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Chap 17 : Nourrie, logée, baisée

Chap 17 : Nourrie, logée, baisée



Je m’appelle Teresa, j’ai 23 ans. Je mesure 1m65 pour 64kg. Je suis un peu enrobée, je le sais, j’y peux rien, j’adore manger et le sport est une notion qui m’est étrangère.
Brune aux cheveux longs, de fins sourcils que j’épile soigneusement. J’ai pour atout d’avoir de très beaux yeux marrons clairs. Mais j’ai aussi la naissance d’un double menton qui m’horripile affreusement. Il va vraiment falloir que je me prenne en main. Surtout que ça fait bientôt 1 an que je suis célibataire et ça m’énerve car la plupart de mes copines sont maquées. Hélas pour moi, je dois faire avec. Je regrette presque le temps où certains garçons du lycée me disaient que j’étais « bonne ».

Je vis au bord de l’océan chez mes parents Thierry et Michèle. J’ai un petit frère de 19 ans, enfin un jeune frère car c’est devenu une armoire à glace. J’ai également une petite sœur de 16 ans, qui me ressemble beaucoup lorsque j’avais son âge. J’espère pour elle que sa morphologie est différente de la mienne.

J’ai un BTS force de vente en poche, malheureusement je ne trouve aucun job qui me corresponde dans mon secteur. J’ai donc décidé d’élargir le périmètre de mes recherches.
J’aimerais dégoter un poste dans le marketing commercial. Je suis dynamique, volontaire, motivée, je vais bien finir par être embauchée quelquepart. J’ai envoyé un nombre incalculable de CV et miracle, j’ai eu plusieurs réponses positives.
Je vais aller passer des entretiens à Nantes. J’en ai 3, que j’ai réussi à programmer sur 2 jours.
De plus, j’ai une vieille connaissance là-bas, il pourra peut être m’héberger pour une nuit.

J’ai contacté Christophe par MSN, il a accepté de me loger sans sourciller. Il est vraiment adorable ce mec.
Lui et moi, on se connaît depuis qu’on est gamins. Nos papas travaillent dans la même société, ils sont bons collègues.
On ne se voyait que 2 ou 3 fois par an, lors des sorties familiales organisées par l’agence et lors du fameux arbre de Noël. À chaque fois, on avait de gros délires, il me faisait toujours rire avec ses pitreries.
Adolescente, les hormones, la découverte de mon corps, mon intérêt grandissant pour les garçons, je le trouvais de plus en plus beau. C’est à 15 ans qu’il m’a fait fondre la première fois.
Au repas de Noël, il est sorti discrètement pour allumer fumer en cachette. Pour moi, il représentait un peu le mauvais garçon, le rebelle. Nous l’avons rejoint avec une copine et nous avons rigolé ensemble. Puis a commencé un jeu de bisous. C’est Juliette qui en avait eu l’idée. Je pense qu’il lui plaisait aussi et ça semblait réciproque. J’en étais jalouse. Il a d’abord embrassé ma copine, puis elle m’a embrassé par défi. J’ai pas trop apprécié, mais lorsque Christophe a posé ses lèvres sur les miennes, « houlala », mon cœur s’est emballé à une vitesse…, et mon petit abricot s’est mis à couler. J’ai senti ma culotte humide tout le reste de la soirée.
Ça n’avait été qu’un petit jeu d’ado, un baiser, un seul et unique baiser, mais cela m’avait beaucoup excitée. Je me souviens que cette nuit là, je me suis masturbée plusieurs fois.
Ce garçon me plaisait, mais vu qu’on ne se croisait jamais le reste de l’année, je n’en faisais pas une priorité.

L’année suivante, il n’est venu à aucune manifestation. Ce n’était plus de notre âge. Moi-même hésitante à faire le déplacement, j’accompagnais mes parents uniquement pour revoir ce séduisant jeune homme qui m’avait tant fait vibrer. Quelle déception en ne voyant que son petit frère.

Une nouvelle année débute. J’ai alors 17 ans lorsque le comité d’entreprise de la société de papa organise un weekend au futuroscope. Christophe est du voyage. Quelle ne fut pas ma joie, lorsque je l’ai aperçu dans le car, assis à côté de son petit frère. Il est encore plus beau que dans mes souvenirs. Plus d’un an et demi que je ne l’ai vu.
Il m’a regardé différemment et m’a sourit. J’ai le sentiment qu’il m’a trouvé à son goût. En même temps, j’avais pris plus de formes et j’avais troqué mes vêtements de midinette contre des tenues disons plus femme.

Nous sommes plusieurs ados de la même tranche d’âge. On se connaît tous plus ou moins et le premier jour, nos parents nous laisse quartier libre avec l’obligation de les rejoindre pour le déjeuner, puis a 18h. Nous passons une journée géniale. Christophe n’a pas changé, il est toujours aussi drôle. C’est le genre de personne avec qui on ne s’ennuie jamais.
Il ne se doute pas que j’ai un petit faible pour lui et lorsqu’il s’est collé à moi dans une file d’attente, j’ai cru que j’allais me liquéfier sur place. J’aurais pu faire la queue (enfin façon de parler) pendant des heures, juste pour être à son contact.

Le soir, nous dormions à l’hôtel, sa chambre était proche de la mienne. Je regardais la télé, assise dans mon lit en nuisette, lorsque Chris et son frère ont fait irruption. Ils n’avaient pas envie de dormir. Chris s’est glissé sous mes draps. Nous bavardons amicalement pendant que nos petits frères jouent aux cartes Pokemon.
Soudain, sa main prend la mienne sous les draps par discrétion, puis il me caresse la cuisse en me disant qu’il me trouve belle. Je suis toute chamboulée, j’ai envie qu’il m’embrasse, je veux passer ma nuit avec lui et qu’il soit le premier à me déflorer. Malheureusement, il ne s’est rien passé ce soir là, les 2 petits rapporteurs nous empêchaient de profiter l’un de l’autre.

Le dimanche, nous avons passé une grande partie de la journée rien que tous les deux et dans la pénombre de la salle du cinéma dynamique, il m’a embrassé en tatant mes lolos. J’étais comblée.

Et que dire du retour tardif en autocar? Assis l’un à côté de l’autre au fond du bus, il a attendu que tout le monde dorme autour de nous pour mettre sa main dans ma culotte. Il a caressé mon minou poilu. J’ai défait le bouton de mon pantalon pour lui faciliter l’accès. Il m’a doigté et a masturbé mon bulbe d’amour. J’étais totalement excitée, je mouillais comme jamais. J’ai alors glissé ma main dans son caleçon. Sa verge dans le creux de ma main était dure, chaude, épaisse, j’arrivais à peine à joindre mes doigts enroulés autour. Je l’ai branlé. Que c’était bon. J’avais envie de voir à quoi elle ressemblait.
Lorsqu’il a ejaculé dans son caleçon, mon orgasme s’est déclenché immédiatement. Son liquide reproducteur qui coulaient sur mes doigts, les siens fouillant mon intimité gluante, sachant mes parents à quelques sièges de nous, j’ai eu envie de crier ma jouissance dans le fond de ce bus, mais je l’ai savourée en silence.
Que de bons souvenirs, j’en ai les larmes aux lèvres…
On en créera peut être de nouveaux chez lui, je ne serais pas contre une nouvelle relation éphémère.
Mais bon ça fait 3ans et demi qu’on ne s’est pas revu. La dernière fois, c’était dans un bar, nous étions tous les deux en couple. Il l’est peut être encore. Et même s’il est célibataire, il ne faut pas que je me voile la face, je risque de ne plus lui plaire. J’ai pas mal forci depuis notre dernière rencontre.

LUNDI
Je prends le train pour Nantes en fin de matinée. Dans l’après-midi, je passe deux entretiens, puis je vais faire un peu de lèche-vitrines.
18h, j’arrive chez mon ami. Il m’ouvre, je suis perturbée. Lui aussi a pris du volume, mais lui c’est musculaire. Il porte un tee-shirt très moulant qui met ses biceps et ses pectoraux en valeurs. Je sens mon bas-ventre qui gargouille…qu’il est beau.
Son appartement est propre et impeccable. C’est un homme soigné. J’apprécie.
Il me présente son colocataire. Il est pas mal lui aussi.
Mon hôte me désigne la pièce dans laquelle je vais séjourner. C’est sa chambre.
– J’espère que ça ne te dérange pas qu’on dorme ensemble, je n’ai qu’un lit.
– Non, il n’y a aucun soucis, ça me va.
J’ai des pensées grivoises en me disant que c’est sûr, je vais passer à la casserole. Je n’ai pas une grande expérience sexuelle, mais je connais les rapports humains et généralement quand un homme et une femme dorment ensemble, il se passe quelque chose.
Il m’invite à prendre une douche si je le souhaite. C’est pas de refus, cette journée m’a rendue moite.
Cette pluie chaude me fait énormément de bien. De plus, je suis toute emoustillée, je suis nue à quelques mètres de lui. J’aimerais qu’il me rejoigne, surtout que j’adore le faire sous la douche. Ma main se faufile sur ma fourche fraîchement tondue pour l’occasion, je me caresse un peu, furtivement, il faut que j’en garde pour ce soir, on ne sait jamais.
En sortant de la salle de bain, il est au téléphone avec une certaine Maeva, il a finalement quelqu’un, zut! Il faut que j’en ai le cœur net. Il raccroche.
– C’était ta copine?
– Non, juste une amie.
– Mais tu as quelqu’un dans ta vie?
– Non, je suis libre comme l’air et toi?
Ces mots résonnent dans ma tête comme une possible aventure nuptiale.
– Je suis seule également.
– Tu n’es plus avec…comment il s’appelait déjà?
– Nicolas. On s’est séparé il y a un an environ, on ne s’entendait plus du tout.
Cela ne lui fait ni chaud, ni froid de me savoir célibataire. Il doit me trouver laide avec mes kilos en trop.

– Tu as faim?
– Oui un peu.
– Des tomates farcies ça te va?
– C’est très bien, de toute façon, je ne vais pas faire ma difficile. C’est déjà très gentil de ta part de m’héberger, d’ailleurs tu me diras si je te dois quelque chose?
– Et puis quoi encore, tu es mon invité, au pire tu me payeras en nature et je te rembourserai en liquide.
On rigole de sa boutade. S’il savait que ça ne me dérangerait pas…
Je le regarde cuisiner, les odeurs de thym et de laurier embaume la pièce. Il me plait de plus en plus. Moi qui adore manger, voir un beau mâle cuisiner ne me laisse pas de marbre. Je sens mes tétons durcir de plus en plus.
Le repas est succulent, je mange avec appétit.
Mais un autre appétit me gagne de plus en plus.

C’est l’heure du coucher, je vais me préparer dans la salle de bain. Je suis un peu nerveuse et en même temps folle de désir. Mes idées coquines ressurgissent pendant que je me lave les dents.
Mais est-ce que je tente une approche? S’il me repousse, je vais être super mal. Et lui, envisage-t-il quelque chose? Se souvient-il de notre séjour au futuroscope? Serait-il possible qu’il ait eu les mêmes intentions que moi et qu’il ait changé d’avis en me voyant? Mais si jamais, on couche ensemble, juste pour une nuit, ne va-t-il pas me considérer comme une fille facile ou une salope?
Il faut que j’arrête de me poser des questions. Qui vivra verra.
J’enfile ma nuisette en espérant ne pas la garder toute la nuit. Je garde ma culotte? Non, allez, je dois mettre toutes les chances de mon côté. Je rajoute une touche de sent-bon entre mes seins et au lit.

Je me couche près de lui sur le dos. Mon cœur bat la chamade.
Je garde les yeux ouverts de longues minutes dans le noir complet. Le silence est d’or. Mais rien ne se passe et je n’ose pas faire le premier pas. Peut-être que lui non plus n’ose pas. Non, c’est un mec, s’il avait eu envie de moi, il me l’aurait déjà démontré d’une manière ou d’une autre. Tant pis, je garderais ce fantasme dans un coin de ma tête. Je me tourne sur le côté, dos à lui.
Soudain, je l’entends bouger, puis quelques instants plus tard, nos pieds se frôlent, puis se caressent progressivement.
Il se serre contre moi, passe son bras sous mon corps, l’autre sous mon aisselle et il m’enlace de ses muscles que je caresse. Son corps est brûlant, c’est un radiateur humain.
Ses mains en coquille se posent sur mes seins, qu’il masse sensuellement. Ce ne sont plus des papillons que j’ai dans le ventre, mais une ruche, voir une fourmilière. Je sens ma minette devenir très humide. Tous les deux collés-serrés en position foetale, je sens son excroissance bien dure butée contre mes fesses. Là c’est sûr, il a envie de moi. Dans ma tête c’est le 14 juillet et le carnaval de Rio réunis. J’ai envie de me retourner pour l’embrasser, mais je suis si bien ainsi.
Il est tendre, il m’embrasse dans le dos, sur l’épaule. Il pétrit mes seins, qu’il a sorti de ma nuisette je ne sais comment. Il triture mes tétons aussi durs que de la roche et les fait rouler.
Je soupire gaiement.
Je passe ma main derrière moi et je câline son gros tube de chair par dessus son short. J’ai hâte de le sentir en moi.
Ça y est, il remonte ma nuisette, je pousse en arrière pour qu’il sente bien mes grosses fesses contre sa verge. Il me caresse les cuisses, c’est divin. J’aime qu’un homme sache prendre son temps avant d’aller à l’essentiel. Sa main remonte, il masse mon ventre, il ne dédaigne pas mes petits bourlets. Je glisse ma main dans son short et cajole sa bistouquette toute chaude. Elle m’avait semblé très grosse à l’époque, mais finalement, elle est de bonne taille, ni trop petite, ni trop longue, quoiqu’un peu épaisse, mais j’aime bien. Je le decalotte doucement et démarre mes mouvements de poignets. Il se met à grogner, je sens son souffle chaud sur ma nuque.
Sa main descend, survole mon triangle pubien et son majeur s’attarde sur mon petit berlingot. Il me branle avec doigté, je coule telle une rivière. Il continue son chemin et s’aventure dans mon intimité détrempée, alors que je l’astique de plus en plus vite. Mon dieu ce que c’est bon, ses deux doigts me font délirer, je gémis. Mon cœur palpite, j’ai de plus en plus chaud. Il va gagner la bataille de la masturbation, je…hum, oui je jouis. Mon orgasme est intense. Je le sais, je le sens, ma nuit va être bonne car à mon avis, je vais jouir encore plus.
Nous sommes nus, il est sur moi, on s’embrasse. Ma minette ne cesse de pleurer. Il me lèche les lolos, je sens son organe contre moi, j’ai envie qu’il me prenne. Mais le fripon glisse sa tête entre mes cuisses. Il me crache sur le vagin et me lape avec brio. Tel un archéologue, il fouille mes trésors de sa langue dardée. Je bascule mes jambes en arrière pour lui offrir toute ma reconnaissance. Ce petit vicieux en profite pour me lécher la raie et mon petit trou. Mais ça ne se fait…hum, Houlà, mais si ça se fait et…hum, putain, whaou, c’est super bon. C’est une nouveauté pour moi et cette langue au fond de mon orifice anal décuple mon plaisir. Il revient s’occuper agréablement de mon clitoris, il le lèche, l’aspire et lorsqu’il le mordille, je pars en trombe dans un nouvel orgasme, sa tête prisonnière de mon étau.
Je suis sur un nuage de volupté, pourvu qu’il est des capotes.

Il se lève et habille son obélisque de chair de son petit k-way. Il revient à la charge, mais je veux le surprendre. Je suis sûr qu’il aurait aimé une petite pipe, mais c’est pas trop mon truc, encore moins sur un sexe enveloppé de latex.
Je positionne mes pieds autour de son gros kiki et lui prodigue une masturbation pédestre. Ses râles m’indiquent qu’il apprécie. Il ne tient plus, idem pour moi. Il me saisit par les chevilles et m’écartèle en V avant de me pénétrer. Je l’ai souhaité, imaginé, rêvé, fantasmé et voilà qu’il me possède enfin. Il me laboure vigoureusement, me faisant chanter des « Oh » et des « Ah », mais dans mon esprit je lui parle autrement:  » Vas-y,prends moi comme une chienne, baises-moi encore, plus fort ».
Je jouis de sa belle pine, qu’il manie bien, je sens mon jus d’amour dégouliné le long de ma raie.
Il se retire, je le réclame encore:
– Oh non, reviens par pitié.
Mais il n’en a que faire et me broute à nouveau. Oh mon dieu, c’est un amant exquis.
Je l’attire sur le lit pour le chevaucher. Empalée sur cette bonne bite, je mène la danse en gémissant mon plaisir. Il masse mes seins pendant que j’ondule, tangue, monte et descend, mon orgasme démesuré m’oblige à crier.
À bout de force, je m’écroule sur lui, qui prolonge notre coït. Ses mains sur mes fesses, ses va-et-vient sont rapides, puissants, profonds.
Ah, ah, ah, ah, ah, je vocalise de plus belle. Il chatouille mon anus lubrifié et y enfonce son doigt. La fausse note. C’est dingue, ils sont tous pareils, je ne comprendrais jamais cette fascination qu’on les hommes pour notre trou de balle. Mais puisque c’est lui, puisqu’il m’a déjà donné tant de plaisir, je le laisse faire. De toute façon, je suis si excitée que je ne trouve pas ça si désagréable. Mais un doigt, rien de plus.
Il me doigte le cul de plus en plus vite et me pourfend encore et encore. Il accélère à toute allure, il va jouir. Hum, oui, c’est bon, il rugit:
– Oooooohhhhh!!!
Je le garde en moi un moment en l’embrassant. On s’amuse à se faire des signaux en contractant nos sexes l’un après l’autre. Puis, je me suis endormie heureuse, la vulve encore échaudée de notre rapport.

Je n’ai été prise à aucun poste pour lesquels j’avais postulé.
Pas grave, j’ai trouvé ailleurs. Car après cette nuit fantastique,les compliments et la générosité de Christophe, j’ai pris un peu de confiance et d’assurance oubliant mon petit complexe de poids. Je sais maintenant grâce à lui, que mes rondeurs sauront trouver preneur(s)…

A propos de l'auteur

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