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AVEC SIMONE 70 PRINTEMPS

AVEC SIMONE 70 PRINTEMPS



lu sur le net

Les racines de cette aventure débutèrent fin des années soixante. Mes parents venaient d’avoir comme voisin, André et Simone. Un couple de quarante ans, qui devinrent très amis avec mes parents quinze ans plus vieux. Ils avaient une fille Christine, qui avait sept ans à l’époque. Moi j’avais quinze ans et j’étais en pleine puberté. La vue de cette belle femme de quarante ans, me fit tout de suite à fantasmer par son corps épanoui, en cherchant tous les moyens pour l’apercevoir dans sa nudité. Visionnant sur son fil à linge, ses soutiens-gorge et ses combinaisons de Nylon ajourées de dentelles qui me faisaient chaud au cœur. Surveillant chaque soir, depuis la fenêtre de ma chambre, celle de Simone lorsqu’elle se déshabillait. Apercevant plus souvent son ombre, qu’une parcelle de son corps, entre les deux rideaux parfois mal fermés. Jusqu’au jour où elle s’en avisa en me le faisant savoir moqueusement dans un sourire plutôt flatté, que je ne compris pas tout de suite à cause de mon jeune âge. Cela mit un terme à mon voyeurisme mais nous sommes restés bons amis.
Mes études terminées, je partis au service militaire, entre temps Simone et André déménagèrent dans une petite ville où je m’installai quelques années plus tard à mon compte, comme dépanneur en électroménager et radio télévision. Etant restés toujours amis avec mes parents, je les avais tout naturellement comme clients. Simone ne me reparla jamais plus de mes folies de jeunesse et cela resta un secret entre nous.
Aujourd’hui, trente ans plus tard, Simone est une femme de soixante dix ans qui vient de perdre son mari André suite à une longue maladie, et c’est là que l’histoire commence réellement.
Début Mai de l’année écoulée, Simone fait appel à moi pour dépanner son réfrigérateur. Ce que j’essaye de faire, sans grand résultat à cause de la vétusté de l’appareil. C’est alors que je lui propose de le remplacer par un nouveau modèle. Elle accepte en me faisant confiance sur le choix. Puis comme Simone a envie de parler, elle m’offre l’apéritif en s’empressant d’aller chercher la bouteille de Ricard dans un meuble bas qui lui serre de bar. Courbée devant moi avec un genou au sol, cela a pour effet de faire remonter sa jupe. Me faisant découvrir le galbe de ses belles cuisses.
Me surprenant à bander pour cette femme de soixante dix ans, qui me faisait comprendre sa solitude dont je compatissais. Puis après un moment de discussion, encore tout émoustillé, je pris congé en ne pouvant m’empêcher de me remémorer les courbes parfaites de son corps.
Comme il avait été prévu, La semaine suivante, je vais lui livrer son frigo. Simone me reçoit chaleureusement par cette belle après midi, vêtus d’une simple blouse par la chaleur qui règne ce jour là. Elle s’empressa de me donner un coup de main, après avoir déballé le réfrigérateur pour le replacer dans la niche aménagée de sa cuisine. Couché sur le sol à ses pieds pour le recaler, pendant qu’elle se tenait debout au-dessus le moi pour l’empêcher de basculer. Me surprenant de nouveau à bander, par la vue de ses jambes qui se perdaient sous ombrage de sa blouse et son jupon. Visionnant parfaitement entre ses cuisses à demi écartées, son slip recouvrant son entrejambe. Elle s’en avisa en devenant rouge de confusion par le spectacle qu’elle m’offrait inconsciemment. Profitant quelque peu de son trouble en m’agrippant au-dessus de son genou pour me relever. Ce qui me permit de caresser sagement la naissance de ses cuisses, ce qui la fit se reculer d’un pas, la laissant stupéfaite par mon geste innocent. Lui soufflant comme excuse en me rapprochant, qu’elle avait de très belles jambes. Ce qui la troubla davantage en restant toute confuse.
C’est alors que je profitai de son désarroi pour la chahuter en la saisissant par derrière dans mes bras, pour lui souffler à l’oreille, qu’elle était encore très belle, même pour un homme de mon âge. Ce qui la laissa sans voix. Lui faisant comprendre sourdement mon désir en me collant à sa croupe, tout en la tenant par sous les aisselles, avec mes mains sur sa poitrine, pelotant sans vergogne ses gros nénés au travers de sa blouse. Qu’elle me soupira d’une voix émue :
– Oh Rémy ….. tu es fou… qu’est-ce qui te prend… Non laisse-moi tranquille…
Mais comme elle ne faisait véritablement rien pour se dégager de mon emprise. J’en profitais tout en continuant à peloter ses gros nichons d’une main, pour me hasarder plus bas entre ses cuisses, qu’elle resserra en protestant faiblement, courbée devant moi.
– Non Rémy… non il ne faut pas. non je t’en supplie … je suis trop vieille pour toi.
Ne tenant pas compte de ses protestations, par l’intense désir qui s’était emparé de moi. Parcourant fébrilement ses cuisses de caresses, en relevant quelque peu sa blouse avec sa combinaison de nylon. Pour arriver d’une main sur le dernier rempart, son slip de coton, qui défendait mal son envie.
C’est alors que je profitais un peu plus de la situation, en la coinçant davantage contre ses éléments de cuisine, pour la retrousser jusqu’au ventre, en glissant sans plus attendre, ma main entre la chair et l’élastique. Touchant du bout des doigts son pubis rêche, en le caressant quelque peu pour la rassurer, avant de m’enfouir plus profondément dans sa culotte qui craqua. La faisant quelque peu crier. Parcourant sa fente. La sentant s’humidifier à mon plus grand étonnement, en ayant toujours entendu dire que les femmes après la soixantaine étaient sèches. Alors que Simone faisait exception à la règle en ne faisant toujours aucun geste pour se défendre et me repousser, que j’en profitais tout en m’excitant contre sa croupe avec toujours ma main dans son slip, pour la pousser à petit pas dans la pièce d’à coté, qui était sa chambre. La basculant sur son lit avec son slip qui entravait encore ses jambes.
Me jetant sur son corps par l’ardeur qui m’avait enflammé, en cherchant dans ma folie à l’embrasser. Simone, totalement soumise, m’enlaça nerveusement dans ses bras, en remontant sagement ses jambes de par et d’autre. Comprenant par son geste, son besoin de femme seule. Me débraguettant en deux ou trois mouvements tout en arrachant son slip dans ma folie. Alors que Simone releva la tête un court instant, pour visionner avec stupeur le braquemart que j’allais lui mettre en se laissant ensuite aller sur le dos les yeux fermés pour soupirer.
– Oh mon dieu. Qu’est-ce que tu fais.. C’est pas possible Rémy …
Me positionnant sans plus attendre, avec mon gland violacé sur les replis sa vulve trempée, où je me sentis disparaître, en étant comme aspiré avec une certaine frénésie dans sa grande cheminée. Regardant Simone qui me reçut jusqu’aux couilles, la bouche grande ouverte. Après l’avoir totalement pénétré. Je m’immobilisais tout au fond de son ventre, pour admirer son corps avec sa combinaison retroussée sur son ventre. Commençant à la pistonner dans un lent va et vient. Ce qui eu pour effet de la faire soupirer une sorte de bien être, en soulevant quelque peu ses hanches à la rencontre du visiteur qui la fouillait. Tandis que parallèlement une détente croissante apparaissait sur les traits de son visage, visiblement comblé par les soupirs qui soulevaient dangereusement sa poitrine, encore comprimée dans son soutien gorge que je repoussais, pour bien me repaître de la vue de ses gros nichons encore bien ronds, qui avaient conservé toute leur fermeté. Les prenant goulûment dans ma bouche. Ce qui la rendit encore plus coopérative, en m’enlaçant comme une folle entre ceux-ci, tout en continuant par ailleurs à la limer.
Ne me sentant pas le droit de décevoir cette honorable femme, en la fouillant en profondeur, pendant qu’elle prenait son pied dans des soupirs de plus en plus heurtés, tout en venant par des coups de reins à la rencontre de mes coups de béliers. Me barattant sans relâche dans les replis de sa vulve trempée qui clapissait bruyamment de mouille. Sentant les prémices du moment suprême, par la monter du sperme, que Simone s’apprêtait à recevoir en remontant sagement ses jambes de part et d’autre, pour s’offrir encore mieux. Nos corps enchevêtrés ne faisait plus qu’un. Lorsque brusquement tout son être fut prit de tremblements frénétiques, voyant par-là, qu’elle allait prendre son pied, alors que moi-même j’étais au fond de son gouffre comme un pétard prêt à exploser. J’activais encore quelques bons coups de queue, avant m’abattre sur son corps pour m’immobiliser tout au fond de son vagin, écrasé par l’afflux de sensation, éjaculant un premier flot de sperme. La faisant crier une fulgurante jouissance en resserrant ses bras sur mes reins. La regardant jouir et râler sa jouissance les yeux fermés, tout en continuant de me vider par jets successifs dans son ventre, qui s’agitait frénétiquement sous le mien. La laissant jouir de ce plaisir dont elle était privée depuis si longtemps. Sombrant tous les deux dans une sorte délire commun, par nos corps unis qui se transmettaient en vase clos leurs ondes de plaisirs.
Nous mîmes un moment à reprendre nos esprits, en restant encore un moment dans le ventre de Simone qui soupirait encore son bonheur, en ayant du mal à retrouver le rythme de sa respiration, d’avoir connu une aussi forte jouissance à soixante dix ans. Me retirant de la fournaise de son ventre abreuvé, pour me relever d’entre ses cuisses. Admirant par notre désunion le flot de sperme qui s’échappa de sa fente entrouverte pour s’écouler en abondance sur le couvre lit.
Me reculottant debout au pied de son lit, en étant malgré tout pas bien fier d’avoir fait l’amour à cette honorable femme qui aurait pu être ma mère. Sachant pas encore command allait elle prendre cette folie en lui ayant malgré tout un peu forcé la main. Alors qu’elle restait profondément hébétée sur son lit, les cheveux ébouriffés, comme si elle avait rêvé à quelque chose de formidable qui venait de se passer. Passant sa main entre ses cuisses sur son sexe englué de sperme. Réalisant à cet instant qu’elle venait inconsciemment de faire l’amour, qu’elle se leva honteusement, avec quelques larmes qui coulèrent de ses yeux, pour me souffler que j’avais abusé d’elle.
Qu’aussitôt j’essayais de me racheter en l’enlaçant éperdument dans mes bras, pour lui expliquer que je ne savais pas ce qui m’avait pris. Que sa présence à mes cotés avait réveillé un vieux désir inassouvi, que je n’avais pu refréner. Profondément u’aussitôt j’essayais de me rach_yyse en remettant un peu ordre dans sa tenue avant d’aller vaguer à ses occupations. Pendant que j’entrepris de finir de rhabiller la porte de son frigo, ce qui dura encore une petite heure.
Puis ayant fini, pensant bien lui présenter ma facture que j’avais en poche. Mais je n’osais pas, m’étant déjà payé en nature. M’apprêtant à prendre congé. C’est alors que Simone sortit de son mutisme pour me faire barrage dans le couloir en se jetant dans mes bras, comme pour se faire pardonner. Me soufflant par un baiser dans le cou de revenir lui ramener sa facture. Comprenant par-là, que j’étais pardonné. Alors qu’elle se fit tendre sur mon épaule, pour me souffler honteusement, que la prochaine fois, elle se ferait plus désirable, si je voulais toujours bien d’elle.
Comme réponse ? Je la pris dans mes bras en l’embrassant, pour lui souffler que si elle désirait. Je pourrai revenir demain soir, parce que ma femme s’absentait plusieurs jours pour aller chez ses parents. Ravie de cette situation, Simone m’invita joyeusement à venir partager son dîner. Je voulus refuser, mais elle insista en m’annonçant pour couper court à d’éventuelles rumeurs, qu’elle allait prévenir ma femme que je dînerai demain soir chez elle, et qu’ensuite nous aurons toute la nuit pour nous. Et c’est ce qu’elle fit quelques heures plus tard. Ma femme prévenue ne trouva rien à redire, en connaissant ma longue amitié pour cette femme. Ne pouvant naturellement imaginer un seul instant, que moi son mari, à quarante six ans j’étais devenu l’amant d’une femme de soixante dix ans, qui visiblement ne les faisait pas et en paraissait quinze ans de moins.
Comme prévu je me pointais le soir suivant chez Simone, qui me reçut chaleureusement.
Mais cela est peut être une autre histoire.
Aujourd’hui après avoir vécu cette folie. Je ne peux m’empêcher d’imaginer bien des aventures semblables, par toutes c’est femmes qui fréquentent assidûment les clubs du troisième âge dans de somptueuses toilettes qui les rendent ainsi toutes aussi rivales les unes des autres en ne cherchant sous le couvert de cette association qu’à se faire draguer, pour profiter des derniers moments que la vie leur offre.
Et si je fais part aujourd’hui de cette aventure qui ne semble pas vouloir s’arrêter. C’est pour demander l’avis des lecteurs. Si cela est plus courant qu’on ne peut s’imaginer, d’entretenir de tels rapports d’intimité avec une femme aussi âgée.
En ayant mis cela au début sur le fait, qu’après quelques séances de baise, Simone se fatiguerait très vite d’ouvrir les jambes pour moi. Ce qui ne semble visiblement pas être le cas après un peu plus de sept mois de rapports quasiment hebdomadaires, en allant jusqu’à m’appeler sur mon portable pour que je passe discrètement la satisfaire. Aujourd’hui Simone est une femme comblée qui a connu toutes les joies de l’amour, entre les fellations et la sodomie que ma femme par ailleurs m’a toujours refusée

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