoration charmante bien que très sommaire. Je libère l´a****l et m´assoit sur son sofa, pendant qu´elle se rend à la cuisine préparer un café et le petit déjeuner.

Les idées se bousculent dans ma tête : dois-je tenter le coup ? Serait-elle prête à s´envoyer en l`air avec moi de bon matin ? ou tout simplement veut-elle me poser quelques questions sur la France ?

Elle revint rapidement et s´assit à mes côtés. Son sourire était radieux, d´une blancheur d´une pureté exceptionnelle qui contrastait à merveille avec ses longs cheveux d´une noirceur infinie. Ses grands yeux noisettes semblaient me dévorer et sans perdre de temps, elle m´annonça, dan un français approximatif que son accent latino rendait tellement délicieux :

– « Tou m´excites beaucoup tou sais… Yé très envie dé toi »

Paroles qu´elle accompagna d´un geste on ne peut plus équivoque : elle posa sa main sur mon entrejambe. Elle dut probablement sentir immédiatement que je ne portais pas de caleçon, et dans un mouvement d´une provocante sensualité, elle me caressa lentement la bite. Je ne tardais pas à être dur comme le bois, bouche bée.

Elle se leva alors, relanchant la pression sur ma tige en feu, et quitta sa veste. Le chemisier qu´elle portait peinait à cacher les deux seins qui me semblaient énormes. Une seconde plus tard, ce chemisier était déjà par terre et les obus à l´air libre.

– « te gusta papito ? » me demanda-t-elle pour m´allumer. « Les quieres chupar ? »

Ni une ni deux je me levais et la poussais sur le canapé. Mes mains et ma bouche satisfèrent ma curiosité, jamais je n´avais profité de seins aussi gros et fermes, quel délice ! Ses tétons étaient tendus à l´extrème et me semblaient très sensibles à en croire les gémissements qu´elle poussait à chacun demes coups de langues. Je me délectais de ce festin de chair tout en essayant de retirer mon pantalon.

La queue enfin libre, je l´approchais de sa bouche. D´un geste sûr et expert, sa langue vint la caresser de tout son long. De la base jusqu`au gland, ma sexe se retrouvait trempé en un coup de langue !
Elle s´attarda un peu sur le bout de ma bite, alternant coups de langue et succion modérée. Je sentais ma bite se gonfler encore et encore, quel pied !
Elle m´enfonça dans sa bouche et commença de longs et lents va-et-vients, sans me quitter du regard.

Je ne la voyais plus comme une jolie femme, mais comme une véritable salope dans laquelle j´allais décharger tout mon foutre.

Je lui imposai maintenant le rythme en bougeant d´avant en arrière mon bassin, ce qui ne semblait pas la perturber. Ma bite s´enfonçait sans peine au fond de sa bouche, et de lons filets de bave s´écoulaient d´entre ses lèvres charnues.

– « Me quieres venir en la cara papi ? » me dit-elle, m´invitant à me laisser aller sur son visage.

Ces quelques mots me troublèrent ; Moi, qui ai l´habitude de penser au plaisir de ma partenaire avant le mien, je ne désirais plus qu´une chose : décharger mon sperme sur son visage de chienne en chaleur.

Elle accéléra alors la cadence, j´étais prêt de l´explosion et elle le sentit. Elle attrapa mon sexe et me branla avec force, le gland posé sur ses lèvres. Moins d´une minute plus tard, dans un profond râle, je lachais tout. De longues et blanches giclées de sperme chaud se répendirent sur son visage, et ses yeux qui me fixaient profondemment… j´étais au paradis…

– « Anda a tu casa papito, bañate y ven a visitarme cuando quieres ».
Cette invitation, je ne m´en suis pas encore servi, mais je peux vous assurer que ça ne saurait tarder : je meurs d´envie de goûter á sa délicieuse chatte que je n´ai pas encore vue ni touchée, et je sens que nous avons beaucoup de choses à faire encore encore pour nous amuser ! Je vous raconterai sans doute !

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