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Ma douche avec mon fils (2)

Ma douche avec mon fils (2)



L’eau chaude ruisselant sur nous entretien mon engourdissement.
Outre le nuage de plaisir qui se dissipe lentement, les émotions sont encore intenses. Mon coeur bat toujours rapidement, je sens de fins tremblements dans mes jambes qui me font craindre qu’elles me lâchent.
« Chéri, tiens moi, j’ai peur de tomber ».
« Ça ne va pas M’man ? »
« Si si, c’est juste que je suis un peu engourdie ».
Il se plaque plus fort contre moi, toujours dans mon dos et ses mains appuient d’avantage sur mon ventre.
De cette manière, je sens le contact doux et tendre de son sexe revenu au repos s’insinuer dans le sillon entre mes fesses.
Je ne songe pas à repousser ce contact, après ce qui vient de se passer.
Je reprends mes esprits progressivement, dans un tourbillon de sentiments.
Il y a d’abord le plaisir sexuel.

Mon fils sera, est déjà un merveilleux amant. En mélangeant douceur et force il m’a fait jouir intensément. Mon corps frustré le réclamait, le réclame encore.
Ce plaisir a été amplifié par un autre, brûlant, sulfureux : la transgression du tabou ultime qu’est l’i****te. Mon visage, mes joues brûlent encore de cette sensation si forte.
Une relation de chair avec la chair de ma chair !
C’était la manière la plus absolue, une fois transgressé le tabou, d’être totalement intime avec lui, au delà de la tendresse normale qui nous lie et qui s’est trouvée amplifiée à l’infini.

Je me sens coupable aussi. Des remords me tourmentent. Bien sûr mon fils à tout fait pour provoquer la situation. Par son insistance des mois passés, ce massage dans la douche. Mais si je n’avais pas été vulnérable, s’il ne l’avait pas perçu, il n’aurait sans doute pas insisté.
Il me connaît, nous avons une relation intense, il m’a deviné, a su trouver la faille.
J’ai aussi une bouffée de tendresse immense pour cet homme qui m’a fait jouir si fort.

Ces pensées dansent dans ma tête et m’étourdissent alors qu’il me murmure presque à voix basse « Je t’aime Maman ». Comme lorsqu’il était enfant, que cette déclaration prenait un sens infini.
Il a encore trouvé ce qu’il fallait dire au bon moment.
Ces mots, pourtant presque anodins, me bouleversent, effacent mes remords et m’inondent encore plus de tendresse pour lui.
Fébrilement, je me retourne et l’attire contre moi.
Je le serre fort, mes mains se perdent dans son dos, puis descendent sur ses fesses.
Mes seins se plaquent contre son torse. Par automatisme je me mets à remuer pour les caresser contre lui. Une fièvre intense enflamme mon corps assoiffé qui réclame son dû. Je ne veux plus qu’une chose, retrouver en mon fils mon amant, m’unir à nouveau à lui en l’accueillant au plus profond de moi. Je plaque mon ventre contre le sien, sentant son sexe contre ma toison. Convulsivement, ma bouche se pose sur son torse, ses épaules, son cou, approche son visage.
Le souffle déjà court, je pose mes lèvres sur les siennes et ma langue part à la recherche de la sienne. Un temps surpris, il répond à mon baiser.
Ses mains se plaquent sur mes fesses et me serrent également contre lui.
Je me recule un peu et pose mes mains sur son ventre pour rapidement descendre à sa base, frôler sa toison et rencontrer son sexe encore mou.
Je le prends en main, le décalotte et effleure longuement son gland.
Je le sens prendre du volume et se développer. Je poursuis mes caresses, il retrouve toute sa fermeté et palpite même lorsque je touche son gland.
Lui a profité de mon recul pour empaumer mes seins et les caresser puis joue avec les pointes qui s’érigent rapidement. Il déclenche des vagues de frissons qui me coupent le souffle, me font haleter et gémir.

Je sens la chaleur naître dans mon bas-ventre, irradier dans mon sexe. Mes lèvres gonflent, deviennent plus sensibles, encore humectées d’un mélange de ma liqueur et de sa semence.
Je me sens ouverte, prête à l’accueillir à nouveau au fond de moi.
Mes mains ont commencé un intense va et vient sur sa hampe, qui le fait se crisper et gémir.
« Assied toi sur le sol » lui dis-je.
Il s’exécute, appuyant son dos sur le mur du fond de la douche.
Je m’accroupis face à lui et lui écarte les cuisses, les ouvrant sur son sexe tendu presque à la verticale.
Mes yeux plongent dans les siens où je peux lire la même impatience que la mienne.
Je me retourne alors, toujours accroupie, et recule vers lui.
Mes fesse touchent son ventre.
Je m’abaisse encore un peu en écartant les cuisses, puis passant une main entre elles, saisis son sexe pour le guider à effleurer le mien.
Son gland chaud, dur et tendre à la fois, s’insinue entre elles et se lubrifie. Je le fais parcourir la longueur de mon sexe, d’arrière en avant jusque sur mon bouton de plaisir lui aussi gorgé et tendu.
J’entends mon fils gémir derrière moi et ne peux plus attendre, je le place à l’entrée de ma conque et lentement, je m’abaisse en le faisant m’envahir, jusqu’à le sentir butter en moi.
La v******e du plaisir que provoque cette irruption puissante nous fait haleter et gémir.

Lentement je commence à bouger de bas en haut, massant son sexe du mouvement du mien. Des ondes de plaisir naissent entre mes cuisses et irradient dans tout mon corps, elles s’amplifient au fur et à mesure que j’accélère mes mouvements.
Mon fils a repris mes seins et joue avec leurs pointes. Je respire de plus en plus bruyamment, des spasmes contractent mon sexe par intermittence et je sens sa hampe coulisser de plus en plus souplement, de plus en plus huilée par ma liqueur.
Mon bouton de plaisir est tendu et hypersensible. J’y amène mes doigts pour le masser légèrement en mouvements circulaires rapides ou plus lentement en va et viens plus marqués sur son capuchon.
Les frissons naissant de mon bas ventre se renforcent.
Ma respiration s’amplifie encore.
Je sens le plaisir monter rapidement.
« Oh c’est bon. Chéri. Encore. »
« Maman, tu es si douce. Je te remplis complètement. »
Les ondes de plaisir se renforcent, se concentrent et se ramassent en une vague.
Je me sens glisser, irrésistiblement entraînée vers le creux de cette vague puissante qui se prépare.
« Oh Chéri, chéri, je vais jouir… »
Mon fils empoigne mes hanches et accentue encore mes mouvements de va et viens en se poussant en rythme.
Je le sens au plus profond de moi à chaque poussée.
Mon souffle se coupe, je suffoque et ma respiration se bloque.
La vague me submerge et m’emporte.
Ma conque s’ouvre au maximum sur le sexe de mon fils puis je la sens palpiter sur lui.
Je respire à nouveau, rapidement en articulant difficilement « chéri… je pars…je pars… ».
Je gémis en me crispant complètement, bloquant le sexe de mon fils au fond du mien.

Des spasmes secouent mon corps tandis que je crie mon plaisir.
Mon fils se remet rapidement à bouger comme il le peut, prolongeant les frissons intenses qui me traversent toute entière.
Je continue à crier chaque fois qu’il butte au fond de moi.
Puis il s’immobilise et se tend lui aussi.
Je sens son gland au fond de moi, gorgé et gonflé, se mettre à palpiter de plus en plus fort puis il déverse sa semence en nous faisant longuement gémir tous les deux.
« Maman, je jouis aussi…oh je me vide en toi… »
« Oui chéri…oui…vide toi ».
Je reste empalée sur lui tandis que les pulsations de son sexe s’estompent.
Un nuage de plaisir m’entoure longuement avant de retomber lentement.
Je reprends mes esprits et ma respiration.
Mon fils se détend lui aussi. Il respire lentement et profondément, comme après un effort surhumain.

Courbaturée, je me redresse, dégageant le sexe de mon fils du mien.
Un flot de liquide chaud, ma liqueur et sa semence mélangées, s’écoule entre mes lèvres et glisse lentement sur ma cuisse.
Je tends la main à mon fils qui se redresse et se place contre moi.
La honte ou le remords ne m’assaillent pas encore.
Je me sens juste détendue, encore flottante.
Je m’embrasse en murmurant « mon fils chéri, comme je t’aime ».
« Moi aussi Maman. Je t’adore ».

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