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Serge, un prof. sous influence 4

Serge, un prof. sous influence 4



Chapitre 4:
Je me figeai sur place, debout sur l’estrade, sans pouvoir dire un mot.
Elle resta ainsi un moment, dos appuyé contre la porte, elle jouissait allégrement de mon embarras, tout en passant sa langue sur ses lèvres. J’essayais de me rassurer, une coïncidence, il ne s’agissait que d’une simple coïncidence, elle voulait certainement un éclaircissement par rapport au cours précédent.
Puis d’un coup elle enchaina…
« Alors ? Ma photo vous a plu ? Vous ne m’avez pas répondu par mail. »
Ma gorge s’était soudainement asséchée, j’étais incapable de répondre. Ma langue était pâteuse et lourde dans ma bouche. Son regard insolent, me toisa, hautain et faussement teinté de reproche, loin de l’écolière qui était sensé faire montre de respect pour son professeur.

« Je sais, une photo, ça n’est pas la réalité. Après tout, j’aurais pu la modifier par photoshop, pas vrai ? Retoucher mes seins, mes cuisses, comme dans les magazines, avec tous ces mannequins affinés à la palette graphique. »

Puis je la vis lâcher la poignée de la porte, et glisser ses mains le long de sa robe.

« Attendez, vous allez pouvoir constater que tout est naturel chez moi. »

Soudainement je sortais de ma torpeur et balbutiais quelques mots…
« Mademoiselle, je… »

« Taisez-vous, lança-t-elle avec un ton d’autorité bien assuré. »

Puis elle remonta lentement la robe, dévoilant ses cuisses magnifiques affermies par la position verticale que lui imposaient ses talons surélevés. Une fois, le bas de la robe remonté ses hanches, je découvris rapidement qu’elle ne portait pas de culotte.

« Reluques moi ça, gros porc, et dis-moi si la photo était truquée. »

Putain ! La salope ! La photo n’était pas truquée, c’est le moins que l’on puisse dire. C’était une vision enchanteresse d’une teen au corps pubère mais pré grossesse. Un corps sans cellulite ni peau d’orange, tout l’inverse de celui de ma compagne. Elle se retourna lentement vers la porte, et se cambra en arrière pour tendre son cul rond et laiteux, encore mieux exposées à ma vue. Elle était magnifique et je pouvais deviner entre ses cuisses, les deux grosses lèvres fines, recouvertes d’un pubis parfaitement taillé en ticket de métro.

« Approche, tu verras mieux, m’ordonna-t-elle avec une fermeté assumée. »

« Je dois aller préparer mon cours » balbutiai-je d’un ton gêné, mais inconsciemment j’avais avancé de deux pas en direction de ce cul qui m’appelait lubriquement.

« La récré ne va pas durer éternellement. Alors si tu comptes te branler sur mon petit cul d’élève, tu n’as pas de temps à perdre en bavardage. »

Je ne pouvais détacher mon regard de ses reins, de ses fesses parfaitement dessinées, de ses cuisses fermes et fines. Je bandais, et j’étais à deux doigts de céder à sa pression.
Voyant que je restais pétrifié sur place incapable de prononcer un mot ni même de détacher mon regard de son séant ainsi exposé, elle reprit la parole…

« Alors Serge ! Tu permets que je et tutoie et t’appelles par ton prénom, chéri ? »

Je reprenais alors le dessus et m’offusquais face à tant de familiarités…

« Allez jeune fille rhabillez vous et déguerpissez, je ne ferais pas de rapport sur cet incident mais je ne veux plus ni vous entendre, ni vous voir en dehors de mes cours, est ce bien compris ? »

« Tu me déçois, Serge, je vais être contrainte d’aller voir le proviseur avec ces photos… »

Je la vis alors plonger la main dans son sac et en ressortir des clichés qu’elle me tendit.
Je faillis choir, mes jambes ne me tenaient plus, je me rattrapais in extremis à ma chaise sur laquelle je m’affalais.
J’avais devant les yeux des photos prises de moi, très nettes en train de me branler, d’une main et de l’autre je tenais une culotte sous mon nez. On voyait très nettement sur l’écran de mon ordinateur la photo dénudée d’Elodie. Ces photos avaient été prises au zoom. Mon dieu ce ne pouvait être que Sophie ma belle-fille qui les avaient prise.
Mon visage vira au cramoisi, non seulement l’une de mes élèves me faisait subir un chantage éhonté mais en plus avec la complicité de ma plus jeune belle-fille, qui maintenant savait que je prenais plaisir à renifler ses culottes portées. Quelle honte !

« Et oui, mon petit père, Sophie est une amie, nous nous sommes rencontrées lors d’une sortie en boite à l’issue de laquelle nous avons finies dans la même partouse organisée dans l’appartement d’un ami commun. D’ailleurs elle suce divinement cette fille ! Quoi qu’il en soit lorsqu’au détour de nos discussions, j’ai appris qu’elle était ta belle-fille, j’ai commencé à échafauder un petit stratagème pour te piéger. J’avais remarqué ton regard salace posé sur moi, pendant les cours, j’en conclus vite que tu étais un gros cochon et la suite m’a donné raison. J’ai alors envoyé ce premier mail et tout s’est enchainer par la suite. Je dois remercier Sophie qui a bien voulue participer à l’élaboration de ce petit jeu. Au fait je dois te dire qu’elle a vraiment mouillé fort sa culotte quand elle a vue que tu léchais les traces de cyprine sèches au fonds de sa culotte souillée. Je pense qu’elle t’en reparlera à l’occasion, on organisera peut être un truc tous les trois un de ces quatre… »

« Mais vous êtes folles ! Jamais, j’aime sa mère et je ne vais certainement pas tout gâcher en baisant avec ma belle-fille. »

« Ah oui ? Alors expliques moi pourquoi tu renifles ses dessous sales ? Espèce de bâtard ! »

« Même Alexandra à trouvé tes photos excitantes ! Si tu savais elle s’est branlé la moule pendant ton cours tout à l’heure, en imaginant ta grosse bite au fonds d’elle. »

Pris de cours je restais muet, même sa camarade de classe qui était avec elle il y a moins d’une heure, au fond de la classe avait vu ces photos ! Mon dieu j’étais perdu. Elle profita de mon apathie pour reprendre la direction des opérations…

« Approche, et branles toi sur moi. »

Elle se cambra un peu plus.

« Viens me toucher » poursuivit-elle avec un gémissement adulte, en faisant aller et venir lentement son doigt entre ses lèvres, que je devinais humides.
Anéantis, Je n’en pouvais plus. Après tout elle me tenait par les couilles, en plus mon sexe était bien bandé dans mon slip, je le sentais déjà humide lui aussi, il avait besoin de liberté. Je me résolvais à obtempérer. Je m’approchais de la porte, et plaquait sans brutalité mes mains sur les rondeurs gracieusement offertes. Elodie tourna légèrement le visage vers moi, pour la première fois, avec un sourire satisfait.

« Oui. C’est bien. Laisse-toi aller, gros cochon.»

Je lâchai un « oui » entre mes dents. Elle sourit à nouveau.

« Dorénavant tu seras mon soumis, tu ne voudrais pas que ta compagne ou le directeur apprennent que tu fantasmes sur des jeunes filles de l’âge de ta fille ? Alors maintenant, tu vas sortir ton engin tout dur, et venir éjaculer juste-là, entre mes fesses, sur ma raie. Je veux finir la journée en sentant ton sperme de prof sécher sur la raie de mon cul, sur mon anus. »

Elle me rendait folle. Je lâchai une de ses fesses pour venir ouvrir avec fébrilité les boutons de ma braguette, je mettais la main dans mon slip pour en sortir mon membre turgescent dont le gland était copieusement humidifié.
C’est alors que la sonnerie retentit.
Avec une désinvolture ne trahissant aucune agitation, Elodie se redressa, relâcha les plis de sa robe, qui retomba souplement sur ses chevilles et se retourna vers moi en remettant ses cheveux en place. J’étais là, bêtement debout devant elle, la bite entre les mains, qu’elle dévisagea un moment froidement avant de remonter le regard vers mon visage qui s’empourprait.

« J’espère que tu feras mieux la prochaine fois » lâcha-t-elle avec une ironie cinglante.

Elle me mit alors ses doigts poisseux de mouille sous le nez et me dis de les lécher, ce que je fis sans hésitation, je devenais progressivement sa marionnette.

« Je te dirai quand et au fait inutile de te préciser que pour mon prochain devoir j’aurais une bonne note, cela va sans dire. »

Puis elle tourna les talons et quitta la salle en laissant la porte grande ouverte sur le couloir. Je me rhabillai précipitamment, avant qu’un élève ne surprenne mon énorme érection. J’avais le gout de la chatte d’Elodie sur la langue et cela me comblais de plaisir.

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