Histoires de sexe hétéro Histoires de sexe noir Histoires érotiques

Pouilleuse déshabilleuse

Pouilleuse déshabilleuse



Quand j’étais gamine, j’aimais jouer au docteur avec des garçons de mon âge, mais aussi avec des filles. C’était un bon prétexte pour me mettre toute nue devant eux et me faire toucher.
Mais j’aimais bien jouer aussi au papa et à la maman, car dans ce cas on était deux à se déshabiller, puis on se couchait sous des draps et on se tripotait en s’embrassant sur la bouche.
On faisait ça dans les caves des immeubles de la cité où j’ai grandi, ou bien dans nos chambres, en l’absence de nos parents.
Mais il arrive un âge où l’on ne joue plus à ce genre de jeu. Il faut alors en trouver des nouveaux grâce auxquels on peut continuer de se mettre tout nu devant les autres et de se faire tripoter.
Puisque c’était le but, au fond.
En tout cas, c’était le mien : montrer mon corps et me faire toucher.
Le passage de l’école primaire au collège n’y a rien changé. Ni celui du collège au lycée. Mon besoin de me faire tripoter par des garçons et des filles ne s’épuisait pas. Il a seulement fallu trouver de nouveaux jeux.
Et parmi eux, mon préféré fut le pouilleux déshabilleur.

J’aimais les cartes maudites ; celles qui impliquaient qu’un membre du jeu enlève un vêtement. J’aimais enlever les miens devant tout le monde, mais j’aimais aussi voir des autres ôter les leurs. Filles ou garçons, peu importait. J’ai toujours raffolé de nudité.
Pour ma part, j’aimais le moment où je devais dégrafer mon soutien-gorge et montrer mes seins, mais pas autant que celui où je baissais ma culotte. J’ai toujours aimé montrer ma chatte et mes fesses, depuis mon plus jeune âge. Surtout grâce à des jeux qui comprenaient plusieurs personnes. Sans distinction de sexe.
Je suis gouine depuis l’âge de sept ans.
Et j’aime les bites.

Le premier avantage du pouilleux déshabilleur, c’est qu’on peut y jouer jusqu’à l’âge adulte, c’est-à-dire pendant longtemps. Pendant toute la vie, si l’on a envie. A condition de trouver des partenaires. Mais je n’ai jamais eu de mal à en trouver. Depuis le collège, ils n’ont jamais manqué.
Le deuxième avantage du pouilleux, c’est qu’il permet de continuer à inventer des gages une fois que chacun des participants est tout nu.
Sucer une bite, par exemple.
Ou bien une chatte.
Se faire pénétrer par tous les membres masculins du jeu, tour à tour.
Se faire sodomiser pendant qu’on lèche une chatte.
Etc.

J’y ai joué au collège, au lycée, à la fac, puis plus tard.
J’avais douze ans et demi la première fois qu’un gage a impliqué que je me fasse pénétrer par une bite. Nous étions quatre sur cette partie. Le garçon qui m’a dépucelée avait deux ans de plus que moi.
Mais il est aussi arrivé que je me fasse pénétrer par des plus jeunes. Une fois, c’était un garçon de quatorze ans. J’en avais dix-sept. Sa grande sœur était là et elle était toute nue. Plus tard dans la soirée, un gage a demandé à son frère de lui lécher la chatte.

A la fac, il est arrivé plusieurs fois que des profs se retrouvent impliqués dans des parties de pouilleux déshabilleurs. Jamais aucun n’a protesté, car nous avions tous bu, et je n’ai pas connu de prof qui ne crevait pas d’envie de voir ses étudiantes à poil.
Ainsi, j’ai eu des rapports sexuels avec plusieurs de mes profs, de la première année de fac à la cinquième. Y compris avec des femmes. J’en ai trois en mémoire. Il est très particulier de caresser les seins d’une prof en l’embrassant sur la bouche, surtout sous le regard d’autres personnes.
Mais je me souviens surtout d’une madame Jasper, qui était prof de lettres. Elle devait avoir dans les quarante-cinq ans. Une femme charmante, un peu coincée au premier abord.
Au cours de la partie de pouilleux, je me suis assise sur sa bouche et elle m’a léché la chatte pendant quelques minutes, tout en se faisant pénétrer par un étudiant de mon âge.
La semaine suivante, elle m’a invitée chez elle et nous avons fait l’amour ensemble, sans personne pour nous regarder cette fois-ci. J’ai appris par la suite que deux autres filles de ma promo avaient couché avec elle.

Puis, un jour, je suis tombée enceinte. Je n’ai jamais su de qui, mais j’ai choisi de garder le bébé.
Pendant ma grossesse, j’ai continué à coucher à droite et à gauche, avec n’importe qui la plupart du temps, à l’occasion de partie de pouilleux ou de fins de soirées passées dans des bars.
Au bout de quatre mois de grossesse, je me suis calmée, puis j’ai mis un petit garçon au monde. Il a eu dix-neuf ans la semaine dernière. Il suit des études de philo à trois cents kilomètres de là, et moi je continue de baiser dès que l’occasion se présente. Et les occasions ne manquent pas.
J’ai 41 ans et je suis plutôt bien conservée.
Je continue de le faire avec des hommes et des femmes, sans préférence. Je continue de me mettre toute nue et de me faire baiser dès qu’un contexte s’y prête. Il arrive même encore que je me retrouve à faire des parties de pouilleux déshabilleur, suite à des contacts sur des sites de rencontres ou à la fin de soirées bien arrosées avec des connaissances.
J’aime toujours autant ça.

Mais peut-être vous demandez-vous pourquoi je vous raconte toutes ces histoires de jeux aux règles tordues auxquels je joue depuis mon plus jeune âge ?
C’est simple.
La semaine dernière, j’ai invité un homme d’une cinquantaine d’années à venir boire un dernier verre chez moi, au terme d’une soirée passée avec d’autres personnes dans un bar.
Nous avons finalement bu quatre verres et nous étions vraiment ivres, et je lui ai alors demandé s’il était d’accord pour jouer au docteur avec moi.
Il a accepté.

:::

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire