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après la colo

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Après la colo

J’ai été animateur en colonies de vacances assez tard, à 25 ans. J’ai eu à occuper avec une animatrice un groupe de préados entre 12 et 14 ans.

Après ce premier séjour dans les cévènnes, certains enfants voulaient échanger nos adresses. Je l’ai fait volontiers en me disant que je ne ferais pas la démarche d’écrire le premier, que mes réponses seraient banales.

Comme l’animatrice et moi revenions l’année suivante, certains – comme Frédéric – sont revenus encore et encore. Je les ai vus grandir, jusqu’au premier camp pour adolescents entre 16 et 18 ans que voulait organiser le directeur de l’association.

Lors de ce premier camp, un soir lors d’un spectacle – que je trouvais insipide pour des adolescents – je voyais Frédéric assis à côté de moi qui n’allait pas très bien. Pensant qu’il était malade, je lui propose de sortir.

Arrivé sur le parvis de la salle, en pleurs, il met ses bras autour de mon cou en disant :

« Je t’aime plus que mon père ! »

Je l’invite à me raconter ce qui ne va pas. Il me raconte que ses parents sont en plein divorce, que sa mère l’implique dans leurs histoires d’adultes. Cette nuit là, il dormit entre l’animatrice et moi dans notre tente.

Ce fut la dernière animation que je fis, bien que nous ayons gardé des liens entre quelques ados. Il y a eu même quelques réunions avec l’animatrice dans la ferme que j’occupais dans l’Ouest de la France.

Parmi les lettres reçues, il y avait celle de Frédéric qui m’annonçait qu’il avait réussi son permis de conduire, mais aussi qu’il avait trouvé du travail dans la région parisienne. Comme il ne connaissait personne, il me demanda s’il pouvait venir passer quelques week-ends chez moi.

Il fut convenu que j’irai le chercher à la gare située à 10 km de chez moi, le vendredi soir et le raccompagnerai le dimanche soir.

Le premier week-end de sa venue, comme convenu, je l’attendais à la gare Il arriva à l’heure avec son sac de voyage. Nous étions contents de nous revoir, alors quelques bises s’imposèrent.

Arrivés à la ferme, je lui indiquais que j’avais installé dans ma chambre un matelas par terre pour qu’il puisse dormir. Après le repas et quelques heures de discussions, nous sommes montés dans la chambre. Comme d’habitude, je me suis couché nu en prenant soin d’enlever mon slip sous les draps, ne sachant pas sa réaction de me voir nu. En se déshabillant, je pus voir son corps assez maigre, ses fesses rondes, alors que son visage était quelconque Il se glissa en slip dans son lit. Chacun dans son pieu, nous lisions avant l’extinction des feux.

Le lendemain matin je me suis levé le premier. Le lever du jour diffusait une douce lumière à travers les rideaux. Frédéric semblait encore dormir. Je suis sorti de son côté à poil avec une demi molle du matin, ramassant mon slip à terre, me suis retourné face à son lit pour le remettre et m’habiller.
Je suis descendu préparer le petit déjeuner. Frédéric est arrivé quelques minutes après. Je lui dis :

« Je croyais que tu dormais lorsque je me suis levé ! As-tu bien dormi ? »
« Pas trop mal » me répondit-il.

Je me posais la question de savoir si il m’avait vu à poil. La journée s’est passée à se rappeler les souvenirs des colos.
Le soir venu au moment du coucher, alors que j’étais déjà sous les draps, Frédéric encore en slip me demanda :

« Je voudrais dormir avec toi ! »

Surpris, je luis répondais

« Tu sais je dors à poil »
« Je sais je t’ai vu ce matin te lever. Et puis moi aussi ».

Sans attendre il fit tomber son slip et se glissa dans mon lit. J’eus juste le temps d’apercevoir ses poils sombres de son pubis, son sexe circoncis au repos sur ses boules.
Il se colla tout de suite à moi. Face à face, nos sexes ne tardèrent pas à gonfler au contact l’un de l’autre. Nous nous enlacions, caressions le corps l’un et l’autre. Dans ses mouvements, je sentais son inexpérience en la matière. Je décidais de l’initier.

Je le mis sur le dos, son corps était tendu. Je virais la couette. Je me couchais sur lui, ma bouche embrassant son cou de baisers tendres, descendant doucement vers ses petits tétons que je commençais à suçoter l’un après l’autre faisant tourner le bout de ma langue autour, les tétant comme un bébé. Aux gémissements qu’il émettait, j’étais sur la bonne piste, au bon endroit.
Je continuais mon exploration linguale jusqu’au nombril, puis un peu plus bas afin que mon menton touche son gland. Son sexe était dur comme du bois. Je ne voulais pas aller trop vite afin qu’il n’éjacule trop tôt, j’avais d’autres plaisirs à lui faire découvrir.
Je remontais doucement vers ses tétons que mes doigts continuaient de titiller, pour revenir sur son cou, vers sa bouche qu’il m’offrit. Nos langues se rencontrèrent, se caressaient, comme des serpents qui joutent.
Décidé cette fois à aller goûter son membre, je descendis de nouveau sans oublier au passage ses tétons. Arrivé à son sexe, je commençais à le sucer comme une sucette, juste le bout que l’on serre entre ses lèvres. Il y avait déjà un petit goût salé. Ma langue contournait le collet, en revenant sur le frein et finir en le prenant en bouche.

Mes mains ne restaient pas inactives, elles caressaient le pli de l’aine, ses testicules, l’intérieur de ses cuisses qu’il écartait au fur et à mesure du plaisir qu’il ressentait, comme s’il m’offrait le passage entre ses fesses. Devant une telle demande, ma langue longea sa verge qui était comme je les aime, c’est-à-dire ni trop longue, ni trop épaisse – aussi dure qu’un piquet, pour arriver sur ses testicules remontées au maximum. Je les léchais, avant de les introduire dans ma bouche. A ce moment, Frédéric se raidit, soulevant son bassin, comme s’il allait tout lâcher. J’ai arrêté momentanément pour m’occuper de ses cuisses. Je les écartais le plus possible pour y passer ma tête pour lécher son périnée. A cet instant ces cuisses furent prisent d’un frisson. Sans tarder, je remontais sur son sexe que cette fois j’engloutis entièrement en faisant un mouvement de va et vient jusqu’à toucher sa toison. Ma salive abondante et tiède faisait glisser son sexe jusqu’à ma gorge. Je me doutais qu’à ce régime il ne tiendrait pas longtemps. En effet, je sentis son corps se raidir, son souffle s’accélérer. A peine me suis-je retiré que plusieurs jets de sperme atterrirent sur son torse, et son ventre.

Ayant retrouvé son souffle, je voyais un sourire de plénitude sur son visage. Avant de se lever pour aller dans la salle de bain se laver, il me roula une superbe pelle. Je profitais de son absence pour me branler. A son retour, en rentrant dans le lit, se collant à moi, il me dit que c’était la première fois qui prenait autant de plaisir, qu’il était désolé de ne pas avoir été plus participatif. Je répondis que j’avais pris autant de plaisir à lui faire découvrir ces émotions, qu’il y en aurait d’autres à explorer.

Nous nous sommes endormis l’un contre l’autre. Dans la nuit, je rêvais qu’une main était posée sur mon ventre, une autre s’amusait avec mon sexe au repos, roulant le prépuce entre ses doigts, le tirant juste ce qu’il fallait pour dégager le bout de mon gland, faire tourner son indexe sur le bord de la peau, passant sur le dessus du gland, s’arrêtant à l’entrée de l’urètre. J’étais aux anges lorsque cette main passée entre mes cuisses tirait sur mes boules pour me décalotter au maximum.

Je me suis mis sur le dos pour que mon rêve se poursuive dans une autre position.
Je repoussais de mes pieds la couette pour ne pas gêner ces mains inconnues. Peut être la fraîcheur du matin, mais j’ai ouvert légèrement les yeux, le jour pointait, mais surtout ces mains étaient celles de Frédéric. Pour ne pas le déranger, je continuais à faire semblant de dormir. Pensant ne pas être vu, il prenait de l’assurance, sur mon corps mis à sa disposition.
Ses doigts peignaient les poils de mon pubis, d’autres grattaient mes couilles pendantes entres mes cuisses alors que ma verge était tellement raide qu’elle tenait à la verticale toute seule.
Il avait posé sa tête sur mon ventre regardant mon sexe éclairé par les premiers rayons du soleil levant. Toujours les yeux mi-clos, je me demandais ce qu’il allait improviser. Il fit basculer ma verge sur mon ventre juste à côté de sa bouche. Juste avec le bout de sa langue, il lécha le haut de mon gland d’où perlait un peu de suc salé. Il ne devait pas trouver cela mauvais, pour avancer sa tête un peu plus afin que mon gland soit entièrement à l’intérieur. De temps en temps, il le recouvrait de mon prépuce pour jouer avec sa langue, puis le découvrait de nouveau à fond pour que sa langue puisse faire le tour du collet, passer sur le frein, revenir sur l’urètre.
Je pensais qu’il avait bien retenu mes leçons. Avec un tel traitement, je me suis étiré un peu plus en écartant mes jambes. Il y plongea sa tête comme un petit a****l dans le creux d’une fleur pour y recueillir le nectar. Il recherchait mes boules pour les gober. Cette position faisait que mon sexe était coincé sous son menton, et à chaque mouvement frottait sur sa barbe d’un jour. Cela me produisit un effet auquel je ne m’attendais pas, ce qui me fit émettre un gémissement à chaque passage. Il revint sucer mon gland en masturbant mon sexe. Voyant mes jambes se relever en rythme avec mes fesses, il savait que l’extase était proche. Il se retira, fini ma masturbation jusqu’à ce que des jets de sperme jaillissent pour maculer mon ventre. Il tourna la tête pour regarder l’expression de mon visage à ce moment. Il vit mes yeux grands ouverts et me dit :

« Tu étais réveillé « ?
« Au début je croyais à un rêve. Lorsque je t’ai vu, j’ai fait semblant de dormir pour ne pas te déranger. Tu te débrouilles vachement bien pour un débutant. »

Le week-end s’est déroulé en ballade, discussions sur les anciens de la colo, si il avait eu des aventures avec certains. Il avait en avait revu deux avec qui il avait pratiqué des branlettes collectives sans plus.
Le dimanche, je l’ai raccompagné à la gare. Avant de partir, il me remercia de cet excellent moment, qu’il m’appellerait pour me dire quand il pourrait revenir.

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