Un été, ma compagne de l’époque et moi-même étions en vacances dans ma maison familiale dans le sud de la France.
Famille et Amis absents, nous nous ennuyions comme seuls les actifs en vacances savent le faire, d’autant que nous n’avions rien de prévu comme activités.
Dans ma tête, un plan se met en place pour profiter de cet ennui et le transformer en plan coquin qu’elle saura apprécier !
Je lui annonce dans la journée qu’un cousin me doit une fleur, et qu’il me prête les clés d’un de ses appartements inoccupé pour la soirée. (Dans cette région, la plupart des maisons ont des gîtes en location pour l’été, et c’est le cas pour ma propre résidence)
Je lui propose de se préparer pour le soir pour une soirée coquine.
sur ma proposition, au sortir d’un bon bain, elle se maquille, met une jolie robe un peu courte que j’aime bien mais … sous-vêtements interdits !
je lui bande les yeux, la seule règle qu’elle se doit de respecter : Interdiction de le retirer, sous aucun prétexte.
nous prenons la voiture, et je conduis jusqu’à la ville la plus proche, ou en plein été les terrasses de café sont saturées de musique par les groupes locaux.
Néanmoins, je lui ai joué un tour : Aucun cousin ne m’a passé ses clés.
Par contre, la maison de location attenante à notre résidence est vide. C’est ici que je compte l’amener pour qu’elle se déchaîne ! Un chance qu’elle ne connaisse pas bien cette location !
Je reviens donc à la maison, mais par un chemin détourné, et me gare dans l’autre rue.
je la fais rentrer à l’intérieur.
Dans le séjour, je l’embrasse, la caresse, lui bécote la nuque alors que je suis dans son dos, puis, je lui demande de relever sa robe jusqu’aux épaules et de rester comme ça, les bras derrière la nuque, pendant que je vais préparer la chambre.
Une tableau divin, une vision de paradis : Magnifiquement indécente, ma compagne exhibe sa lourde et belle poitrine nue, la tête en arrière, dos cambré, ce qui fait se tendre ses fesses arrogantes.
Le triangle de sa toison intime au dessus de ses deux longues jambes légèrement écartées se présente comme une promesses de plaisirs ultimes !
Quand je suis de retour, je la gronde, car elle a rabaissé sa robe.
– quand tu es partie, j’ai eu peur de ne pas être seule et que des hommes me regardent.
– C’est vrai, lui réponds-je en caressant les parties de son corps que je cite, des hommes pourraient être là, silencieux, en train de se caresser devant ton corps, imaginant glisser leur chibre entre tes lèvres (je lui fais suçoter mon doigt, puis l’embrasse), ou dans ta petite chatte trempée (je la caresse), ou dans ton mignon petit cul (je lui effleure les fesses) mais tu es seule. Promis j’y penserai la prochaine fois !
– Non non ! Pas besoin ! (nous gloussons tous les deux)
– Tu me suis, ma belle ?
Je la guide donc avec douceur vers la chambre.
Je la fais se dresser sur ses genoux, sur le lit, dos à moi.
Là, je lui caresse longuement les épaules, le dos, j’embrasse sa nuque, mon souffle caresse son cou, elle gémit profondément.
Mes mains passent sous sa courte robe, remontent le long de ses hanches, son ventre pour trouver ses seins.
Si je ne la savais pas si friande de douceur et de volupté, et si nous n’aimions pas autant cette robe tous les deux, je la déchirerais pour me jeter sur son corps comme un homme assoiffé dans l’étang d’un oasis.
je la déshabille, et lui propose de s’asseoir sur le lit.
(Elle a toujours les yeux bandés, et n’a toujours pas deviné ou elle était !)
C’est au tour de ses mains de glisser sur moi, et de s’attarder sur ma ceinture.
Son visage se lève vers moi, et même sans voir son regard, son sourire en coin me renseigne sur le fait qu’elle est passée en mode « Canaille » !
Elle fait tomber short et caleçon sur mes genoux à la vitesse de l’éclair avant d’engouffrer mon sexe dans sa bouche ….
Je suis généralement à sa merci dans ces cas-là.
Cette fois-ci ça n’a jamais été aussi vrai, tant elle met de l’ardeur à me sucer.
je caresse doucement ses cheveux et profite de sa langue diabolique qui tourne autour de mon gland …
mes mains descendent sur sa poitrine, que je pétris doucement, j’effleure la pointe de ses tétons, elle se met à haleter contre mon sexe.
Au travers des gémissements, elle darde le bout de sa langue vers ma queue, puis, n’en pouvant plus, entoure ma taille de ses bras, plaque ses mains sur mes fesses et attire mon bassin vers elle brusquement et enfonçant mon sexe dans sa gorge jusqu’à la garde !
Une de ses mains agrippe la mienne pour la poser sur sa tête. Ce geste a toujours été un code très clair : « BAISE MA BOUCHE !!! »
je la saisis alors par les cheveux et mène un peu le mouvement.
Son désir de m’engloutir satisfait, elle finit par se dégager en poussant un soupir de satisfaction et d’excitation extrême.
C’est alors à mon tour de prendre le relais.
Elle s’allonge sur le dos, écarte ses jambes et mes lèvres partent à la rencontre son joli minou.
Ma bouche part de son genou, effleure la peau douce de l’intérieur de ses cuisses, puis, taquine, remonte sur sa cuisse, l’air de ne pas y toucher.
je redescend ensuite vers son sexe, doucement et mord brusquement -mais doucement- le gras de la cuisse situé sous l’aine.
Elle sursaute et gémit, je devine que son cœur est en train de battre la chamade !
Mes lèvres se posent ENFIN sur son trésor. Je lèche doucement, longuement son sexe, de haut en bas.
Je sais qu’elle aime qu’on prenne notre temps,aussi, je ne me jette pas sauvagement sur sa petite fraise des bois, mais titille, de la pointe de la langue, ses petites lèvres, puis les prends entre mes lèvres et pince trèèèès doucement.
c’est quand sa petite griotte est gonflée et rouge à point que je délaisse ses nymphes pour commencer à l’agacer, d’abord avec mon souffle, ce qui la fait sursauter, puis du bout des lèvres.
Je vais de son petit bouton aux nymphes, puis revient, puis repart, glisse à nouveau sur l’intérieur de ses cuisses. (mon dieu que cette peau est douce !)
Pendant ce temps, mes mains caressent et masse voluptueusement sa poitrine.
Elle fourrage ma tignasse à deux mains en gémissant, puis me demande de la pénétrer dans un souffle…
Nous nous redressons, elle en profite pour ré enfourner frénétiquement mon sexe entre ses lèvres, et elle se met à quatre pattes pour que je la prenne en levrette.
Je la pénètre, et commence à aller et venir dans son intimité brûlante (rarement aussi chaude et humide, détail qui m’enflamme car je crois bien avoir réussi ma surprise grivoise !)
Je guide le mouvement en la tenant tantôt par le bassin, tantôt par la poitrine, elle prend a certains moment le contrôle en guidant elle même le mouvement en approchant ses fesses de mon ventre.
« Ne bouge pas, laisse moi faire ! » et de gémir à chaque fois qu’elle s’empale sur mon dard d’un coup de reins !
Elle décide de changer de position, me pousse sur le lit, sur le dos, et me chevauche. (Elle est habituellement assez mauvaise joueuse, mais elle a, cette fois-ci étonnamment joué le jeu, et elle garde le foulard sur ses yeux.)
Mes mains courent sur sa poitrine, et comme souvent dans cette position, elle glisse une main derrière elle entre ses fesses et me caresse les bourses du bout des doigts.
Elle n’est pas d’humeur à la sodomie ce soir (bien qu’elle adore ça) nous restons donc dans cette position, et très vite c’est dans cette position qu’elle finit par jouir en criant.
Étonnamment, alors qu’elle est habituellement friande de sperme, elle ne me fait pas exploser dans sa bouche :
– tu ne veux pas boire mon sperme ?
– Non, j’ai envie que tu gicles sur mes nichons, me lance-t-elle avec son sourire coquin.
J’exécute donc les ordres de ma belle, Je répands mon jus tiède sur ses seins.
Après un moment nécessaire pour reprendre nos esprits, pendant lesquels nous avons fait un câlin sur le lit, et, alors que nous sommes tous les deux nus comme des vers, je la guide vers la partie commune des habitations et c’est là que je lui retire son bandeau.
Elle s’aperçoit qu’en fait, elle était toujours chez nous, mais le voyage était tellement prenant (elle m’a confié sincèrement de s’être rendu compte de rien tout le long), qu’elle se retourne vers moi des étincelles dans les yeux et m’embrasse fougueusement.
Parfois, faire rêver et fantasmer, c’est aussi simple que de changer la perception qu’on a de la réalité avec un bandeau.
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