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Sodomie extrême dans une toilette

Je demeurais encore à Chicoutimi en ce temps-là. J’avais début vingtaine avec toute la fougue d’un mec de cet âge-là.

Par un après-midi d’hiver, j’avais décidé d’aller faire des courses et je m’étais retrouvé dans un magasin à grande surface qui se nommait « Zellers ». En ce temps, je ne connaissais pas vraiment les endroits publics où les mecs se retrouvaient pour une branlette et en me rendant dans les toilettes du magasin, j’en conclus vite que cet endroit était un merveilleux paradis pour mecs en quête de jouissance.

Tout bonnement, ayant envie d’uriner, j’étais entré dans la salle d’aisance, comme on appelle cela en France. Il y avait 6 urinoirs et cinq étaient déjà occupées. Je pris donc la dernière de libre. Je dois avouer que j’étais le plus jeune, les autres mecs devaient avoir entre 30 et 60 ans. Rien ne sert de vous dire que les regards se posèrent sur moi immédiatement. Je dégrafai donc mon jeans pour en sortir ma bitte, laissant l’urine s’écouler pour me soulager. Visant mon regard discrètement sur ma droite, je vis que le mec était bandé et que lui, ne pissait nullement. Non, lui se mastrubait en me regardant, sans gêne. Il avait sûrement dans la trentaine mais il était tout de même assez sexy.
J’ai toujours aimé les mecs plus âgés. il n’était pas musclé au max mais bon, il avait une sacrée belle queue . Son gland était gros; le plus gros que j’avais encore jamais vu. Soudain, il se tourna vers moi et posa sa main sur mon cul pour le tripoter abondamment. Je le laissais faire, lui souriant même pour lui faire voir que j’appréciais. Les autres mecs nous regardaient tous, queue en main. De ses yeux, il me fit signe de le suivre dans l’une des cabines; ce que je fis sans me faire prier. Je savais que je me ferais baiser, du moins, sucer. J’entrai donc, refermant la porte derrière moi. Déjà, il avait baissé son jeans et me montrait sa belle grosse queue que j’engloutis immédiatement. Pendant que je le suçais, je vis que sur la paroi qui séparait les deux cabines, un trou s’y trouvait. Je me retrouvais devant mon premier glory hole et ça ne prit pas beaucoup de temps qu’une queue s’y introduisit. Je lâchai mon mec et m’empressai de sucer cette bitte dont je ne savais pas à qui elle appartenait.
Ça m’excitait de ne pas connaître son propriétaire. Elle était bonne à manger et c’est tout ce qui m’importait. Pour ne pas délaisser le mec devant moi, je me mis à interchanger; une lichée sur une, une lichée sur l’autre. J’avais deux bonnes queues pour moi seul et croyez-moi, j’en profitais au maximum. Je les gobais avec appétit, me les enfilant jusqu’au fond de la gorge.
La bave coulait le long de ma bouche tellement j’étais excité. Je les pompai de cette sorte pendant environ cinq minutes lorsque l’idée me venue d’utiliser la biroute passée par le trou comme une défonceuse. Je me levai et plaquai mon cul contre le mur, m’assurant que mon trou de balle se plaçait au bon endroit; soit devant la merguez bien dure. De ma main gauche, je la dirigeai directement sur ma rosette et lentement, je la sentis me pénétrer.
J’ai toujours été chanceux de ce côté des choses; j’ai un trou de lune qui mouille facilement donc, on m’encule sans trop de difficulté. Quand elle fut toute entrée, je me mis à bouger du bassin par des mouvements d’en avant en arrière. Je sentais cette asperge jusqu’au plus profond de moi et c’était jouissif.
Pendant ce temps, le mec de ma cabine s’occupait de ma graine en la bouffant comme si elle avait été sa dernière.
De l’autre côté, le mec accélérait la cadence de son va-et-vient et moi, j’en demandais toujours plus, plus, plus… Et soudain, je sentis qu’il venait en moi. Pas déjà. Je n’étais pas prêt moi à jouir. Il sortit de mon cul et le temps de rattacher son pantalon, il avait quitté la cabine. Par contre, je l’entendis dire: »Vas-y, y’a un cul qui ne demande qu’à être fourré dans cette cabine ». J’espérais qu’un autre vienne pour terminer la job et je n’attendis pas longtemps avant qu’un autre gourdin vienne m’asticoter le popotin.
Je retrouvais le plaisir d’une bonne grosse queue dans mon petit cul pendant que ma verge se faisait toujours gâter. Après seulement quelques coups, je me retrouvai encore sans queue entre les miches, le mec étant venu tout de suite. Je ne sais pas si ça attendait dehors, mais un autre m’enfila aussitôt et je vous jure que je la sentis entrer. Le mec était équipé en tant qu’arbalète.
Une merveilleuse, énorme queue qui me bourrait le pot à grands coups et à une telle vitesse que je ne parvenais plus à camoufler ma respiration haletante. Je savais que je jouirais bientôt. Je le sentais à l’intérieur de moi et j’en avisai le mec qui me turlutait, ne voulant pas l’obliger à gober ma semence. Par contre, il poursuivit, y allant même avec plus de fougue. J’en conclus qu’il désirait tout avaler. Alors, pendant que je me faisais cartonner le cul par l’énorme matraque, je laissai sortir tout mon yaourt dans le bouche du mec qui avala tout, sans rien laisser sur le passage de sa langue. Et de l’autre côté, on m’emplissait, encore, le panier de béchamel qui coulait le long de mes cuisses. Trois mecs avaient déchargé dans l’arrière boutique et je vous dis que l’entrepôt était plein. Le mec devant moi reboutonna son jeans et sans rien dire, quitta la cabine, me laissant là avec, encore dans le cul, la bitte de l’autre mec. Bizarrement, il ne voulait pas sortir et je sentais ses légers mouvements. Il continuait à me fourrer mais plus lentement mais moi, j’en avais assez et je m’avançai pour la retirer complètement. Je remontai mon jeans et sortit de la cabine. Les urinoirs étaient encore bondées de mecs mais tous différents, sauf un qui était toujours là, à se masturber. Je savais au moins que lui ne m«,avait pas visité le derrière. Par chance, il devait avoir plus de 60 ans.

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