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Une famille en Or (23)

Une famille en Or (23)



Une famille en or!

Samedi 21 septembre 1991

Nous avons attendu ce week-end pour descendre chez mes parents, histoire de les faire languir un peu, surtout mon père. Entre-temps, ma mère, ma sœur et mon frère ont remis ça avec mon père qui commence à se sentir à l’aise dans cette nouvelle situation.

Dimanche dernier, c’est ma tante et ses enfants qui sont venus chez eux passer la journée et ils ont marqué leur surprise de voir tout le monde nu y compris mon père. Valy n’a pas manqué d’essayer de l’allumer, mais sans aller plus loin. Mais comme il s’éclipsait en voyant qu’il n’arrivait pas à retenir une érection naissante, ma mère l’a rejoint à l’intérieur et l’a branlé en lui faisant mater Valy par la fenêtre de la cuisine tout en lui soufflant des cochonneries à l’oreille. Il a fini par éjaculer dans l’évier et il est revenu à l’extérieur avec la bite au repos un petit moment après ma mère.

Donc, nous arrivons dans l’après-midi et je joue moi aussi la surprise:
— Oh, Papa, tu fais du naturisme, maintenant?
— Euh, oui, j’ai fini par me laisser convaincre par ta mère et ta sœur.
— Super, ça me gênait un peu de te voir en grand caleçon quand j’étais en string.

Donc, Ju et moi nous mettons à poil, et je remarque à un gonflement de sa bite que mon père est très intéressé par le minou bien lisse que je lui dévoile. Toutefois, je la joue vraiment ingénue quand je lui demande de me badigeonner d’huile solaire. Il a l’air un peu emprunté car il croit toujours nous ne sommes au courant pour ce qui s’est passé entre eux récemment et il doit se demander si je serais partante pour le faire avec lui.

Le soir, il nous fait un barbecue sur la terrasse et pendant qu’il est en train de griller les saucisses, je vais à côté de lui et commence à me caresser les seins sous le prétexte que ça fait trop chaud. Lui avait mis un tablier pour se protéger des éclaboussures et je vois le tablier qui commence à faire une bosse au centre. Je n’insiste pas, mais quand plus tard il l’enlève pour nous rejoindre et manger, il a encore une bite qui a un peu de volume.

Puis nous rentrons pour boire le digestif sur les canapés du salon histoire de nous achever après les apéros et le vin. Ma mère se met entre mon père et Ju sur un canapé et je m’assois sur l’autre en face de mon père, mon frère venant se caler entre ma sœur et moi. Faisant comme si j’étais un peu relâchée par l’alcool, je pose mes pieds au bord de la table basse laisse mes jambes s’ouvrir largement sur ma fente, et ma sœur en fait de même. Mon père ne peut s’empêcher de lorgner sur ce spectacle et ça finit par le mettre mal à l’aise car il commence à sentir monter une érection. D’autant plus que ma mère avait posé sa main sur sa cuisse et qu’elle lui grattouillait les poils du pubis de plus en plus près de sa bite.

Elle vient un peu à son aide en tentant de masquer de la main ce membre qu’elle sent prendre de l’ampleur, mais en vain. Mon père se rend bien compte que j’ai tout vu quand je lui jette un regard où je fais mine d’être étonnée. Ce qu’il n’a pas vu à cause de la position de ma mère, c’est qu’elle avait aussi tripoté discrètement Ju de l’autre main et que ce dernier ne se gêne pas pour nous exhiber sa queue bien dressée. Etant donné où nous en sommes, j’en profite pour lancer:
— Dis donc, papa, tu m’as l’air en pleine forme!
— Euh, excusez-moi, mais c’est à cause de vos positions un peu trop…décontractées, à ta sœur et toi. Je vous vois tout et je finis par oublier que vous êtes mes filles!
— Non, mais c’était pas un reproche. En fait, ça me gêne pas du tout que tu bandes. D’ailleurs t’es pas le seul, je constate.

Comme je le désigne, Ju se lève avec la bite à l’équerre et le gland décalotté:
— Ben oui, on va pas en faire toute une histoire! On est des mecs, on a sous les yeux de belles nanas à poil, donc on bande. C’est naturel! D’ailleurs, il se fait tard et il serait peut-être temps d’aller en profiter, mesdames…

Comme c’est dit sur le ton de la plaisanterie, ça détend un peu mon père qui rajoute:
— C’est vrai, on devrait aller se mettre au lit!

Du coup, mon frère qui cachait sa bandaison avec sa bite coincée entre ses cuisses se décide à les écarter et sa bite se dresse comme un ressort, venant claquer conte son ventre. J’en rigole et je donne une petite tape à son gland:
— Eh bien, petit cachottier!

Ju se rapproche de ma mère en disant à mon père:
— Bon, au point où on en est, avec ta permission, Alain…

Et il présente sa bite devant la bouche de ma mère qui lui gobe le gland sans hésiter tout en lui empoignant la tige. Mon père n’a pas le temps de réagir car je suis déjà à genoux devant lui et je le branle:
— Voilà, c’est normal que je te rende la pareille, non?

Tout en disant ça, je commence à lui donner des coups de langue sur toute sa bite. Du coup, Sève n’a qu’à se tourner et se pencher sur le canapé pour emboucher mon frère à son tour.

Mon père a droit au grand jeu. Il a l’occasion de voir ma mère se démener sur Ju pendant qu’il me prend en levrette à côté de Bru qui en fait de même sur ma sœur. Il ne tient pas longtemps et je me dégage et me retourne pour recueillir son éjaculation sur mon visage et ma poitrine, n’ayant pas eu le temps de le prendre en bouche. Sans s’arrêter, Sève s’occupe de le remettre en forme. Ce qui l’aide aussi, c’est le spectacle de ma mère me broutant le minou pendant que Ju l’encule. Toutes les combinaisons y passent avant que le calme revienne, nos sens apaisés.

A suivre?

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