En croisant cette fille dans ma rue en début de matinée, je n’imaginais pas qu’elle viendrait sonner à ma porte un peu avant midi. Elle était châtain très clair, les cheveux mi-longs aux racines sombres. Elle portait une chemisette blanche et une jupe noire, assez strictes.
Quand je lui ai ouvert ma porte, elle souriait, et j’ai tout de suite compris qu’elle faisait du porte-à-porte. Elle avait un étui d’ordinateur à la main et un minuscule piercing à la narine droite.
Elle s’est excusée de me déranger et m’a expliqué qu’elle réalisait une enquête pour je ne sais plus quelle agence. Une enquête sur les occupations des personnes qui vivaient seules. C’était mon cas depuis deux ans, suite à un divorce désastreux. J’habitais dans une petite maison, dans un quartier calme. J’allais sur mes 50 ans et j’en ai donné 20 à cette fille.
Je lui ai confirmé que je vivais seul et elle m’a demandé si j’avais un petit quart d’heure à lui consacrer.
Je l’ai invitée à entrer et elle m’a précédé vers le salon. Dans le couloir, j’en ai profité pour mater la forme de son cul sous sa robe.
Je l’ai invitée à s’asseoir à la table et elle a pris une chaise, puis sorti un petit ordinateur qu’elle a allumé en me disant :
« C’est très aimable à vous de m’accorder un peu de temps. »
« C’est tout naturel. Voulez-vous un café ? »
Elle a fait une petite moue absolument craquante :
« Non, c’est gentil. J’en ai déjà trop bu ce matin. »
« Un petit verre ? J’étais sur le point de m’en servir un. »
« Bon, d’accord pour un petit verre. »
Dans la cuisine, j’ai rempli deux ballons de vin blanc à ras-bord, puis j’ai rejoint cette charmante demoiselle. J’ai pris une chaise, je me suis installé en face d’elle et j’ai poussé le gros vase posé au milieu de la table, parce qu’il m’empêchait de profiter de la chemise blanche dont trois boutons étaient défaits. Elle semblait avoir une belle poitrine et un soutien-gorge blanc.
« Merci pour le verre, a-t-elle dit. »
« Je vous en prie. Je vous écoute. »
Les premières questions qu’elle me posa étaient prévisibles. J’ai évoqué mon divorce, mon fils de 19 ans qui suivait des études, ma profession et mes loisirs, c’est-à-dire un peu de jogging, le cinéma le week-end, la pêche et Internet. Tout ceci prit deux minutes.
Puis ce fut mon tour de lui poser une question :
« Vous êtes employée pour cette agence ? »
« Non, a-t-elle dit. Je suis en stage dans le cadre de mes études. J’ai commencé il y a trois jours. »
Je la trouvais mignonne à croquer. Elle avait la voix d’une adolescente, mais aussi des façons qui m’ont fait sentir qu’elle était un peu naïve. En tout cas, pas encore prête à affronter le monde du travail.
Elle m’a posé deux ou trois autres questions assez convenues, puis on est arrivé sur un terrain sensible.
Elle m’a demandé :
« Quels sont les genres principaux de sites internet que vous fréquentez au quotidien ? Vous avez droit à trois genres. »
J’ai pris une gorgée de vin et j’ai répondu :
« Je consulte l’actualité tous les matins sur le site de Libération. »
Elle a noté la réponse sur son écran et j’ai poursuivis :
« Je regarde beaucoup de séries, surtout sur le site d’Arte. »
Elle a hoché la tête en tapant ma deuxième réponse, puis j’ai pris l’air de réfléchir intensément à la troisième. L’air d’hésiter entre plusieurs.
Je me suis décidé :
« Et puis des sites pornographiques. »
Elle a levé les yeux vers moi, juste une seconde, et je me suis demandé si elle n’allait pas se lever et s’enfuir. Mais non, elle a seulement ravalé sa salive, puis écrit la réponse.
J’ai dit :
« J’espère que ça ne vous choque pas ? »
Elle a remué la tête en disant :
« Non, non, rassurez-vous, vous n’êtes pas le seul homme célibataire à fréquenter ce genre de sites. Par contre, cette réponse me mène à ouvrir une page spécifique de mon questionnaire. Attendez une seconde… »
Elle a fait une manipulation, s’est raclée la gorge, puis a pris son verre pour boire deux gorgées d’un seul coup.
« Alors…, a-t-elle dit. Quand vous dites ˜pornographique˜, s’agit-il de photos ? De vidéos ? De films en streaming ? D’autre chose ? »
« Plutôt des vidéos. Il y en a des centaines de milliers en ligne. Mais il m’arrive de me faire des galeries de photos également. »
Elle a noté ma réponse et continué :
« Avez-vous des thématiques préférées ? »
J’ai fait :
« Ben… Les femmes. »
Elle a souri :
« Oui, d’accord, mais lorsque vous lancez une recherche, quels mots clés entrez-vous le plus couramment ? »
J’ai réfléchi pendant quelques instants :
« Je dirais : fille jeune avec homme mûr. »
Elle a hoché la tête en me regardant, puis elle a noté ma réponse.
« Il me faudrait deux autres catégories, a-t-elle dit. »
J’ai terminé mon verre et je l’ai vue prendre deux autres gorgées.
J’ai répondu :
« Etudiantes salopes et jeunes vicieuses. »
Elle a eu un petit sursaut et s’est de nouveau raclée la gorge. Elle a entré ma réponse, puis elle a fini son verre.
Je me suis levé :
« Je vais nous resservir, ai-je dit. »
Elle a de nouveau eu cette petite moue adorable :
« Je ne voudrais pas abuser… »
J’ai pris les deux verres et suis parti les remplir. A mon retour, elle se rongeait un ongle, les yeux fixés sur son écran. Je lui ai tendu son verre et elle a bu aussitôt.
Puis elle a repris ses questions :
« Vous arrive-t-il de vous masturber en regardant des vidéos ? »
J’ai souri en soupirant :
« Oui. A peu près tous les jours. »
Elle a entré la réponse et je lui ai dit :
« Et vous ? »
Elle a levé la tête en disant :
« Moi ? »
« Oui. Est-ce que vous allez sur ce genre de sites, parfois ? »
Elle a détourné le regard, l’air embarrassé. Puis elle a pris son verre et j’ai noté que ses mains tremblaient un peu.
Elle a reposé son verre et fini par répondre :
« Oui, de temps en temps. »
« Et vous vous masturbez ? »
Elle a sursauté, rougi, puis fini son verre cul sec. Ensuite, elle a levé les yeux vers moi et dit :
« Oui. »
« En matant des vidéos ? »
Elle a évacué une mèche de cheveux de son visage, décroisé et recroisé ses cuisses sous la table, puis trouvé son verre vide.
Sans oser me regarder, elle a dit :
« C’est différent. Je fais plutôt de la webcam. »
J’ai fait :
« Ah ? J’aime bien regarder des vidéos de filles en webcam. J’ai oublié de le préciser dans mes réponses, tout à l’heure. »
« Je vais l’ajouter, a-t-elle dit en reprenant son clavier. »
J’ai terminé mon verre et me suis levé en emportant aussi le sien, sans lui demander son avis.
A mon retour, je lui ai demandé si elle voyait un inconvénient à ce que je lui pose d’autres questions, et elle a répondu :
« Non, non… »
Alors je lui ai dit :
« Vous vous exhibez, donc ? »
« Oui, c’est ça. »
« Devant des hommes de quel âge ? »
« Ça dépend. Plus vieux que moi, en général. »
« Pourquoi ça ? »
Elle a souri et pris une gorgée de vin :
« Parce que les vieux sont plus pervers que les mecs de mon âge. »
J’ai acquiescé en prenant mon verre, puis j’ai bu en la regardant dans les yeux. Elle a suivi mon geste tout en se rongeant un autre ongle.
J’ai continué :
« Vous montrez tout en webcam ? »
« Oui. »
« Vous le faites souvent ? »
Elle a haussé une épaule et répondu :
« Plus ou moins tous les soirs. »
« Hier soir, vous l’avez fait ? »
Elle a hoché le menton :
« Oui. »
J’ai reposé mon verre et dit :
« Vous savez ce qui me ferait plaisir ? »
Elle a fait non de la tête et j’ai précisé :
« J’aimerais que tu te lèves et que tu te foutes à poil devant moi. »
Elle a souri :
« Là, tout de suite ? »
« Oui. »
Sans cesser de sourire, elle a soupiré, puis bu.
Ensuite, elle s’est levée doucement de sa chaise et s’est mise à défaire les boutons de sa chemisette.
Son soutien-gorge était effectivement blanc. Blanc et transparent. On voyait ses tétons dessous. Elle a posé sa chemisette sur le dossier de sa chaise, puis elle a défait une fermeture de sa jupe, située le long de son cul. Dessous, elle portait une culotte assortie au soutien-gorge. Elle l’a enlevée avant le soutif et sa chatte est apparue. Elle était lisse.
Je lui ai dit :
« Garde ton soutif. »
Elle a stoppé ses gestes et laissé ses mains pendre le long de son corps en me regardant avec un air un peu confus, comme si elle avait eu honte de se retrouver devant moi avec sa chatte à l’air.
« Tu as un copain ? »
« Oui, mais il fait ses études à Orléans. »
« Il sait que tu te fous à poil devant des hommes en webcam ? »
« Non. »
J’ai bu des gorgées de vins, puis je me suis mis debout à mon tour. J’ai défait ma ceinture, mes boutons, et j’ai sorti ma queue. Elle était raide comme un bout de bois. Je me suis mis à me branler et j’ai dit à la fille :
« Masturbe-toi. »
Elle ne m’a pas fait répéter. Elle a porté sa main droite à sa chatte, puis elle a légèrement écarté les jambes avant de se mettre à caresser son clito en poussant des petits souffles.
J’ai dit :
« Enlève ton soutif, il faut que je voie tes nichons. »
Elle a obéi aussitôt et ses seins sont tombés un peu sur son ventre. Ils étaient superbes : volumineux et lourds, ornés de larges auréoles. Ses tétons étaient mous, mais ça n’allait pas durer.
Elle s’est remise à se masturber.
J’ai dit :
« Tu aimes les bites ? »
Elle a fait oui de la tête, sans dire un mot.
« A part celle de ton copain, tu en suces ? »
Hésitante, elle a murmuré :
« Oui. »
« La dernière en date, c’était quand ? »
« Hier, dans l’après-midi. »
« C’était qui ? »
« Un vieux monsieur qui venait de répondre à mon questionnaire. Il était très gentil. »
« Il t’a sautée ? »
Elle a fait oui de la tête, sans un mot. Elle regardait ma queue.
J’ai ajouté :
« Je n’ai pas de préservatif, ça t’ennuie ? »
Elle a dit :
« Non. »
« Dans ce cas, dis-moi où tu veux qu’on le fasse. Dans cette pièce ? Dans ma chambre ? Ailleurs ? »
Ses doigts ont accéléré et elle a mieux écarté les jambes :
« J’aime bien m’empaler sur des queues dans un lit, sous les draps, mais j’aime aussi le faire par terre, dans n’importe quelle pièce. »
Ma queue me faisait mal, tellement je bandais. J’évitais de toucher mon gland, car je savais que j’éjaculerais vite. Et je ne me trompais pas.
La fille s’est mise sur mon canapé, à genoux, dos à moi. Je lui ai sucé le cul pendant quelques secondes, puis j’ai bouffé sa chatte sans qu’elle cesse de se branler le clito en poussant des petits gémissements très aigus.
Ensuite, je me suis redressé et j’ai approché mon gland de sa moule, tout en cramponnant fermement son cul. Je l’ai enfoncé délicatement et je l’ai senti glisser entre les lèvres mouillées. J’en ai profité pour palper ses gros nichons qui se balançaient, puis j’ai fait quelques va-et-vient en elle. Ses tétons étaient durs à présent, et moi je regardais ma queue qui pénétrait cette chatte parfaitement lisse qui luisait de mouille.
J’aurais eu envie que ça dure des heures, mais je savais que je ne tiendrais pas. Mon gland avait le volume d’un abricot à l’intérieur de cette moule un peu serrée. Un mouvement brusque et je déchargeais.
Alors j’ai fait au mieux pour en profiter encore un peu.
On s’est assis côte à côte dans le canapé et elle s’est penchée pour me sucer. Je me suis remis à malaxer ses nichons d’étudiante et je lui ai dit :
« Fais tourner ta langue autour de mon gland. A la base, comme ça, c’est très bien. Doucement, petite salope. Voilà, c’est parfait. »
Ses seins avaient la consistance de ballons en caoutchouc aux deux tiers remplis d’eau. Je les aurais tripotés de cette façon pendant des jours et des jours, sans m’en lasser, si seulement je n’avais pas giclé d’un seul coup dans sa bouche. Une grosse décharge brûlante que j’ai sentie percuter le fond de sa gorge, tandis qu’elle gémissait. Le sperme a presque aussitôt coulé de sa bouche, sur son menton, et la deuxième giclée fut encore plus intense. La fille avait l’air de baver du lait, et elle continuait de me pomper.
Le troisième jet de sperme a failli la faire tousser, mais elle s’est retenue. Elle a sorti ma queue de sa bouche et m’a regardé dans les yeux sans cesser de serrer mon gland entre ses doigts. Les ultimes petites gouttes qui ont jailli m’ont secoué comme une décharge électrique. Mon corps était tendu à mort et les mouvements des doigts qui tenaient ma queue ont ralenti.
Et alors, j’ai entendu la voix de la fille dire :
« Mon questionnaire n’est pas tout à fait terminé. Je me rince la bouche et on s’y remet ? »
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