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Piège de l’ouest

Piège de l’ouest



Cette histoire commence à Kiev, en Ukraine. Sur un des tableaux d’affichage d’un lycée local, une affiche attire l’attention de bon nombre de jeunes filles : Une troupe cherche des danseuses pour une tournée en Europe. Parmi toutes ces jeunes filles, 3 copines enthousiasmées par l’annonce, s’empressent de noter l’adresse pour passer l’audition, prévue le samedi suivant dans un des théâtres de la ville.
Le jour du rendez-vous arrive et les 3 copines : Deborah la blonde, Lyliana la brune et Yurga la rousse incendiaire se présente à l’entrée du théâtre, où sont déjà présentes plus d’une trentaine de fille dont pas une ne dépassait 20 ans. Le casting fut assez expéditif. Les filles devaient danser durant quelques minutes devant le responsable de la troupe et directeur de casting, un gros bonhomme en costume sombre avec un regard vicieux, et ses 2 comparses, plus jeunes, qui les regardaient comme un étalage de viande fraiche. Après ça, s’en suivi une courte entrevue de chacune avec l’équipe de casting. A la fin de la journée, les 3 hommes arrivèrent pour annoncer les résultats.

– Bien, nous avons délibéré. Mais vous êtes trop nombreuses, nous n’arrivons pas à nous décider. Nous allons procéder à un dernier test. Mettez vous toutes debout face à nous S’il vous plait.

Toutes les filles se retrouvèrent debout, droites comme des « I » devant le directeur de casting et ses collaborateurs.

– Bien maintenant enlevez le haut.

D’abord stupéfaites, certaines se mirent à se déshabiller alors que d’autres s’y refusaient. Quand il fut sûr qu’aucune autre n’allait se dessaper. Le gros bonhomme dit :
– Ce test avait pour but de mettre en avant votre motivation. A toutes celles qui sont restées habillées. La pudeur n’est pas une qualité requise pour ce métier. Au revoir et merci d’être venu. Les autres rhabillez vous et rejoignez nous dans la salle.

Les 3 copines faisaient partie des retenues. Elles étaient folles de joie. A la fin de la journée après avoir réglé les détails administratifs, 13 filles étaient retenues. Chacune reparti chez elles avec son contrat signé en poche, se préparer pour le départ prévu dans une semaine. Le samedi tout le monde s’est donné rendez-vous sur un parking et quand le bus qui les emmènerai est arrivé, tout le monde y pris place. Le trajet depuis Kiev se passa sans encombre jusqu’au « centre de formation » en Belgique où elles allaient être « formées ». Une fois arrivées et installées, le ton changea.

– Avant de commencer vous aller vous faire examiner par un médecin. Pour nous assurer que vous soyez en bonne santé.
– Bien monsieur.
– Voici Ingrid. C’est elle qui va vous former. Votre but pour l’instant : Aguicher le plus d’homme possible pour les pousser à consommer. Vous pouvez aussi leur proposer un show privé dans les petits salons à l’étage. Mais tous ces détails vous les verrez avec Ingrid.

Suite à cette annonce, le silence se fit dans la salle. Aucune des filles ne s’attendait à ça. Puis arriva un homme en blouse blanche, présenté comme un médecin, qui conduisit les filles jusqu’à un cabinet improvisé. Chaque fille y passa chacune son tour et toute avait l’impression d’avoir subit un examen gynécologique avec prise de sang. A la suite de ces examens, après avoir transmis les 1ers résultats au patron, le groupe fut séparé en 2. 5 filles d’un coté (dont les 3 amies) et les 8 restantes de l’autre. Chaque groupe installé dans un dortoir séparé. Dans les armoires étaient présents des uniformes de Miss Bunny et des bikinis. 2 de chaque pour chacune d’elle. Les filles du groupe de 5 avaient en plus une sorte de culotte fine en cuir résistant, comme un harnais, et cadenassé par un verrou mécanique.
Le lendemain commençait les cours de danse pour les nouvelles recrues. En guise de danse c’était plus des cours d’effeuillage, genre strip-tease autour d’une barre. A la suite de ça Une des filles du groupe de 8 protesta, mécontente de ce qu’on lui faisait faire, insatisfaite du travail et des conditions. Elle fut amenée dans le bureau du patron par un des 2 gorilles présent dans la salle.

– Alors ma jolie. Que ce passe t’il ?
– On nous avait dit que nous étions là pour danser, dans une troupe, en tournée, pas pour jouer les putes en boite de nuit.
– Houla mais elle va se calmer la petite demoiselle. On ne vous a pas menti. Vous êtes bien une troupe. La tournée va se faire dans toutes les boites d’un grand groupe. Et puis tu croyais quoi ma jolie ? que t’allais juste te déhancher comme ça pour faire tomber les biftons ? mais non. Ici va falloir te bouger le cul. Au sens propre comme au sens figuré.
– Je refuse.
– Oh mais tu n’as pas le choix. Si tu veux partir va falloir nous rembourser les frais engagés pour toi.
– Comment ça ?
– C’est écrit sur ton contrat. Les petites lignes en bas de page.
– Espèce de salaud.
– Je ne supporterai pas une minute de plus tes insultes tu mérites une punition. Julio, à toi te jouer. Dit-il en s’adressant à son vigile.

L’armoire à glace, saisit alors la jeune fille par le bras et la plaqua sur le bureau à plat ventre, avant de l’attaché avec les liens que le patron sorti du tiroir de son bureau.

– Elle est à vous patron.
– Merci. Maintenant je vais t’apprendre comment on obéît à son patron.

Il se positionna derrière la jeune fille, souleva sa jupe, baissa son pantalon et après une séance de masturbation pour se mettre en condition, la sodomisa à sec sans prévenir. La belle ukrainienne subissait les assauts du patron en poussant des cris de douleur. Lui, encouragé par les cris de la donzelle, accéléra la cadence, jusqu’à jouir et lui déverser sa semence dans le rectum.

Dans la salle de danse, on avait tout entendu. Quelques minutes après l’arrêt des cris de leur jeune camarade, le groupe vis arrivé la protestataire recroquevillé sur elle-même, ayant du mal à marcher avec un filet de sperme coulant depuis sa rondelle. Le garde, Julio, la ramena en s’adressant au groupe.

– Voila ce qu’il se passe quand monsieur est en contrarié. Prenez-en de la graine.
– Oui monsieur.
– Parfait. Vous le groupe de 5. Le patron veut vous voir, ce soir après le cours. Vous prendrez une douche avant d’y aller.
– Bien monsieur.

Après ce à quoi elle venait d’assister, Deborah, Lyliana, Yurga et leur 2 camarades commençaient sérieusement à se demander ce qu’il allait leur arriver. Elles ne comprenaient plus ce qu’il se passait. Et surtout elles ne comprenaient pas l’utilité de ses culottes supplémentaires en cuir qu’elles ne pouvaient plus enlever à cause du verrou. En fin de journée, après avoir pris une douche, Julio mena les 5 demoiselles dans le bureau du patron. Il les fit entrer.

– Bien, merci Julio, attendez derrière la porte. Mes demoiselles, je suppose que vous vous posez des questions ?
– Oui monsieur.
– Tout d’abord si vous êtes écartées de l’autre groupe, c’est suite à l’examen médical que vous avez passé. Vous avez toute une « particularité » qui vous rend très précieuses et prédestinées à un tout autre métier que celui de danseuse auprès d’une clientèle très « select ». Votre prise de sang révèle que vous êtes également saine toutes les 5.

– Ok mais c’est quoi cette culotte en cuir ?
– Compte tenu de la libido de certains membres du personnel, elle est là pour préserver votre trésor le plus précieux.
– Quel « trésor » ? Et puis on ne peut pas faire nos besoins.
– Julio installera dans les toilettes de votre chambre, une clé, enchaînée au mur, pour que vous puissiez vous soulager mais vous devez remettre cette culotte juste après. Même chose pour la douche.
– C’est quoi cette particularité ? à quoi est-on destiné ?
– Vous le saurez en temps voulu. Si je vous ai fait venir c’est pour vous avertir que demain nous partons voir un important client qui souhaite vous rencontrer. Vous devrez donc faire bonne impression. De plus vous n’aurez plus à subir les cours d’Ingrid. Seul celles de l’autre groupe sont destinées à danser en club. Pour vous ce sera tout pour ce soir. J’ai dit tout ce que j’avais à dire. Julio ! Ramenez-les dans leur chambre. Et quand ce sera fait ramener moi la jolie protestataire de cette après midi. Je veux lui faire passer l’envie de se rebeller.

Une fois les avoir ramené dans leur chambre, le vigile alla chercher celle qui avait toujours du mal à s’assoir pour la mener vers le Boss.

– Alors ma jolie ? tu es calmée ?
– J’ai encore un peu mal.
– Ça c’est de ta faute. Tu apprendras que faut pas m’énerver.
– Compris monsieur.
– Bien, tu va maintenant me le prouver ……. Déshabilles toi.
– Pardon ?
– T’es sourde ? j’ai dit à poil.
– S’il vous plait, ne me faite pas de mal. Je ferais tout ce que vous voudrez mais ne me brutalisez pas.
– Oh mais je n’ai pas l’intention de te faire du mal. Au contraire, je vais te faire beaucoup de bien. Par contre, ça dépend de toi.
– Comment ça ?
– Si tu me laisse faire ce que je veux et quand je le veux, tout ce passera bien pour toi. Tu pourras même obtenir des avantages par rapport à tes camarades. Voir même une ….comment dire ça ….. une évolution de carrière.
– … Mais pour ça il faut que je sois votre « amie » ?
– Voila. T’as tout compris. Maintenant assez parlé. Viens vers moi et met toi à genou.

Elle s’exécute et se retrouve avec le gros mandrin du patron dans la bouche, la tête guidée par les mains de celui-ci, posées sur l’arrière de son crâne. Après quelques minutes, il la fit s’arrêter juste avant de jouir et lui ordonna de s’allonger sur le bureau. Après lui avoir massé les seins et doigté la fente, il la pénétra avec de grands coup de reins suffisamment forts pour faire trembler son gros bureau en chêne massif, les bras de sa jeune esclave autour de son cou tout en lui roulant un gros palot. Après avoir jouis dans son ventre et lâché la purée, il se retira et se reculotta.
Juste avant qu’elle ne quitte son bureau, il lui réitéra sa proposition d’exclusivité sexuelle contre des avantages en nature biens réels. Puis il renvoya sa jeune maitresse dans sa chambre. Inquiète pour elle, ses colocataires de fortune, l’entourèrent, imaginant ce qu’elle avait du subir. Elle leur révéla que leur crainte était fondée. Qu’il lui avait dit que si un client y payait le prix, elles devraient coucher avec contre une partie de la somme. Mais elle se gardait pour elle, la proposition du patron ne sachant pas si elle allait accepter. Elle réfléchit toute la nuit pensant que compte tenu de la situation, il était préférable d’avoir un même homme constant que plusieurs ne sachant pas d’où ils sortaient ni où ils avaient traîné. Elle aurait ainsi plus de chances de l’influencer comme ça. En plus, avec les avantages qu’elle en tirerait, ça pourrait améliorer son quotidien. Si pour ne plus retourner dans son pays et se sortir de la misère il fallait qu’elle passe par l’entrejambe du gros patron vicelard, elle y était prête. Après tout, un homme même s’il s’en défend, reste très influençable face à une femme sachant jouer de ses charmes. Le sexe fort ? Tu parles.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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