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Première expérience en tant qu’

Première expérience en tant qu’



/!\ ATTENTION /!\
Texte très explicite pouvant choquer !

Première expérience en tant qu’esclave

Voilà, Le jour J arriva et je du me rendre à la maison de mon futur maître. J’avais signé un contrat et j’allais devenir un esclave pendant quinze jours. Ce contrat très stricte stipulait que si j’avais le malheur de me plaindre, ma maison et ma voiture appartiendrait aussitôt à mon maître.

Je suis sur le bas de la porte et je sonne, une charmante dame me fait entrer, elle devait avoir la vingtaine, de longs cheveux noirs, une nuisette transparente et elle ne portait pas de chaussures, très jolie.
Une fois dans le hall d’entrée, elle me pria de me mettre nu et de lui remettre mes vêtements et mes affaires personnels, elle mis mon portefeuille et mes clefs dans un petit sac, me signalant que je les récupérerai à la fin du séjour .
Nous continuâmes à avancer jusqu’à un salon où la cheminée fonctionnait, la femme qui m’escortait, jeta mes vêtement dans le feu.
Je fus surpris, car la destruction de mes affaires personnels n’était pas précisé dans le contrat, mais je me retins de me plaindre. J’étais nus et mes vêtements n’existaient plus, la sensation de commencer à devenir vulnérable me plaisait.
Une deuxième femme, la même allure que la première, se présenta dans le salon.
– Scintia, conduit le dans sa nouvelle maison.

Elle m’ordonna de la suivre, nous descendîmes dans une grande cave où il y avait une cage immense au centre.
– C’est ici que tu habites désormais.

Je ne répondit pas, mon contra m’interdisait de parler sauf si l’on m’en donnait l’ordre. J’étais devant la cage, elle m’ôta mes menottes et je senti un coup de de pied nu sur mes fesses qui me propulsa en dans la cage, je du me retenir pour ne pas tomber pendant que Scintia referma la cage derrière moi.

Le sol de la cave paraissait très sale et mes pieds était recouvert d’une sorte de suie, j’avais la marque du pied de Scintia imprimé sur une de mes fesses.
Il devait être 18h et cela faisait une demi heure que je patientais dans cette cage.

Scintia, accompagné de celle qui m’avait ouvert la porte, se présenta devant les barreaux de ma cellule.
– Couche toi ventre à terre, ordonna Scintia.

Je m’exécutais, elle me menotta les mains derrière le dos et je reçus un petit coup de pied dans les côtes en guise de cadeau.
– Vas y Mara, tu peux lui mettre.

Scintia me maintenait le bas du dos avec son pied, comme pour me maintenir écrasé au sol, cela me donna un début d’érection, j’avais le sexe comprimé entre mon ventre et le sol qui était gelé.
Je senti un liquide froid sur mon anus, Mara m’ introduisait son doigt pour me lubrifier puis m’inséra un plug anal, elle le relia à une ceinture autour de ma taille, pour qu’il ne puisse être retiré, aussi elle m’enchaîna la cheville au mur.
– Tu ne pourras plus faire caca jusqu’à nouvel ordre, me dit Scintia.

Les deux tortionnaires quittèrent la pièce.

Voilà au moins deux heure que j’attendais dans la prison, il ne devait pas être loin de 21h.
Je commençais à regretté de ne pas avoir fait la grosse commission avant de venir.

Je vis arriver Scintia et Mara accompagnées de deux silhouettes derrières elles, un homme agé d’au moins soixante ans, bien conservé et une femme, une superbe métisse aux cheveux blonds, vêtue d’une nuisette, une cravache à la main.
– Voici le boss, dit Scintia, c’est à lui qu’ira ta maison si tu montre un signe de refus.

Le boss prit la parole.
– Tu te trouves ici pour mon plaisir uniquement, ces femmes m’obéissent au doigt et à l’oeil, aussi ne manqueront elles pas de ma rapporter la moindre de tes plaintes ou désobéissances. Tu vois cette maison, c’est une des nombreuses demeure que j’ai gagné grâce à mes contrats d’esclave, jusque maintenant personne n’a tenu quinze jours. J’espère que tu seras plus résistant que les autres. Vanessa tu peux commencer.

La blonde à la peau brune entra dans la cage armée de sa cravache, elle me tapota la joue et me fit mettre sur le dos.
Les deux autres filles entrèrent à leur tour, Scintia plaqua son pied nu sur mon front et Mara m’écrasa le sexe avec son pied. Vanessa prit place au milieu, j’avais mon nez entre ses fesse et ma bouche juste sous son anus. La pression qu’exerçait le pied sur mon front me faisait mal à l’arrière du crane qui était contre le sol en béton, mais sous le regard du boss je n’osai bouger.
– Il est 21h30 et tu n’as rien mangé depuis ton arrivée, n’as tu pas faim ? Demanda Vanessa sur un ton ironique.

J’avais une idée de ce qui allait suivre, elle lâcha un « prout, proooouuuut, prout ! » Son anus s’ouvrait et se refermait comme un ballon de baudruche qui se dégonfle, une odeur nauséabonde me remplit les narines, je m’efforçais de garder mes yeux ouvert.
Je vis son petit trou se bomber et se transformer en cratère, une tête d’œuf tout brun se pointait et se transformait en grosse saucisse à mesure qu’il sortait. La cravache sous le nez, j’avais obligation de garder la bouche ouverte, l’étron puant atterrit droit dans le fond de ma gorge, ma bouche était remplie.
Vanessa mit sa main sous ma mâchoire pour me fermer la bouche.
– Avale ! Me dit elle.

J’avais vraiment du mal, le goût acre me donnait envie de vomir, mais je ne pouvais ouvrir la bouche. J’avalais la merde d’un coup, je la senti passée toute entière dans ma gorge. Vanessa me bâillonna la bouche et se retira, les deux autres femmes la suivirent, le boss s’approcha.
– J’espère que ce premier soupé t’a plus, car tu mangeras la même chose pendant toute la durée de ton séjour.

Il me cracha dessus, referma la porte de ma cage et disparu.

J’étais dans le noir, assis sur le sol froid et crasseux de la cellule, mon cul et ma bouche étaient maintenant scellés, il devait être minuit et malgré ma forte envie de défecer, je devais trouver le sommeil affin d’affronté la prochaine journée de torture qui suivrait.

Jour 2

Je fus réveillé à 9h par Mara, elle entra dans la cage pour me débâillonner et se remonta à l’étage. Cinq minute plus tard, Scintia se présenta un bol à la main, elle le posa à terre et urina dedans. Elle fit passer le bol sous la porte.
– Voici ton déjeuné, tu as intérêt à ce qu’il soit vide quand nous reviendrons, dit elle.

Je me mis à genou et me pencha en avant, je mis ma langue dans le liquide jaune, cela avait un léger goût salé, habitué des jeux uros, je bus le liquide encore tiède sans en laisser une goutte.

A midi, le boss accompagné de Mara, Scintia et Vanessa, descendit à la cave, toutes trois ainsi que le boss étaient entièrement nus. Mara portait une bassine remplie d’excrément qu’elle posa sur le sol. Scintia expliqua qu’elle contenait tout le caca que les trois femmes avaient fait depuis deux jours.
– Procédez, nous allons commencer le remplissage, dit le boss.

On me plaça sur le dos, Scintia et Mara m’écartaient les jambes et le boss me soulevait le bas du dos, Vanessa posait ses deux grosses fesses sur mon torse et me bâillonna de nouveau.
Le boss, déverrouilla ma ceinture et m’ôta le plug anal, mon anus en restait dilaté. Il saisit un étron qui se trouvait dans la bassine et me l’enfonça dans l’anus à la main, il en pris un deuxième et ainsi de suite.

La bassine était presque vide mais plus rien ne rentrait, j’avais le colon rempli, je débordais de merde. Je ne m’étais pas vidé depuis la veille, les nouveaux étrons compressaient mon caca qui n’était pas encore sortit. Le boss, après quelque effort réussi à me remettre le plug, j’avais mal, au ventre et à l’anus.
Vanessa me pissa au visage, l’urine pénétrait dans mes narine et j’avais du mal à respirer avec la bouche entravée.
– Amusez vous les filles, dit le boss en dépliant une chaise.

Scintia et Mara me piétinaient le ventre. Vanessa se leva et m’écrasa le visage avec son pieds nus dont la plante était noircie par la crasse, son orteil m’écrasait littéralement le nez, j’entendis un craquement de cartilage, j’eus l’impression qu’il était cassé.
Elles me pétrirent tout le corps de la sorte avec leurs pieds pendant un bon quart d’heure, sous les yeux du boss qui regardait le spectacle.

Les filles n’avaient pas encore été au toilette de la journée, elles étaient toutes bien chargées. Le boss me débâillonna, pendant que les trois femmes attendaient en file indienne derrière ma tête, j’étais toujours allongé au sol sur le dos.

Vanessa pris place la première, au dessus de ma bouche, elle chia un étron assez gros et dur, je mâchait et j’avalais puis je lui léchait le pourtour jusqu’à ce qu’il soit parfaitement propre.
Elle se releva pour laisser place à Scintia qui me remplit la bouche, j’eus du mal à avaler tout mais je réussis.
C’était le tour de Mara, elle chia un colombin d’une grosseur et d’une longueur peu commune, je pus en avalé un bout mais pas plus, ma bouche et mon estomac étaient déjà remplis.
Le patron ce leva et poussa la merde avec sa main au fond de ma gorge, je crus m’étrangler. Il prit la merde qui débordait et me la mit dans la bouche puis il me bâillonna.
Ma bouche, mon estomac et mon anus étaient remplis de la merde de ces femmes, tout mes orifice étaient scellés pour éviter que cela ne déborde.

Mon ventre était gonflé d’excréments et sans le plug qui bouchait mon anus, je n’aurais pu me retenir. On me laissa ainsi jusqu’au lendemain, où je fut réveillé à 9h. Scintia et Mara m’attachèrent les bras en l’air, face mur, puis elles attendirent hors de la cage.
Vanessa munie d’un fouet en cuir et le boss entrèrent dans la cave.
– Donne moi le fouet, dit il.

Sans aucune explication, il me lacéra le dos de toute ses forces, j’avais de longues marques rouges et du sang coulait, cela me brûlait atrocement.
Après cette séance extrême, il me détacha et me plaça sur le ventre. Il fit venir les filles pour qu’elles m’urinent en même temps sur le dos, elles visaient délibérément mes blessures, cela accentuait la sensation de brûlure sur mes blessures.
Elles me retournèrent avec leur pieds et me placèrent dos contre le sol, puis elles me piétinèrent. Mon visage et mon ventre étaient malaxés par leur orteils crasseux et suant. La peau de mon dos qui était à vif frottait contre le sol pendant que mon ventre gonflé de merde s’écrasait sous les voûtes plantaires de mes maîtresses. Mon anus était prêt à explosé, c’est à ce moment, que mon esprit bascula.
Je réalisais que je n’était qu’un réceptacle vivant qu’on avait rempli, rempli de merde, je n’étais qu’un baril d’excréments plein à craquer. Cette idée me donna une érection très dur.
Le boss s’approcha et tâta mon sexe.
– Il est bien dur, je crois qu’il a mérité sa récompense.

Il ordonna à Mara de venir me branler pendant qu’il détachait mon plug anal. Dé qu’il le retira, je ne pu me retenir de faire caca. Je chiais, je me vidais de ma merde tout en déchargeant mon sperme chaud au visage de Mara.
On me débâillonna, j’avais encore du caca plein la bouche.

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