« Ian ! Viens me baiser. J’ai envie de ta grosse queue ! »
Marie a un sens certain de l’impératif catégorique.
« Là, tout de suite, maintenant ?! »
« T’es con ou quoi ? Rendez-vous dans 2 heures à l’endroit habituel »
Ce que femme veut…
J’arrive à notre baise en ville. Je gagne l’appart’. Porte non verrouillée. L’ennemi est déjà dans la place. Quand j’entre dans la chambre, mes craintes sont confirmées: ce sera une attaque frontale!
Marie est nue, étendue sur le lit, cuisses écartées. Elle est en train de se toucher la petite cochonne !
« Je m’ennuyais » dit-elle en souriant effrontément. J’aime bien son désir brut et sans concession. D’ailleurs, ma bite durcit en la voyant.
« Allez, fous-toi à poil. J’ai trop envie que tu me remplisses la chatte! »
Je m’exécute. Elle se passe la langue sur les lèvres lorsque je libère mon sexe du boxer. Puis, au moment où je sors la capote… « Pas cette fois. Je veux une belle creampie à immortaliser. »
J’ai ma petite idée sur la finalité de l’oeuvre.
Je m’installe sur le pieu. La petite chatte de Marie est déjà toute baveuse de mouille. Je commence à me frotter le gland sur son clito: ça me lubrifie le bout, et ça l’excite encore plus.
« Cochon va. Comme si je n’étais pas assez chaude. »
« Je te veux languide ma salope. Je ne suis pas là pour te baiser comme l’autre fiotte! »
« Oh oui putain. Depêche toi de me remplir avec ta grosse queue »
Je glisse mon engin tout entier dans son conet chaud et humide. Puis je contracte mes muscles pelviens pour faire doucement remuer ma bite dans sa chatte, lui prodiguant un petit massage Interne.
« Mmmh, j’aime bien quand tu fais ça. J’ai la moule électrique ! »
Je commence à aller et venir. Douuuucement.
« Salaud, putain, tu veux me rendre folle ! Baise moi la chatte ! »
J’accélère le tempo. La mouille de Marie me lubrifie agréablement la bite. Je pose mes mains sur sa taille pour lui faire bouger le corps au rythme du mien.
« Oui! Bordel, ça fait du bien de se faire tringler correctement. Ta bite est tellement meilleure que celle d’Hugues »
Ce disant, elle s’agrippe à mon cul, accompagnait mes mouvements, m’obligeant à m’enfoncer tant et plus en elle.
« Vas-y Ian, bourre moi la chatte ! Remplis moi avec ta grosse queue ! »
« Vilaine! J’espère que tu prends ton pied autant que moi. Elle est bien serrée ta chatte de pute! »
« Oh oui, et tu vas gicler bien fort dedans ! »
« Tu veux du foutre plein la moule, hein, cochonne !? Tiens ! »
Les ondulations de son bassin, le vibrato de son vagin excité ont bien vite raison de moi. Elle me met en rut la salope!
« Aaaah Ouiiiii! »
Elle se tend comme un arc. Marie est en train d’orgasmer ! Elle jouit la pute ! Elle jouit parce qu’elle sent ma bite pulser, grossir, elle jouit parce qu’elle sait que le sperme arrive !
Effet direct.
Je foutre. Je gicle. Je lui inonde la chatte. J’ai l’impression d’être une fontaine.
Je reste un moment là.
« Ian, prend une photo, putain! Prend une photo de ma chatte pleine de crème! »
J’att**** le téléphone. Ce faisant je me retire avec un bruit mouillé. Marie commence à jouer avec le sperme, à bien l’étaler.
« Y en a pleiiiin ! »
Je prend son sexe en photo. Le liquide séminal a une place de choix.
J’appelle Hugues.
« Oui ? »
« Salut p’tite fiotte. Je viens de baiser Marie à couilles rabattues. Elle a un cadeau pour toi. Tâche d’y penser la prochaine fois qu’elle te laisse la prendre. »
Je lui envoie par MMS des morceaux choisis.
Marie a un grand sourire.
« Baise moi encore, cochon. Tu m’excites là »
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