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Hommage à Loupafemmes (1)

Hommage à Loupafemmes (1)



Lou n’aime pas les grandes surfaces. Elle a l’impression d’y perdre du temps. Pourtant, ce soir, après une longue journée de travail à l’agence immobilière, elle a quelques achats à faire. Aujourd’hui, ses clients ne lui ont pas laissé de répit. Six appartements à faire visiter dans le quatorzième arrondissement. Dans le premier logement, son client a tenu à recevoir une gorge profonde en bonne et due forme. Dans la seconde habitation, quelques rues plus loin, elle s’est faite prendre comme une putain contre le lavabo de la salle de bains. Dans le troisième logis, son client a souhaité la sodomiser, ce qu’elle s’est empressée d’accepter.
Puis la pause-déjeuner est arrivée. Dans le restaurant, Lou a joué du talon, du croisement de jambes et du crissement de nylon. L’après-midi, le marathon des visites et des coups de bites a repris. D’autres clients, d’autres envies à satisfaire, d’autres queues tendues face à sa bouche gourmande jamais rassasiée, d’autres verges prêtes à s’insinuer dans son cul tentateur.
Il faut dire que Lou a mis le paquet pour être sûre de se faire baiser aujourd’hui. Que ses clients la traitent de putain, de garce, de salope, cela lui convient très bien. Elle a opté pour une chemisier blanc tendu sur ses seins, une jupe noire courte façon crinoline qui ne cache pas grand-chose de ses bas couture noirs et de ses jarretelles. Pour compléter sa tenue, des Louboutin aux talons aiguilles de treize centimètres. Un pied divinement cambré et assorti d’une chaîne de cheville. Lou n’a pas besoin de beaucoup se pencher pour qu’on se rende compte qu’aucune pièce de lingerie ne barre l’accès à sa chatte trempée depuis ce matin.

Ses talons claquent sur le parking de l’hypermarché, éveillant l’intérêt d’un jeune homme en survêtement qui en oublie son caddie. Lou gagne rapidement l’entrée du magasin, se dirige vers le rayon des surgelés après avoir flâné un peu dans la galerie marchande. Dans l’allée, entre les bacs à la température polaire, un magasinier s’affaire, vidant une palette de cartons de pizzas. Ce n’est pas ce que cherche Lou. Il lui faut des cornets de glace. Mais à la façon dont la scrute l’employé, elle en oublie un peu l’objet de sa quête.
Tournant le dos au jeune homme, la bourgeoise se baisse comme si elle voulait ramasser quelque chose au sol. Elle en profite pour ajuster un peu ses bas. Le magasinier en oublie sa palette et s’approche d’elle.
– Bonsoir, vous cherchez un produit en particulier ?
– Bonsoir, j’avais besoin de glace mais je crois qu’il me faut plutôt de la chaleur. Je sais que vous pouvez m’aider.
– Je, euh…
– Soyez pas timide. Vous avez envie de vous taper une bourgeoise, n’hésitez pas.
Lou joint le geste à la parole en pressant sa main contre l’entrejambe durci de l’employé. Le jeune homme jette un œil vers la réserve.
– Suivez-moi.
Le couple passe la porte automatique. Là-haut, la caméra s’est arrêtée sur les mollets de Lou. Le magasinier est trop heureux de conduire sa salope vers le fond de l’entrepôt. Il est sûr qu’ils ne seront pas dérangés.
Lou prend place sur une chaise, écarte et relève les cuisses. Une attitude totalement naturelle. L’employé a compris le message et s’agenouille, avançant la langue vers la chatte bien mouillée de sa promise. La cyprine dégouline sans discontinuer d’autant plus que Lou presse la tête de son amant. Grandes lèvres, petites lèvres, clitoris, tout y passe. Au plafond de l’entrepôt, une autre caméra a pris le relais et se concentre sur les plis que font les bas couture de Lou.
La chatte et le cul trempés, la garce a envie de consistance. Elle invite son compagnon de baise à se relever. De ses longs ongles vernis, elle s’attaque à son pantalon et extirpe une belle queue prête à être sucée.
Sa langue s’attarde lentement sur le méat, arrachant des gémissements de bonheur au manutentionnaire. Puis elle descend le long de la hampe avant de s’affairer sur les couilles gonflées. Lou remonte ensuite, lèche le gland avant de gober l’intégralité de la bite tendue. Un filet de salive vient s’abattre sur le sol de béton brut. La bourgeoise renouvelle l’opération en accélérant le rythme. Elle adore qu’on baise sa bouche de putain, que la bave dégouline en longs filaments. Un tempo infernal qui met l’homme au supplice. Il se retire à temps.
– T’as failli me faire jouir ! lâche-t-il entre deux souffles.
Lou se met debout, flatte la bite palpitante et prend appui contre un mur.
– Baise-moi mon salaud.
La verge du magasinier rentre sans effort dans la moule fiévreuse et commence à la pilonner.
– Défonce-moi ! Plus fort !
L’homme s’agrippe à ses hanches, à ses jarretelles et ne diminue pas la cadence. Parfois, il s’autorise un bref ralentissement afin de reprendre son souffle. Jamais il n’a eu affaire à une telle salope. Celle-ci a d’ailleurs envie de quelque chose de plus conséquent. Elle abandonne le mur et se positionne à même le sol sans craindre pour le fin nylon de ses bas.
– Je te veux entre mes fesses, fait-elle, haletante.
L’employé s’exécute. L’anus de Lou est très dilaté. Le magasinier s’enfonce centimètre par centimètre dans le cul fiévreux.
– Vas-y, laboure-moi !
Le manutentionnaire grogne de plaisir. Il entreprend un va-et-vient régulier. Lou ne retient plus, ses gémissements, ses cris. Elle creuse les reins afin que son amant s’enfonce encore plus. L’employé s’emboîte jusqu’aux couilles. Il ne prête aucune attention à la silhouette qui arrive dans son dos.
– Je vois qu’on s’amuse bien ici !
Le magasinier sursaute mais poursuit son labeur. Pas le moment de s’arrêter. L’homme qui l’a apostrophé est un vigile. Ni une, ni deux, celui-ci sort sa verge déjà dure devant la bouche ouverte de Lou. La putain des beaux quartiers l’avale intégralement sans sourciller. Encore une fois, la putain des beaux quartiers bave beaucoup. Ce sont des centilitres de salive qui atterrissent au sol en filaments épais. L’agent de sécurité y va aussi de ses critiques élogieuses alors qu’il continue de baiser le bouche de la bourgeoise :
– Quelle pute ! Quelle putain ! Je vais décharger !!!
Le vigile se vide sa semence épaisse et chaude sur le visage de Lou, surprise par la puissance du jet. Dans son dos, le manutentionnaire ne se retient plus et décharge son foutre sur les fesses charnues de la salope. De longs jets qui viennent s’abattre jusqu’au creux de ses reins.
Plus que satisfait, l’employé et le vigile remballent leur matos. Au sol, une grande flaque. La jouissance de Lou.

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