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Baise en auto stop

Baise en auto stop



Je m’appelle Igor et j’habite dans la banlieue de Moscou. Je suis représentant de commerce en lingerie féminine et je parcours tous les jours les routes pour me rendre dans des villes en gros à une centaine de kilomètres ce qui me fait en moyenne une heure à une heure et demie de temps de trajet. Je préfère les routes aux autoroutes car avec ma vieille Lada héritée du modèle de la Fiat 124, je me dis que c’est plus facile de me faire dépanner. Je ne roule pas trop vite ce qui me laisse le temps de rêvasser. Et de quoi voulez-vous que je rêve sinon à de belles femmes, blondes ou brunes, aux cuisses longues, aux seins fermes en obus, aux chattes baveuses et aux jambes toujours écartées et prêtes à m’accueillir. Il faut dire que je ne suis guère gâté de mon côté. J’ai une femme qui travaille à l’autre bout de la ville, qui se lève à 5 heures du matin, qui rentre à 10 heures le soir complètement crevée me dit-elle et qui n’a pas beaucoup de temps pour penser à baiser. Alors je dois me débrouiller et je dois dire que j’y arrive pas trop mal.

Je dois dire qu’avec mon métier, j’ai la chance d’être en contact avec des femmes et nous parlons de seins, de cul, de raie des fesses dans lesquelles s’insère les cordelettes des strings et fréquemment, il m’arrive que mes mains se promènent sur les seins ou les fesses des clientes auxquelles je rends visite. Je les complimente beaucoup sur la fermeté de leurs formes et elles y sont très sensibles je dois dire. Certaines sont coquines et n’hésitent pas à essayer les sous-vêtements que je leur propose et me demandent mon avis sur la manière dont ils leur vont. J’y mets les mains parfois et je palpe alors leurs seins ou leurs fesses. Cela me fait bander mais j’évite autant que faire se peut de confondre le travail et le plaisir. Bilan, je me retrouve souvent en train de conduire avec une gaule pas possible ce qui m’oblige à la sortir de mon pantalon pour lui donner un peu plus d’espace. Comme je suis seul dans ma voiture, Je suis aussi à l’affût des personnes qui font de l’auto-stop et c’est très fréquent en Russie car les transports ne sont pas très bons et les gens sont toujours intéressés par le fait d’économiser quelques pièces qu’ils pourront utiliser comme ils le souhaitent.

La semaine dernière, je revenais de Pokrov, une ville située à une centaine de kilomètres de Moscou où j’avais rencontré la responsable d’un petit magasin de lingerie qui m’avait échauffé au propre et au figuré d’autant qu’il faisait très chaud ce jour là. Je m’installe sur mon siège, je bande. Je repense à la vendeuse du magasin à qui je viens de rendre visite, elle avait des seins gros et tombants que son tee-shirt très échancré contenait mal et comme elle se baissait pour regarder les pièces que je lui montrais, je les voyais comme si elle était à poil. Elle portait aussi une mini-jupe qui mettait en valeur son cul et ses cuisses et c’était un supplice pour moi de la voir tortiller du cul pour aller du comptoir à sa réserve. Je sors donc ma bite et j’y fais dessus quelques aller-retours pour me donner un bref instant de plaisir et je démarre avec ma voiture poussive. Je parcours quelques kilomètres et me retrouve dans la campagne. Soudain, sur le bas côté deux personnes qui font de l’auto-stop. Je m’arrête « Où allez-vous ? » « A Aborino ! ». C’est bon, ce n’est pas vraiment sur ma route mais ça ne m’en éloigne pas trop, je sais que c’est à côté d’un lac où il m’est arrivé d’aller me promener, c’est un coin sympa. Je leur dit de monter.

C’est une mère et sa fille qui vont rendre visite à de la famille. Elles ont chacune un énorme sac que la fille qui s’installe à l’arrière met à côté d’elle. La mère s’assoit à côté de moi et place le sac devant elle ce qui l’oblige à écarter largement ses cuisses et à les garder grand ouvertes ce qui fait remonter sa jupe haut sur ses cuisses. Elle a une petite quarantaine d’année et je dirai qu’elle est bien charpentée comme le sont les filles de la campagne, de larges épaules, des cheveux blonds coupés courts, des seins assez gros sous un corsage dont plusieurs boutons sont ouverts les offrant ainsi à mon regard. Je ne prive pas de lorgner avec avidité, excité comme je le suis. La vue sur ses cuisses me réjouis aussi car la jupe n’en couvre plus que le haut, juste à la limite de sa culotte, tellement le sac qu’elle a devant elle l’oblige à les écarter. De fait, quand je passe les vitesses, je ne peut pas faire autrement que de les frotter sur presque la totalité. Je ne m’en prive pas et je fais même exprès de rétrograder et de les passer ensuite à nouveau. Sa peau est douce et le fait que ma main s’attarde sur ses cuisses n’a pas l’air de la choquer ou de la gêner.

A l’arrière, sa fille a pris ses aises. Elle est très maigre, elle a une robe courte, de petits seins, des cheveux blonds coupés très courts, presque comme ceux d’un garçon. Sa belle bouche aux lèvres charnues et ses grands yeux ainsi que son visage très fin font toute sa féminité. Elle regarde le paysage et elle ouvre et ferme ses cuisses en cadence, histoire de faire prendre l’air à sa chatte qui doit avoir chaud par cet après-midi d’été dans une voiture non climatisée. Heureusement que nous roulons vitres ouvertes car autrement les odeurs corporelles finiraient par être entêtantes.

De mon côté, le jeu avec le manche de vitesse et les cuisses de la mère, la vue que m’offrent ses cuisses plus les regards à l’arrière où je vois la culotte de la fille ont finit par me donner une superbe érection. Et c’est là que je me rends compte que ma bite n’est pas protégée des regards par mon slip et mon pantalon car je ne l’ai pas remise à sa place lorsque ces dames son montées dans la mesure où mon érection était retombée avec les premiers kilomètres de route. On avait beau parler de choses et d’autres avec la mère, je voyais ses regards insistants vers mon entrejambe. La mère était visiblement très contente que je les ai prises en auto stop car elle n’arrêtait de me remercier et de dire qu’elle ne savait pas comment me remercier, prenant sa fille à témoin en lui disant : « Tu vois, Irina, le monsieur est très gentil avec nous. Qui sait combien on aurait souffert dans les transports en commun avec cette chaleur. Comment le remercier ? ». En moi-même, je me disais qu’elle savait bien comment me remercier avec ce qu’elle voyait de ma bite en pleine érection.

Elle prit un air inspiré et en me faisant un clin d’œil, elle me dit en se penchant vers ma bite : « Je sais comment je vais vous remercier ! » et joignant son geste à la parole, sa main s’approcha de ma bite dont elle s’empara. Elle commença à la branler doucement en même temps qu’elle écartait un peu plus ses cuisses, sa jupe remontant encore dévoilant sa culotte en tissus, eh oui !, se mettant à bailler pour laisser apparaître les plis des grandes lèvres de sa chatte à peine masquées par se poils épars. En même temps qu’elle me branlait la queue, son autre main se promenait sur sa connasse, un doigt s’attardant sur son clito par moment. Son dialogue continuait avec sa fille : « Tu vois Irina, regarde comme le monsieur bande, il a une belle bite tu sais, regarde la ! ». Irina faisait la blasée en lui disant : « Tu sais maman, j’ai l’habitude d’en voir des bites, et même d’en sucer, tu le sais bien ! ». Je compris que je n’aurai aucune difficulté à les baiser, et la mère et la fille.

On a continué à rouler tant bien que mal. La mère me faisait du bien en me branlant doucement et en me maintenant une bonne érection. Je bandais d’autant plus que j’avais vu que la scène ne laissait pas insensible Irina qui s’était étalée un peu plus sur le siège arrière, avait remonté carrément sa robe légère à sa taille et avait une main posée sur sa chatte, ses doigts ne restant pas inactifs, allant et venant sur sa chatte que je devinais complètement épilée. A un moment, je leur ai dit : « Dites les filles, si on s’arrêtait dans la forêt histoire de se rafraîchir ? ». Leur réponse a été immédiatement positive et sur cette route, les forêts ne sont pas loin et n’obligent pas à faire de longs détours. J’ai bifurqué au premier croisement et quelques kilomètres plus loin nous étions dans la fraîcheur des bois dans un endroit semblant isolé et silencieux perturbé par des chants d’oiseaux.

Je suis descendu de la voiture, j’ai ouvert la porte côté passager et j’ai invité la maman, Olga, à descendre. Elle ne s’est pas fait prier. J’avais toujours ma bite à l’air, Olga s’est agenouillée et l’a prise dans sa bouche en me suçant avec tout le professionnalisme souhaitable. Elle a réussi à me faire bander à fond très rapidement et il me fallait la baiser. Je lui ai dit de se pencher sur le capot de la voiture et elle m’a offert sa croupe, bien tendue en arrière, remontant elle-même sa jupe ample au niveau de sa taille, me présentant ainsi ses deux grosses fesses blanches couvertes de sa culotte « vintage » en tissu. Je la lui ai descendue et je lui ai mis un doigt puis deux dans la chatte en faisant quelques va et vient. Sa chatte était large et déjà remplie de sa mouille. J’ai ressorti mes doigts et je les ai sentis, ça sentait fort la moule, je les ai léchés et je les lui ai remis dans son con. Pendant ce temps, elle, elle avait une main sur son clito et elle le branlait avec frénésie. J’ai fait à nouveau quelques va et vient dans la chatte puis je lui ai fourré ma bite dedans, bien à fond et j’ai commencé à la bourrer avec de grands coups en tenant fermement par les hanches.
Elle devenait de plus en plus excitée et elle s’est mise pousser de petits cris en me disant des mots cochons : « Oui, vas-y baise moi fort, j’aime ça prendre des bites dans ma chatte !!! ». J’ai ajouté : « Et dans le cul aussi ? ». « Oh ! ouiiiii !!! ». D’ailleurs, sa rondelle me faisait un clin d’œil et était déjà dilatée. J’y ai poussé mon pouce puis j’y ai fourré un doigt en même temps, histoire de l’ouvrir davantage. C’est là que deux choses se sont passées. D’abord, Irina est descendue de voiture pour mieux profiter du spectacle de sa mère qui se faisait baiser la chatte puis le fion. Elle avait enlevé son slip, avait toujours sa robe au dessus de la taille, une main sur sa chatte deux doigts dedans et l’autre en train de se malaxer ses petits seins. Ensuite, c’est là que j’ai vu un grand bonhomme qui s’approchait, sa bite tendue, énorme, qu’il tenait dans ses deux mains, le gland découvert et luisant, signe qu’il devait se branler depuis qu’on s’était garés.

Sans perdre de temps, j’ai sorti ma bite de la connasse de Olga et je la lui ai fourrée dans le cul. Au début, il a fallu que je force un peu malgré ma préparation. Elle s’est un peu raidie mais comme elle se branlait le clito, la petite douleur est vite passée. Je l’ai fourrée sans ménagement en lui labourant le cul en faisant de grand va et vient. Elle a repris son monologue : « Oui ! C’est bon ! Tu m’encules, j’aime ça !!! je jouiiiiis !!! » et j’ai reçu un jet de mouille sur mes couilles et un peu sur mon pantalon que je n’avais fait que baisser quand j’avais commencé à la baiser. Je me suis reculé, tout en lui donnant un grosse claque sur ses fesses en lui disant : «  Eh bé !!! tu ne m’avais pas prévenu que tu giclais avec ta mouille !!! ». Pendant ce temps que je l’enculais, le voyeur s’était rapproché et voulait avoir sa part de jouissance. Je me suis dit, je vais lui laisser Olga et je je vais me faire Irina. « Tiens, je te la laisse, entends toi avec elle, je vais voir la plus jeune ! ». Il s’est approché d’Olga et je l’ai vu lui murmurer quelque chose à l’oreille. Elle a fait oui de la tête et j’ai vu qui lui enfonçait sa grosse bite dans son énorme connasse.

Voyant le type arriver, Irina s’était réfugiée dans la voiture. Je l’ai rejointe, la bite toujours tendue parce que je n’avais pas déchargé mon jus et je la lui ai présentée en lui disant : « Tiens, suce moi, toi qui t’es vantée tout à l’heure que tu savais sucer les bites ! ». Elle s’est mise à poil offrant à ma vue ses petits nénés aux pointes longues comme une phalange, a mis sa robe sous ses genoux qui m’ont semblé écorchés signe qu’elle avait l’habitude de prendre cette position de petite suceuse. Ellea pris ma bite dans sa petite main et a commencé à me branler. Que c’était bon d’avoir cette petite main fraîche en train de me manipuler la bite ! Et c’est vrai que la jeune Irina savait y faire car en même temps qu’elle me branlait le nœud, elle me malaxait les couilles pour augmenter ma jouissance. Elle m’excitait trop, je l’ai soulevée et je l’ai carrément assise sur ma bite qui est rentrée dans sa chatte d’un seul coup jusqu’au fond. Elle devait avoir l’habitude d’en prendre des bites dans sa chatte ! Je me suis à peine tourné et je lui ai installé le bord de son cul sur le coffre arrière de ma Lada et j’ai commencé à la pilonner à grand coup de bite. Elle gémissait et par moment criait son plaisir. Elle jouissait sacrément en s’accrochant à mon cou avec ses bras maigres. Toujours appuyée sur le capot de la voiture, sa mère était en train de se faire fourrer par le voyeur à la bite énorme. Elle aussi criait son plaisir et la mère et la fille jouissaient à l’unisson.

J’ai senti que j’allais jouir, j’ai senti que sa chatte commençait à se contracter en cadence me déclenchant des frissons de jouissance. J’ai sorti ma bite et j’ai dirigé mes jets de sperme sur son gros clito le lui recouvrant entièrement de ma semence blanchâtre. Sa main s’est dirigé vers son clito et elle l’a branlé furieusement profitant de mon jus qui lubrifiait son mouvement frénétique. Olga devait être en train de se prendre une sacrée dose de sperme dans sa chatte car on l’entendait crier : « Je jouiiiiis !!! ». Le gars a sorti sa bite de la connasse d’Olga, elle avait à peine débandée. Un peu gêné, il a remonté son pantalon et il est s’est fondu dans les bois un peu comme il était arrivé, sans être vraiment vu. J’ai remonté mon pantalon, Irina a remis sa robe mais pas sa culotte. Olga a rabaissé sa jupe et rentré ses gros seins dans son corsage et on est remonté dans la voiture.

On a continué notre voyage, je leur ai offert à chacune un ensemble culotte et soutien-gorge en dentelle noire, on s’est fait la bise et on s’est séparés.

Cette histoire est inspirée d’un récit en russe que j’ai trouvé sur Xhamsters

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