Leslie s’ennuie. À l’agence immobilière, la réunion s’éternise cet après-midi. Dans la salle, trois conseillers immobiliers qui font face à la patronne. Romain, Paul et Gary, le dernier arrivé. Chacun à tour de rôle, ils présentent leur bilan hebdomadaire. Leslie ne les écoute pas. Elle préfère concentrer son regard sur les entrejambes de chacun. Elle connaît bien leurs bites. Elle a eu de très nombreuses occasions de les tester.
Mais depuis ce matin, aucun ne l’a défoncé. Trop de rendez-vous. Trop de visites d’appartements. Preuve que le business fonctionne très bien.
Bref, Leslie est en manque. Elle se tortille sur sa chaise. Elle mouille abondamment. Elle ne cesse de penser à leurs queues et se désintéresse totalement de ce qu’ils peuvent bien expliquer. Des graphiques. Des statistiques. Des chiffres qu’elle connaît par cœur. La patronne bourgeoise n’en peut plus.
Elle s’arrête de tripoter son crayon. Ses mains aux ongles vernis d’un rouge intense descendent sur sa jupe légèrement fendue. Aujourd’hui, elle a opté pour un tailleur. Leslie ne conçoit pas de s’habiller autrement. Elle assume son statut de salope.
Ses doigts experts parviennent à l’ourlet de la jupe. Elle mouille encore un peu plus quand elle sent le contact électrisant du nylon. Évidemment, Leslie porte des bas couture. Ce matin, ne sachant lesquels choisir, elle a passé près d’une heure à essayer plusieurs paires. Des teintes chair, grises, noires. L’important était d’accorder la couleur avec sa guêpière blanche. Finalement, jouant un peu sur la surprise, elle a opté pour des bas couture gris bien tendus, bien en place grâce à la guêpière. C’est une pièce de lingerie assez spéciale puisqu’elle ne cache pas les seins de cette belle salope. Il suffirait d’ailleurs à l’un des conseillers de bien se positionner pour apercevoir la délicate courbe mammaire à travers l’échancrure de la veste du tailleur. Leslie n’a pas besoin d’y mettre la main pour savoir que ses tétons sont déjà dressés, prêts à palper par des mains d’hommes, prêts à être léchés par des langues habiles.
Les yeux toujours dardés sur ses employés, Leslie a décroisé les jambes et remonté un peu sa jupe. Juste ce qu’il faut pour apercevoir qu’elle ne porte pas de culotte.
Romain est au paperboard, Paul l’écoute d’une oreille distraite et Gary a déjà déconnecté. Le jeune conseiller, yeux complètement exorbités et bouche ouverte, regarde sa directrice avec envie.
Au diable les conventions, Leslie est passée à la phase suivante. Elle se caresse désormais. Ses doigts sont bien insérés dans sa chatte dégoulinante. Leslie ne se retient plus. Elle gémit.
Du coin de l’œil, elle voit Gary se lever et s’approcher d’elle. Paul et Romain font de même. Une énorme bosse déforme leur pantalon. Gary extrait sa bite. Elle est énorme. Leslie salive et tend sa main vers la verge tendue. Elle ne peut en faire le tour mais sa bouche s’avance déjà l’objet de son désir.
Fellation, l’un des mots préférés de Leslie. Elle s’est toujours dit qu’elle était née pour sucer et se faire défoncer. Gary est face à elle et ferme les yeux. Il profite à fond de la pipe que lui administre Leslie. Elle joue avec son gland et ses couilles, n’hésitant pas à remonter le long de la hampe impressionnante. Paul et Romain se tiennent à ses côtés. Ils ont sorti leurs verges bien dures. Gourmande, Leslie en tient une dans chaque main tout en continuant à dévorer la bite de Gary, lequel dirige la manœuvre en maintenant sa directrice d’une légère pression sur la nuque. La belle salope décide d’alterner, prenant en bouche la queue de Romain, en alternance avec celle de Paul. Cette bouche gourmande qui est bien remplie, sécrétant beaucoup de salive.
La patronne bourgeoise dispose de trois hommes vigoureux rien que pour elle. Cette perspective la fait terriblement mouiller. C’est l’inondation sur sa chaise. Mais il lui en faut plus encore.
Gary, viens me lécher.
Le conseiller obtempère et s’accroupit. Sans attendre, il plonge sa langue agile dans la fente enfiévrée. Il fouille tous les recoins de cette chatte tant désirée. Gary profite de sa position pour insérer un doigt puis sa langue dans le cul de Leslie. La belle bourgeoise se cabre et gémit encore plus. Son abricot dégouline sans cesse.
Mais Leslie n’en a toujours pas assez. Elle veut vraiment les sentir en elle. Elle se lève de sa chaise, pose ses coudes sur le dossier. Ainsi, bien campée sur ses talons aiguilles de dix centimètres, elle peut tenir une bite dans chaque main et se faire prendre en levrette. L’une de ses positions favorites.
Gary s’agrippe aux jarretelles et s’active derrière son cul tandis qu’en alternance, les bites de Paul et Romain s’enfoncent dans sa bouche. Les deux conseillers, ravis de se faire pomper par cette grosse salope, en profitent pour lui peloter les nichons. Leslie aime qu’on joue avec ses tétons durcis par les caresses.
Gary la besogne sévèrement, remplissant intégralement la chatte de sa patronne. Il continue de la bourrer à fond jusqu’à ce que la directrice l’invite à céder sa place à l’un de ses collègues. Romain échange avec Gary. Leslie reconnaît aussitôt la nouvelle queue qui s’insère en elle. Très longue, avec un gland démesuré. La bourgeoise ahane sous les coups de boutoirs de son employé. Elle étouffe aussi, sous les assauts des grosses bites dans sa bouche. Cette chienne est au bord de la jouissance mais elle n’en a pas eu assez. Elle ne conçoit pas de se faire baiser sans s’être fait enculer.
Paul, je te veux dans mon cul, lâche-t-elle entre deux gémissements.
À nouveau, on échange les places. Leslie se positionne à quatre pattes sur la moquette tandis que Paul se place dans son dos, la bite palpitante à l’entrée de son anus. Romain et Gary se sont mis à genoux face à son visage de chienne. Les deux hommes se branlent avec frénésie. De temps à autre, l’un d’eux vient glisser son chibre dans la bouche offerte.
Leslie est très partageuse et invite ses employés à faire de même. Ainsi c’est désormais Romain qui l’encule désormais. Paul est parvenu à se glisser sous elle et pilonne sa chatte. Gary profite à nouveau de la bouche de sa directrice qui suffoque face à l’épaisseur de la queue. Leslie est plus qu’heureuse de se faire défoncer ainsi. Elle jouit bruyamment. Presque pantelante, elle intime à ses conseillers de bien se mettre face à elle. Elle veut leur jus sur son visage de chienne.
Bien campée sur ses escarpins, elle s’accroupit et attend la saillie, yeux fermés, langue offerte. Elle ne peut s’afficher de glisser deux doigts dans sa chatte fiévreuse.
Son attitude de pute des beaux quartiers déclenche la jouissance chez ses hommes. Les trois semences atterrissent sur son visage, dans sa bouche, sur la veste de son tailleur. Sa main restée libre frotte le sperme sur sa peau.
Leslie est enfin rassasiée. Mais elle sait déjà que le répit sera de très courte durée. Dès ce soir, il faudra encore qu’elle se fasse défoncer.
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