Kevin II
J’étouffais, je suffoquais… Sa bouche sentait le chewing-gum à la fraise, mais sa langue inexperte s’enfonçait dans moi, m’empêchant presque de respirer. Je ne me débattais plus… Petit à petit, il lâcha prise et mes mains se mirent à lui caresser la nuque et le dos. J’écartai les cuisses pour qu’il puisse appuyer sa bite contre mon pubis. Ma culotte était trempée. Ma conscience commençait à être hors jeu et mon corps réclamait, de plus en plus haut et fort, la dose de sexe qui calmerait le feu qui le consommait…
– Attend, Kevin… Laisse-moi faire ! Je lui dis en m’écartant un peu de lui.
Il fallait agir, ou dans un sens ou dans l’autre. J’avais envie de lui et, en même temps, j’étais convaincue que si je m’offrais à lui, ça serait irréversible. Il fallait que je calme sa fougue. Je pris son sexe dans ma main. Il était incroyablement dur et chaud. Je pouvais sentir les veines bombant du sang vers son gland. Je sentais toute la force de sa jeunesse palpitant entre mes doigts.
– Oh, maman ! Ta main… Hum !
Je commençais à le masturber, très lentement, en serrant très fort ma main contre sa verge. Il se laissait faire, les yeux fermés, la respiration très agitée. Je lui donnais de petits bisous sur sa tête, son front… Il était sur le point de jouir, je le savais
– Mon bébé d’amour ! C’est bien, mon ange… C’est bien
Toc, toc, toc ! Soudain, on toqua à la porte de la salle de bain. J’ai cru que mon cœur allait me sortir par la bouche :
– Encore là dedans, les deux ? Les pizzas sont là !
– J’arrive chéri ! Ton fils à mis trois heures à sortir du bain !
– Allez, venez ! Les pizzas refroidissent !
Je suis sortie la première. Daniel m’a fixé du regard. Il souriait niaisement :
– Tu dois l’allumer à bloc, mon fiston, Sandra. Me dit-il en me pinçant un de mes mamelons par-dessus mon-t-shirt
– Ça ne va pas, la tête ! Ce n’est qu’un enfant !
– Oui, oui… un enfant…
Nous passâmes à table. Daniel, avec en tête une seule idée : que le repas se termine et pouvoir profiter de sa petite femme adultère; Kevin, plus excité qu’un âne en rut, avec une cargaison de sperme bloquée à la sortie… Et moi, je me sentais plus mouillée que jamais, plus confondue que jamais, plus incertaine que jamais…
Le reste du repas s’est déroulé sans incidents. Daniel, n’arrêtait pas de passer sa main sur ma cuisse et Kevin de me zieuter la poitrine, mes tétons qui pointaient indécemment. On a parlé de ses études et moi, je lui ai demandé s’il avait une copine. Il m’a lancé un regard très appuyé que je n’ai pas su interpréter ou que je n’ai pas voulu interpréter. En quittant la table, Daniel m’a serré de façon un peu plus ostensible que d’habitude, comme s il tenait à montrer à son fils qui était mon propriétaire. Rien d’autre.
Kevin s’est enfermé dans sa chambre. Daniel et moi nous sommes allés à la salle de bains faire une petite toilette, laver les dents, mettre les pyjamas et tout ça. J’étais très nerveuse, j’étais vraiment à un pas de tout le lui dire. A la place de ça, quand il a commencé à me peloter les seins et à me dire oh combien il avait envie de moi, je lui ai dit de monter dans la chambre (nous avions loué un duplex, la chambre de Kevin était en bas, les autres, dont la notre, à l’étage) que j’allais tout de suite le rejoindre. Il avait une très belle érection. J’ai pris du Viagra, mon cœur, m’a-t-il dit. Je lui ai tripoté sa verge par dessus son pyjama et constaté qu’elle était dure. Monte, mon amour, j’arrive; je vais me faire belle pour toi. Et sur ces mots, il a quitté la salle de bain.
J’ai mis une nuisette rouge, un peu de rouge à lèvres, et ma robe de chambre et je suis montée. En passant à coté de la chambre de Kevin, il m’a appelé. Sans ouvrir la porte, je lui ai répondu… Je vais essayer de transcrire le dialogue:
– Que veux-tu, Kevin?
– Entre, Sandra, s’il te plait !
– Non, je monte… Ton père m’attend
– S’il te plait, maman…
– Ne m’appelle jamais plus maman… Je monte… (Mais, je n’arrivais pas à me séparer de sa porte)
– D’acc, d’acc … Je m’excuse, je ne te le dirai plus…
Et là, j’ai commis l’erreur de céder. J’ai ouvert la porte et je l’ai trouvé complètement nu sur son lit. Il se tenait la bite d’une main. Il bandait terriblement. Je suis restée immobile. Sans parole.
– J’aimerais tellement que tu continue ce que tu étais en train de faire quand il est arrivé…
– Ce n’est pas bien ce que tu fais, là, Kevin…
– Mais… Tu m’as dit que…
– Je ne t’ai rien dit du tout…
– Et tu es tellement belle…
Il me fixait avec un regard qui disait tout sur son désir d’adolescent. Ça m’avait touché, ému. Encore un signe de faiblesse :
– Sois patient, Kevin… Maintenant, je dois y aller
Quand je suis entrée dans notre chambre, j’ai eu honte de moi. Daniel avait préparé le scénario: bougies, musique zen…Et il était nu, lui aussi, au milieu du lit. Je me suis débarrassée de ma robe de chambre et je me suis plantée devant lui avec ma nuisette rouge… J’ai fait le geste de l’enlever mais il m’a demandé de la garder sur moi. Je me suis mise à genoux entre ses cuisses écartées, et je lui ai léché l’anus, les testicules, la base de sa bite, doucement, comme il aime bien… Finalement, j’ai englouti son sexe jusqu’à sentir son gland frotter ma glotte. Il n’arrêtait pas de me dire de douces cochonneries du genre « Sandrita, quelle bouche ma cochonne! Quelle langue! »
Je ne l’ai pas trop laissé parler. Je me suis mise à califourchon sur sa bouche, en lui tournant le dos et je l’ai laissé m’offrir un bon cunnilingus… Quelques secondes après, fruit de l’excitation cumulée, j’ai eu mon premier orgasme de la soirée. Normalement, quand je jouis, je suis plutôt genre chatte en chaleur, je ronronne, je gémis, mais je ne cris pas… Mais, là, en pensant que Kevin serait peut être en train de nous entendre, je me suis mise à crier et à dire de cochonneries comme dans un film porno (ce n’est pas du tout mon genre).
Juste à ce moment, la porte s’est ouverte furtivement et Kevin, en passant seulement sa tête, nous a regardé et il allait dire quelque chose mais ce qu’il a vu l’a laissé bouche-bée. Mon mari ne pouvait rien voir car il avait le visage écrasé par mes fesses et sa langue fourrée dans ma chatte. Kevin m’a regardé droit dans les yeux et ce regard a intensifié mon orgasme, l’a prolongé. Mon beau-fils ne bougeait point. Que voulait-il? Exaspérée, je lui ai envoyé un geste clair pour qu’il s’en aille. Juste à temps, car Daniel s’était débarrassé de l’étau de mes cuisses.
– Reste comme ça, chérie… A quatre pattes, ma belle chatte. Je vais te prendre comme ça, que tu me sentes très dur, te faire jouir encore une fois! Oh, mon Dieu! Quel cul!
Je savais que Kevin était resté derrière la porte. A ce moment, je voulais le provoquer autant que possible. Je voulais qu’il se rende compte que c’était son père, mon homme.
– Oui, mon papounet! Tu sais que je suis toute à toi! Que je suis ta petite chose! Prends moi, toute!
Il était en train de me baiser quand on a entendu la voix de Tom, cette fois-ci derrière la porte:
– Eh! Oh! Les amoureux! On entend tout, là !
Daniel s’est mis à rire.
– D’accord, fiston ! On mettra la sourdine ! Hi, hi, hi !
En continuant de me pénétrer, il se pencha sur mon visage et il me demanda de ne pas crier si fort, tout en m’assurant qu’il adorait de me voir comme ça, de me sentir comme ça…
– Ta petite Sandra est une grosse cochonne, n’est-ce pas ?
On dit qu’avant de mourir on repasse toute notre vie comme un diaporama… Ce soir là, je me suis sentie un peu comme ça, comme si j’étais en train de dépasser une porte qui me menait à un autre monde dans lequel je n’étais qu’un objet sexuel, prête à satisfaire tout le monde… Donc, j’ai revu en accéléré un paquet d’images des moments le plus torrides ou les plus « fetish » de ma vie sexuelle… Et j’ai encore joui! Encore plus fort que la fois précédente!
– Oh, chérie! Que tu es chaude, mon amour! Ton con est un four! J’en peux plus! Je vais jouir!
– Jouis, ma vie! Fort! Fort! Fort!
Et le troisième orgasme est arrivé. Doux, bon, apaisant…
– T’es une sacrée femme, Sandra! Je t’aime!
Il m’a embrassé, il s’est allongé à coté de moi et à peine une minute plus tard, il ronflait. J’ai pris une lingette et je me suis nettoyé un peu le minou. Je me suis levée pour éteindre les bougies et la musique. J’ai regardé mon mari, son corps, son zizi tout mou et rétréci… Je pouvais m’allonger à ses cotés, comme je l’avais fait jusqu’à présent. Qu’il aille se faire foutre, l’autre! Ai-je pensé. Et je me suis couchée. Cinq minutes après, le ding-ding de mon portable m’a indiqué qu’un SMS venait d’arriver. C’était Kevin: – Tu viens, Sandra ? Tout simplement. J’ai fait semblant de pas l’entendre. Un deuxième: S’il te plait. OK, lui ai je répondu, j’arrive.
J’ai gardé ma nuisette. Je n’ai pas mis ma robe de chambre. J’étouffais. J’avais peur mais une très a****le excitation me faisait transpirer comme si on été en Guinée Équatorienne. Je savais ce qu’il m’attendait…
A suivre, si vous le voulez bien!
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