Voilà maintenant quelques semaines que j’ai commencé à partager mes aventures avec vous. Le temps me manque pour écrire tous mes récits. J’essayais jusqu’à aujourd’hui de retracer les premiers pas, les premières semaines avec Florence. Je ne peux tout écrire de manière chronologique, mais je vous partage de nouveaux moments plus forts qui se sont passés les mois suivants…. Bonne lecture !
Je n’ai pu voir florence pendant plusieurs jours, échangeant simplement quelques messages. Cette journée aux quatre éjaculations l’ont mise à rude épreuve.
– C’était vraiment risqué David. Ne me demande plus des choses comme ça. J’ai aimé bien sûr, mais j’étais à deux doigts de me faire avoir. C’est trop dangereux.
– je comprends Florence. On arrête la quantité, on vise la qualité alors ?
– a quoi penses tu ?
– As tu déjà léché une femme ?
– Non, mais ce qu’on a fait avec ma fille dans le jardin est déjà pas mal.
– laisse moi quelques jours, je rêve de te voir lecher Émilie.
– C’est tellement interdit, immoral. David c’est vraiment mal, il faut arrêter avec ça.
– Tu as raison. Mais quand on sera sur le vif du sujet, tu vas adorer. Elle ne saura pas que c’est toi évidemment.
– Tiens moi au courant, je suis ta belle mère soumise. Fais moi lecher ma fille.
– Je préfère quand tu acceptes sans broncher. A bientôt.
Je rentre le soir, retrouve Émilie à l’appartement.
– Mon amour, j’ai envoyé quelques extraits de la vidéo à Florence et Antoine. Ils ont adoré… Ils pensaient pas que tu étais aussi salope.
– J’étais plus vide couille que salope quand même…
– Et dieu sait comme tu es une bonne vide couille…
– On fait quoi ce week-end ?
– Justement, en parallèle, Florence m’a envoyé un message, elle veut savoir si tu serais OK pour un petit plan lesbien avec elle. Sans Antoine.
– Comme par hasard, un plan à 3 avec une nana !
– Non mais je la touche pas, juste vous deux. Je profite du spectacle !
– ah vu comme ça… Pourquoi pas ! Anonymat ?
– oui je te propose à nouveau la cagoule. Mode chienne pour changer.
– Pour changer… OK. Elle a déjà eu un plan lesbien ? Parce que je n’ai jamais essayé tu sais, je risque d’être un peu tendue.
– Apparement oui. Elle drive, tu suis?
– On fait comme ça.
Il va encore falloir faire preuve d’ingéniosité, mais Émilie est innocente et Florence terriblement chienne appliquée, ça devrait bien se passer. Je lui écris dans la semaine pour lui confirmer le projet.
– Bonjour belle maman, bloque ton dimanche après midi, tu viens à Paris. Émilie ne veut pas fair ça chez nous. Je te propose de louer un airbnb pour la journée.
– Pas de problème pour dimanche, mais me demander de louer un appartement, tu y vas fort ! Je ne suis pas une banque !
– Et si je te dis que tu peux aller rendre visite à un collègue avant, qui te paie 200 euros pour une heure ?
– Prostitution encore… Dis m’en plus.
– J’ai parlé avec un collègue, la quarantaine, marié, il ne sait pas que tu es ma belle mère. Je lui juste dis que je fréquentais une bonne petite chienne. C’est lui qui m’a proposé. Il te trouve belle. Écris lui pour confirmer tout ça. Et évidemment je veux une copie des échanges. Tu iras le voir avant notre rendez-vous. Ca couvre les frais ! Tu t’appelles Nathalie.
– OK, sous réserve qu’il me plaise aussi uniquement.
Je prends de plus en plus de plaisir à pervertir ma belle mère, lui demander d’aller baiser avec d’autres hommes que son mari ou moi.
– Bonjour, David m’a envoyé vos coordonnées. Il paraît que je vous plais ? Nathalie.
– Effectivement. J’ai cru comprendre que vous étiez très coquine, c’est ce que je veux.
– Vous faites fausse route, je ne suis pas coquine. Je suis une pute. A traiter comme tel.
– Vous êtes cash, tant mieux. Quand êtes vous libre ?
– Dimanche, 14h. Une heure. 200 euros. Chez moi.
– Parfait.
Florence m’écrit, me confirme la location du Airbnb, m’envoi l’adresse.
– C’est OK pour ton collègue. Je le vois demain à 14h. Venez à 16h le temps que je prenne une douche etc. Hâte de me faire baiser par cet inconnu. J’attends tes consignes pour votre venue.
– Tu vas bien t’éclater dimanche… J’en suis ravi.
Au même instant, Émilie finit son repassage. Je suis dans le canapé, écrivant à sa mère, préparant le terrain pour dimanche, entretenant sa débauche. Je me lasse assez vite des simples échanges et de répéter encore et encore les mêmes envies et scénarios.
– Repassage terminé ! David, on fait quoi cet après-midi ?
– On va déjeuner dehors ? Je t’invite !
– Oh yes!
– Seulement si tu m’offres une petite douceur avant de sortir !
– Même sans le restaurant tu l’aurais eu.. Pas de besoin de chantage…
Je reste allongé sur le canapé, elle ouvre mon pantalon, sors ma queue qui commence à durcir quand elle me branle doucement.
– Tu t’es pas branlé depuis quand ?
– une semaine, c’est toi qui t’es occupée de la finition..
– Déjà une semaine ? Ça risque d’être une belle dose alors… Je crois que j’aurai pas besoin d’apéritif au restaurant…
– Alors vide mes couilles jusqu’à la dernière goutte mon amour.
Elle att**** un élastique à son poignet et s’attache les cheveux. Quand elle commence par ça… Je la connais, ça va être une bonne machine à sucer, rapide, intense.
– vas y, branle moi fort en même temps, pompe bien, comme une bonne petite pute.
– T’aimes ça quand je te suce bien hard… Je vais droit au but.
– Je vais te filmer, montre moi tes talents.
J’att**** mon téléphone, envoi un SMS à Florence :
– Je te fais un appel vidéo dans une minute, un avant goût de dimanche. Pas un mot. Profite.
– OK…Je crains le pire.
Je suis allongé, téléphone sur le torse, Émilie à genoux entre les jambes, queue en bouche. Florence décroche, la caméra est tournée vers moi. Je lui fais signe de ne pas faire de bruit. J’appuie sur le bouton pour changer de caméra. Elle voit en gros plan sa fille s’occuper de ma queue. Je pense qu’elle va raccrocher aussitot, mais pas du tout. Elle regarde la scène.
– Tu aimes me sucer mon amour ? Je filme…
– oh surtout quand tu bandes bien dur comme ça, j’adore.
– Tu veux que je te baise la gorge un peu ?
– Non mon maquillage va couler, pas envie de recommencer…
– Alors branle moi bien, regarde la caméra, dis moi ce que tu es, ce que tu penses la en même temps.
Elle rapproche son visage du téléphone, de l’autre côté, il y sa mère, qui observe sa fille… Sans pudeur.
– La ce que je pense ? Que je prends plaisir à te sucer… A faire monter le plaisir pour te faire jouir.
Dit elle en crachant sur ma queue tout en continuant de me branler.
– Que tu as de la chance de m’avoir comme pute obéissante qui suce à ta demande. N’importe quand.
– Même quand ta mère dort à côté ?
– N’importe quand… Et puis je crois que je suis encore plus excitee quand il y a quelqu’un à côté sans être vu.
– Leche mes couilles un peu…
Florence regarde encore. Elle m’envoie un message en même temps.
– Ma fille… Quelle salope…. Parle lui encore de moi. Ça m’excite mon cher gendre…
– Appliques toi bien Émilie… Dis, tu penses que ta mère est aussi chaude que toi !?
– Elle te plaît ma mère hein ? T’as de la chance que je sois un peu bizarre comme toi… J’en connais plus d’une qui te giflerai pour des questions pareilles.
Elle réfléchit tout en me sucant. Florence sourit.
– les chiens ne font pas des chats…. Au mieux les chiennes font des chiennes… Alors elle doit être chaude oui. Pourquoi ? tu la baiserais bien ?
– On se dit les choses franchement ?
– On est lancés…
– Tout homme a le fantasme de la femme mûre… Ou belle mère, si les deux vont ensemble oui. Si elle est aussi douée que toi… Je dis pas non.
– Tu t’es déjà masturbe en pensant à ma mère ? Me dit elle en me massant les couilles.
– Je te réponds si tu me laisses baiser ta bouche un peu.
Sans attendre de réponse, elle s’empalle la gorge. Elle est si étroite. Elle reste au fond de longues secondes. Se retire en crachant un long filet de bave.
– Quelle chienne tu es bordel !
– alors ?
– j’ai déjà pensé à ta mère oui.
Elle m’interroge, me masturbant au son des aller retour de son jus de gorge sur la queue.
– Tu lui fais l’amour ou tu la baises quand tu te masturbes ?
– Branles moins fort, tu vas me faire gicler la…
– réponds ou je ralentis pas.
Je la regarde dans les yeux, Florence écoute toujours.
– Belle maman est une vraie chienne. Elle aime être souillée comme sa fille…
– je vais t’offrir un moment qu’aucune autre fille ne te donnera.
– c’est à dire ?
– ferme les yeux. A partir de maintenant, jusqu’à ejaculer, ce n’est plus moi qui te suce c’est elle. Souilles la, souilles moi.
Je n’en reviens pas…. Elle se lâche complètement. Sans le vouloir, je fais sauter un autre tabou. Elle S’empalle sur ma queue, je pose le téléphone même si elle entend encore. Je l’att**** par la tête des deux mains.
– defonce moi la gorge comme une pute. C’est la gorge de ma mère. Vides tes couilles dedans…
Je lui pilonne la bouche… Savoir que Florence nous écoute est encore plus excitant. J’ai juste le temps de me redresser l’att****r par les cheveux et lui gicler une grosse dose de sur le visage… Putain comme c’était bon.
– Attends je finis la vidéo avec ton visage…
Je prends le téléphone, Florence est toujours là.
– Montre ton visage souillée à la caméra.
Elle se racle le visage, récupérant le sperme pour goutter mon sperme.
– Je suis une bonne petite vide couille ? C’est sur le visage de maman que tu aimerais te vider hein…?
– J’adore quand tu es chienne comme ça. C’est certain que je finirai bien sur son visage comme je viens de le faire sur toi… Mais c’est notre secret hein ?
– Évidemment mon amour…
– Dis au revoir pour la vidéo…
Et je raccroche. C’est parti encore plus loin qu’espérer… Nous partons pour le restaurant.
– Tu me prends pas pour un fou avec le fantasme sur ta mère ? Tu m’en veux pas ?
– C’est plutôt moi la folle à te demander d’imaginer que c’est ma mère qui te suce… Tu sais je suis d’accord pour te regarder te faire sucer par une autre… Alors le virtuel ça peut être n’importe qui, même si c’est un peu malsain. Ça m’excite dans le fond. Mais bon, même si je disais oui, jamais elle n’accepterai de coucher avec toi, mariée ou non. Tu es son beau fils quoi !
– C’est certain…. Mais délire à refaire… J’ai adoré ! Vivement demain, à défaut que ça soit ta mère… Ca va être sympa…
– J’ai hâte !
La journée continue, j’écris à Florence.
– Alors ?
– Alors ma fille n’a pas l’air choquée par ton fantasme de baiser ta belle mère, je suis sur le cul.
– C’est peut être le début d’autre chose…
– C’est à dire…?
– Peut être que dans quelques temps, c’est elle qui te lechera, en toute connaissance de cause.
– Non, catégorique. Nous allons déjà bien assez loin.
– Tu as raison… Mais autre chose est possible… On verra ! Tiens moi au courant de ton rendez vous demain chez mon collègue avant qu’on arrive.
– Sans faute. Des conditions ?
– Pas de chichis, sois trash. Je suis curieux de savoir s’il est vraiment comme il le pretend. Grande gueule le mec.
– Je vais le mater lol.
– surprends moi, appelles moi et laisse le téléphone en marche, je veux pourvoir entendre.
– OK.
– Comme la derniere fois, pas de parfum, pas de bijou.
La soirée passe, Émilie m’offre une petite baise comme on l’aime, mais au dernier moment s’arrête. Elle veut que je garde mon ejaculation pour demain…
– Tu me tortures…
– Tu ne seras que plus satisfait demain.
Dimanche arrive.
– J’ai pris la cagoule.
– OK. Florence préfère être spectatrice au début… Elle ne veut pas que tu entendes sa voix, c’est sa condition, en échange au prochain rendez-vous, s’il a lieu, c’est elle qui sera soumise.
– Ouai je m’en fou.. OK ! Je lui demande pas de parler de toute manière Ahaha.
Florence est arrivée à l’appartement loué pour la journée. Mon collègue est à l’heure. Je sors faire une course et écoute tout via son appel, écouteurs aux oreilles Je ne peux manquer une minute…
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